Christophe SELLIER a écrit 37 commentaires

  • [^] # Re: Explication du résulta de tes commandes :-)

    Posté par  . En réponse au message Messages d'erreurs incompréhensibles pour moi. Évalué à 2.

    sudo apt-get install manpages-fr
    sudo apt-get install manpages-fr-extra
    

    les manpages s'afficheront en français si la traduction existe, sinon en anglais.

  • # Framalang : les données que récoltent Google et les travaux de Cracked Labs

    Posté par  . En réponse au journal Sécurité, vie privée... et Google Analytics!. Évalué à 5.

    A lire ou relire :

    Les données que récolte Google, traduit par Framalang, d'après les travaux de l’équipe du professeur Douglas C. Schmidt chercheur et enseignant à l’Université Vanderbilt. On y cause de Google Analytics

    et aussi les travaux de Cracked Labs : Corporate Surveillance in Everyday Life également traduits par l'équipe de FramaLang : Comment les entreprises surveillent notre quotidien.

    L'étude de Cracked Labs est beaucoup plus large. J'y ai découvert entre autres choses, l'activité de Data-Brockers de Oracle,
    infographie sur Oracle, extraite de l'étude.

  • # scenari

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 3.

    La chaine éditoriale scenari ?
    https://scenari.org

    Séparation des contenus et des modèles
    Modèles pour édition vers doc en ligne / pdf /papier ….. à partir d'un même contenu
    Travail seul ou en équipe pour la gestion des contenus et/ou des modèles

    Avec notamment la chaîne de rédaction de documents techniques
    https://scenari.org/co/4_B_1_Dokiel.html

    Logiciel libre : https://scenari.org/co/1_B_1_LogicielLibre.html

    On avait approché cet outil pour notre service, il y a quelques années pour des besoins similaires.

  • # un art de vivre plutôt qu'une formation

    Posté par  . En réponse au journal une formation à être parent. Évalué à 4.

    Au moment de la naissance de nos enfants, nous avons eu la chance incroyable ma femme et moi d'avoir autour de nous des formateurs et formatrices expérimentés principalement en la personne de nos parents, grands-parents et de quelques amis proches. Expérimentés mais discrets, nous laissant faire nos propres expériences et nos propres choix et donc quelquefois nos propres erreurs. Suggérant, plutôt que de d'imposer un schéma rigide et définitif du genre : "de mon temps c'était comme ça".

    Je crois donc que c'est d'abord le cercle familial et amical proche qui apporte cette "formation". Comment s'organiser au moment de la naissance, que faire ou ne pas faire en fonction des actions du nouveau né, puis plus tard de l'enfant, de l'adolescent et du jeune adulte. Comment préparer à chaque période, ses priorités, son organisation relativement à ce développement. Tout ça va bien plus loin qu'une simple formation. C'est plutôt un art de vivre, à mon avis, c'est à dire quelque chose de continu, tout au long de l'existence.

    Dans la maternité où est née ma fille, se trouvait une affiche qui rappelait aux jeunes parents, dessin à l'appui, que non, on ne secoue pas violemment un nouveau né parce qu'il pleure trop longtemps… Cette affiche m'a profondément marqué. Elle était collée manifestement depuis un long moment, et pour en discuter avec les sages-femmes, était toujours d'actualité.
    Ma fille aura 20 ans dans quelques semaines. Nos interrogations de parents ont bien sûr évolué en 20 ans, mais elles sont toujours aussi fréquentes, aussi bien avec nos enfants, qu'avec ceux qui en ont eu autour de nous, plus ou moins jeunes, plus ou moins éloignés de nos références. S'il faut parler de formation alors il faudrait que ce soit une formation permanente.

    Plus largement, c'est aussi ce qui fait société autour de nous, qui favorise ou non l'aventure d'élever un enfant. Que penser d'un monde dans lequel l'organisation quotidienne ne laisse aucune place à cette transmission de savoir inter générationnelle sinon dans un mode purement commercial. L'enfance découpée en tranches et en segments est proposée aux parents comme une succession d'acquisitions commerciales obligatoires, faute de quoi on passe aux yeux de beaucoup au mieux pour des clowns irresponsables, au pire pour de dangereux inconscients.

    Définir des règles telles que celles énoncées dans le journal est peut être rassurant, mais ne suffira pas. Dans l'exercice d'élever un enfant, il n'y a rien à gagner. Si vous voulez du temps pour vous, ce qui est tout à fait respectable, choisissez de ne pas faire d'enfant. Nous parviendrons peut-être un jour à faire suffisamment société pour que soit considéré qu'élever un enfant ne se résume pas à établir une check-list corrélée à un ticket de caisse.

    En rédigeant ces quelques lignes, par symétrie (et aussi parce que les années passent :-) je me rends compte que se pose le même questionnement à l'autre bout de la vie, du coté de nos anciens. Là ou il faut aussi d'abord du temps et beaucoup d'autres qualités pour les considérer dignement ….

  • [^] # Re: Du développement de nouvelles richesses

    Posté par  . En réponse à la dépêche Protéger sa vie privée sur le Web, exemple avec Firefox. Évalué à 2.

    il s'agirait de la revente de données de gré à gré (à moins qu'il n'existe un marché ouvert ?) entre entreprise ? Permettant à des assureurs ou des chasseurs de têtes d'obtenir plus d'informations que disponible autrement. Est-ce bien ça ? Est-ce documenté quelque part ?

    Lire Corporate Surveillance in Everyday Life de
    Wolfie Christl sur le sujet.

    A défaut parcourir l'infographie du document

    Sinon une recherche avec data broker donne un panorama instructif

    Aussi concernant la revente de données, citons le "firehose" de twitter :
    Extrait de
    http://blog.digitalinsighters.com/2015/topic-data-firehose-facebook

    Le terme "Firehose" nous vient de Twitter. En 2010, Twitter a décidé de commercialiser l'accès aux tweets via leur API.

    Trois options sont alors possibles :
    Spritzer : Un accès gratuit à environ 1% des tweets, via l'API publique.
    Gardenhose : Un "tuyau de jardinier" pour capter entre 10 et 20% des tweets, via une API délivrée par Twitter au cas par cas.
    Firehose : Un accès à 100% des tweets publiques (soit 500 millions de tweets par jour) en temp réel. Cette "lance à incendie" coûte $1 pour 1 000 tweets.

  • [^] # THF, Mahwah et Basildon (entre autres...)

    Posté par  . En réponse au journal Conséquences sociales des cryptomonnaies - 2. Évalué à 2.

    La bourse de Paris a fusionné en 2000 avec les places d'Amsterdam, Bruxelles, puis avec Lisbonne et les marché anglais dérivés devenant Euronext. En 2007, euronext fusionne avec le Nyse New York Stock Exchange, pour devenir nyse-euronext opérant simultanément en Europe et aux Usa. L'histoire ne s'arrête pas là

    En 2010, Nyse Euronext installe un datacenter de 37000 m2 à Mahwah dans le New-Jersey/Usa, et un autre (son alter ego) à Basildon en Europe. Une partie est réservée aux machines de Nyse-Euronext, le reste est loué à prix d'or à d'autres structures financières souhaitant se rapprocher au plus près des équipements de Nyse Euronext. La proximité géographique est un atout stratégique, quitte à payer le prix fort : les "négociations" en THF se font de l'ordre de la milliseconde.

    Cisco proposait d'ailleurs dès 2011 une solution complète architecturée spécialement pour le trading haute fréquence. En 2012, Ils annonçaient des matériels descendant au niveau de la nanoseconde

    Dans le document Risques et Tendances N°16 : Cartographie 2015 des risques et tendances sur les marchés financiers et pour l'épargne, publié en 2015 par l'Amf autorité des marchés financiers, on peut lire au sous-chapitre 2.2 page 38 et suivantes, un certain nombre d'éléments intéressants relatifs au THF :

    "Sur le périmètre de surveillance de l’AMF, qui permet de mesurer l’activité des traders haute fréquence sur le CAC 40, les parts de marché du HFT ont augmenté en 2014. Au
    4è trimestre 2014, la part des volumes réalisée par les traders haute fréquence « purs »
    (entités se décrivant comme opérant exclusivement comme traders haute fréquence)
    s’établit à 25 %, contre 22 % à fin 2013. La part du HFT « mixte », correspondant à des
    desks de HFT logés au sein de banques d’investissement, passe elle de 9 % à 15 %. Au
    total, la part de marché de l’activité HFT augmente de 31 % à fin 2013 à 40 % à fin 2014.
    Abordée par les ordres plutôt que par les volumes, l’incidence du HFT apparaît encore plus
    importante puisque le HFT « pur » seul représente 47 % des ordres."

    Plus loin, on peut lire également que (dans le cadre de cette étude) :
    "sont considérés comme traders haute fréquence les entités dont 10 % des ordres ont une durée de vie (calculée entre le passage de l’ordre et son annulation) de moins de 100 millisecondes."

  • [^] # Re: Prix...

    Posté par  . En réponse à la dépêche devops REX - publication du programme du 2 octobre 2017. Évalué à 10.

    Hé, psstt, ff9097,

    300 c'est avec la réduc linuxfr ?

    Alors soit agile, et passe par la communauté du meetup Paris Devops (un des liens en début de l'article) :
    https://www.meetup.com/Paris-Devops-Meetup/

    puis sur l'article du 51ème Meetup devops (23 mai - 19h30) :
    https://www.meetup.com/fr-FR/Paris-Devops-Meetup/events/239985573/

    De là et avec agilité, direction le forum :
    https://www.meetup.com/fr-FR/Paris-Devops-Meetup/messages/boards/

    Ensuite cliques agilement sur devops REX - conférence le 02/10 à Paris - 30% de remise :
    https://www.meetup.com/fr-FR/Paris-Devops-Meetup/messages/boards/thread/51128712

    Et donc là, pour les plus agiles en bas de l'article, une réduc, pas de 10, pas de 15 mais de 30% en bas de l'article (de jooooooon) avec le code MERCI DEVOPS ……
    https://devopsrex.eventbrite.fr/?discount=MERCI-PARISDEVOPS#tickets

    De rien.

    Linuxfr -> -15 %
    Les autres -> -30 %

    Merci Devops

  • [^] # Re: Euh ... balaie devant ta porte coco

    Posté par  . En réponse au journal You are legion. Évalué à 10.

    Trains, vélos et marche à pied.
    Ces trains et les lignes de chemins de fer associées datent en gros, des années 1820-1930. Ce sont des trains régionaux ou départementaux dits à voies étroites :
    http://ruedupetittrain.free.fr/lignes/nordest/reseau-SE-somme.htm
    http://dictionnaire.sensagent.com/Chemins%20de%20fer%20d%C3%A9partementaux%20de%20la%20Somme/fr-fr/

    Ces réseaux sont exploités par des compagnies locales sur lesquels roulent des tortillards : petites locomotives à vapeurs qui tirent quelques wagons en bois ou s'entassent marchandises et voyageurs. Les banquettes quant elles existent sont plutôt de type 3ème classes.

    Quelques cartes et vues aériennes des environs de Ham, et alentours. les évolutions entre ces anciens réseaux et les actuels sont assez nettes : les anciennes lignes voies étroites sont remplacées soit par des routes ou par les nouvelles extensions urbaines, soit laissées à l'abandon. On peut aussi voir d'anciennes gares, zones de chargements/déchargements reconverties en habitations : parcourir les posts de "Max-Therence" sur
    http://www.passion-metrique.net/forums/viewtopic.php?f=2&t=5622&start=240&hilit=nouvion

    A l'époque un billet sur ces lignes coûte quelques francs ou moins. Un vélo, plusieurs centaines de francs (*). Le salaire moyen "ouvrier" journalier est compris entre 1 et 4 francs :
    http://noisy93160.histoire.free.fr/documents/2012-12-10_prix_et_salaires_19_et_20eme_siecles.pdf

    Le déplacement privilégié est donc le train rural : le tortillard accessible dans les campagnes les plus reculées moyennant l'autre moyen de locomotion le plus utilisé : la marche à pied. Là, ce sont les chemins de traverses, qui relient les communes rurales souvent en lignes plus directes que les routes ou chemins à chariots. Ces chemins disparaissent au fil du temps, suite à l'apparition d'autres moyens de locomotion et leur support, le bitume et la voiture notamment, mais aussi suite aux remembrements, qui redéfinissent et redistribuent les parcelles agricoles, en supprimant au passage nombre de ces anciens chemins piétonniers.

    (*) A l'époque, seuls les plus riches peuvent s'offrir une bicyclette neuve et de qualité, au besoin en se penchant sur la référence de la vente par correspondance, le catalogue des armes et cycles de st étienne :
    https://www.google.fr/search?q=catalogue+des+armes+et+cycles&biw=1202&bih=782&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwiH1LnlmZ3MAhVHfhoKHdZlD58QsAQIPw#tbm=isch&q=catalogue+des+armes+et+cycles+hirondelle

  • [^] # Re: Café

    Posté par  . En réponse au journal L'increvable. Évalué à 6.

    Non les banques ne prêtent pas qu'aux riches, ce sont les riches qui prêtent via les banques notamment. Les riches n'ont pas besoin d'emprunter : ils sont -déjà- riches ; c'est normal, les riches, c'est fait pour être encore plus riches (la folie des grandeurs, acte 5 scène 2).
    Les banques prêtent quand elles sentent qu'elles vont y retirer un bénéfice immédiat ET qu'elles peuvent transférer le risque à d'autres, cf les subprimes. Donc elles prêtent aussi aux pauvres, à conditions que les emmerdements afférents soient transférés à d'autres, sans conditions et avec effet immédiat.

    Aujourd'hui fortes de leur position dominante elles ne prêtent quasiment plus préférant attendre et/ou spéculer. Quitte à placer une partie de leur argent à perte c'est à dire à taux négatif, plutôt que de faire leur métier.

    Maintenant question : Que faire pour un pauvre, lorsque la banque estimant qu'elle n'a rien à gagner avec lui sinon des ennuis, le refoule ?

    Je ne suis pas pauvre, mon salaire net est de 2500 euros, ma femme itou. Suis-je riche ? il semble que non : je dois emprunter de temps en temps, je n'en suis pas au point de pouvoir prêter mon argent, on dit d'ailleurs 'placer' son argent, c'est plus propre.

    Mais autour de nous, de nombreuses personnes, familles, sombrent dans la pauvreté : les banques ne leur accordent aucune attention, ni aucun crédit, cela va sans dire. Évidemment, aucun (mais alors aucun) espoir de placer quoi que ce soit de leur part. La fin du mois est là dès le 15-20. La distance restante, c'est système-D et compagnie. Privation diverses, repas allégés par la force des choses, équipements électroménagers usés et rafistolés, automobiles en piteux état, etc, etc, ….

    Que leur restent-ils comme marge de manœuvre ? l'abstinence ? le vol ? l'endettement ? La pression est forte, difficile de se soustraire à la tentation permanente, les pubs sont omniprésentes, les offres de crédits revolving ou non, sont elles aussi disponible 7/7 24/24. Prenez n'importe quel magasine du type hebdo télé (mais pas que), et comptez le nombre de ces offres. Vérifiez aussi, tant qu'on y est, la proximité visuelle entre ce mââg'nific-lave-linge (éclairé de l'intérieur), et cette page d'offre de crédit immédiat (deux fois rien : 18%, une broutille). Ce que c'est que les hasards de la mise en page tout de même !…

    Que fait le législateur ? rien ou si peu, à la marge. Le législateur est fermement invité à ne pas compromettre la libre circulation des biens, des marchandises, des dettes, et donc des affaires.

    Et donc les pauvres n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes, après tout ils l'ont bien cherché. C'est vrai, c'est bien eux qui signent l'offre de crédit. Donc pas question de cracher sur les banques, ok, mais alors, pas question non plus de cracher sur les pauvres : trop simple.

    La question reste posée : lorsque les revenus quand il y en a encore, sont tout juste suffisants pour assurer le quotidien, notamment un loyer qui bouffe le quart dudit revenu, comment faire pour supporter le reste ? les injonctions à consommer, les machins haut de gamme ou non qui tombent en panne plus vite que prévu y compris les lave-linges, la mode qui pousse à changer tout un tas d'équipements une fois par an (Noël est très pratique pour ça). Le rationnel n'existe pas dans ces cas de figure, seul reste le rêve, le subjectif poussé à son maximum combiné avec une bonne dose de frustration. Résultat : on craque ; on s'endette par signature ; et voilà. Les marchands se frottent les mains, les banquiers aussi. Le pauvre est plus pauvre. Pas grave, on saisira ses "biens", déjà gagés, et les affaires continuent sans oublier de transférer encore une fois tous ces problèmes coûteux sur divers pans de notre belle société, notamment sur le dos des pauvres en leur rappelant que quand même, ils n'auraient pas dû signer …..

    Notre dernier lave-linge, c'était chez Conf…ma, le vendeur était consterné parce que l'on ne prenait pas de crédit, pas d'extension de garantie, ni aucune autre facilités de paiement d'ailleurs. Vous noterez le terme 'facilités' pour refourguer un crédit. …vous êtes sûr ??? Oui, nous sommes sûr. Déception dans le regard, et clic sur l"édition du bon de commande. J'ai connu une époque où souscrire un crédit était limite honteux. Aujourd'hui non seulement c'est 'normal', mais acquérir un bien sans crédit est considéré comme bizarre : le crédit fait partie du produit, il est même souvent une partie importante du revenu du vendeur.

  • # zx 3d

    Posté par  . En réponse à la dépêche Mais où est donc la révolution des imprimantes 3D ?. Évalué à 8.

    Bon, il est temps de créer un logiciel qui créera les plans de la pièce à produire en 3d, à partir de photos de la pièce cassée, prises sous différents angles, ou en cas d'absence de pièce d'origine, de descriptions de l'objet à créer, par questions successives par exemples, ou par analogie avec une ou des autres pièces existantes, par comparaison avec des références sur plans, présentées en 3d à l'écran …

    Autre chose :
    Le zx 81 est resté à la maison environ 8 jours avant que son propriétaire ne le reprenne. Il nous l'avait prêté en nous disant : "là, yaura un avenir".
    Branché sur une vieille télé noir & blanc. sauvegarde sur cassette analogique. 1 Ko de mémoire vive (oui, oui 1 kilo octets).
    A quoi ca sert ? C'est quoi ? Tu peux en faire quoi ? …..
    Ben c'est un ordinateur, des jeux, des calculs, je sais pas moi,
    Ha ok, ….
    J'en ai acheté un quelques années plus tard, quand j'ai pu avoir l'argent soit environ 500 francs dans les années 1980-85

    Voilà, j'avais 16-17 ans, j'en ai 52.
    Mon fils en a 14, ma fille 17
    Je vais acheter une imprimante 3D bientôt.
    C'est sûrement eux qui vont trouver et découvrir, eux ou leurs copains, amis. En venant s'en servir, et en essayant des trucs avec. Des trucs auxquels personne n'aura pensé avant.

    Yaura toujours des esprits chagrins qui diront, wouai c'est trop compliqué, trop long, pas assez ceci ou trop cela.

    Des vieux quoi.

    zx81 chez wikipédia, extrait :
    Il a été nommé l'Initiateur et permit à beaucoup de futurs informaticiens de faire leurs premiers pas à moindre frais et sans grand risque.

    Je confirme, merci à Sinclair et à wikipédia.

  • [^] # Re: Lecture Seule

    Posté par  . En réponse au message Feuille de calcule OpenOffice sur page Web [ Résolu ]. Évalué à 1.

    Testé vite fait :
    depuis libreoffice/calc ouvert (pas de openoffice sous la main) : sélection d'un groupe de cellules contenant valeurs et formules
    dans une feuille framacalc : coller : les valeurs sont collées mais pas les formules
    il faut refaire les formules ou les copier / coller une par une
    ça peut éviter une ressaisie complète.

  • [^] # Re: Online Travel Agency

    Posté par  . En réponse au journal Chroniques de l'automatisation : L'hotellerie. Évalué à 2.

    A noter que ça ressemble aux Taxi vs Uber

    Ça fait plus que d'y ressembler : c'est exactement la même chose, d'ailleurs :

    http://www.latribune.fr/edition-quotidienne/24-07-2015/focus/le-collectionist-le-airbnb-des-riches-s-attaque-aux-hotels-de-luxe-1988.html
    Article réservé aux abonnés, je n'y suis pas, je ne reproduis que le chapeau :

    La startup Le collectionist, le Airbnb des riches, s’attaque aux hôtels de luxe

    Cette startup française veut « ubériser » les hôtels haut de gamme en louant des villas de rêve à une clientèle riche lassée des palaces, partout dans le monde. A mi-chemin entre l’hôtellerie et l’économie collaborative, Le Collectionist cherche 10 millions d’euros pour tenter de devenir le leader d’un marché de niche en pleine expansion.

    J'aimerai bien savoir ce qu'ils entendent par "A mi-chemin entre l’hôtellerie et l’économie collaborative"… Je ne vois pas ce qu'il y a de collaboratif dans tout ça.

  • [^] # Re: Online Travel Agency

    Posté par  . En réponse au journal Chroniques de l'automatisation : L'hotellerie. Évalué à 6.

    Le mot clé de votre commentaire est "risque".

    La prise de risques et son évaluation, complétée par un péage rémunérateur, par l'industrialisation-l'automatisation du service, le tout accéléré/renforcé par la numérisation (informatisation, internet, réseaux, et tout le bazar …)

    La prise de risques.
    Les nouveaux intermédiaires forts de leurs outils numériques, se placent entre les fournisseurs plus anciens, que ce soit pour le transport automobile (type uber version pop), le transport aérien (type ryanair) l'hôtellerie, la fourniture de services de toute sorte (le turc mécanique d'amazon est un excellent exemple) et les demandeurs/consommateurs, et déplacent le risque, tout en formant péage.

    C'est leur principale activité : identifier le risque client, caractériser ce qui rassure le client et enfin reporter le risque ailleurs, le report étant bien mis en scène afin de convaincre le client qu'il ne risque du coup plus rien.
    Quel "risque" est capable de supporter le client potentiel d'un hôtel ?? La partie jugée insupportable sera analysée, décortiquée puis transférée au maillon le plus vulnérable ; dans le cas présent l'hôtelier dans sa version 'familiale'.
    Méthode employée en 24/24 et 7/7 : lister les hôtels avec ou sans leur consentement, les mettre en concurrence (très important ça), éliminer relativement sauvagement ceux jugés les plus faibles, et recommencer la boucle.

    Le problème étant que l’hôtelier, son métier c'est bien l'hôtellerie, et pas la gestion du risque importé, en tout cas pas dans un délai aussi court, aussi répété, et aussi violent.

    Cette évaluation du risque était réalisé précédemment par des structures comme le guide michelin, le guide du routard, évaluation redoutée mais chose importante, qui fonctionnait à la même vitesse que les hôtels et restaurants évalués. C'est à dire qui laissait le temps -notamment- aux évalués de se retourner et si possible, de faire face.

    Arrive l'informatique/numérique, faisant naître des acteurs absolument pas disruptifs de mon point de vue, mais pour le moment plutôt opportunistes à courte vue, et voila donc des plate-formes en lignes performantes, qui évaluent bien plus vite, continuellement (24/24 et 7/7) et sur des secteurs bien plus larges que nos guides ancienne formule, en prime avec le fait que ce sont les consommateurs qui remontent gratuitement les informations jugées pertinentes, sans efforts supplémentaires pour la plate-forme. Informations de qualités très variables, peu fiables, mais quand même : immédiatement qualifiées pour mettre en balance les hôtels sus-nommés.

    Ce qui est industrialisé ici, c'est l'évaluation et ses conséquences. L'évaluation : commentaires, notation, j'aime, j'aime pas, etc, est fournie en continu par les tiers souvent anonymes et déresponsabilisés. La plate-forme ne prend aucun risque. L'inscription des hôtels n'est pas obligatoire, mais le système en place les y forcent, sinon ils perdent en visibilité. Là encore, la plate-forme ne prend aucun risque, elle en profite même en facturant cette fonction.

    Dans ce contexte, le beau rôle revient aux nouveaux acteurs, justement nouveaux, les autres paraissant par contraste plutôt rétrogrades, lents, incapables de s'adapter, les lâches, endormis qu'ils sont sur leurs lauriers, n'étant plus qu'anomalie potentielle au milieu d'un listing rafraîchi en permanence.

    Qu'un dysfonctionnement soit signalé chez un hôtelier par les consommateurs zélés forts de leurs nouveaux rôles, et voila notre hôtelier en demeure de réagir immédiatement.
    Comment s'y prend-t-il ? On peut le voir comme un élément disruptif dans le train-train supposé (les acteurs traditionnels n'ont rien foutu), ou comme un obstacle supplémentaire imposé au fournisseur, obstacle qu'il DOIT maintenant traiter immédiatement. Pas d’échappatoire, l'évaluation continue automatique n'attends pas.
    Problème : notre hôtelier n'a ni les compétences nécessaires, ni le temps pour cela : il a son hôtel à faire tourner. Mais c'est à lui et à sa structure que le risque est transféré. Sans autre choix pour lui que de devoir le gérer séance tenante. Les exemples fournis par Big Pete en attestent : fluctuations importantes de clientèle, gestion tendue de trésorerie boudée par les banques, …..
    La nouvelle plate-forme cristallise le risque, ne l'annule pas, et le renvoie vers l'acteur le plus faible, en l'occurrence ici l’hôtelier (dans son format familial), qui en conséquence n'a plus le droit à aucune erreur.

    De là deux possibilités : disparaître ou grossir. Dans les deux cas, l'hôtelier "d'avant" que je qualifie d'artisan, au sens noble du terme, disparaît au profit de l'hôtelier industriel, maîtrisant mieux le risque imposé par des tiers. Deux métiers à mon sens radicalement différents.

    Plus largement, disparaître ou grossir version web 2.0, 3.0, …, c'est le schéma imposé à l'ensemble de notre société, depuis l'école primaire sommée de se regrouper donc grossir, jusqu'à la finance internationale devenue 'liquide' afin de pouvoir changer de place instantanément et en tout lieu, un peu comme notre clientèle hôtelière qui en deux clics, annule ici et réserve plus loin …

  • [^] # Re: Online Travel Agency

    Posté par  . En réponse au journal Chroniques de l'automatisation : L'hotellerie. Évalué à 10.

    Le monde a toujours évolué effectivement, et le rythme va plutôt s'accélérant. Bien qu'utilisateur d'internet, l’hôtelier format familial dont parle Big Pete un peu plus haut n'est absolument pas préparé à ces bouleversements 1) hyper rapides, 2) incessants ; aucun répit, pas le temps de se poser et d'y voir un peu plus clair, que déjà d'autres services émergent et pour lesquels il faut se reconfigurer. Le rapport de force entre un hôtelier familial et un groupe de la taille de Trip Advisor ne laisse aucune chance au premier. D'autant que dans ce cas de figure, Trip Advisor se place en intermédiaire. Il ne prend aucun des risques relatifs au métier d’hôtelier. Il me semble que c'est Trip Advisor qui devrait reverser des dollars à l’hôtelier pour pouvoir utiliser son établissement dans son catalogue. Je crois qu'on n'est pas franchement dans ce cas de figure.

    Ce genre de situation ramené au seul point de vue de : 'c'est triste mais c'est la vie on n'y peut rien' est sacrément réducteur. Sur le long terme, devoir de remettre en question radicalement de façon répétée est épuisant, physiquement, financièrement. Le but n'est évidemment pas de 'protéger' les hôteliers plus que d'autres professions, mais de trouver d'autres articulations pour palier à ces situations.

    L'invasion de l'outil numérique à tous les niveaux transforme complètement ces rapports de force.

    Mon métier consiste à gérer un parc d'environ 400 pcs, imprimantes, réseaux, etc etc, cela depuis 20 ans. Ce métier est en train de disparaître. Purement et simplement. Je le constate depuis 5 ans environ, avec comme pour l’hôtelier classique une accélération considérable. Le métier que j'exerce s'est fortement industrialisé et donc automatisé complètement, des intermédiaires sont apparus qui proposent des services concurrents. 'Faire mieux, constamment son métier' ne suffit plus.
    A 50 ans passé, je pense que la reconversion complète vers autre chose n'est pas envisageable. Dans le même temps, me résoudre à 'c'est triste mais c'est la vie on n'y peut rien' m'est insupportable …

    De votre coté, vous parlez d'apprendre un nouveau langage afin d'éventuellement vous adapter à un nouveau contexte. Mais ça ne s’arrêtera pas là, poussez le raisonnement un peu plus loin. Il se peut fort bien que l'on vous annonce d'ici quelques années, que vos compétences ne sont plus nécessaires.

    Plus nécessaires du tout.

    Ni avec votre expérience de langages devenus anciens, ni avec de nouveau que vous seriez prêt à apprendre : Un algo ou automate quelconque le fera à votre place, plus vite, plus souvent ; automate(s) supervisé par l'un de vos collègues, plus jeune, qui vous tiendra le même discours : 'c'est triste mais c'est la vie on n'y peut rien'. On n'aura peut être encore un peu besoin de vos compétences, mais très partiellement, quelques heures par semaine ou par mois par exemple.

    Vous ferez quoi alors ?

  • [^] # Re: moi je suis vieux (et con)

    Posté par  . En réponse au journal Les temps changent. Évalué à 2.

    Pour arrêter, cliquez sur Démarrer

  • [^] # Re: La seule solution

    Posté par  . En réponse au journal Free startup project. Évalué à 1.

    Touchons du doigt 'le concept' : "si les gamins bossent à l'usine pour 1$/jour, c'est que c'est mieux que ce qu'on leur propose ailleurs."
    Ben tiens !
    Ni les gamins, ni même les adultes ne "bossent" dans ces conditions. On est là dans une forme d'esclavage généralisée : des journées de 15 heures, toute l'année, dans des conditions de vie moyenâgeuse.
    Alors non, ce n'est pas 'mieux', à peine moins pire et encore. On passe de la misère profonde rurale à une autre toute aussi profonde mais urbaine et industrialisée à outrance. Déplacement massif et concentrationnaire de population ; la misère rurale est laissée telle que, elle sert de repoussoir vers la ville et ses mirages : on peut ainsi canaliser la main d’œuvre vers de grands centres industriels, pour l'exploiter sous une autre forme. Et peu importe qu'ils soient payés 1$, un peu plus ou un peu moins de l'heure, ce n'est pas avec ça qu'ils pourront s'extraire de leurs conditions en s'émancipant.
    Donc non "le travail des enfants, ben c'est mieux que de mourir de faim ( pour les gamins )"Nono47. Rien dans tout ce tableau de cauchemar, n'est 'mieux'. Les enfants ne meurent plus de faim enfants à la campagne, ils meurent d'épuisement jeune adulte en ville. C'est 'mieux' ça ? Ça n'est même pas moins pire, c'est tout simplement insupportable.

    Qu'ils soient alignés à la chaîne en usine, ou éparpillés dans les dépotoirs géants chinois, indiens ou africains de nos déchets industriels, électroménagers, etc, etc, je n'ai pas réussi à voir le 'mieux' pour tous ces gosses, ni pour la population qui les entourent ….
    (pour les dépotoirs, de mémoire et pour les Etats-Unis, de l'ordre de 50 millions de tonnes par an sorties du pays et renvoyés vers le tiers-monde, pays en voie de développement, pays émergents, on s'en fout : loin là-bas de l'autre côté)

    Non c'est pas astral Nono47, c'est juste une question de survie et de rapports de force ! Pour les gamins concernés, là tout de suite, c'est foutu. Et ce n'est pas non plus une question de consom'acteur ou je ne sais quoi de similaire qui y changera quelque chose.

  • # informatique, mais aussi ...

    Posté par  . En réponse au journal Disparition de Jean-Claude Bellamy. Évalué à 3.

    C'est aussi grâce à lui que j'ai appris à l'époque l'existence de l'agcs, et lu quelques pages instructives de Messieurs Robert Badinter et Albert Jacquard, dans son menu 'philosophie'

    Merci Mr Bellamy …

  • [^] # Rions zun peu

    Posté par  . En réponse au message Quel est l'intéret d'une montre connectée ?. Évalué à 2.

    Tout de même enfin kwâ Kerro, ressaisissez-vous !!!

    Trois milles euros pour montrer qu'on a de l'argent …. c'est inssssuportâble de médiôcrité, vraiment !!!

    Car enfin, pour vous élever véritâblement dessus la plèbe, chaîrami, (très cher ami), envisagez s'il-vous-plait un équipement montant digne de ce nom.

    Par exemple une Vendôme Tourbillon, de chez Hublot,
    la voici : http://www.lacotedesmontres.com/Hublot-305-CI-0009-GR-PdN.htm

    ça a une autre gueule non ?

    3000 euros, non vraiment…

    Ha, et convenez d'éviter Rolex chairami, ces dernières années, comment dire, c'est devenu par trop clinquant.

  • [^] # Re: bonne fois

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qpsycle, un studio modulaire de création musicale, cherche des développeurs. Évalué à 2.

    j'ai eus des soucis avec les trois (des vieux claviers je dois bien l'avouer, mais des claviers sur lesquels est mentionné MIDI

    La norme midi est mentionnée sur quasi tous les claviers, mais elle est respectée de façon très aléatoire d'un clavier à l'autre. Certains claviers sont limités et lorsqu'on bascule en mode 'maitre', ne permettent plus d'accéder à d'autres fonctions, par choix du constructeur ou par soucis d'économie. La limite du terrain de jeu, c'est ce qu'indique gouttegd dans un post au dessus, est la  MIDI implementation chart. Le fait qu'elle soit dispo pour un modèle est plutôt bon signe, sinon c'est louche. C'est ça qu'il te faut obtenir et valider pour les clavier testés et vérifier avec cette liste les fonctions midi que chaque clavier est capable d'envoyer et de recevoir, c'est particulièrement important dans le cas d'un clavier prétendument 'maitre' qui se doit de respecter la totalité de la norme midi, voire de proposer d'avantage. Ca suppose de connaître la norme midi.
    Idéalement, il faut le faire aussi avec les autres équipements matériels ou logiciels que tu veux piloter, ce qui permet de voir quelles fonctions midi sont utilisables entre quels équipements.

    Ableton avec son menu déroulant de claviers prédéfinis masque tout ça et te dégage de ces recherches, ça accélère l'affaire, mais du coup tu ne connais plus exactement ta marge de manoeuvre.

  • [^] # Re: bonne fois

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qpsycle, un studio modulaire de création musicale, cherche des développeurs. Évalué à 2.

    je n'ai pas non plus envie de passer 6 mois à résoudre des soucis techniques alors que je veux faire de la musique et des enregistrements

    Le choix que tu fais là, c'est du sur-mesure, et c'est toi qui confectionne dans un environnement technique. Alors c'est pas 6 mois qu'il te faudra, c'est bien plus. A toi de te fixer tes limites, ton champ d'action. Avec le clavier Thoman ou un autre, avec un linux ou autre chose, tu auras TOUJOURS des éléments techniques à prendre en charge, en studio ou sur scène, seul ou en orchestre. Envisager la démarche en parlant de >>contraintes<< techniques est LE problème. Ou tu les prends en charge et au final tu maitrises ton affaire dans ta zone de confort, donc sans partir dans tous les sens, et oui c'est long ; ou tu délègues, c'est plus rapide mais dans ce cas prépare ton porte-monaie et soit dépendant.

    Tu veux maitriser toi-même ? alors bosse tes techniques de clavieriste, les harpèges, les gammes, joue avec d'autres musiciens, etc etc (ce que tu fais peut-être déjà hein) ET bosse AUSSI les aspects techniques, en vrac :
    les implémentations midi de ton clavier maître (comment j'assigne le volume main droite sur le curseur 2? comment je splite mon clavier) , la norme midi, les outils audio que tu souhaites utiliser bref soigne les aspects techniques qui ne sont pas des contraintes, mais des connaissances supplémentaires à développer. Avale des tutos, essaie, teste : linuxmao, audiofanzine et bien d'autres.

    Dans ta démarche,c'est la maitrise musicale ET technique qui te fera avancer. Considérer le second aspect comme une contrainte qu'il faudrait limiter dans le temps est une erreur.

  • [^] # Re: Clavier

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qpsycle, un studio modulaire de création musicale, cherche des développeurs. Évalué à 2.

    Pas besoin de driver pour un clavier maître il me semble. Il y a plutôt la norme midi ET la doc du clavier en question pour -coté clavier- paramétrer les potentiomètres, pads, pitch et les touches du clavier et leur assigner les bons paramètres midi, et de l'autre les logiciels qui comprennent le midi et qui déclenchent des événements en conséquence (des sons par exemple).

    Mon clavier maître est connecté en midi au pc linux avec ça :
    http://fr.audiofanzine.com/interface-midi/e-mu/1x1-Usb/
    Jack l'affiche comme interface midi emuX1usb (ou un nom similaire), jack affiche aussi les interfaces midi et audio des autres logiciels musicaux en cours de fonctionnement sur le pc, comme ZynAddSubFx par exemple. La connexion entre l'interface midi-emuX1 et midi-ZynAddSubFx se fait dans Jack. Cette connexion ne fait pas le paramétrage préalable du clavier d'un coté et du ou des logiciels utilisés tel ZynAddSubFx de l'autre.

  • # Pour le second tome

    Posté par  . En réponse à la dépêche Parution du second tome du Guide d’autodéfense numérique. Évalué à 6.

    On peut en envoyer un exemplaire aux gars de chez Stellar communications systems :

    Marcel Rosenbach, journaliste à Der Spiegel leur montre que nsa et gchq connaissent intimement le détail de leur architecture interne, et tout et tout, qui fait quoi avec quel degré de profondeur dans le système, notamment pour l'un des 2 ingénieurs présents dans la vidéo.

    Ça dure 6 minutes : http://vimeo.com/106026217

  • [^] # Re: Si au moins ces pubs étaient drôles…

    Posté par  . En réponse au journal [HS]Le monde de la pub s'attaque aux comiques français. Évalué à 0.

    du pénible au répugnant :
    Et voici un exemple de "comique" plutôt franco-russe que francophone, payé pour refourguer de la m…de financière au plus grand nombre :

    http://nildafernandez.wordpress.com/2013/09/04/1181/

    N'hésitez pas à visiter le lien en bas de l'article, c'est bien aussi

    ça doit être du comique dans l'horreur.

  • # id3v2

    Posté par  . En réponse au message Fichiers audio tag id3 et création de dossiers. Évalué à 1.

    commande id3v2 à installer par apt-get, synaptic ou équivalent :

    A command-line tool to add, modify, remove, or view ID3v2 tags, as well as
    convert or list ID3v1 tags.

    un exemple de script ici (en bas de page) :
    http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=862489

  • # linuxmao

    Posté par  . En réponse au message Problème son distribution AV Linux base debian. Évalué à 1.

    Salut,
    Essaie sur linuxmao.org, une entrée de forum qui en parle :
    http://www.linuxmao.org/forumthread47370

    sinon peut-on avoir quelques détails sur les "multiples paramétrages sans succès" ?