Doug Le Tough a écrit 88 commentaires

  • # Merci ChatGPT

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage A priori, que représente « a » ?. Évalué à 2.

    Le symbole "a" est une lettre de l'alphabet latin. Sans contexte spécifique, il peut représenter différentes choses en fonction du domaine ou du contexte dans lequel il est utilisé. Voici quelques exemples de ce que "a" pourrait représenter :

    En mathématiques :
    "a" peut être une variable utilisée pour représenter un nombre réel, un coefficient, ou une inconnue dans une équation.
    Dans la notation d'intervalle, "[a, b]" peut représenter un intervalle fermé où "a" est la borne inférieure et "b" est la borne supérieure.
    En physique :
    "a" peut représenter une accélération, une vitesse, ou une aire, selon le contexte.

    En informatique :
    "a" peut être utilisé comme une variable ou un symbole dans la programmation pour stocker des données ou effectuer des opérations.
    En linguistique :
    "a" peut être une lettre dans un alphabet utilisé pour écrire une langue spécifique.

    En musique :
    "A" peut représenter une note musicale, la note la plus basse du système de notation en lettres.
    En statistiques :
    "a" peut être un paramètre ou une constante dans des équations statistiques.

    Dans un contexte linguistique plus général, "a" peut être simplement une lettre dans un mot ou une phrase, sans signification particulière jusqu'à ce qu'elle soit combinée avec d'autres lettres pour former des mots.
    Le sens de "a" dépend donc du contexte dans lequel il est utilisé, et il peut avoir de nombreuses interprétations différentes en fonction de ce contexte.

  • # Rocky rocks !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rocky Linux 9.0. Évalué à 5. Dernière modification le 05 août 2022 à 09:11.

    Mon commentaire n'apporte rien mais il faut bien quelqu'un pour contrebalancer l'intérêt porté à Alma Linux.

    Pour ma part j'ai opté pour Rocky pour les VM de mon lab comme pour celle de ma prod et je ne vois pas de raisons pour passer à Alma.

    Les quelques jours/semaines de d'écart pour une release ou un patch me semble totalement sans importance puisque comme beaucoup je n'applique les mise à jour que quand j'ai le temps de tester que la mise à jour n'apporte pas plus d'ennui qu'elle n'en corrige.

    Rocky Rocks !

  • # Piper un script depuis curl

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de CrowdSec 1.1.x : quelles sont les nouveautés ?. Évalué à 7. Dernière modification le 25 août 2021 à 02:46.

    | curl -s https://packagecloud.io/install/repositories/crowdsec/crowdsec/script.deb.sh | sudo bash

    "Piper" un shell directement depuis curl vers sudo ?

    Ça ne semble pas une démarche très sécurisante.
    C'est même tout à fait effrayant !

  • [^] # Re: Une grande inconnue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware 15 en approche ?. Évalué à 10.

    Pas aussi "mains dans le cambouis qu'une LFS", mais bien plus qu'une Gentoo dès qu'on sort des quelques centaines de paquets fournis avec la distribution serait plus proche de la vérité.

    Cela fait 20 ans que je roule du Linux, j'ai du essayer toutes les grandes distrib' de Debian à RHEL en passant par LFS et bien entendu Gentoo. Aucune distribution ne donne autant de liberté que Slackware. Rien ni personne ne m'oblige a utiliser utiliser tel ou tel système d'initialisation. Rien ni personne ne m'empêche non plus de le faire. Je choisis !

    Slackware c'est avant tout un état d'esprit, bien plus proche du véritable esprit DIY que la plupart des grandes distributions, y compris Debian.

    Avec Slackware il ne s'agit pas de simplement installer une distribution en suivant un tutoriel et croire qu'on maitrise parce qu'on sait faire un apt-get.

    Non, Il faut la peaufiner, la "fine tuner" à son goût dans les détails, lui recompiler le noyau aux petits oignons, supprimer les dépendances qui vous sont inutiles, écrire ses propres scripts pour compiler en masse les paquets supplémentaires dont vous aurez besoin et faire la chasse au dépendances…

    Alors, oui, elle sort que quand elle est prête et non vous ne pourrez pas participer à son développement (et c'est tant mieux).
    Oui vous pouvez contribuer en proposant des Slackbuilds sur slackbuilds.org.
    Non elle ne gère pas les dépendances entre paquets pour vous,
    Oui l'installeur n'est qu'en mode TUI.

    Mais quoi qu'il en soit, vous apprendrez à vous sortir de toutes les situations que vous pourrez rencontrer avec n'importe quel Linux.

    Tu t'es fait la main sur une Debian, une Fedora ou une Arch ? Tu crois connaître Linux ? Prouve le en passant un niveau de plus et viens goûter Slackware…

  • # Intéressant mais...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mise à niveau de EvalSMSI. Évalué à 2.

    L'outil semble intéressant mais il mériterait d'être "database agnostique" ou tout au moins de supporter d'autres types de base (typiquement et a minima, Postgres).

    Le couplage avec MySQL me semble clairement un frein à l'adoption,y compris si le logiciel est fourni sous forme d'image Docker.

    Mes deux centimes.

  • [^] # Re: Sacrée naiveté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GitHub remplace la branche master par main. Évalué à 1. Dernière modification le 29 août 2020 à 07:50.

    ni renoncer au fait que je sois valide.

    Ça, ça peut s'arranger !

    Hormis circonstances exceptionnelles, il est peu probable que ce soit par un acte volontaire ;-)

  • [^] # Re: Sacrée naiveté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GitHub remplace la branche master par main. Évalué à 10.

    C'est un privilège que n'ont pas les non-blancs

    Ce qui serait bien c'est de ne pas confondre privilège et chance.

    Oui les personnes non-stygmatisées ont de la chance. Non ce n'est pas un privilège.

    Je peux renoncer à un privilège. Je peux ni renoncer à la couleur de ma peau, ni renoncer à mon genre, ni renoncer à mon orientation sexuelle, ni renoncer au fait que je sois valide.

    Je suis toujours choqué de voir trop souvent le mot privilège utilisé pour reprocher à un groupe de personnes un fait qu'ils n'ont pas choisis et auquel ils ne peuvent renoncer.

    Pour autant mon indignation n'est unique, je suis également indigné de voir des individus discriminés, qu'elle qu'en soit la raison.

    Ce n'est pas parce qu'un combat est légitime qu'on doit en accepter tous les travers, dérives et biais.

    Utiliser le mot privilège à mauvais escient ne rend pas service au combat égalitariste.

  • [^] # Re: Buzzword et bullshitisme corpoflanique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Séminaire en ligne : Logiciel libre en Afrique, levier de croissance et souveraineté digitale. Évalué à 0.

    Et puis le monde francophone est très divers, mieux vaut laisser à chacun ses particularismes de langage
    plutôt que déduire de l'emploi d'un mot que les africains sont victimes des marketeux, non ?

    Non. C'est justement mon propos. En Français, quel que soit son particularisme local, le mot "digital" rapporte au doigt et non pas au numérique. Point. Il n'y a pas de discussion possible sur ce sujet.

    L'emploi de guillemets pour signaler un mot emprunté à une langue étrangère ou un vocabulaire spécifique pourrait être une concession envisageable mais certainement pas un accord genre en genre ou en nombre type "souveraineté digitale" ou "mécanisme digitaux" qui n'ont absolument aucun sens dans un contexte numérique.

  • [^] # Re: Buzzword et bullshitisme corpoflanique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Séminaire en ligne : Logiciel libre en Afrique, levier de croissance et souveraineté digitale. Évalué à 2.

    C’est le choix du terme « digital », plutôt que « numérique » qui est critiqué

    Il y en a au moins un qui suit :)

  • [^] # Re: Buzzword et bullshitisme corpoflanique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Séminaire en ligne : Logiciel libre en Afrique, levier de croissance et souveraineté digitale. Évalué à 6.

    Bref, y a pas que les marketeux qui utilisent ce terme, beaucoup de techos (et de gens
    "normaux" maintenant) font cette erreur

    Est-ce une raison pour la laisser passer ? Quid de la crédibilité des personnes qui emploient ces termes ?

    Je ne doute pas de la sincérité des organisateurs de cet évènement mais je peux leur assurer qu'à employer le mauvais terme ils prennent le risque de passer pour des charlots ce qui n'aidera en rien leur cause.

    Personne de raisonnablement sérieux n'oserait utiliser l'expression "souveraineté digitale" dans le monde professionnel sans passer pour un véritable charlot aux yeux de ceux qui connaissent vraiment les enjeux et les problématiques de la souveraineté numérique.

    de manière inconsciente

    L'écrit n'a rien d'inconscient.

    donc c'est pas très malin de systématiquement penser que ces gens ont eu une mauvaise
    intention.

    À laisser passer ces erreurs ont laisse la médiocrité gagner du terrain. En se corrigeant les uns les autres on progresse tous. je ne suis pas le dernier à faire des erreurs et j'apprécie qu'on me corrige.

    On peut appliquer les principes de l'amélioration continue à à peu près n'importe quel domaine…

  • # Buzzword et bullshitisme corpoflanique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Séminaire en ligne : Logiciel libre en Afrique, levier de croissance et souveraineté digitale. Évalué à 6. Dernière modification le 01 juin 2020 à 00:45.

    "Souveraineté digitale"… Si l'Afrique pouvait ne pas tomber dans les mêmes travers que le reste de la francophonie…

  • # Danger: Meta troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Une biblio de script ?. Évalué à 4. Dernière modification le 26 mars 2020 à 03:44.

    [!] Alert: Ptilou spotted
     '-> Ref: http://la.buvette.org/Usenet/ptilou.html
     '-> Ptiloutron service started: http://doug.letough.free.fr/ptiloutron
    
    
  • [^] # Re: Un peu confus

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Intel = 14 nm, AMD = 7 nm, ARM = 7 nm… et mon serveur ?. Évalué à 1.

    Coder sur un serveur à des milliers de kilomètres

    On ouvre une session SSH, et avec vim, emacs ou nano on développe sur le serveur distant. On peut aussi activer le X11 forwarding pour lancer un client graphique sur le serveur distant, qui s’affiche sur le serveur X11 de son laptop (local).

    Développer directement sur la machine en prod, ou même en environnement de développement paraît peu sage.

    Git est ton ami et une chaîne d'intégration continue voire de livraison continue te permettra de gérer les déploiements à la volée sans perdre l'historique des modifications tout en garantissant la qualité de ton code.

  • [^] # Re: Si les outils sont libres la pensée elle ne l'est pas

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Plagiat — Respecte la Puissance Papale : un nouveau clip de rap réalisé tout en libre. Évalué à 0.

    D'un autre coté ce n'est pas du rap. Au mieux c'est une n-ième dérivation autour du hip-hop.
    Dans tous les cas ça reste de l'art, du fun et, de mon point de vue, très probablement de l'humour.

    N'est-ce pas le rôle de l'art que de choquer et de provoquer un questionnement, de remettre en perspective ce que l'on croyait immuable ?

    Enl4rge Ur c0n5ci3nc3 !

  • [^] # Re: [PAS CONTENT] Sérieux... Plus ça va plus DLFP me semble un repaire d'abrutis.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 1.

    On m'invoque ?

  • [^] # Re: Première initiative ecologeek

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Journées du logiciel libre — lancement de l’appel à participation 2019. Évalué à 3.

    Le Tetalab réfute toute allégation qui sous-entendrait de manière explicite ou non que ses membres soient des palotins.

  • [^] # Re: slackounet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 3. Dernière modification le 20 juillet 2018 à 19:11.

    C'est un véritable exemple. Une cascade absconse de dépendances provoquant l'installation d'une partie d'Xorg à partir de l'installation de nmap. Avoue que ça fait un peu désordre sur un serveur.

    La fiabilité n'implique pas 99% de réussite mais 100% et c'est, comme je l'expliquais plus haut, justement parce qu'il n'est pas possible d'atteindre 100% que Slackware fait le choix de ne pas proposer une solution bancale.

    C'est un choix volontaire, une philosophie. On peut ou pas y adhérer, il n'y a pas d'obligation pas plus qu'il y en a à utiliser apt (qui n'atteint probablement pas les 99%).

    Oui, avec Slackware tu dois gérer à la main mais si ça ne fonctionne pas ce sera de ta faute, pas de la faute d'un autre qui a fait un choix qui lui a semblé bon.

    Cela ne veut pas dire qu'il faut prendre plaisir à souffrir en tapant des lignes de commandes interminables mais cela veut dire que la moindre des choses est de comprendre et de savoir ce que font les commandes qu'on exécute.

    Si tu ne sais pas gérer tes dépendances, apprends à le faire (man ldd) mais ne te reposes pas toute ta vie sur une commande dont tu ignores le fonctionnement.

    Une fois que tu sauras chasser tes dépendances et si ce "sport" ne te plaît pas tu pourras utiliser apt-get en toutes connaissances de cause et en ayant conscience de ses limitations intrinsèques plutôt qu'en répétant que ces limites n'existent pas.

    Pour ma part j'ai écrit mon propre système de contrôle et de gestion des dépendances pour Slackware.
    C'est un bête script bash (!) qui vérifie l'ensemble des bibliothèques et exécutables installés sur le système et installe les paquets manquants si nécessaire (évidemment, comme tout gestionnaire de dépendances il a également ses limites).

    Bref, chasser des dépendances n'a rien de sorcier et donne une bien meilleure connaissance du système.

    Je suis toujours effaré de voir des admins, pro pour beaucoup, ne pas connaître ldd, LD_LIBRARY_PATH, ld.so.conf et toutes ces choses utiles.

    Force est de constater qu'ils ont joué exclusivement avec des distributions "pré-machées" et qu'ils se trouvent comme une poule devant un mégot au moindre problème que n'arrive pas à résoudre les outils fournis.

  • [^] # Re: Les séries

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 3.

    C'est une simple méthode de classification des paquets.

    Historiquement il s'agissait de séparer ces séries de paquets afin d'avoir une série par disquette.
    C'est resté.

    Aujourd'hui encore un avantage de ces séries est qu'il est possible d'installer toute la série de paquets en une seule commande.

    Ainsi pour installer/mettre à jour toutes les bibliothèques fournies par Slackware il suffit d'installer la série l (comme library)

    # upgradepkg --install-new /path/to/slackware64/l/*.t?z
  • [^] # Re: slackounet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à -1.

    Merci de lire: "tu ne t'es jamais retrouvé"

  • [^] # Re: slackounet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 2.

    Ne me fais pas croire que tu ne t'ai jamais retrouvé à installer une ribambelle de dépendances inutiles en installant un paquet avec apt.

    Ces dépendances non souhaitables sont liées aux choix faits par les mainteneurs/empaqueteurs afin de garantir le fonctionnement général dans les circonstances les plus variées. Mais ce sont des choix arbitraires qui parfois vont à l'encontre des souhaits de l'admin.

    Un vieil exemple parmi d'autres: Sur Wheezy, l'installation de nmap via apt-get provoque l'installation de x11-common (bug corrigé depuis mais cela reste un exemple parfaitement valide).

    Je n'ai pas d'exemple plus récent en tête (et n'en chercherais pas) mais tu sais probablement de quoi je parle ;-)

  • # 17 ans sans accroc

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 2.

    17 ans que je l'utilise exclusivement.

    Même après lui avoir fait quelques infidélités (LFS, Gentoo, Debian) j'y suis toujours revenu et aujourd'hui je suis et reste un indécrottable slacker.

    Slackware est, de mon point de vue, la seule distribution qui n'introduit pas de bug par elle même.

    Tous les bugs qui pourraient être inclus dans Slackware sont des bugs "genuine", liés à l'upstream et non pas à un patch maison foireux (coucou Debian) ou un outil censé faciliter la vie de l'utilisateur (coucou RedHat).

    Merci Patrick Volkerding et la Slackware team.

  • [^] # Re: systemd

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 3.

    Slackware n'intègre ni PAM ni SystemD.

  • [^] # Re: slackounet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 4. Dernière modification le 20 juillet 2018 à 13:53.

    De même, ma compagne de l'époque avait très bien appris à l'utiliser et avais même pris l'habitude de faire les
    mises à jour avec slapt-get.

    Slapt-get n'est pas intégré à ni supporté par Slackware et quiconque utilise cet outil se voit généralement fermer les portes lors d'un appel à l'aide.

    Il y a de véritables raisons pour lesquelles Slackware ne gère volontairement pas les dépendances entre paquets.

    Pour simplifier, il n'est pas possible de gérer de manière automatisée et fiable la gestion des dépendances.
    Cela nécessite à un endroit ou un autre une intervention manuelle.

    Raison pour laquelle Slackware laisse à l'administrateur du système la responsabilité de ces interventions manuelles plutôt qu'à une paire de mainteneurs/empaqueteurs qui n'ont pas forcément le même point de vue sur les différentes options et qui peuvent parfois faire des choix hasardeux.

    Ne me parlez pas de Debian qui est précisément une illustration parfaite d'une gestion illusoirement automatisée (et parfois totalement absconse) des dépendances.

  • [^] # Re: la plus ancienne distribution Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slackware a un quart de siècle !. Évalué à 1. Dernière modification le 20 juillet 2018 à 13:42.

    la plus ancienne distribution Linux encore en vie.

    Slackware est la plus ancienne distribution encore en vie mais SLS (Soft Landing Linux), de laquelle Patrick Volkerding a dérivé Slackware, est belle et bien défunte.

  • [^] # Re: rm -rf /

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Oui j’avoue, ma plus grosse boulette c’est d’avoir :. Évalué à 4.

    set -u

    Vérifiera si la variable est déclarée mais ne vérifiera pas si la valeur de la variable est non nulle.

    #!/bin/bash
    set -u
    tata=
    echo ${tata}

    Sur ce genre de cas, il est préférable de tester au moins la taille de la valeur de la variable et idéalement tester sa valeur lorsque celle-ci peut être déterminée à l'avance.

    #!/bin/bash
    set -u
    tata=                                                                                                                                                                                          
    [ ${#tata} -gt 0 ] &&  echo "${tata}" || echo "erreur"

    Bon, j'ai l'air de me la péter mais j'ai déjà "rm -Rf" des répertoires importants par erreur.
    En fait j'ai déjà fais toutes les erreurs proposées sauf renverser mon café, briquer un routeur et éteindre la clim de la salle serveurs mais c'est très probablement dû au fait que je n'ai pas accès à cette clim ni jamais eu à flasher un routeur !