Le propriétaire des marques Unix, la société X/open, emploie les grands moyens pour récupérer les noms de domaines unix.com, unix.net et unix.org. Première victoire le 24 juin avec la décision de transfert obtenue grâce à lOMPI.
Le « cybersquatteur », puisquil faut bien lappeler comme ça, comptait monter un site de nouvelles sur le monde Unix, OS et logiciels. Mauvaise idée de penser que le terme Unix était générique et dutilisation libre !
A suivre les décisions sur unix.com notamment, puisquil existe à cette adresse un site dinfos sur le monde unix et linux.
Du bon usage des armes de la propriété intellectuelle !
Un peu troublant
Étendre l'arbitrage des noms de domaine
Selon l'AFP (repris par Yahoo), l'OMPI, qui est une agence de l'ONU propose d'étendre la protection autour des noms de domaines au-delà des marques, comme les noms de pays, de lieux géographiques et de noms de famille.
Par la même, trois solutions sont proposés:
- L'autorégulation (vous y croyez ?)
- Gestion étendue par l'ICANN
- Un traité international (ce qui impose un débat à l'ONU, donc une longue gestation).
Déposez-vite vos noms de famille!
Par la même, trois solutions sont proposés:
- L'autorégulation (vous y croyez ?)
- Gestion étendue par l'ICANN
- Un traité international (ce qui impose un débat à l'ONU, donc une longue gestation).
Déposez-vite vos noms de famille!
L'OMPI veut un code de bonne conduite pour les ccTLD
Afin d'éviter les dérives apparues sur la gestion des .com, .org et .net, l'OMPI a réuni mardi 500 personnes représentant les gouvernements, des juristes et des administrateurs.
On voit déjà des petits pays déléguer la gestion de leur ccTLD (country code Top Level Domain) à des entreprises privées, par exemple
L'OMPI propose donc un ensemble de "guidelines", un code de bonne conduite qui sera en discussion sur l'Internet jusqu'en avril.
On voit déjà des petits pays déléguer la gestion de leur ccTLD (country code Top Level Domain) à des entreprises privées, par exemple
.tv
des Iles Tuvalu et .la
du Laos. Ces TLD ont une visibilité mondiale (ah bon ?) et certains commencent à squatter des domaines où ils ne devraient pas être.
L'OMPI propose donc un ensemble de "guidelines", un code de bonne conduite qui sera en discussion sur l'Internet jusqu'en avril.