Aïe

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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10
sept.
2000
Cinema
Un peu marre des grandes super-production Américaines?
Allez voir "Aïe"! (de Sophie Fillières)

C'est l'histoire d'un célibataire endurcit qui rencontre une jeune fille totalement décalée. Il ne faut pas en savoir plus avant d'aller le voir.

Toute la salle était morte de rire...

Apparences

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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14
sept.
2000
Cinema
J'ai vu le dernier film de Zemeckis, "Apparences" avec Harrisson Ford et Michelle Pfeifer. Les critiques sont relativement mauvaises. ET BAH TANT PIS POUR EUX!

Ca faisait bien longtemps que j'avais pas vu une salle de ciné se transformer en sursautodrome et réagir autant à un film. C'est 2h de Thriller Paranormal traité "à la Hitchcock" et filmé à la Zemeckis (avec moult mouvements de camera truqués monstrueusement efficaces comme dans "Contact").

Les acteurs sont vraiment excellents, la progression de l'histoire se fait à la bonne vitesse, on flippe quasiment dès les premières images, la musique est une terrible arme à sursauter (on en rigole betement après en s'excusant "j'en etais sur!" mais on a beau en être sûr, le taux d'adrenaline monte).
Bref rien d'excessivement original dans le film lui même, c'est juste que c'est terriblement bien fichu et que ca marche.

les aventures de Tigrou

Posté par  . Modéré par trollhunter.
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5
nov.
2000
Cinema
Ce matin, je suis retombé en enfance (l'ai-je vraiment quitée? :) Winnie l'ourson est de retour au cinéma! Avec ses joyeux amis il va essayer de mettre du baume au coeur de Tigrou qui cherche sa famille.

C'est vraiment un beau dessin animé. Des décors parfois magnifiques, contrastant avec les personnages plus simples. Les chansons ne sont pas trop nombreuses et bien rythmées, de style plutot jazzy. On retrouve le narrateur et l'histoire est facile à suivre pour les tous petits.

Allez, tous à la séance de 11h!

Hollow Man

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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21
sept.
2000
Cinema
L'homme invisible... on peut penser que le thème est archi-connu, mais le film n'est pas du tout du réchauffé, loin de là.
Tout d'abord, les effets spéciaux sont époustouflants, mais contrairement à certaines daubes (Jurassic Park...?) le film ne repose pas dessus.
Il y a un vrai scénario, pour la 1ère fois, l'homme invisible n'est pas un naïf gentil.
Il s'agirait plutôt d'un mégalomane omnibulé par ses recherches, se prenant pour Dieu... un homme "réél" avec ses bons et -surtout- ses mauvais côtés, sa soif de pouvoir et ses désirs de vengeance.
En bref, un film qui donne à reflechir sur la nature humaine, car comme il le dit à un moment : «c'est dingue ce qu'on peut faire quand on n'a plus à se regarder dans une glace»

Saving Grace

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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23
nov.
2000
Cinema
Film Anglais - Humour

C'est l'histoire de Grace (jardinière à ses temps perdus) qui s'aperçoit à la mort de son mari qu'elle est ruinée. Que faire ? Son ancien jardinier, fumeur de substances illicites, lui demande 1 jour de l'aider à sauver une plante ou 2. De fil en aiguille, elle commence la culture pour se refaire financièrement. S'en suit toute une série de situation plus drôle les unes que les autres.

Les paysages des cornouailles sont magnifiques, l'humour bien qu'anglais vaut le détour. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé une seconde, je le recommande à tous ceux qui veulent voir un film drôle, sans prise la tête.

A voir absolument en VO sous titré...

La chambre obscure

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5
déc.
2000
Cinema
Ce film d'art et essai franco-luxembourgeois est très agréable par la qualité des costumes et la sobriété des décors et de la bande son.

C'est une comédie dramatique, placée au XIVe siècle inspirée d'une histoire d'un auteur Italien médiéval.

L'ensemble devrait plaire à tous les amateurs de films bien joués, basés sur les interactions entre personnages mais en aucun cas aux amateurs d'actions. Ces derniers iront chercher leur bonheur ailleurs.

La réalisatrice étant une femme, le scénario et son dénouement interpelleront avant tout la gente féminine mais n'est pas pour autant abscon aux autres.

Pour conclure, à consommer avec modération mais délectation.

Billy Elliot

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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13
déc.
2000
Cinema
Romain (rbuthigieg@free.fr) a posté l'avis suivant sur fr.rec.cinema.discussion. Je me permets avec son accord de le publier ici.

"Tu vois, Tuco, en 2000, le cinéma britannique se divise en deux catégories : les films pour djeunz avec XTC, LSD, Techno dont Trainspotting reste probablement l'initiateur (du moins dans sa forme actuelle), et les films "sociaux" - souviens-toi Stephen Frears dans les années 80." - Clint Eastwoord dans "Le bon, la brute, et le cinéma britannique".

Dans les films "sociaux", les plus gros succès anglais (en terme d'exportation) sont dû à un sous-genre : la bleuette social comme "Brassed Off". Règlement de compte à OK Coral, ces films dénoncent dans l'aboslu le "régime tatcherien" des années 80, à l'origine de la chute économique du pays (notamment la fermeture des mines de charbons). Dire que Tatcher a traumatisé les Royaumes-Unis serait en-dessous de la réalité.

"Billy Elliot" n'ai pas un ovni dans le cinéma britannique : il appartient définitivement à cette catégorie (même si son argument principal tient plus du conte de fée que du message social).

Cliquez sur les commentaires pour lire la suite.

Traffic

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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14
mar.
2001
Cinema
Le film de Steven Soderbergh envisage de montrer tous les aspects de la drogue. Il met en scène la chaine de consomation du traffiquant au consommateur. Plusieurs histoires se recoupent et c'est vraiment bien fait.
Je le conseille.

La site officiel affiche une présentation en flash pleine écran assez
sympathique.

Cinéma : Donjons et Dragons

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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29
déc.
2000
Cinema
Dans l'Empire, le conseil des mages, emmené par l'ignoble Profion, veut renverser l'Impératrice, un peu trop progressiste à leur goût.

Mais deux voleurs et un nain, bientôt rejoints par une mage renégade et une elfe noire, vont changer la destinée...

Beaucoup d'effets spéciaux, mais un scénario un peu banal (tout droit tiré des suppléments noir et blanc de Casus-Belli, vous savez ceux qui présentent toujours la même aventure...)

Le combat entre l'épée en Mithril, et la Vorpale +12 du méchant ressemble furieusement à un duel au sabre laser (décharges statiques et éclairs colorés)de Star Wars, et le méchant est bête. Mais vraiment bête.

J'imagine même pas qu'on puisse engager un méchant aussi bête. M'enfin, c'est çà le drame des Chaotic Evil : le recrutement.

Le héros est un peu trop mis en avant. A vrai dire, l'aspect "équipe" d'une bonne partie de D&D est complètement occulté. Ce film utilise le background de D&D, mais pour une mise en scène et un scénario purement Hollywoodien, avec tous les poncifs du genre Heroic Fantasy. On est quand même loin de la qualité de Legend ou d'autres films majeurs.

Mais bon, rien que voir 3 dragons s'attraper en plein vol, et plonger vers le sol dans un combat à mort, cà le fait ...
Et puis, voir un Beholder en action, même 2 secondes, ce n'est pas si courant non plus...

A conseiller donc, si vous avez un petit frère à sortir, une carte cinéma illimité, ou si vous avez passé votre jeunesse à taper sur du Gobelin et maudire les Gros Bills.

3 crânes d'Orc sur 5, à mon avis.

Le rat

Posté par  . Modéré par Fabien Seisen.
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14
juin
2001
Cinema
Un drame en N&B, une ambiance qui derange...


L'histoire: Un vieil homme qui n'arrive pas à se remettre de la mort de sa mère quand il était enfant attire des jeunes femmes et les tue pour ne garder qu'un élément de leur personne. Dans sa chambre, un rat l'observe.


Le film est sans paroles, mais l'intrigue est facile à suivre. On peut noter l'importance de la bande son: un fond sonore correspond a chaque personnage.


Réalisateurs: Christophe Ali et Nicolas Bonilauri.




Allez voir le site, il correspond bien au film.

Un simple aller

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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5
juin
2001
Cinema
<euphémisme> Le film "Un aller simple" n'est pas formidable. </euphémisme>

Rapidement, le sujet: il s'agit d'une mission diplomatique humanitaire pour rapatrier un clandestin dans son pays d'origine afin de le _réinsérer_ dans la vie active de son pays.

J'aurais bien voulu vous rediriger sur le site du film (pour que vous ayez une opinion à peu près "objective"), mais même sur le site de BAC Film, y a pas (à ce jour) la fiche signalétique. Mais en gros, il s'agit de l'adaptation du roman du même titre (de Didier Van Cauwelaert), pour laquelle l'auteur a participé au scénario et aux dialogues. Les acteurs: Jacques Villeret, Lorant 'Yop' Deutsch, Barbara Schulz.

Eh bien, c'est sans rebondissement. Un sujet tip-top intéressant qui aurait amené un bon débat (comment reconduire socialement un clandestin à la frontière)... mais hélas, pas approfondi, si bien qu'on tourne au documentaire touristique. Et des dialogues qui sont d'un plat, mais d'un plat! (pour ceux qui iraient quand même, ne stressez pas trop quand y a des lourdeurs, c'est normal, on n'en sort pas). Le scénario est très... comment dire... plat, et sans surprise. Tout y est un peu plat d'ailleurs :-) Y a que les reliefs du Maroc, le couscous et les couleurs des mosaïques qui font rêver.

Shrek

Posté par  . Modéré par oliv.
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17
juil.
2001
Cinema
Pour ceux qui l'ignorent, Shrek est un film d'animation : ce n'est pas un dessin animé, mais un film complètement en images de synthèse, produit par les studios DreamWorks (Small Soldiers, FourmiZ, Le prince d'Egypte, Gladiator...)

L'histoire est digne des meilleurs classiques : une princesse est retenue dans un château gardé par un dragon, un prince veut l'épouser pour devenir roi, et envoit un ogre faire le sale travail...

Un classique genre Disney ? Pas du tout. Shrek est le type de l'anti-héro : il est sale, rote et effraie tout le monde. Le monde de la féérie médiévale est tourné en dérision (mais pas en ridicule), et le résultat est assez jubilatoire : un âne parlant avec la voix surexitée d'Eddy Murphy, une belle princesse qui réagit comme Lara Croft sur le coup de la colère, des références permanentes (et tournées en ridicule cette fois) aux "grands classiques" Disney, le tout agrémenté d'une musique plus rock'n'roll que moyen-âgeuse. En fait, c'est complètement délirant.

Naturellement, il y a une morale : ne vous fiez pas aux apparences. Le gros sale n'est pas forcément mauvais, la jolie princesse romantique n'est pas forcément nunuche, ni celle que l'on croit...

Bref, un très bon moment pour les "grands", et les "petits" devraient également y trouver leur compte - même sans remarquer toutes les références, c'est quand même aussi destiné aux enfants. Dernier mot pour la petite histoire, DreamWorks utilise massivement Linux pour ses gigantesques calculs...

Les Diables - Christophe Ruggia

Posté par  . Modéré par orebokech.
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5
sept.
2002
Cinema
Enfin un film français qui remue, qui interpelle, qui transporte. Les diables, le second long métrage de Christophe Ruggia est un enchantement. L'histoire de deux enfants qui s'aiment, qui veulent rester ensemble et qui partent à la recherche de "leur" maison.

chloé, la petite fille est autiste, Joseph, son frère la protège contre la violence du monde et celle des adultes.



Prises de vues superbes,maitrise technique incontestable, émouvant sans tomber dans le mélo, Les Diables sort le 11 septembre et franchement, c'est un film magnifique.

The Matrix: parodie

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Fabien Penso.
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10
juil.
2000
Cinema

Voilà une parodie à mourir de rire de "The Matrix". 45 minutes de
bonheur (hum ca me dit quelque chose…).
Merci slashdot!
Note: La version realvidéo fonctionne sous Linux.

NdM. : cette dépêche a été initialement publiée le 10/07/2000 à 13h48, perdue lors d'une migration du site, retrouvée et remise en ligne le 1er mai 2012 (les éventuels commentaires initiaux ont été perdus).

Sexy Beast

Posté par  . Modéré par Manuel Menal.
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30
août
2002
Cinema
Hésitant entre comédie et polar noir, Sexy Beast devrait ravir ceux qui ont aimé Snatch ou Face, deux de ses compatriotes britanniques.
Retraité -- ou plutôt retiré du "métier" -- en Espagne, Gal, un ancien gangster, goûte à une existence paisible entre sa femme, ex-star de porno, un couple d'amis, sa piscine et quelques indigènes. Hélas, son passé le rattrape quand Don Logan, un ancien "collègue", vient lui annoncer qui le veut pour un gros coup...
Don Logan est un personnage terrifiant, dont le seul nom suffit à glacer de terreur les quatre expatriés. Gal replongera-t-il ?

À noter l'impressionnante interprétation de Ben Kingsley en Don Logan -- très loin du personnage de Gandhi qui l'avait fait connaître il y a 20 ans. Un méchant réussi, dans le genre Brick Top (Snatch) ou Harry la hache (Arnaques, crimes et botanique).

À voir en VO absolument.

L'homme du train - Patrice Leconte

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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17
sept.
2002
Cinema
On a connu Leconte moins en forme... Après les navets consécutifs de ces deux dernières années : Rue des plaisirs (déplaisir ?), Félix et Lola.. il revient avec une petite comédie dramatique, qui sans être le chef d'oeuvre du siècle, rassure un peu sur son talent.
L'homme du train, c'est l'histoire de deux hommes que tout oppose : Milan (Johnny hallyday) est un baroudeur, Manesquier (Jean Rochefort), un obscur prof de province à la retraite. Une rencontre dans une ville presque morte va changer leur vie. Et c'est de ça justement dont ils ont envie : échanger leur vie. Si l'histoire n'a qu'un intérêt minime, Leconte s'éclate dans ses prises de vues.
Il sait mieux que personne saisir un regard, une expression. Le duo formé par Johnny et Rochefort pourrait laisser perplexe, cependant, Leconte parvient à les diriger avec habilité dans ce face à face initiatique.
Beauté des images, maitrise des cadrages, finalement, on va voir ce film plutôt pour la forme que pour le scénario...
Sortie le 2 octobre

Embrassez qui voudrez - Michel Blanc

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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9
oct.
2002
Cinema
Ca sonne comme une petite comptine enfantine, c'est doux et léger comme un feuilleté : embrassez qui vous voudrez, le 4e film de Michel Blanc derrière la caméra ne révolutionnera pas le 7e art, mais ce n'est pas ce qu'on lui demande. Non, ce film on le regarde pour le casting impressionnant, pour l'humour grinçant piqué à l'anglais Joseph Connolly, pour les répliques bien placées, pour la vie, les personnages dans lesquels on se reconnait. Bref, Embrassez qui vous voudrez, c'est un pur moment de détente !
Les histoires d'Elisabeth, la snob, de Bertrand son alcoolique de mari se croisent avec celle de Véro et Jérôme, couple fauché et celle de Julie, jeune mère célibataire qui cherche le grand amour, et qui croit le trouver dans les bras de Maxime.
Pendant leurs vacances au Touquet, ces personnages vont se révéler. Elisabeth se révélera moins superficielle qu'il n'y parait et se prendra d'amitié pour Lulu, une Carole Bouquet exédée par un mari maladivement jaloux (Michel Blanc). Tandis que Emilie, la fille délurée d'Elisabeth et Bertrand fait la vie à Chicaco et en fait voir de toutes les couleurs au pauvre Kevin.

Bref, un vrai vaudeville : les personnages entrent, sortent. Il y a de la vie, du rythme, de l'humanité dans ce film dont on sort le sourire aux lèvres...

War photographer

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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16
oct.
2002
Cinema
Ce petit documentaire Suisse (nominé aux oscars, quand même) est un furieux rappel au réel et un regard intéressant sur le rôle des médias. Christian Frei a suivi pendant plusieurs années (le film s'étend de 1998-99 à 2002) un photographe de guerre de par le monde.... (suite de la critique dans l'article)

Cinéma: publicité de plus en plus longues

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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17
avr.
2000
Cinema

En allant au cinéma pour voir "Double Jeu" (très bien d'ailleurs) j'ai
remarqué que le temps de pubs obligatoire avant le film avait encore
rallongé ! En effet on a du prendre près de 25min de publicité. Effarant
quand on voit qu'on paye 50FF l'entrée (UGC Les Halles). Bref dans 10 ans
la publicité sera partout, certainement dans des coupures publicitaires au
milieu du film, en sortant dans votre téléphone, etc, etc. L'horreur !
Je me demande "A quand une pétition ?", que je puisse signer.

NdM. : cette dépêche a été initialement publiée le 17/04/2000 à 12h47, perdue lors d'une migration du site, retrouvée et remise en ligne le 1er mai 2012 (les éventuels commentaires initiaux ont été perdus).