tag:linuxfr.org,2005:/tags/navigo/publicLinuxFr.org : les contenus étiquetés avec « navigo »2015-04-02T22:47:39+02:00/favicon.pngtag:linuxfr.org,2005:Diary/357462015-03-31T23:36:21+02:002015-03-31T23:36:21+02:00Pass Navigo et Linux ... Grmbl ...Licence CC By‑SA http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr<p>Cher journal,</p>
<p>Ça fait longtemps que je n'ai pas pris ma plume sur linuxfr … (oui je suis un vieux). Mais là je fulmine, je cherche dans tout les sens un moyen de dire au Stif tout le bien que je pense de son action pour limiter les utilisateurs linuxien (comme moi) à utiliser son très joli site <a href="https://rechargercommandernavigo.fr">https://rechargercommandernavigo.fr</a> la veille au soir pour le lendemain.</p>
<p>Voila c'est pas le 1er avril (mais presque) mais pour celles et ceux qui veulent recharger leur passe de chez eux, il faut tricher pour dire au site que son ordinateur est sous Mac OS X 10.9 et que sa version de Firefox est bien supérieure à la version 35.0 … Oui c'est nouveau, avec de belles animations maintenant. Avant le simple fait de se déclarer Mac OS X suffisait, mais maintenant … Il faut aller plus loin pour contourner les regex que les devs de Netapsys Conseil s'évertuent à ajouter pour des effets kikoo lol. Ok pourquoi pas, mais laissez-nous un moyen <strong>simple</strong> d'acheter (de payer quoi) notre carte orange mensuelle ou à la semaine … sans devoir se prendre la tête à 23h parce que le site vient de sortir.</p>
<p>Bon pour ceux qui en auraient besoin, sous une vieille Debian et un vieux Firefox (31.5.3) je suis obligé pour contourner un bug de FFx (ben oui sinon ça serait trop simple !) de remplir le <strong>general.useragent.override</strong> avec <strong>Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:35.0) Gecko/20100101 Firefox/35.0 Iceweasel/35.2.0 Mac OS X 10.9</strong> (ça c'est pour les trolls du 1er Avril).</p>
<p>Si quelqu'un sait comment demander au Stif de ne pas empêcher «bêtement» les gens de faire fonctionner leur site sur des vieux navigateurs sous de vieux OS qui marchent très bien, je suis preneur !</p>
<p>Caeies, vieux fou.</p>
<p>PS: Oui j'aimerais pour une fois avoir une réponse du Stif à ce propos !</p><div><a href="https://linuxfr.org/users/caeies/journaux/pass-navigo-et-linux-grmbl.epub">Télécharger ce contenu au format EPUB</a></div> <p>
<strong>Commentaires :</strong>
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</p>
Caeieshttps://linuxfr.org/nodes/105284/comments.atomtag:linuxfr.org,2005:Diary/340372013-06-23T19:47:05+02:002013-06-23T19:47:05+02:00La carte Navigo - quand Big Brother part à la rencontre de KafkaLicence CC By‑SA http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr<h2 id="sommaire">Sommaire</h2>
<ul><li>
<a href="#toc_0">Ma mésaventure avec Navigo</a>
</li>
<li>
<a href="#toc_1">Une bande dessinée d’antipication avait prévu ce monde merveilleux où on se repose sur la technique jusqu’à ce qu’elle nous joue des tours</a>
</li>
<li>
<a href="#toc_2">« N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s'explique très bien par l’incompétence »</a>
</li>
</ul><p>Cher journal, j’avais décidé de faire une pause pour analyser tranquillement quelquechose qui m’avait marqué dans les réactions à mes deux précédents journaux, mais une petite mésaventure qui vient de m’arriver me pousse à reprendre la plume et profiter de l’espace de liberté que tu m’accordes pour pousser un petit coup de geule.</p>
<h2 id="toc_0">Ma mésaventure avec Navigo</h2>
<p>Pour mes lecteurs qui auraient l’idée saugrenue de ne pas habiter près de Paris, Navigo c’est, comme le précise le site officiel « depuis 2001 la solution mobilité des voyageurs en Ile-de-France ». A son lancement je me rappelle de <a href="http://linuxfr.org/news/le-m%C3%A9tro-sans-contact-navigo">certaines discussions sur ce site</a> imaginant - mais sans doute étions nous paranoïaques - certaines pratiques que l’on pouvait faire avec un tel système. Le temps a passé, il n’y a pas eu de scandale dont je me souvienne qui vienne confirmer nos soupçons d’alors, en plus nous mêmes utilisions dans nos sites google analytics pour grosso modo les mêmes raisons légitimes que la RATP et la SNCF avançaient (connaître les usages réels des réseaux de transports pour pouvoir ajuster l’offre au mieux), et surtout Navigo s’est avéré effectivement bien pratique au quotidien.</p>
<p>Et là il y a quelques jours je perds mon pass navigo sur lequel j’avais appris à me reposer pendant toutes ces années. Comme il me reste un peu de liquide sur moi, je vais au guichet pour acheter ces pénibles carnets de timbre ; pour les parisiens qui se content de tickets T+, ça va encore, mais les banlieusards doivent jongler avec plusieurs carnets de transport, ça plus le fait que ça se salit, se perd ou se démagnétise facilement, c’est la glaère. Au moment où j’allais payer, la femme au guichet me rappelle gentiment qu’on peut remplacer et recevoir sur le champ son pass navigo perdu à la caisse « informations » juste à côté. Submergé de bonheur et de reconnaissance, je change donc de caisse pour récupérer une nouvelle version de ce précieux pass. Hélas la caissière là bas m’avise du fait que j’aurais besoin d’un papier d’identité (chic j’ai encore mon passeport) mais aussi de 8€ qui ne peuvent être payés <em>que</em> par carte bancaire. Là je suis d’abord un peu confus d’avouer que je l’ai perdu en même temps que mon pass navigo, puis interloqué car nous sommes quand même un certain nomre en île de France et je ne crois pas être le premier à avoir perdu tout mon portefeuille d’un coup, n’ont-ils pas pu prévoir le coup depuis 12 ans ?</p>
<p>Je rentre donc à pied là où je devais aller ; sur le chemin je croise une station de métro plus grosse que les autres, et où je me rappelle qu’il y avait également une « agence navigo ». À tout hasard je tente le coup. Coup de chance, cette fois il y a un automate plus moderne qui me sauve la mise : il n’y a qu’à, me montre-t’on, choisir une option bien cachée dans un sous-menu répondant au doux nom de « navigo PE-VO » (perte-vol me précise-t’on), on peut payer en liquide et obtenir une contre-marque indiquant que j’ai bien payé les 8€. Je reviens vers la caisse soulagé, et là le coup de grâce : la caissière me dit qu’elle ne trouve pas mon nom dans sa base de données. Gautami ? désolé, je ne trouve pas. Ah, peut-être ont-ils fait une faute ? Non, gotami n’y est pas non plus. Elle cherche avec mon adresse, rien non plus. « Le mieux, me dit-il, c’est que vous me donniez votre numéro de pass navigo ». Je reprends espoir, sors mon smartphone et interroge mon gmail pour trouver ledit numéro. Je retrouve mon numéro vélib (qui est aussi stocké sur le pass navigo) mais lorsque nous essayons, nous voyons que ça n’a rien à voir. Je retrouve ensuite bien des emails que m’a envoyé le site navigo, mais l’email ne contient que mon adresse email, jamais mon numéro de pass navigo. Je vais sur le site du pass navigo et clique sur « j’ai perdu mon mot de passe ». Mais là, outre une lenteur terrifiante (ont-ils testé avec autre chose qu’un pc de gamer relié par internet avec la fibre optique ?), j’ai le même message horripilant que mon adresse email ne figure pas dans leurs bases.</p>
<h2 id="toc_1">Une bande dessinée d’antipication avait prévu ce monde merveilleux où on se repose sur la technique jusqu’à ce qu’elle nous joue des tours</h2>
<p>Pour titre mon journal, j’ai opté pour Big Brother, plus connu, mais cette situation m’a fait davantage pensé à une bande dessinée qui m’avait insufflé pendant ma jeunesse une saine méfiance pour la technologie, ce <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Janus (mythologie)" title="Définition Wikipédia">Janus (mythologie)</a> à deux têtes qui peut être utilisée pour le meilleur et pour le pire. Hélas, je n’ai plus les références en tête. Voici le scénario en gros tel qu’il est resté dans ma mémoire, si un bédéphile se rappelle de l’auteur ou du titre, je lui en serais très reconnaissant :</p>
<p>L’histoire racontée est celle d’un inventeur génial, qu’on appelera X faute de mieux, d’une carte magnétique qui fait tout : carte de transport, moyen de paiement, papiers d’identité, … X mène une vie enviable dont l’apogée sera une interview au centre du pouvoir, c’est à dire la télévision, où il expose les nombreux mérites de son innovation. A la fin de l’interview, le journaliste se hasarde à l’interroger sur les critiques que quelques mauvais esprits formulent à l’encontre de la carte qui fait tout, mais celui-ci, avec l’assurance d’un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Jérôme Cahuzac" title="Définition Wikipédia">Jérôme Cahuzac</a> il y a quelques mois, les balaie d’un revers de la main sur le mode « oui, les terroristes et les pédo-nazis ont du souci à se faire, mais les gens qui n’ont rien à se reprocher n’ont également rien à craindre ». Fin de l’interview. Case suivante, une espèce de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Edward Snowden" title="Définition Wikipédia">Edward Snowden</a> avant l’heure qui le regardait dans l’étrange lucarne, s’interroge à voix haute : « Vous avez l’air bien sûr de vous, M. X ; et si nous changions les règles du jeu ? ». On entendra plus parler de cet homme étrange dans la BD, mais la vie de M. X change alors du tout au tout.</p>
<p>Première contrariété pour M. X : au moment de payer le taxi, sa carte est refusée. Devant le mauvais regard du chauffeur de taxi, M. X lui demande de s’arrêter au distributeur pour qu’il y distribue de l’argent. Nouvel échec. Pas de panique, en tant qu’inventeur de la carte-qui-fait-tout, il sait très bien que bien que le système soit infaillible et <a href="http://linuxfr.org/users/palm123/journaux/primaire-ump-a-paris-le-vote-electronique-est-ultra-securise">« ultra-sécurisé » comme les primaires à l’UMP</a> de nos jours, il est possible d’aller dans une boutique pour se le faire remplacer. Arrivé là, il lui arrive la même mésaventure que moi : il ne figure tout simplement plus dans la base. Aucune trace. Rien. C’est comme s’il n’avait jamais existé. Maugréant il rentre à pied chez lui, et là les choses se complique car la carte-qui-fait-tout servait également de clés pour rentrer chez lui. Il doit alors dormir dehors. Le lendemain, comme il a faim, il chaparde quelques pommes, mais le marchand le voie, crie au voleur. La police est dans le coin, qui s’apprête à l’interpeller, mais là M. X se rend compte qu’il n’a pas non plus de papiers d’identité ! Alors dans un effort désespéré il tâche d’échapper à la police, et y parvient grâce à des hommes providentiels. Il découvrira alors avec stupeur qu’il existe grâce notamment à son invention, toute une communauté d’exclus qui forme une société parallèle à côté de celle à laquelle il appartenait il y a encore 24h.</p>
<h2 id="toc_2">« N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s'explique très bien par l’incompétence »</h2>
<p>Fin de la fiction. Ma petite histoire n’est heureusement pas allée jusque là, j’utilise encore des clés à la mode ancienne pour rentrer chez moi (en revanche chez les grandes entreprises, la carte magnétique est devenue la norme) ; surtout cette maxime de Napoléon, qui m’a déjà été de nombreuse fois fort utile, suffit à me convaincre qu’il n’y a personne qui a appuyé sur un bouton pour que gautami soit effacé de la base de données de Navigo. Alors que s’est-il passé ? Connaissant un peu la manière dont les choses fonctionnent parfois dans ce milieu, j’ai concocté pour vous un scénario hélas beaucoup plus crédible en mettant bout à bout des morceaux d’histoires authentiques :</p>
<p>Tout a commencé peu avant juillet 2006 lorsque les responsables du grand projet Navigo se sont rendus compte que Windows Millenium, sur la base duquel ils avaient bâti leur solution technique, arrivait en fin de suppot chez Microsoft. Après des réunions entre personnes savantes, la conclusion s’impose qu’il faut faire une migration vers le système nec plus ultra que constitue Windows Vista. Du fait de la politique d’externalisation suivie avec constance depuis quelques années suite à un dossier pointu dans 01 Informatique, on s’avise alors qu’il n’y a pas les ressources en interne. Qu’à cela ne tienne on va faire appel à une SSII et vue l’importance de la tâche, on choisit une des plus grandes. Contact est pris avec un commercial de ladite SSII, chargé de trouver un expert SQL de haut niveau (le système fonctionnant grâce à Microsoft Access).</p>
<p>Il se trouve que ledit commercial, il faut que je l’explique avant que vous ne le jugiez sévèrement, avait accepté à une époque où tout allait bien pour la SSII d’avoir une part variable toujours plus importante dans sa rémunération. Le boom immobilier lui semblant devoir continuer éternellement, il s’était alors endetté à la mesure de ses revenus alors fort confortables. La situation s’étant depuis retournée, il s’est retrouvé dépendant de sa part variable, non pas pour vivre comme un nabab, mais simplement pour payer ses traites. La norme de son boulot est devenu, même si parfois cela le dégoûte, « pressuriser plus pour ne pas sombrer lui-même ».</p>
<p>Il commence par chercher dans la base de données de sa Business Unit un expert SQL de haut niveau. Hélas il y en a peu et aucun n’est disponible. Le Business Manager sue à grosses gouttes, il a besoin de décrocher ce contrat. Heureusement la grande SSII possède des filiales dans toutes les branches de l’industrie, banque, … Il élargit sa recherche aux CVs de toutes les branches, et il tombe par chance sur un consultant chef de projet marketing avec un léger profile technique, et qui surtout indique dans ses réalisations personelles avoir fait un catalogue sous Microsoft Access de ses Compact Discs, livres, et autres pour chez lui. Il appelle alors ledit consultant, lui explique que son CV a l’air très prometteur et qu’il fera l’affaire pour une mission qu’il explique en deux trois phrases intentionellement vagues, arguant du fait que le client ne lui a pas donné beaucoup de détails.</p>
<p>Notre consultant lui s’ennuie depuis un moment en intercontrat. Flatté qu’on s’intéresse à lui pour une fois, il répond en attendant d’en savoir plus « pourquoi pas ? », faisant confiance au bon sens du client au cas où son profile ne matcherait pas avec le besoin. A partir de là, tout va très vite, il envoie son CV dans la foulée au commercial qu’il ne connait ni d’Eve ni d’Adam. Celui ci met davantage en valeur sa réalisation personelle autour d’Access, rajoute Access en gras dans la liste de ses compétences principales, remplace le titre du CV par « Expert SQL », envoie le CV au client. Rdv est rapidement pris pour dans deux jours (le client est pressé, comme souvent).</p>
<p>Lors de l’entretien, le chef de projet technique n’étant pas disponible, on fait appel à quelqu’un d’autre dont l’informatique n’est pas le coeur de compétence. Celui-ci aime la personnalité du jeune consultant, se réjouit de pouvoir travailler avec lui, fait confiance au CV et aux paroles habiles du commercial, et annonce tout de go que l’affaire est conclue, et que le contrat démarrera lundi (on est vendredi déjà). Le consultant interloqué interroge son Business Manager du regard, mais celui-ci lui intime d’un regard perçant l’ordre de se taire. Sur le chemin du retour, le consultant essaye de plaider sa cause, disant qu’il ne se sentait pas capable de mener à bien la mission, mais le commercial qui n’a pas fait une école de commerce pour rien possède une rhétorique à toute épreuve. </p>
<p>Rentré à la SSII, le consultant accuse le coup. Il essaye de replaider sa cause par email auprès du commercial en détaillant pourquoi il ne pense pas que la mission puisse bien se passer. Pour toute réponse il reçoit un message automatique l’informant que le commercial était parti en vacances et qu’il ne manquerait pas de traiter son email à son retour (voilà pourquoi aussi il était si pressé). D’une nature plutôt docile, le consultant tente pour une fois en désespoir de cause de plaider sa cause plus haut et « forwarde l’email » (oui on dit comme ça dans ces milieux là) à plus haut dans la hiérarchie. La sanction tombe rapidement :</p>
<p>« Cher consultant, nous avons bien noté vos craintes concernant le projet Pass Navigo. Cependant, celui-ci étant d’une importance stratégique pour notre entreprise en ces temps de crise, nous vous confirmons que nous attendons de vous que vous vous présentiez lundi chez le client pour réaliser au mieux le projet dont il est question. »</p>
<p>« Nous avons toute confiance dans vos qualités et vos compétences et sommes convaincus qu'après une période d'adaptation, inhérente au métier de consultant, vous saurez répondre aux attentes de notre client. </p>
<p>« Nous restons à votre disposition pour faire un point régulier sur l'avancement du projet. »</p>
<p>Et voilà pourquoi ce pauvre consultant, arrivé contre son gré dans cette galère et armé de son seul « Acess pour les nulls » a raté une étape lors de la migration de la base de données Access de windows millenium vers windows vista, effaçant une partie du fichier client dont ma petite personne.</p><div><a href="https://linuxfr.org/users/gautami/journaux/la-carte-navigo-quand-big-brother-part-a-la-rencontre-de-kafka.epub">Télécharger ce contenu au format EPUB</a></div> <p>
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gautamihttps://linuxfr.org/nodes/98808/comments.atomtag:linuxfr.org,2005:Diary/265702008-05-05T13:06:36+02:002008-05-05T13:06:36+02:00Se désinscrire des fichiers de la RATP
Jusqu'au mois dernier, je possédais un pass Navigo, le remplaçant du coupon "carte orange".<br />
Désormais, je n'ai plus besoin de ce pass (déménagement en province) et je souhaite me désinscrire des fichiers de la RATP.<br />
<br />
J'ai parcouru en long et en large le site <a href="http://www.ratp.fr">http://www.ratp.fr</a> et <a href="http://www.navigo.fr">http://www.navigo.fr</a> sans rien trouver sur ce point.<br />
Je me suis rendu dans une agence commerciale, sans plus de succès ("il semble que cela ne soit pas possible avec nos postes informatiques" dixit l'agent de la RATP).<br />
<br />
La RATP possède des informations qui me sont personnelles (d'après le site "<i>Dans le cas du passe Navigo personnalisé, les passes délivrés apparaissent dans une base de données</i>" ) et même erronées (données qui ne sont plus d'actualité compte tenue de ma nouvelle situation).<br />
<br />
Que puis-je faire ?<div><a href="https://linuxfr.org/users/_seb_/journaux/se-d%C3%A9sinscrire-des-fichiers-de-la-ratp.epub">Télécharger ce contenu au format EPUB</a></div> <p>
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