• # BasĂ© sur Escriptorium et Kraken.

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4 (+2/-0).

    Transcrire est basé sur les logiciels Escriptorium et Kraken, qui sont tous les deux librement disponibles et assez facilement installables.

    • [^] # Re: BasĂ© sur Escriptorium et Kraken.

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3 (+1/-1).

      Ce qui ne gâche rien.

      Je n'ai, effectivement, pas vu de mention de licence ou autre sur le site. Mais on peut penser que les textes transcris suivent le régime général du droit d'auteur.

      « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

      • [^] # Re: BasĂ© sur Escriptorium et Kraken.

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3 (+1/-0).

        Ce qui ne gâche rien.

        Non Ă©videmment, au contraire, c'Ă©tait simplement pour signaler que c'est libre et installable chez soi. J'aurais peut-ĂŞtre dĂ» donner plus de contexte Ă  mon commentaire pour sembler moins froid.

        Concernant le droit des transcription, oui la situation n'est pas évidente. J'aime bien ce billet de Florence Descamps et Véronique Ginouvès sur ce sujet. Dans ce contexte de semi-automatisation de la tâche, il me semble que la transcription n'est pas une œuvre originale et donc ne peut pas bénéficier d'une licence particulière. À voir ensuite, pour chaque projet sur Transcrire, dans quelle mesure les transcripteur⋅es ont fait preuve de créativité.

        • [^] # Re: BasĂ© sur Escriptorium et Kraken.

          Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2 (+0/-1).

          Ah non, ton commentaire ne m'a pas semblé froid. Par contre, en ce qui concerne les droits je pensais aux auteurs et autrices des textes transcris surtout. Je pense que dans le cadre de la "bête" transcription d'une écriture manuscrite (lettres, carnets de notes, etc.), la transcription ne peut pas être assimilée à une œuvre originale ni même une adaptation, et, effectivement elle ne saurait bénéficier d'une licence particulière.

          « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

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