Urbackup un logiciel de sauvegarde moderne

Posté par  . Édité par Florent Zara, Yves Bourguignon, Davy Defaud, palm123, bubar🦥, Nils Ratusznik, ZeroHeure, barmic et claudex. Modéré par bubar🦥. Licence CC By‑SA.
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mai
2017
Administration système

Urbackup est un logiciel de sauvegarde en mode client‐serveur dont le client comme le serveur peuvent fonctionner à la fois sur GNU/Linux, Windows et macOS. Il effectue des sauvegardes incrémentales et fait de la déduplication de données. Le client GNU/Linux possède une version graphique et une version en ligne de commande.

La deuxième partie de dépêche vous propose de jeter un œil aux fonctionnalités de cette solution de sauvegarde. Une impression d'écran du client texte et de l'interface web sont aussi disponibles.

Urbackup sous Linux

Quelques fonctionnalités notables :

  • l’interface possède un bon compromis entre simplicité et fonctionnalités ;
  • les transferts sont dé‐dupliqués au niveau fichier (comme BackupPC), donc la seconde full passe à la vitesse de la lumière ;
  • l’installation d’un agent pré‐configuré est possible via la page du serveur ;
  • l’accès se fait via une interface Web et le client est aussi gérable en ligne de commande ;
  • pour les cas les plus complexes, une API est disponible ;
  • en plus des sauvegardes de fichiers, les sauvegardes au niveau volume sont disponibles, au moins sous Windows ;
  • un greffon CBT existe pour les gens utilisant VMware (au prix pas si exorbitant de 15 €, il semble que le développeur essaye d’avoir du budget pour se payer les accès à certaines API propriétaires) ;
  • un système de permissions existe pour autoriser certains utilisateurs à accéder à certaines sauvegardes seulement ;
  • les sauvegardes restent disponibles en tant que fichiers sur le serveur ;
  • le serveur peut utiliser les volumes Btrfs pour économiser encore plus de place ;
  • des options existent pour remettre en correspondance le catalogue et les données stockées ;
  • même si le développeur a l’air un peu seul, le développement est actif et de nouvelles versions sont publiées régulièrement ;
  • la bêta propose de gérer des groupes de serveurs qui partagent les mêmes réglages.

capture d’écran UrBackup Web

Aller plus loin

  • # très intéressant mais quid de l'assurance ?

    Posté par  . Évalué à -3.

    il dit quoi l'assureur en cas de perte de données et de défaillance dans la restauration ?

    • [^] # Re: très intéressant mais quid de l'assurance ?

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

      Je ne pense pas que l'assurance d'un bon fonctionnement passe par un assureur, c'est à dire un financier. Une entreprise qui perd ses données est condamnée à mort dans les mois qui suivent.

      C'est au DSI ou à l'administrateur système de vérifier que les sauvegardes sont effectives.
      Pour cela, il faut prendre une sauvegarde, la mettre sur une nouvelle machine et vérifier son bon fonctionnement.
      Cela ne remplace pas les recommandations de base : Sauvegardes quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles, journaux, sauvegarde stockée dans un autre lieu (vol, incendie).

      Un logiciel de sauvegarde n'est qu'une aide et non une panacée.

      Je voudrais signaler qu'avec VirtualBox, une machine virtuelle Windows/Windows peut être transférée sous Linux sans difficulté en utilisant les fonctions export et import de VirtualBox. Le fichier à transférer est beaucoup plus petit qu'avec une autre méthode. C'est le très gros avantage des machines virtuelles que de pouvoir être clonées ou réactivées en très peu de temps. Cela fait partie intégrante des procédures de sauvegarde à mettre en place.

      • [^] # Re: très intéressant mais quid de l'assurance ?

        Posté par  . Évalué à 1. Dernière modification le 08 mai 2017 à 11:05.

        Je sais bien.

        Mais au quotidien, dans les TPE voir certaines PME dont l'activité principale n'est pas l'informatique, les entreprises du bâtiment par exemple, la réalité est tout autre.

        de plus en plus d'assureurs exigent des solutions standards, un peu comme pour la comptabilité qui est liée aux exigences légales, exigences qui changent d'année en année.

        et ces entreprises représentent une majorité écrasante, bien plus que le rêve du linuxien moyen (le terme moyen n'est pas à entendre dans sa connotation péjorative ici)

        • [^] # Re: très intéressant mais quid de l'assurance ?

          Posté par  . Évalué à 2.

          Hein ? Oû as tu entendu parler de ça ?
          De quelles solutions standard parles-tu ? en France ? pour sauvegarder quoi au juste (tout, la compta, le site web, les postes de travail, etc.)?
          Ça m'intérese…

          "La liberté est à l'homme ce que les ailes sont à l'oiseau" Jean-Pierre Rosnay

        • [^] # Re: très intéressant mais quid de l'assurance ?

          Posté par  . Évalué à 10.

          Mais au quotidien, dans les TPE voir certaines PME dont l'activité principale n'est pas l'informatique, les entreprises du bâtiment par exemple, la réalité est tout autre.

          La réalité pour eux, elle est surtout de passer par un prestataire qui maintiendra les sauvegardes dans un (ou 2 ou 3) datacenter et ce qui les protègent ce n'est pas tant les assureurs que les prestataires qui donneront des garanties.

          Le choix de la technique de sauvegarde dépend donc de ton prestataire et ce n'est pas le sujet de la dépêche.

          Tous les contenus que j'écris ici sont sous licence CC0 (j'abandonne autant que possible mes droits d'auteur sur mes écrits)

  • # Autres références dans le domaine

    Posté par  . Évalué à 4.

    Urbackup n'est bien sur pas seul dans son genre, et j'aurais apprécié une comparaison, même succinte, avec des concurrents.

    Selon ma faible expérience du domaine, on trouve en logiciel libre quelques solutions traditionnelles, soient complètes et lourdes comme BackupPC et Amanda, soient plus simples et limitées comme rsnapshot (à base de rsync). Il y a aussi des nouveaux venus, le plus connu étant bup qui déduplique et stocke au format Git. bup est par nature en CLI, mais peut être complété par des interfaces graphiques.

  • # Et les autres sources de données

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    Bonjour à tous,

    Je trouve tout ces outils libre de backup très bien, tous ayant un plus ou un moins. Mais tous se concentrent sur la sauvegarde du fichier (en mode bloc ou fichier).

    Comment faire lorsqu'on a des base mysql, oracle, sql server. Du vmware, du fichiers utilisateurs et qu'en plus on veut un versionning local sur 1 semaine et un archivage en datacenter le tout en prod avec l'impossibilité d'arrêter une base ou une VM ?

    Pour le moment je n'ai pas le choix, je mixe en 3 solutions :
    - ArcServe UDP (simple au quotidien, souple, et clair);
    - ArcServe backup (un truc immonde au quotidien digne de l'usage des DAT avec tar);
    - Du script maison à base de rsync ou robocopy (environnement windows).

    Pour moi le plus gros problème de la sauvegarde n'est pas de copier les données mais bien d'avoir un outil clair et simple à utiliser. C'est déjà compliqué de devoir faire de la restauration après un crash (vole, effacement, feu, inondation…) mais si en plus l'outil est une usine à gaz c'est un coups à se louper et définitivement perdre les données.

    Born to Kill EndUser !

    • [^] # Re: Et les autres sources de données

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      Moi j'utilise ninjabackup pour extraire mes bases dans un répertoire.
      je l'utilise aussi pour me faire des sauvegardes des machines virtuelles et des configurations.

      ensuite j'ai urbackup pour uploader ces fichiers sur mon nas à la maison.

      • [^] # Re: Et les autres sources de données

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

        Le dump d'une base est une bonne idée mais pour moi pas la plus optimisé en terme de gestion de l'espace disque et de la bande passante.
        Par exemple pour mes bases Oracle, un dump prends quelques giga et chaque dump est différent donc pas moyen d'utiliser le différentiel, la dédupe peut être mais au niveau bloc.

        Oracle propose un outil d'historisation rman, qui permet de générer tout les x temps un fichier historique qui fait quelques méga. Le plus simple serait de les copier mais Oracle a la main en permanence dessus afin de garantir la consistance des fichiers. Pour les copier il faut soit passer par un outil capable de communiquer avec rman soit arrêter la base et copier les fichiers… Autant dire impensable est production.

        A ma connaissance, mysql ne propose pas d'outils de (vrai) backup autre que mysqldump qui reprend le principe du fichier qui est différent à chaque lancement.

        Lorsque j'ai commencé à mon poste d'admin j'avais une fenêtre de sauvegarde d'une nuit et à peine 1G de données. 15 ans plus tard la fenêtre de backup est réduite à 6 heures avec ~120Go de données à sauvegarder en local et distant (pour le distant j'ai grugé en augmentant la bande passante de la connexion internet).

        Born to Kill EndUser !

        • [^] # Re: Et les autres sources de données

          Posté par  . Évalué à 8.

          A ma connaissance, mysql ne propose pas d'outils de (vrai) backup autre que mysqldump qui reprend le principe du fichier qui est différent à chaque lancement.

          Oracle propose un tel outil pour MySQL, mais il faut payer. Heureusement, Percona diffuse en logiciel libre son excellent XtraBackup avec toutes les fonctionnalités souhaitées (apt install percona-xtrabackup sous Debian).

    • [^] # Re: Et les autres sources de données

      Posté par  . Évalué à 6.

      Pour les bases de données, sous Debian, j'installe automysqlbackup et autopostgresqlbackup. Avec 0 config, ça crée des sauvegardes quotidiennes, hebdos et mensuelles dans un répertoire. Bien sûr, il faut ensuite les copier avec rsync. On a trouvé une adaptation pour Mongo DB (automongobackup) mais on l'a pas encore essayé.

      Pour les machines virtuelles KVM, j'ai bricolé des scripts qui font des snapshots. J'ai pas mal galéré, donc si ça peut serveur à qqn, c'est là : vmbackup (sous votre responsabilité, je suis pas admin système). Là aussi, il faut ajouter une couche de rsync.

      Je réponds pas au commentaire initial sur l'intégration de tout ça dans une interface conviviale unique, mais je voulais citer les auto*backup qui gagent à être connus (0 config, super fiable).

      • [^] # Re: Et les autres sources de données

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        j'ai bricolé

        Voila le problème avec les solutions opensource. Dès qu'on est plus dans le fichier c'est du bricolage et en matière de backup il n'y a pas de place pour le bricolage. L'enjeu est bien trop important.

        Ne vous méprenez pas, je suis un fervent défenseur de l'opensource mais sur ce coups je n'ai pas trouvé une solution répondant aux exigences du backup même chez backuppc ou bacula.

        automysqlbackup passe par mysqldump, c'est juste une surcouche qui gère la rotation, les logs… J'avais dev un truc dans le genre il y a quelques années pour nos besoins internes : backupeur http://blogoflip.fr/backupeur-0-3-3 mais par manque de temps j'ai arrêté le dev. L'idée était la même, une surcouche avec mysqldump; rsync, ftp, ldapdif… qui me permettais de gérer les rotations, les logs, les alertes/notifications par mail… Le plus gros point noir : limiter à l'univers linux/serveurs. Pas de bol les utilisateurs sont en Windows et à l'époque des versions différentes de Windows.

        Born to Kill EndUser !

        • [^] # Re: Et les autres sources de données

          Posté par  . Évalué à 4.

          Concernant KVM pour ne pas bricoler il suffit d'utiliser des solutions un cran au dessus du mode bricolage comme, par exemple, FreeNAS (pour le stockage) et/ou Proxmox VE pour la gestion des KVM.

          FreeNAS permet énormément de choses dont les instantanés (snapshot) automatiques locaux et/ou répliqués (avec purge automatique) au niveau du stockage. Ceux-ci peuvent également être coordonnés aux instantanés VMWare pour ceux qui utilisent.

          Proxmox permet également la sauvegarde automatique (avec purge) des KVM (avec instantané ou même arrêt et redémarrage). Proxmox permet même de se passer de FreeNAS en utilisant ZFS (le système de fichiers utilisé par FreeNAS) avec la réplication des snapshots d'un hôte Proxmox à un autre.

          Tout dépend de ce que l'on veut faire et des moyens que l'on a: nombre de machines et budget pour les configurations: une configuration solide semi-pro FreeNAS c'est autant de disques que possibles (donc carte SAS/SATA avec boîtier externe contenant 12 ou 24 disques par exemple) et surtout 2 SSD avec protection contre la coupure électrique pour le ZIL (rien que ça c'est minimum 500€).

          Dans l'idéal il faut autant de disques que possible et uniquement du RAID10: mon premier FreeNAS en production avait 12 disques SAS de 2 To, le suivant en a 24 de 1 To en SATA et il est bien plus rapide que le premier et que notre ancienne baie EMC pour un prix significativement inférieur (et en plus c'est libre).

          Après pour le geek éclairé il est parfaitement possible d'avoir un petit dédié avec Proxmox et deux disques en RAID1 ZFS avec instantanés répliqués sur un autre Proxmox chez soi en ADSL (ça fera juste un peu mal le jour où il faudra remonter les VM depuis la sauvegarde à travers la connexion ADSL).

          • [^] # Re: Et les autres sources de données

            Posté par  . Évalué à 3.

            Oui, à l'époque on est parti sur une Debian standard qui nous sert d'hôte et qui fait que ça. Ça aurait peut-être valu le coup qu'on jette un oeil à Proxmox. Et maintenant, bien sûr, ça marche, alors on touche pas…

            • [^] # Re: Et les autres sources de données

              Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3.

              Disques virtuels en raw sur du lvm-thin (sans oublier fstrim, mount -o discard et « optimisation » des disques dans l’OS virtualisé) + snapper devraient faire l’affaire (attention à libvirt, la dernière fois que j’ai regardé, il ne supportait pas lvm-thin…).

        • [^] # Re: Et les autres sources de données

          Posté par  . Évalué à 2.

          Bonjour,

          Alors s'il y a des choses que vous n'arrivez pas à faire avec Bacula et la sauvegarde, je veux bien savoir. Parce que de mon côté, entre la version communautaire qui couvre une immense étendue des besoins (sauvegarde / restauration / copie / déplacement / catalogue SQL / scripting / scheduling … ) et la version entreprise qui couvre la dédup, la virtualisation, les bases de données, j'en passe et des plutôt intéressantes, je ne sais pas trop ce qui lui manque :)

          Mais bon, on peut sans doute faire mieux :)

  • # monitoring ?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    Est-ce qu'il y a du monitoring ?

    Combien de personne croyait que la sauvegarde fonctionnait, mais ce n'était pas le cas : script planté à cause d'une mise à jour quelque part dans le système de sauvegarde, fichiers de sauvegarde corrompu, fichiers crypté par locky, sauvegarde non effectué depuis des années, etc…

    "La première sécurité est la liberté"

  • # Je m'en sert c'est bien

    Posté par  . Évalué à 8.

    Mon avis perso : Je conseil à minima d'essayer, et de passer une petite semaine dessus avant de dire non.

    Stockage des fichiers:
    Il y a la dedup fichier à base de hardlink (comme backuppc).
    Il faut utiliser un zfs ou btrs pour la dedup block. Ca reste plutôt sain car on peut naviguer l'arborescence sur le serveur. Et il n'y a pas de data store custom qui risque une corruption.
    Il est possible de lancer une commande pour vérifier l'état du datastore.

    Transfert:
    - Il y a un system de hash de fichiers pour ne pas transférer un fichier déja connu du serveur. Ca fait du coup la dedup inter serveur et permet de seeder les sauvegardes internet.
    - Ca se règle (hash pour le fichier complet, hash par bout de fichier pour les gros fichiers, ou transfert brut), l’intérêt de le régler c'est de changer la balance cpu/bande passante, pour les full/inc local/internet.

    Autres logiciels :
    - Un des reproche que j ai sur borg c'est un seul client backup sur un seul datastore en même temps, la ce n'est pas le cas.
    - Après y'a un seul dev dessus, mais perso je trouve que c'est plus actif que backuppc qui a sorti une release ce mois ci, … mais dont la précédente avait des années… Personnellement ca me donne plus d’espoirs que de soutenir backuppc
    - Il y a des bacula/bareos et autres qui sont un peu des usines à gaz.
    - Idem pour tout ceux qui sont basés sur des sauvegardes bandes, tout est tordu pour marcher dans ce sens la.
    - Après il a d'autres logiciels qui sont bien mais ou on ne peux pas supprimer de backup, d'autres qui sont plus lent.
    - Après y a pas d'assurance, mais il n'y a pas de licence exorbitantes non plus.

    Open source
    - Le soft est open souce au sens général du terme.
    - Sauf le module cbt pour windows, payant. Car la licence pour développer le client cbt coûte une blinde et que le dev veux amortir son coût.

    Divers :
    - Une gui web centralisée, c'est pratique au quotidien. L'authentification centralisée arrive. Le self service de restore est sensé être la, mais je ne l'ai pas testé.
    - Il y une page de stats qui permet de savoir ou l'espace disque part.
    - En local, il y a un system de brodcast pour que les client s'auto enregistrent sur le serveur.

    • [^] # Re: Je m'en sert c'est bien

      Posté par  . Évalué à 1.

      • Il y a des bacula/bareos et autres qui sont un peu des usines à gaz.

      Sans vouloir faire de trollage inutile et stérile, je dirais que quand on parle sauvegarde, il convient sans doute de parler de besoins. Si mon besoin c'est de sauvegarder mes photos de vacances, c'est sûr qu'un Netbackup ou un Spectrum voire un Bacula c'est peut-être lourd à mettre en œuvre… quoi que. En deux coups de yum / apt / ./configure j'ai un Bacula qui tourne comme une horloge.
      De là à parler d'usine à gaz… je dirais: ah bon ? Je ne pense pas que Bacula soit plus une usine à gaz qu'un autre outil du même niveau (ni moins :D) ce que je constate en revanche c'est qu'il est complet et outrageusement doté en configuration. Et cette ouverture est telle que oui, il faut du temps pour le prendre en main et le comprendre. C'est pour ça qu'il y a des formations: pour découvrir les concepts, les bonnes pratiques et comprendre faire coïncider l'outil et les besoins. Après avec quelques centaines de pages de doc, bah oui quand c'est complet il y a de la doc, il faut se l'approprier Bacula, il se mérite. Vous seriez surpris de voir qui l'utilise et comment !

      Allez, souriez, on est lundi :)

      • [^] # Re: Je m'en sert c'est bien

        Posté par  . Évalué à 6.

        Je ne connais pas les utilisations « complexes » des sauvegardes, mais le simple fait que ce soit complexe va à l'encontre du besoin : être 100 % certain que (ça fonctionne XOR être prévenu en cas de pépin).

        Un logiciel avec plusieurs centaines de pages de documentation ne permet pas cela. Les possibilités d'erreurs humaines et de bugs sont trop nombreuses.

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