Ysabeau 🧶 🧦 a écrit 6479 commentaires

Le problème c'est que ce ne sont généralement pas les plus médiatisés.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci pour l'info.

Pour compléter, il y a un musée de l'imprimerie et de la communication graphique à Lyon, et, évidemment le musée du CNAM à Paris (où j'ai pris les de mon commentaire).

D'ailleurs, si vous en connaissez d'autres :-)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Contrairement à ce qui a été écrit plus haut, s'il avait un peu de culture scientifique ou technique, ça lui permettrait de se situer sur l'échelle des savoirs.

Si tu pouvais arrêter de sortir cet argument qui est totalement faux. L’exemple le plus frappant est ce qu’on a appelé la « maladie du Nobel » où des scientifiques de haut niveau (des prix Nobel donc), sortent des âneries énormes sur des domaines qu’ils ne connaissent pas.

La culture scientifique et technique n’est absolument pas une panacée anti-débitage d’âneries de plus ou moins gros calibre, ni même anti-croyances plus ou moins idiotes.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et je n'arrive pas à comprendre à quel besoin ça correspond pour la firme.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Depuis le sénateur en question a appris deux ou trois trucs.

Mais, il n'empêche qu'une bonne part de nos politiques de tous bords sont plutôt incultes en matières de numérique. Vraiment de tous bords. Et c'est fort dommageable. On dirait que la politique a du mal à évoluer avec la société.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ah, je n'avais pas vu, en effet. Merci.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci. Ça ne figure pas dans l'aide, ça devrait à mon avis.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

La composition c’est

l’assemblage des caractères destinés à former les mots, les lignes et par extension, les pages qui composent un journal ou un volume. (La typographie, Huard, 1892)

En fait ta question dépend un peu de la période.

Tu avais par exemple la linotype qui permettait de saisir le texte et de l’envoyer déjà composé (ça projetait un jet de plomb fondu qui créait les lignes de texte), et tu ajoutais la photogravure pour les images. Restait plus qu’à mettre le tout en page. Les linotypes étaient très utilisées dans les journaux et leur usage a perduré jusque dans les années 1980.

À partir des années 1950 (et surtout 1960), est apparue la photocomposition : une seule machine, la Lumitype, permettait de saisir le texte et d’avoir les images. Elles ont été remplacées dans les années 1970 par les photocomposeuses, sans, puis avec les ordinateurs.

Quand Lebrac apporte un dessin à la composition, il l’apporte pour le faire photographier, et, à partir de là l’intégrer à la page en cours de composition.

La lumitype du musée des arts et métiers à Paris (ma photo n’est pas terrible, question de luminosité trop forte).

Pour compléter, la photo d'un rouleau ayant servi à imprimer le Petit Journal, désolée, la photo est effroyable, mais ça donne une idée.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je vous laisse je retourne expliquer à mon pote que «oki» c'est aussi nul que «kikoo», à ma tante que «belle soirée» n’a pas lieu d'être, et à ma femme qu'il vaut mieux filmer en mode horizontal. J'ai tout de même pris le temps de remplacer les chiures de mouches de mon commentaire par de vrais guillemets (mais vu que ça demande 2 caractères différents, chacun nécessitant l'utilisation de la touche Alt-Gr, ça prend tout de même bien plus de temps que juste "…")

Ça prend plus de temps (pas beaucoup plus) parce que LinuxFr n’est pas très bien fait pour ça. Mais avoir une typographie propre, c’est plus agréable. Cela dit le contenu entre guillemets chevron est précédé et suivi d’une espace insécable (ou d’une fine insécable).

Maintenant si ça ne sert à rien de dire aux gens de penser que leur contenu ne pourra être lu que par des personnes qui ont des yeux, dites-leur que si c’est le cas, leur CV sera invisible des robots. Ça risque de leur faire changer d’avis si la raison altruiste ne leur importe pas.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tout le problème est là en fait :-)

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Comme toujours c'est le tout-ou-rien qui pose problème. Inciter les gens à remplir les balises ALT, c'est bien quand c'est nécessaire, et ça ne l'est pas toujours, c'est une bonne idée sauf que, selon les dispositifs d'assistance, la longueur du texte Alt peut être limitée à 90 (le dispositif lira les 90 premiers caractères et s'arrêtera). Dire "si vous ne remplissez pas la balise Alt, je vous vire de mes contacts" comme j'ai pu le voir, c'est complètement idiot.

Cela dit, tous les sites de réseaux sociaux ne le permettent pas. Et, sur le plan des images, LinuxFr est à la ramasse sur ce sujet : seulement un titre, pas de balise Alt, pas de description ! Bref c'est pas simple.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et ça serait la meilleure méthode pour éviter la guerre (et en plus ça ne coûte pas cher).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Finalement, il y a du bon dans les tomates.

Plus sérieusement, merci pour ça et bravo d'avoir pris la peine de proposer cela en plusieurs versions.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Sûrement pas s'il en fait un arrangement ça va générer des droits d'auteur. Et en plus Jul n'est pas vraiment vraiment un bon exemple.

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Il n'est absolument pas nécessaire de réécrire quoi que ce soit, simplement de se débarrasser de l'arrangement de Karajan qui n'a guère d'intérêt sur le plan musical.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les ressortissants de l’UE paient des droits sur une musique et un texte dans le domaine public chaque fois (bon en fait pas à chaque fois qu'elle est jouée). Tout ça parce que l’ancien adhérent au parti nazi à qui on a demandé de jouer l’hymne a insisté pour percevoir des droits d’auteur pour un arrangement de son cru, au demeurant assez douteux qualitativement, du 4^e mouvement de la 9^e symphonie de Beethoven.

La réponse de mon point de vue est oui : changer la version et se débarrasser de celle de Karajan, qui, d’ailleurs, à l’époque n’avait pas besoin de cet argent pour vivre.

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Probablement après un contact très intime avec des mouches en tout cas.

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Et les entreprises se débarrasseront des informaticiens et informaticiennes parce que ça coûte cher et qu'on peut confier le boulot à une machine.

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On peut même préciser qu'on code NU et qu'on maîtrise le STRING. Et évidemment, il y a toujours Java SLIPS pour les folles soirées d'été.

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Merci pour les infos.

Il faudrait carrément faire une dépêche sur le protocole, ce qui lui donnera plus de visibilité.

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Ça mériterait une dépêche :-)

Merci pour les explications.

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Et en plus c'est vraiment un langage : https://en.wikipedia.org/wiki/SLIP_(programming_language)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Mais où as-tu vu que je fais la guerre ? J'explique et j'espère que cela fera réfléchir le lectorat tout au moins. Cela ne va pas plus loin. J'espère aussi que cela pourra donner des arguments à des personnes qui se bagarrent contre le texte-image. C'est pourquoi je pense que c'était important de l'écrire et pas seulement une matière à troller.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ah mais ce n'était pas vraiment une invitation à pinailler :-)

Je sais bien que le terme "texte" est polysémique, je pensais l'avoir dit très clairement dans la dépêche et précisé qu'il s'agissait de la définition que je retenais dans le cadre de la série.

La définition est restrictive, dans ce cadre, mais permet d'expliquer une bonne fois pour toute que l'image même avec de l'écriture dessus ce n'est pas du texte. Une confusion encore trop fréquente et dommageable, pas tant pour les robots dont je me contrefiche, mais pour toutes les personnes qui ne peuvent pas lire avec leurs yeux.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Une variante probablement :-)

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