nous utilisons dans le cadre de mon entreprise un logiciel de compta sur de s plateformes Linux/Sun developpé en interne.
Il fonctionne en client-serveur et ouvre donc des ports sur les serveurs d'où il est lancé.
ma question :
est ce que c'est utile ? recommandé ? plus propre ?
de déclarer dans /etc/services le process qui se met en écoute
du style :
compta_service 16304/tcp compta_service
y'a-t-il un gain particulier ou c'est kiff-kiff que de ne rien mettre ?
Moi j'ai l'impression que le seul intérêt est que ça peut rendre le netsat plus lisible, et que ça NE "sécurise" PAS forcément le port (ie ça ne réserve pas ce port là à notre service exclusivement le fait de le mettre ds /etc/service)... J'ai juste ?
Merci pr vos réponses.
# Service de nom
Posté par peck (site web personnel) . Évalué à 3.
C'est pratique pour netstat, telnet et quelques autres applications, mais c'est tout.
On peut y voir un autre intérêt si on le déclare à l'iana qui va alors l'ajouter elle-même publiquement au fichier services ce qui permettrait d'éviter que quelqu'un d'autre utilise ce port pour développer son propre protocole.
[^] # Re: Service de nom
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . Évalué à 5.
il y a aussi le fait que certaines applications ne demandent pas à ouvrir une socket sur le port 1234, mais demande une socket pour le service xyz. La demande est alors traduite via le fichier /etc/service. Du coup, l'admin peut changer le port affecté à un service et tout fonctionne comme par miracle.
Mais visiblement, cette possibilité de configuration est très très peu reprise par les applis réseau.
[^] # Re: Service de nom
Posté par Anonyme . Évalué à 1.
merci pr vos réponse et je pense que notre petit logiciel si puissant soit il n'aura pas besoin d'une déclaration à l'IANA ;-P
[^] # Re: Service de nom
Posté par BAud (site web personnel) . Évalué à 2.
https://mail.gna.org/public/wormux-dev/2007-06/msg00003.html
et l'acceptation https://mail.gna.org/public/wormux-dev/2007-06/msg00021.html
Suivre le flux des commentaires
Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.