BD a écrit 2 commentaires

  • # Nouveau déménagement?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Dicorime change de nom, de version et de site d'hébergement. Évalué à 1.

    Le nom de Dicorime était effectivement plus porteur de sens que QDictionnaire, mais le plus gênant dans l'affaire est que le lien ne fonctionne plus…
    Voilà pourtant un logiciel de grande qualité!
    Merci pour tout ce travail, et merci de bien vouloir rétablir le lien!!!

  • # Superbe logiciel mais mauvaise "Impress"ion.

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice se met en 4.0. Évalué à 3.

    Dans ce bel édifice qu'est devenu LibreOffice, le module Impress reste loin derrière la concurrence dans la gestion du multimédia. Quel que soit le système, il est nécessaire d'installer des codecs pour lire une vidéo, et la gestion LibreOffice de ce type de média est des plus étrange : il faut en programmer l'arrêt pour que la vidéo ne se lance pas automatiquement en même temps que la diapositive, et si on programme son démarrage, il ne faut pas cliquer sur l'image qui la représente mais à côté pour la lancer.
    Cette logique me rappelle celle du bouton démarrer de Windows qui servait à l'arrêter…

    I have a dream : un module impress qui permettrait de piloter des extraits audio et vidéo au 10ème de seconde près, qui laisserait le présentateur libre de démarrer et arrêter son média quand bon lui semble et d'en reprendre la lecture sans recharger la diapo, peut-être avec une intégration d'un plug-in genre VLC ? Bref un module Impress qui permette à l'utilisateur d'illustrer avec la plus grande souplesse son propos par du son, des images animées pour donner du sens à son intervention avec autre chose que des tableaux de chiffres, des textes ou des images fixes.

    Certes la critique est facile est l'art est difficile : je tiens à redire mon admiration pour le travail accompli, mais cette fonctionnalité que je suggère ferait bien des heureux dans le monde de l'éducation, où l'on doit apprendre aux élèves à donner du sens à l'univers audio-visuel qui fait leur quotidien. On ne peut cependant pas leur demander d'investir dans des logiciels coûteux, fermés et souvent incompatibles avec ceux qu'ils trouvent dans leurs établissements.