• # ?!!!

    Posté par  . Évalué à 3.

    Interrogée par le New Scientist, la porte-parole de l'Uspto a déclaré que le brevet serait réexaminé si quiconque apportait la preuve d'une antériorité de cette "méthode intellectuelle" dont Microsoft revendique la paternité.

    Vous croyez que les brevets sont tapés à la machine à écrire?
    • [^] # Re: ?!!!

      Posté par  . Évalué à 1.

      (J'aurais peut-être plus de public ici.)

      Ce n'est pas le boulot de l'Uspto que de faire cette recherche d'antériorité ?

      Ou alors quitte à la faire, je veux être payé, je vais pas travailler pour eux à l'oeil !
      • [^] # theoriquement oui

        Posté par  . Évalué à 1.

        Mais ils préfèrent laisser faire qqun d'autre pendant un proces.
        1) Ils l'ont accepté => ils sont payés
        2) Proces pour démontage => la joie des avocats
  • # Bis repetita

    Posté par  . Évalué à 2.

  • # Et le clavier

    Posté par  . Évalué à 4.

    Au fait il n' y aurai pas un brevet à prendre sur le clavier ;-)
  • # oui mais non

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Cette histoire n'a rien à voir avec un brevet logiciel :

    - déjà parce que même si on reste dans l'environnement "ordinateur", la modification pour autoriser/interdire les brevets logiciels n'a aucune influence. Ce qui est breveté ici ce n'est pas le logiciel mais la procédure. Le fait que la procédure utilise ou pas du logiciel ne change rien à la brevetabilité (c'est le logiciel -en lui même- qui n'est pas brevetable, mais pas les inventions qui utilisent du logiciel). Voir http://jjdj.free.fr/article/(...)

    - en plus parce que là on se demande déjà si avec de l'innovation ce genre de brevet devrait passer, mais là ça n'a rien d'innovant. Ce brevet est mauvais et ne devrait pas passer mais le problème n'a rien de lié aux logiciels, c'est parce qu'il brevette une technique connue et utilisée.
    • [^] # Re: oui mais non

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3.

      «Ce qui est breveté ici ce n'est pas le logiciel mais la procédure.»

      Quand on parle de brevet logiciel, on veut en général dire "brevet sur des idées" et pas "brevet sur un logiciel". La plupart des brevets logiciels ridicules qu'on utilise pour montrer à quel point ils sont dangereux sont assimilables à celui-ci, par exemple le brevet "acheter en un clic" d'amazon.

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