• # À voir…

    Posté par  . Évalué à -1. Dernière modification le 29 juillet 2023 à 20:04.

    … si l’anomalie se répète l’année prochaine ou pas. On pourrait être face à un effet cliquet et/ou de seuil inattendu ?

  • # «Que signifie la statistique selon laquelle le niveau très bas de la glace en Antarctique a une cha»

    Posté par  . Évalué à 0.

    Bah la réponse est dans la question non ?

    Sinon j'ai l'impression qu'il n'y a pas trop de débat, non ?

    • [^] # Re: «Que signifie la statistique selon laquelle le niveau très bas de la glace en Antarctique a une»

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

      Le service éditorial a laissé passer le titre en oubliant de le modifier (le stagiaire était peut être en vacances). Ça aurait du être: «Selon une étude, le niveau très bas de la glace en Antarctique pourrait être d'origine naturelle»

      Un LUG en Lorraine : https://enunclic-cappel.fr

      • [^] # Re: «Que signifie la statistique selon laquelle le niveau très bas de la glace en Antarctique a une»

        Posté par  . Évalué à 1. Dernière modification le 30 juillet 2023 à 20:06.

        Ça aurait du être: «Selon une étude, le niveau très bas de la glace en Antarctique pourrait être d'origine naturelle»

        J'essayais simplement de ne pas donner du grain à moudre aux climato-sceptiques qui semblent éclore sur linuxfr.org depuis peu. J'aurais peut-être du écrire : "Le niveau très bas de la glace en Antarctique n'a quasiment aucune chance d’être naturel selon une étude récente."
        Concernant le "débat", je cite:

        Julie Deshayes, chercheuse au sein du Laboratoire d’océanographie et du climat, tient cependant à mettre en garde contre les conclusions hâtives : «Pour attribuer avec certitude un événement particulier au changement climatique, il faut plusieurs mois (voire années) d’investigations scientifiques afin d’éliminer toutes les autres hypothèses possibles.» Autrement dit, il va falloir patienter avant de pouvoir affirmer l’existence d’un lien de cause à effet entre les variations de température et le faible niveau de la banquise.

        Le problème, c'est que si l'on attend "plusieurs mois (voire années)" pour donner l'alerte, on perd du temps et comme il est déjà presque trop tard, qu'il y a vraiment le feu au lac, que les politiques sont inertes depuis des décennies, on ne peut se permettre ce luxe de l'attente, il faut agir, maintenant, en envisageant le pire et je crains fort que même le pire soit en dessous de ce qui nous attend. Quand on voit, qu'en France, le ministère de l'écologie n'existe pas, il y a de quoi être inquiet. Je sais il existe un ministère de la "transition écologique" (inexistant, sans pouvoirs), comme si l'évolution brutale du climat nous accordait un délai de "transition", comme si il fallait attendre pour réformer. Il faut vraiment vivre hors-sol pour en arriver là.

  • # Pigisme

    Posté par  . Évalué à 2. Dernière modification le 31 juillet 2023 à 18:05.

    Pour l’océanographe qui a communiqué l’étude, il est quasi improbable que ce niveau relève de la variabilité naturelle.

    Nous sommes sûrs mais pas certains que la probabilité que les chances soient faibles est elle-même faible?

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