Richard Van Den Boom a écrit 388 commentaires

  • [^] # Re: Gravage DVD

    Posté par  . En réponse à la dépêche K3b 0.9. Évalué à 1.

    La version 0.9 a un support préliminaire il me semble. Mais à mon avis, cela demande encore un peu de polissage.
    Pour ce qui est de comprimer les VOB, vu que c'est du MPEG2, je doute que cela soit possible. Il y a l'option de les transcoder en mpeg4 avec transcode, cela dit.

    Cordialement,
  • [^] # Re: K3b 0.9

    Posté par  . En réponse à la dépêche K3b 0.9. Évalué à 2.

    J'ai déjà fait et ca a marché mais là, je ne me souviens pas exactement comment faire. Je crois qu'il faut juste continuer la session en l'important. Pour ce genre de tests, il vaut mieux utiliser un RW.
    Il ne faut pas clore le CD normalement (ca veut justement dire que tu ne peux plus rien ajouter après).
    Bon, bref, je ne t'apprends pas grand chose, sauf que c'est possible... :-|

    Cordialement,
  • [^] # Re: Linux Journal décerne ses récompenses

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux Journal décerne ses récompenses. Évalué à 2.

    C'est un logiciel de compositing. Ca sert donc au montage, titrage, retouche, etc. de films vidéo. Il est apparemment prévu pour être (à terme, bien sur) du calibre de Shake ou de ce genre.
    Ca fait pas mal de temps que je le suis, mais il y a souvent de menus problèmes à la compilation et le soft est loin d'être stable à la fin. En fait, le projet en est encore à l'état un peu de 'preview' technologique, il n'est pas utilisable en prod.
    C'est un peu tôt à mon sens pour lui décerner quoi que ce soit, mais bon... c'est peut-être pour l'encourager car c'est un projet plus amibitieux dans le genre que tout ce qui s'est à ce jour dans ce domaine en OS.

    Cordialement,
  • # Re: Scribus 1.0 : la PAO libre arrive sous GNU/Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Scribus 1.0 : la PAO libre arrive sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    Depuis la version 0.9.9 et son "automatic kerning from AFM files", Scribus a pas mal de problèmes avec mes fontes Type 1 (c'est le seul de tous mes programmes à l'avoir). Les espaces sont doubles et il est impossible d'ajouter des caractères, juste de les supprimer. :-(
    Ce qui fait que je suis doucement passé à Kword pour faire mes mises en pages.
    La seule question que j'ai vue sur la ML Scribus portant sur un problème identique n'a eu aucune réponse, comme ci c'était un problème typique d'installation de polices. J'ai regardé les quelques sites vers lequel celui de Scribus redirige à ce sujet mais cela n'a pas changé grand chose.
    Si quelqu'un a une vague idée, je suis preneur.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Quelqu'un d'autre a un problème avec l'USB?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linus Torvalds : annonce noyau 2.6 et une interview. Évalué à 1.

    Je compile tout dans le kernel et n'utilise pas de module. Je pense donc que le nouveau modutils ne devrait pas être un problème.
    Merci pour le lien, j'étais passé au travers de celle-là.
    Je vais de ce pas rapporter mon problème.

    Cordialement,
  • # Quelqu'un d'autre a un problème avec l'USB?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linus Torvalds : annonce noyau 2.6 et une interview. Évalué à 4.

    Mmmm, je n'ai pas de problème de compilation avec les kernels 2.5/2.6 mais je n'ai depuis pas mal de temps pas réussi à faire détecter mes périphériques USB correctement.
    Le système démarre bien, j'ai une carte mère Asus Nforce 1ere génération qui fonctionne impec avec le kernel 2.4.21. Mon controleur est bien configuré en OHCI, ma configuration dans le .config est globalement la même entre le kernel 2.4.21 et le 2.6 (j'ai coché les mêmes options dans le make menuconfig).
    Mais après avoir démarré le kernel 2.6, aucun périphérique USB ne semble détecté et le /proc/bus/usb/devices ne semblent contenir que les deux controleurs USB et s'arrête bizarremment après trois lignes suplémentaires assez vagues.
    Comment remonte-t-on les problèmes aux devs du kernel? Il y a un bugzilla quelque part?

    Cordialement,
  • [^] # Re: Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux. Évalué à 2.

    > J'attends donc impatiemment le jour où on pourra lire "réalisé avec des
    > outils libres" :-)

    Il y a eu un thread récemment sur la Ménagerie, une société qui utilise des outils libres.
    Et je travaille à un projet de court-métrage d'animation qui n'utilisera, je l'espère, que des outils libres.
    Pour ce qui est d'un long-métrage, cela dit, je pense qu'il va falloir que les outils libres gagnent un peu en maturité.
    Au passage, j'avais avec le développeur de Myrtille avancé l'idée de faire un site se concentrant que l'Animation sous Linux, avec liens sur projets intéressants, articles, et éventuellement développement d'outils spécifiques.
    Y a-t-il des gens intéressés à participer?

    Cordialement,
  • [^] # Re: Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux. Évalué à 2.

    Non seulement ça, mais quant tu vois des courts-métrages comme "l'Homme qui plantait des arbres" de Frédéric Back, "La sirène" d'Alexander Petrov ou "le manteau" (qui n'est pas fini) de Youri Norstein, le graphisme stéréotypé de Dreamworks et de Disney lasse. C'est à peine mieux (voire moins bien) que ce qu'lon peut voir maintenant assez courament sur les chaines TV pour enfants. Plus spectaculaire, certes, mais graphiquement pas mieux.
    Encore une fois, allez voir les Triplettes : c'est inventif et vraiment bien animé. Le meilleur film d'animation français depuis le Roi et l'Oiseau.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux. Évalué à 1.

    C'est ton droit.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sinbad - la légende des sept mers 1er film entièrement réalisé sous Linux. Évalué à 3.

    Mmm, précisons aussi qu'ils ont fait :

    Le Prince d'Egypte
    Eldorado (ou quelque chose dans le genre)
    Spirit

    Autrement dit, en 3D, ils sont bons mais en 2D, leur graphisme est aussi moche que Disney, fort probablement volontairement d'ailleurs. Il s'agit d'aller concurrencer Disney sur son marché après tout.

    En bref, allez voir les Triplettes.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à -3.

    Tout à fait d'accord avec ton post.
    C'est un article de recherche. Il propose un modèle, qui, comme tout modèle scientifique, n'est valable que jusqu'à ce qu'on ait prouvé quil est faux.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 1.

    Tu devrais vraiment relire l'article en détail :

    "cathedral open-source projects and closed-source projects have the same dynamics in our model, thus we shall refer to them as closed source, and to baazar projects as open source."

    Donc j'ai raison et tu as tort. :-)
    D'autre part, comme je l'ai déjà posté 4 fois, l'exemple de Gnome était un mauvais choix. Je l'ai déjà reconnu. Pourquoi remettre cela sur la table une fois de plus?

    Cordialement,
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 1.

    Bravo. Une critique constructive ie je partage.
    Les auteurs donnet tout de même une ou deux pistes sur les dévelopmments possibles à la fin mais la plupart des points que tu soulignes me paraissent justes.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Lassitude

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à -1.

    Lit l'article au lieu de dire des bêtises
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 0.

    Il n'y a pas de contresens dans l'article qui prend la définition que tu donnes. Par contre l'exemple que j'avais pris de Gnome n'était pas bon. Je l'ai rectifié en proposant XFree dans un commentaire suivant (qui est la première réponse à mon propre post) mais apparemment aucun de ceux qui m'ont répondu, à commencer par toi, ne l'ont lu.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 3.

    Comme dans un post additif, effectivement, Gnome n'était pas un bon exemple. Xfree me parait mieux : conseil décidant des orientations de développements, une certaine opacité dans les prises de décisions, tout le monde ne peut pas poster un patch, etc.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 2.

    Lit l'article au lieu de dire des bêtises.
  • [^] # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 6.

    Mmm, à la réflexion, Xfree est un meilleur exemple que Gnome de projet OS de type Cathedral.

    Cordialement,
  • # Re: Open versus closed sources

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open versus closed sources. Évalué à 8.

    Afin d'éviter justement les commentaires qui prennent pour argent comptant la chose, précisons que l'article ne "montre" rien du tout. Il s'agit d'un article présentant un modèle de mécanique statistique de la dynamique des bugs logiciels. L'une des conclusions du modèle est que le système de type "bazaar" (KDE par exemple) est plus efficace et rapide à la correction de bug que les systèmes de type "cathedral" (logiciels propriétaires, Gnome).
    Cela n'implique bien sur pas que ce modèle est réellement vailde : seul l'avenir le dira. Il précise aussi que certaines présomptions faites pour établir la base du modèle sont inexactes et demaderont plus de recherches pour affiner ledit modèle. Mais ses conclusions sont intéressantes néanmoins.

    Cordialement,
  • [^] # Re: Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde. Évalué à 1.

    Bien sur que des choses sont brevetables. Toutes les innovations techniques le sont. Le projet de loi assurent apparemment maintenant que des innovations informatiques intégrées à ces innovations techniques pourront également être brévetées.
    Une fos de plus, cela ne semble pas s'appliquer aux innovations informatiques qui s'appliquent aux standards du marché. Rien dans ce que tu m'as dit pour le moment ne prouve le contraire. Les articles disent clairement que :

    - "un algorithme est, par nature, non technique et ne peut donc constituer une invention technique". Donc pas de brevet d'un algo sans une 'innovation' technique matérielle à côté.
    - "L'invention n'est en aucun cas brevetable si la contribution à l'état de la technique se rapporte uniquement à des éléments non brevetables". Pas de brevet possible d'un algo si l'innovation technique elle n'est pas brevetable.

    J'avoue ne pas voir ou tu bloques mais tu dois penser la même chose de moi. :-)

    Cordialement,
  • [^] # Re: Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde. Évalué à 1.

    Ce n'est malheureusement pas impossible, je suis d'accord. C'est pour ça que j'aimerais bien connaitre la raison officielle de rejet de l'ammendement Rocard et en quoi consistait cet ammendement. Je pourrais chercher sur les sites européens, mais je n'ai pas le temps pour le moment. Pas la peine de me donner des "on dit". Si quelqu'un a un lien vers le texte officiel et la raison du rejet donnée par la commission juridique, p ar contre, je suis preneur. Cordialement,
  • [^] # Re: Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde. Évalué à 1.

    Non, c'est bien la même version mais plus loin. Regarde le Considérant 13 quater page 9. Cordialement,
  • [^] # Re: Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde. Évalué à 1.

    Je recommence. Ce n'est pas brevetable si "la contribution à l'état de la technique se rapporte uniquement à des éléments non brevetables". Si tu ne peux breveter l'élément matériel, l'élément 'technique', tu ne peux faire de brevet logiciel. Il ne suffit pas qu'il y ait un élément "technique', il faut que lui-aussi soit brevetable. C'est en tout cas comme cela qu' j'interprète ces articles. Cordialement,
  • [^] # Re: Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une analyse sur la brevetabilité des logiciels dans Le Monde. Évalué à 0.

    Et je répète ce que moi j'ai déjà dit dans l'autre sujet : c'est une directive européenne, qui devra être le minimum vital dans tous les pays, ou la tentation serait éventuelement d'être encore plus libéral. L'objectif d'une directive européenne n'est pas forcément de faire plus ou moins que la législation français, elle est de faire un minimum que tout le monde devra respecter. Si c'est déjà comme ça en France, alors la situation actuelle, qui ne semble choquer personne, ne devrait pas changer. Ou est le problème? Cordialement,
  • [^] # Re: il n'y a plus de différence entre appareil électronique et ordinateur !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Michel Rocard s'oppose à la brevetabilité des logiciels dans Libération. Évalué à 0.

    Le projet de loi s'applique, autant que je le comprenne (voir mes nombreux autres posts sur le sujet), aux programmes liés à des innovations techniques suceptibles elle-mêmes d'être brevetées. Donc, tu peux breveter un programme s'il fait partie d'une invention technique elle-même brevetable. Il s'agit donc dans la grande majorité des cas de développements très lourds en investissements et cela ne s'appliquent pas à mon sens à un quelconque programme qui s'appuie sur des standards matériels, donc par définition non brevetables. Je ne suis pas convaincu que ces brevets logiciels soient vraiment une bonne chose mais dans l'état actuel du projet, il ne me semble pas que l'ensemble de l'informatique soit spécialement en danger. Il se pourrait même que cela encourage la mise en place de standards par les industriels, comme cela se fait par exemple avec les mémoires de PC et le JEDEC, afin de limiter les couts de license,la complexité de recherche de 'prior art' et tout simplement, les risques. Cordialement,