T_T_T a écrit 47 commentaires

S'il y a vraiment une difficulté pour trouver le nom final, il lest toujours possible, si la taille des donnés le permet de tout mettre dans un gros buffer temporaire à écrire sur disque à la fin.
Par exemple la classe io.Stringio.

Mais une fois le "découpage" effectué, on accède facilement aux premier et dernier fichier et à leurs indices respectifs, donc j'avoue que je pense qu'il nous manque des petites briques pour bien tout comprendre.

Peut-être pourrais-tu utiliser filter pour moins te prendre la tête avec les indices et les chiffres dans tous les sens (et les fichiers manquants)? Sur des quantités acceptables, ça devrait faire le taf.

En code non testé écrit à la volée, ça donnerait

for year, range_ in byYear.items():
    start, end = range_
    with open('twic%s.pgn' % year, 'w') as outfile:
        for current_file in filter( lambda twic_name: start <= int(twic_name[4:-4]) <= end, my_sorted_twic_files ):
            with open(current_file) as infile: etc.

Mais je ne comprends pas trop comment tu ne veux pas maintenir ce dict dans ton fichier.
Il me semble que c'est une info fondamentale, comment t'en sortir sans?
Tu peux séparer fonction et paramètres, mais je vois difficilement comment faire plus par rapport à ton besoin.

Je ne suis pas certain de comprendre tout le besoin, mais ton problème (et le label [NOOB INSIDE]) me fait te proposer

• De lister les fichiers avec le module glob. Tu peux faire plus fin en combinant os.listdir et le module regex re.

• Tu peux ordonner tes fichiers en précisant selon quelle clef tu souhaites classer (l'ordre alphabétique n'est pas nécessairement celui que tu souhaites).
  Cette même fonction peut te permettre d'extraire l'information du ton nom de fichier pour le nom final du fichier concaténé.

• Pour itérer 500 par 500, un truc vite fait donne
  
while lst:
head = lst[:500]
l = lst[500:]
print( head )

  Une rapide recherche me donne aussi
  
[lst[i:i + 500] for i in range(0, len(lst), 500)]


• Je te suggère de bien vérifier qu'il n'y a pas de trous dans la numérotation de tes fichiers, sinon tu vas t'arracher les cheveux dans quelques semaines!

C'est la même entreprise (ZSA) qui vend les deux, effectivement.
Le Moonlander est une évolution de l'Ergodox en quelque sorte.

Perso je me suis offert le https://www.zsa.io/moonlander/ (qui est hors de prix).

Tu peux configurer tes touches à l'envi, mettre en place des combinaisons de touches (utile pour les IDE).
Je suis resté en qwerty pour les lettres, mais j'ai déplacé les symboles de programmation (), [], {} à des endroits plus centraux.

Ça peut être un palliatif pour des personnes souhaitant avoir un meilleur accès à des touches spéciales sans pour autant passer sur des dispositions plus exotiques comme le bepo.

Perso j'en suis satisfait (achat récent), mais c'est extrêmement cher (est-ce que je me force à trouver ça bien?), donc il faut réfléchir. Certains employeurs peuvent peut-être aider ?

Oh, et ils font aussi leur planche https://www.zsa.io/planck configurable de la même façon.

Je ne suis pas (encore) utilisateur de ce cadriciel pytest mais pour un projet que je dois récupérer je m'y intéresse de près. Et en particulier tout ce qui concerne la surveillance des ressources consommées par les tests. Autant dire que cette dépêche tombe à point, merci !

Point important à mes yeux, pytest-monitor gère-t-il l'exécution de tests en parallèle ?
Est-ce transparent ? Faut-il une attention particulière ?
Je pense à des extensions comme pytest-xdist ou pytest-parallel. (D'ailleurs si quelqu'un peut me faire un retour sur ces deux extensions, je prends !)

Donc tu dois souvent tout recompiler dés que tu changes de machine.

Ca ne me dérange pas trop, tant que tout le processus est fluide et les dépendances sont propres, ce n'est "que" du temps machine.

Tu peux avoir 50 compilateurs en parallèle avec Nix, ce n'est pas un problème.

Donc un même paquet (disons une bibliothèque), avec les mêmes options et tout et tout, mais compilé avec un compilateur GNU et un autre Intel (par ex) vont pouvoir vivre leur vie proprement dans l'écosystème nix sans conlits vicieux ? Bonne nouvelle, je vais essayer!

Je travaille dans une entreprise où tout est sclérosé, où les environnements sont vieux, etc.
J’avais regardé avec interêt nix pour me construire un système moderne sans avoir à me palucher toutes les recherches des dépendances à la main, ni tous les ./configure --prefix=… && make && make install.
Malgré mes efforts (c’était au moment de nix 2.0.x), je n’avais pas réussi à faire marcher les installations ailleurs que dans /nix.
Comme je n’étais pas root et que bien sûr un tel répertoire était impossible à obtenir, j’avais dû abandonner.
Sais-tu si ça marche de ce côté-là ?

Deuxième question, tu présentes pas mal de personnalisations des paquets nix, ce qui m’intéresse beaucoup.
Je travaille dans la simulation numérique et j’ai jeté un œil à spack qui permet d’installer des paquets en personnalisant les dépendances par de simples arguments depuis la ligne de commande. Détail très utile dans mon cas, le compilateur utilisé pour la construction fait lui-même partie des dépendances (configurables) et peut coexister avec le même paquet compilé avec un autre compilateur !
Quand on travaille avec 3 versions de 4 compilateurs différents, c’est vraiment pratique.
Que penses-tu de l’utilisation de nix (et de toutes les variations que tu présentes en ce moment : je te remercie) dans ce contexte ?

Ça s'est déjà vu, il y a 2600 ans à Sybaris.

On apprend même qu'il s'agirait du premier régime de propriété intellectuelle de l’Histoire !

donc la taxe créé une augmentation de 150 %

Donc la taxe et bien de 150 % ?

Prenons l'exemple de la TVA, à 19.6 %, on prend le prix hors taxe, et on ajoute 19.6 % du prix.

Le même raisonnement donne bien une taxe de 150 %, puisqu'on ajoute 150 % du prix hors taxe.

J'entends souvent dire que sur 100 euros, il y a 60 Euros qui part à l'état. (J'ai souevnt entendu 80 Euros, mais bon, c'est pas ce qui est mis dans cet article).

Et on déduit immédiatement que l'essence est taxé à 60 %.

Sauf grosse erreur de ma part, sur les 100 euros, il y a 40 euros d'essence, 60 de taxes. La part des taxes correspond donc à 1.5 fois le prix de l'essence, donc l'essence est taxée à 150 %, et pas à 60. (Pour 80 %, ça devient 400 % de taxes !)

Je me trompe ? Ou bien c'est quand on indique que "sur 100 euros, il y a 60 % qui part à l'état" qu'on se trompe ?

Oui, parce qu'on n'a pas vendu l'exclusivité des droits TV des chanpionnats russes et bulgares en France (contrairement à ceux de la coupe du monde).

Il n'y avait donc pas de "conflit" entre une chaine française détentrice de ces droits et les autres chaines étrangères.
Pour la coupe d'Italie, ça devait être le même problème.

En tout cas, si tu trouves un canal qui retransmet la coupe du monde sur la FreeBox, ça m'intéresse, mais je suis assez pessimiste.

Je ne pense pas qu'on ait accès aux chaînes étrangères qui retransmettent le football.

Durant les phases qualificatives de la coupe du monde, j'allais systématiquement voir sur la Rai les matchs de l'Italie, et j'avais presque toujours un écran noir. Ca m'est même arrivé pour des matchs amicaux.

Alors j'imagine que pour la coupe du monde, ça sera pareil, voire pire. (Mais il y a peut-être une petit chaîne qui va passer à travers les mailles du filet ?)

Proposer un éventail d'outils scientifiques libres est une excellente initiative. Il y avait bien le projet Artouste (http://www.univ-pau.fr/~artouste ), mais il était plus orienté programmation/étudiants qu'ingénieur.

CAELinux va permettre de tester (et faire tester) des alternatives libres d'excellente facture (code_aster, c'est très très robuste ; OpenFOAM propose pas mal de choses aussi), et pourquoi pas de les faire adopter doucement en entreprise (on peut rêver :o).

Mais la grosse partie du problème, c'est le support : que faire si la petite (?) entreprise qui se lance dans le support d'un code libre se plante ? Il y a aussi le problème de la validation. Je trouve qu'en général, tous ces codes libres ne mettent pas assez en avant la qualité du code, et les résultats de leurs cas tests. Du coup on hésite un peu à les utiliser (ça prend du temps - et donc de l'argent - de tester)

Bref, pouvoir tester sans trop de difficultés, c'est déjà un permier pas.

Donc merci pour CAELinux.

Effectivement, c'est le problème de beaucoup de codes libres : souvent très puissants dans la niche qu'ils occupent, mais délicats à utiliser. C'est aussi en ça que l'initiative code_aster est intéressante, puisqu'elle propose un outil très performant, avec des outils de pre et post traitement pour l'utiliser.

En règle générale, je crois peu à un code scientifique libre s'il n'est pas soutenu directement par une compagnie.

Sinon, en cherchant dans mes liens, j'ai retrouvé OpenFOAM, un code libre (libéré il y a "peu" par une entreprise qui vend des compétences autour de la CFD. J'espère que ce genre d'initiatives se généralisera, et c'est tout à fait possible que ce modèle fonctionne, car ne pas avoir à payer des licences à 20 000 $/an, c'est tout de même appréciable pour le client. Le service serait différent de celui fournit par une boite comme Abaqus, mais ça serait vraiment une alternative intéressante pour beaucoup de clients.).

http://www.opencfd.co.uk/

Concernant les modèles, tu devrais trouver ton bonheur. Question ergonomie, je ne l'ai jamais utilisé, mais il me semble qu'ils ont fait des efforts.

je cherche depuis un moment un code de calcul "gratuit" en mécanique des fluides

Je suis depuis quelques temps le Gerris flow solver (de manière bien trop passive malheureusement ; je n'ai pas le temps de m'y consacrer, à mon grand regrêt).

Le lien est http://gfs.sourceforge.net

Je ne sais pas s'il correspondra à tes besoins, mais ça peut valoir le coup d'essayer.

En particulier, il permet de gérer de façon assez simple (peut-être pas de façon optimale, mais bon), un calcul en parallèle sur plusieurs machines.
Il dispose également d'un système de maillage adaptitif très agréable.

Concernant les modèles utilisables, je t'invite à regarder le site. (Même si je ne suis pas certain qu'il convienne à une utilisation aéronautique)

Et bien je pensais comme toi, mais le dictionnaire de l'Académie française [1] ne propose que 'antidater'

Sur granddictionnaire.com, ils indiquent également que : "Dans le terme antidater, le préfixe anti- est en fait une variante de anté- qui exprime l'antériorité."

Je pensais que c'était 'ante', parce qu'en latin, ça veut dire avant, et que tout le monde se trompait en disant 'anti'. Et en réalité, c'est moi qui me trompe ! (Même si je pense - sans autre raison qu'on orgueil un peu mal placé ! - que le terme anti est arrivé à l'époque parce que tout le monde se trompait :o)

[1] : http://atilf.atilf.fr/academie9.htm(...)

Il me semble qu'il existe des ponts spécialement pensés pour être utilisés avec des ordinateurs protables, qui gèrent le réseau par ethernet, mais qui s'alimentent par prise USB.

Ensuite, je ne sais pas s'il existe des produits qui ont tous les avantages (pas chers, petits, alimentés sous prise USB, sous linux, bonne portée, etc...).

Je faisais la remarque _aussi_ pour tous ceux qui ont un ordi fixe chez eux et qui ne veulent pas nécessairement se "prendre la tête" à installer ou une carte Wifi, ou un Wifi sur USB, etc...

Si ton portable a une carte ethernet, je te conseille d'utiliser un pont ethernet/wifi

C'est beaucoup plus facile à configurer, pas de problèmes de drivers, et il en existe des petits

La différence de prix (éventuelle) est largement compensée par la facilité d'utilisation.

Je trouve cette initiative très intéressante.

J'ai quelques remarques :

Si FreeFEM3D est effectivement libre [1], son cousin FreeFEM++ (qui est un logiciel d'éléments finis absolument admirable, j'invite tous les étudiants/ingénieurs/chercheurs à aller voir de quoi il retourne) ne me semble pas libre (de même que la bibliothèque de maillage bamg, du même auteur), du fait, à mon avis, de pbs de licences de style INRIA. Idem pour Scilab. Il serait dommage de priver les étudiants de tels outils, mais ça peut en gêner certains.

Il est dommage que la GNU Scientific library [2] ne soit pas dans cette compilation. Cette bibliothèque permet de faire pas mal de choses (optimisation, intégration numérique, valeurs propres, fonctions "scpéciales", etc...) dans un environement cohérent, et d'utiliser facilement blas, lapack... Ce que je trouve très pratique. Est-ce un oubli ou un choix ?

De "gros" logiciels comme code_aster [3] (code libre de modélisation des structures par FEM), ou bien le gerris flow solver [4] ne sont pas des logiciels très utiles pour l'étudiant lambda, mais il pourrait être intéressant (pour une version DVD ?) de les inclure pour montrer un peu où en sont les logiciels libres pour ce genre de codes habituellement onéreux.

Bonne continuation.

[1] http://www.freefem.org/(...)
[2] http://www.gnu.org/software/gsl/(...)
[3] http://www.code-aster.org/(...)
[4] http://gfs.sourceforge.net/(...)

En quelque sorte, oui ; même si - tu seras d'accord avec moi - il est délicat de comparer les deux problèmes.

Tu écris, quelques postes plus haut, que Nous passons à une économie de l'immatériel. Je ne suis pas d'accord.

Pour moi, le logiciel n'est pas réellement immatériel. C'est un produit comme un autre. Il existe bel et bien. Quand j'utilise un ordi, je le vois.

Le changement pour les logiciels, c'est que c'est essentiellement le savoir/travail pour créer le produit qui coûte, et plus la matière première (un CD ne coûte rien).

Mais dans le fond, ça reste un produit comme un autre.

Forcément, il faut un temps pour réaliser et admettre ça. Mais si on l'admet (ce qui n'est pas obligatoire, je le conçois), il n'y a pas de raison que ce qui s'applique pour les autres produits ne s'applique pas pour les logiciels.

> Or je ne crois pas que tu puisse dire que le logiciel libre soit un avatar du capitalisme.


Moi, je considère au contraire que linux est un pur, voire caricatural produit du capitalisme.

On est au début des années 90, le système MS-Windows a le quasi monopole des logiciels grand public, est bugé, propriétaire, etc... Beaucoup de monde en a marre. Sur le marché des logiciels, il y a donc une place pour un autre produit, qui répond aux attentes des consommateurs : linux, qui est libre, stable, gratuit, etc... L'exact et absolu opposé de Windows, i.e. le côté caricatural dont je parle ci-dessus.

Et c'est le capitalisme, et sa liberté d'entreprendre, qui ont permis ça : quand le produit actuel ne staisfait pas/plus, il est remplacé par quelque chose qui répond mieux aux attentes des consommateurs. Il y avait de la place sur le marché des logiciels, Linux s'y est mis.