zewoo a écrit 19 commentaires

  • [^] # Re: Coquille

    Posté par  . En réponse au journal Le oui français à Microsoft. Évalué à 1.

    Ils font pas mal d'informatique à l'INRA, mais principalement de l'appliqué :)
  • [^] # Re: ...

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi ne pas passer à Linux. Évalué à -10.

    <HS_mode>
    > "Si vous pensez que les hackers ne sont qu'une bande d'anarchistes prête à tout mettre à feu et à sang parceque ça les amuse , vous vous trompez du tout au tout : nous sommes bien pires que ça"
    No One Is Innocent power !!!!
    </HS_mode>
  • [^] # Re: Mon avis

    Posté par  . En réponse au journal Découverte de Debian, pour un non-debianneux.... Évalué à 3.

    > Et est-ce que la debian unstable est "instable" ?

    Aucun problème majeur non-plus depuis 3 ans; Si tu a un peu peur, tu peux utiliser testing, qui est à peine plus vieille (une quinzaine de jour en moyenne pour qu'un package passe de unstable en testing), et là il n'y a vraiment plus du tout de problème.
  • [^] # Re: Tablet PC & linux ...

    Posté par  . En réponse au journal Tablet PC. Évalué à 3.

    quelques softs:
    http://groundstate.ca/tabletsoft(...)

    la liste est courte, mais elle à le mérite d'exister :)
  • # juste au passage

    Posté par  . En réponse au journal Un grand dilem. Évalué à 6.

    dilem -> dilemme
  • [^] # Re: Communiste?

    Posté par  . En réponse à la dépêche RMS nous parle des brevets logiciels et des accusations de « communisme ». Évalué à 2.

    > Concernant le nivellement par le bas, c'est encore une idée reçu assez fausse
    Oui, sauf qu'il faut replacer ça dans le contexte de ce que j'ai dit. Je n'ai pas dit que c'est l'idée mais que c'est l'application qui en est faite actuellement!
  • [^] # Re: Communiste?

    Posté par  . En réponse à la dépêche RMS nous parle des brevets logiciels et des accusations de « communisme ». Évalué à 2.

    oui c'est ce que j'ai voulu dire effectivement, désolé.

    La racine libre de liberalisme n'a pas la meme signification que dans logiciels libre.
    Dans le liberalisme ils y a la notion de libertés individuelles d'où la notion de propriété; Et qui dit propriété dit droit pour l'individu de jouir du fruit de son activité, des richesses qu'il crée, et d'en disposer à sa guise, y compris en excluant autrui de leur usage. Et c'est justement ce dernier point qui veut être évité. Et ça ne contredit absolument pas tes arguments. Et je n'ai absolument pas dit le contraire non plus.
    C'est un peu du vent ce que tu dis: remplaçons logiciels libres par logiciels propriétaires et ça marche encore. Le liberalisme est plus dans ce cas le droit de chacun de faire du propriétaire ou du libre selon son choix... Ce qui est plus orienté licences BSD.
    Le libre (peut-être un peu extremiste, représenté par la GPL et les équivalents) tend vers des idées communistes.
  • [^] # Re: Les brevets logiciels favorisent l'innovation.

    Posté par  . En réponse au journal Petite reflexion sur les brevets logiciels. Évalué à 2.

    > non, un brevet n'est pas cher. Si une boite dépense des années de salaires de chercheurs, elle peut bien payer qqes milliers d'euros en plus pour déposer son brevet.
    Ca c'est valable pour une grosse boite. Pour une petite boite style start-up ce n'est pas vraiment le cas. Il ne faut pas oublier qu'un certain nombre de brevets concerne des idées novatrices: souvent simples à mettre en oeuvre, mais auquelles personne n'avait pensé avant.

    Mais sinon, oui, le brevet, à mon avis peut être une bonne chose, dans de bonnes conditions.
  • [^] # Re: Communiste?

    Posté par  . En réponse à la dépêche RMS nous parle des brevets logiciels et des accusations de « communisme ». Évalué à 2.

    Disons qu'il y a de bonnes idées et de moins bonnes.
    Il est clair qu'une partie de l'intéret de la vie est donné par l'envie et le rève, mais le communisme ce n'est pas tout le monde a acces à tout., mais plutot tout le monde peut avoir acces à tout. Imaginons, que cet acces se concretise par un salaire à l'identique... Tu va me dire, oui, mais celui qui travaille plus doit gagner plus. Je suis d'accord. Mais bon c'est pareil, on voudrait que tous les logiciels soient libre, ok; mais certains qui bossent beaucoup sur certains projet ne veulent pas forcément que tout le monde en profite: c'est exactement la même chose.
    Disons pour être moins franc que les idées d'égalité remises dans le contexte étaient bonnes: abolir tout ce qui est privilèges innés, bénéfices de réseaux (style réseaux d'anciens), ce genre de choses.
    Par contre c'est (je l'ai dit plus haut) une utopie, donc par définition c'est inapplicable: la première raison c'est que de base on n'est pas égaux: les envies de chacun diffèrent, les gouts tout comme les capacités. Sur ce dernier point, une idée "communiste", c'est un peu ce à quoi tendent certaines personnes avec leur BAC: l'égalité pour tous même si pour ça il faut réduire la quantité de connaissances à acquérir: c'est un nivellement par le bas. Mais bon, ça fait un peu appel au troll là.
    Après si on est motivé on vire philo: est-ce que le bonheur peut se vivre dans l'uniformité? Est-ce qu'il y a un quota de bonheur ? et dans ce cas le fait qu'il y ai toujours des privilégiés et des mal lottis en découle?
    D'un autre coté le terme utilisé par Bill Gates n'est surement pas du au hasard: avec la situation de Microsoft aux USA et la vision du communisme (bolchévisme en fait?) là-bas; Il essaie de se servir de l'opinion publique contre le libre. Et en fait même ici ça marche: au moins ça nous fait parler... :(
  • [^] # Re: tentative légère d'historique

    Posté par  . En réponse au journal Petite reflexion sur les brevets logiciels. Évalué à 1.

    > Ca permettrait à mon avis d'éviter les brevets stupides qui sont déposés régulièrement.
    Pour ça je suis assez d''accord. Dans cette optique il reste quand même un gros problème, à mon avis, c'est les mentalités: quand on créé une entreprise, ou plus généralement, quand on est à la recherche d'investissements, dans les documents style business plan, un des arguments fort est justement le brevet. Donc, au final, ce n'est pas vraiment l'entreprise qui paye mais les investisseurs, et comme dans pas mal de cas, ils sont plus calés business que technique... En fait si on a pas de brevet ou si on ne compte pas en déposer, les investissements seront beaucoup plus durs à trouver: c'est un peu vu comme une sécurité :(
    Pour les grosses boites, le problème se pose moins: pour IBM, qu'est-ce que 10000¤? bien peu de choses...

    > Est-ce à dire que le problème des brevets logiciels ne sont pas les brevets, mais les organismes/états ?
    Je ne pense pas que ce soit si binaire. La loi doit faire justice avec justesse: il faut être sur que les organismes "certifiés" font bien leur travail... Par exemple, l'OEB délivre depuis longtemps des brevets sur les logiciels, et pourtant le brevet logiciel n'a aucune valeur juridique (jusqu'à maintenant) en france. Dans quel but? Est-ce parce qu'ils sont visionnaires et qu'ils se doutent depuis longtemps que les brevets logiciels passeront et qu'ils se disent que la décision sera rétroactive? Ou est-ce tout simplement parce que cela leur fournit une source de revenus non-néglifeable? L'utilisation qui en est faite après eux, n'est absolument plus leur problème: même au niveau internationnal, on peut contester un brevet: il n'a vraiment valeur juridique que quand il est validé par une cour.
    D'un autre coté on a bien aussi notre problème de ROI: est-ce que de nos jours, le principe des brevets, qui était totalement valable il y a 3 siècles, l'est encore? que ce soit dans le champ logiciel ou même matériel globalement.
  • # Communiste?

    Posté par  . En réponse à la dépêche RMS nous parle des brevets logiciels et des accusations de « communisme ». Évalué à 6.

    Attention, il faudrait préciser, que c'est la vision américaine du communisme: celle de la guerre froide. En gros c'est stallinisme qu'il faut comprendre.
    Ici quand on dit communisme c'est plutot du marxisme. On a une utopie d'un coté (le notre) avec ses bon cotés et de l'autre one référence à une application de cette utopie, et tous les mauvais cotés que l'on connait.

    Le communisme est une bonne chose, toutes les application qui ont été tentées en ont été de mauvaises. Et l'esprit libre et une forme de communisme (l'esprit libre pour le moment est une bonne chose, mais il reste en grande partie une utopie).
  • [^] # Re: tentative légère d'historique

    Posté par  . En réponse au journal Petite reflexion sur les brevets logiciels. Évalué à 1.

    > on peut breveter des idées qui sont déjà exploitées depuis des années.

    A priori, en droit français non! C'est pour ça que OEB (office europpéen des brevets doit effectuer des recherches d'antériorité).
    Par contre au niveau international, là, je ne sais pas.

    Je n'ai aps l'article de loi sous les yeux; à défaut: http://www.bredema.com/plan-MENU_TYPE-h-langue-fr-MENU_T2-2-graph-b(...)
  • [^] # Re: tentative légère d'historique

    Posté par  . En réponse au journal Petite reflexion sur les brevets logiciels. Évalué à 1.

    > Dans ce cas, pourquoi ne pas réduire simplement la durée de validité des brevets? Dans la mesure ou, pour un développement logiciel par exemple, le retour sur investissement peut être très rapide, contrairement au matériel ou il faut investir dans des infrastructures parfois couteuses pour pouvoir mettre un brevet en oeuvre?
    Peut-être le problème est-il double: d'un coté réduire la durée des brevets pour l'ajuster sur le ROI amènerait des brevets sur de trop courtes périodes; sachant que les brevets se payent, qui irait payer 10000e (ça doit être l'ordre de grandeur pour une validité européenne si je me souviens bien) pour un brevet qui durerait 6 mois, ou 1 ans? Et donc les organismes les délivrant vont freiner ce genre d'orientation; D'un autre coté ce n'est pas le petit peuple (donc nous) qui veux faire passer les brevets, mais les gros industriels, qui eux ont des raisons de les garder sur de longues périodes. On se ramène à ton déséquilibre grosses sociétés / PME.

    >Un brevet est censé protéger une innovation, c'est à dire quelquechose qui n'existait pas avant que l'inventeur ne le crée, pas quelque chose qui existe déjà mais qui n'a pas été breveté, et ce indépendamment du fait que l'invention soit 'évidente' ou non.
    Là on touche un tout autre problème: à priori, les organisme de dépot de brevets soint sencés effectuer des recherches d'antériorité; Mais là, c'est à l'organisme d'^tre sérieux ou surveillés par les états...

  • [^] # Re: et les distribs?

    Posté par  . En réponse à la dépêche SHA-1 aurait été cassé. Évalué à 1.

    cf ma réponse plus haut: md5 à été cassé mais simplement dans le sens où l'on peut trouver des collisions; Mais concretement on ne peut encore rien en faire de manière utile.
  • [^] # Re: Temps de réfléchir à un nouveau standard ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche SHA-1 aurait été cassé. Évalué à 10.

    Les recommandations faites par les cryptologues (voire par exemple les gens de l'ENS: Jacques STERN par exemple est mondialement reconnu) ne concernent plus SHA-1 depuis un moment, maintenant on est à SHA-256 et meme plutot SHA-384. Ces algorithmes ne sont pas de simples extension de SHA-1 mais des variantes, donc les attaques de ces cryptographes ne fonctionneront à priori pas; Bien qu'il n'aient mis que 6 mois pour les adapter à partir de leur version sur un SHA-1 affaibli...
    Niveau recommandation, dans le même esprit, cela fait un moment que DES n'est plus recommandé (et triple-DES guère plus), mais que seul AES l'est.

    Il faut voire que l'appellation casser un algorithme de cryptage dépent énormément de ce que l'on veut faire: est-ce qu'être capable d'extraire des collisions est suffisant? Pour autant, cela n'est pas utilisable pour casser une utilisation: ce qui est intéressant, c'est être capable de créer des collisions à partir de n'importe quelle données en entrée; ou de retrouver les sources des collisions, en ayant une empreinte à disposition... Ainsi pour le commerce électronique ou tout autre application nécessitant de la sécurité, ce résultat nouveau n'apporte rien d'utilisable en pratique (encore plus s'il est relativement semblables à leur travaux de l'été dernier: ils pouvaient trouver des collisions, mais pas en trouver qui correspondaient à une empreinte donnée)

    Enfin, juste comme ça; Citer Bruce Schneier n'est pas vraiment gage de valeur: il n'est pas vraiment consideré comme un spécialiste dans le milieu de la crypto: son bouquin est une bonne introduction (la meilleur disponible certainement) mais cela s'arrete là. Il y a des erreurs dans les algorithmes de son bouqin.
  • # tentative légère d'historique

    Posté par  . En réponse au journal Petite reflexion sur les brevets logiciels. Évalué à 3.

    A l'origine (époque: monarchie), le brevet était un réel moyen de promouvoir l'évolution: ils donnaient aux potentiels inventeurs une raison valable de passer du temps sur une idée, le droit d'exploitation exclusif pendant un certain temps. Mais attention, l'époque nétait pas du tout la même: il faut bien voir que le nombre d'inventions était beaucoup plus faible et que donc les problèmes qui nous sembent évident ne l'étaient absolument pas.
    Maintenant, pourquoi trouve t'on de réels problèmes de nos jours? C'est simplement car les brevets ne conceraient pas l'immatériel comme les logiciels; on essaie d'appliquer quelque chose destiné à du concret, du palpable à des idées...

    Le brevet en lui-même pourrait rester une idée intéressante avec les logiciels, dans les même condition de vitesse de développement qu'à l'époque. Le fait que tout aille beaucoup plus vite implique que maintenant un brevet bloque les marché plus qu'il ne les favorise. Le problème est donc l'utilisation qui en est faites.

    Un problème à se poser n'est peut-etre pas en fait si maintenant il favorise ou non le progrès, mais s'il le fera encore dans 5, 10 ans?
    Si les grosses sociétés (celle qui déposent le plus de brevets niveau logiciel; par exemple IBM possède plus de 40000 brevets, Microsoft en possède tout de même 4000...) décident de bloquer completement l'évolution, il le pourront certainement...
  • [^] # Re: Prépa !!!

    Posté par  . En réponse au journal Encore l'orientation..... Évalué à 1.

    > Sans vouloir en refoutre une couche, EPITA et EPITECH ne SONT PAS des ecoles d'ingenieurs!!!

    Pour EPITECH, ok; Pour EPITA, ben tu iras dire ça à des gens qui sont dans la vraie vie et qui connaissent la vraie valeur des gens et des diplomes...
    Ce n'est pas vraiment ton avis d'étudiant qui va compter plus tard, mais tes compétences, et là tu risques d'être surpris par ces gens là. Et je sais ce dont je parle j'en croise tous les jours et des X des centrale... Et curieusement là, le diplome n'a plus de valeur, et les gens travaillent avec ce qu'ils savent vraiment faire!

    > Bah j'ai fais un IUT info et je suis en école d'ing, et je suis loin d'etre a la ramass (contrairement a un certain nombre d'autres qui ont fais prépa avant, mais faut peut etre pas généraliser...)
    Je n'ai pas dit , loin de là, que vous étiez à la ramasse, j'ai dit que dans certains cas cela se sentait. Par exemple, des boulot dans imaginons, de la simulation en environnement orienté chimie, ou dans une centrale nucléaire. Là il n'y aura pas trop photo. Ce sont des exemples un peu extrèmes, mais les missions multidisciplinaires sont plus fréquentes qu'on veut bien nous le dire en école.
    Pour les DESS, les différences se sentent au niveau des matières annexes: le droit, le management ce genre de choses.
    Bien entendu, il faut comparer ce qui est comparable: par exemple de bons élément de part et d'autre.
  • # Prépa !!!

    Posté par  . En réponse au journal Encore l'orientation..... Évalué à 2.

    Si tui n'a pas trop besoin de bosser pour avoir ces notes, je te conseille à fond de faire une prépa puis une école d'ingénieur.
    On beau dire ce qu'on veut, la différence entre les gens qui font ça et ceux qui font DEUG...DESS ou encore IUT école d'ing se sent quand même dans certains cas...
    Et oui il en existe hors de Paris, ya des écoles comme ESIAL, ESSI qui sont correctes, sinon, faut aller vers des écoles plus généralistes ou élitistes: ENSIMAG, ENSEIHT, TELECOM, Supelec...

    Donc si tu ne galere pas maintenant, fonce, tu va galerer pendant deux ans (comme tout le monde dans cette voie là) mais après tu auras vraiment appris à bosser. Et puis chose non négligeable, tu aura fait autre chose que de l'info (de la physique, de la chimie peut-etre...) . C'est de la culture et c'est un plus pour la suite.

    Essaye aussi de voir les interconnexions possibles entre l'école et la fac (par exemple faire en parallèle une formation en maths, ou en dernière année un DEA)... Comme ça, si jamais tu veux te forger une double compétence ou continuer en thèse cela se fait de manière plus simple.

    Si tu veux faire du technique tout de suite et que la théorie n'est pas ton truc (pas doué ou pas intéressé) un IUT est une bonne solution, et apres l'IUT, tu peux rejoindre certaine école d'ingénieur, ou continuer par IUP, ou Licence -DESS...

    Enfin, sans en parler EPITA et EPITECH sont deux écoles différentes: l'une d'ingénieur et l'autre de spécialistes en info !!!
  • [^] # Re: X + ENSAE = ?

    Posté par  . En réponse au journal L'effet pervers du logiciel libre et de la "nouvelle conomie" : la concentration du savoir. Évalué à 1.

    Certaines personnes ayant le meme cursus de BASE ont des points de vue beaucoup plus réalistes et humble; Crois-tu que tu dispose du recul suffisant pour pouvoir juger en ayant à peine étudié 2 ans les sciences économiques? Ca me semble un peu juste.

    Regarde les publications de: http://www.dauphine.fr/imri/dalle/jean-michel.html