Revue de presse de l’April pour la semaine 32 de l’année 2019

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Édité par Davy Defaud. Modéré par Ysabeau 🧶. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
20
13
août
2019
Internet

Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.

[La Libre.be] Bienvenue dans les « labos » de l’ère numérique

✍ Pierre‐François Lovens et François Mathieu, le vendredi 9 août 2019.

« Il aura fallu un peu de temps pour que la marée des “fablabs” touche la Belgique. Mais, cette fois, elle a pris suffisamment d’ampleur pour commencer à irriguer l’ensemble du plat pays. Et si on en croit les experts, ce ne serait que le début d’une véritable révolution. »

[Programmez !] Open Source : les géants technologiques trop présents ?

✍ ftonic, le mardi 6 août 2019.

« Ce débat n’est pas réellement nouveau. Régulièrement, la question se pose : les géants de la tech sont‐ils trop présents dans l’open source ? Il n’y a qu’à voir les rachats de GitHub, de Red Hat et les milliers de développeurs de ces éditeurs / constructeurs dans les projets ouverts. »

Et aussi :

[Nticweb.com] Aux origines de l’Open Source (Partie II)

✍ Samir Roubahi, le lundi 5 août 2019.

« Nous avons précédemment parlé des enjeux historiques de l’Open Source et les conditions qui ont présidé à son apparition. Un groupe de gens visionnaires, un tantinet idéalistes et très motivés ont activement œuvré à en faire une réalité. Ceci part de l’idée que le code source des applications doit être un patrimoine commun à l’humanité et ne devrait pas être la propriété d’un cartel. Le revenu des sociétés informatiques devrait ainsi plutôt venir des services autour du logiciel : intégration, formation, support… »

Aller plus loin

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.