Coren a écrit 30 commentaires

  • [^] # Re: Intéressant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ouverture de Tosca. Évalué à 2.

    C'est la fonctionnalité majeure à laquelle nous pensons depuis longtemps. Elle est dans toutes nos présentations, dans la page "Perspectives", juste avant la conclusion.

    On a un développeur bugzilla dans nos locaux qui est aussi intéressé.

    Pour l'instant, elle n'existe pas. Les demandes peuvent être liées à un ou plusieurs bugtrackers communautaires par le système de contributions, mais c'est bien pauvre comparé à ce que l'on pourrait faire.

    Surtout que, contrairement à launchpad qui résoud le problème en centralisant le tout chez lui, nous pensons plutôt à une version décentralisée, avec des liens maintenus, de la surveillance d'évènements, ce genre de choses. Ça nous semble plus coller au fonctionnement actuel des projets libres.

    Mais c'est carrément plus délicat à mettre en place, ce n'est pas une fonctionnalité qui marchera du feu de dieu avant quelque temps.
  • [^] # Re: Intéressant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ouverture de Tosca. Évalué à 2.

    Effectivement. C'est corrigé.
  • [^] # Re: Intéressant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ouverture de Tosca. Évalué à 5.

    C'est une bonne question.

    Comme dit dans la dépêche : "Tosca est un outil en ligne pour gérer les appels et les demandes de ses clients."

    Ce n'est pas vraiment un bugtracker et encore moins un outil de développement. C'est un outil de production. RedMine est un outil pour développer un logiciel. Tosca est un outil pour l'assurer, une fois qu'il est fini.

    Ce sont des problématiques et des points de vue très différents. On peut citer par exemple la confidentialité : cette notion ou chacun est isolé dans l'univers qui le concerne.
    De la même manière, on n'envisage pas de le relier à des gestionnaires de version (cvs,svn,etc) mais plutot à des dépots debs ou rpms.

    Dans un bugtracker, le projet est mis au coeur du système. Dans Tosca, c'est le client qui est au coeur du système.

    Nous utilisions par le passé un bugtracker pour faire ce métier d'assurance logiciel libre (mantis), et ça ne convenait pas du tout à notre besoin. Tout le monde s'y perdait, et c'était impossible d'envisager de signer avec 50 clients.

    Maintenant, peut-être qu'un jour on trouvera le moyen de réunir ces différents univers dans un seul et même outil. Mais c'est loin d'être simple, et ils sont beaucoup plus éloignés qu'on pourrait le croire intuitivement.

    L'un de nos concurrents cité plus bas, OTRS, fait exactement la même chose. Ils utilisent bugzilla assurer le développement et ils s'utilisent pour assurer la production.
  • # Intéressant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Support de conférence sur Linux embarqué. Évalué à 4.

    Je ne savais pas qu'on embarquait linux pour traire les vaches.
    Ça a meilleur gout le lait d'une vache libre ? ^_^'
  • # Franchement ...

    Posté par  . En réponse à la dépêche gna.org à la recherche de machines hébergées. Évalué à 2.

    Je veux bien que Gna! soit une super forge et tout ... mais ce nom ...

    Gna .... c'est vraiment pas vendeur. Franchement pour un site majeur, vous auriez pu trouver un nom un peu plus "digne".

    Il y a une histoire particulière rattachée ?