Il y a effectivement un champ capture affiché mais il n'y a pas de fader dedans. Ce supposé fader est à zéro et quand je clique dessus, rien ne se passe.
Par ailleurs, dans un autre mixer (gamix), il n'y a pas de fader pour Capture, juste un switch on/off.
Merci pour le lien ;-)
Je & je m'immisce
Dans ce débat
Hautement essentiel
alors siouplé
siouplé
msiou
donne-moi ton oreille
je te donne ma parole
Qu'avez-vous à nous
Chercher les dégâts
Des ombres ?
Discrimination :
1. - [Sans idée de traitement inégal] Action, fait de différencier en vue d'un traitement séparé (des éléments) les uns des autres en (les) identifiant comme distincts. Synon. distinction.
2. - Souvent péj. Traitement différencié, inégalitaire, appliqué à des personnes sur la base de critères variables http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=co(...)
Cette histoire de "discrimination" et de "droit du lecteur" m'amène à dire ceci :
oui, bien évidemment, il y a discrimination entre l'auteur et le lecteur tout simplement parce que l'auteur n'est pas le lecteur et vice versa. Le rapport interne entre le texte produit et celui qui l'écrit ne regarde pas le lecteur et ne le regardera jamais !
Lorsque j'écris, je note ce que je veux de manière à exprimer le fil de mes pensées. Pour ce faire, j'use et j'abuse de la langue selon mon bon plaisir, je la tords et la distords au gré de mes désirs. Je ne vois pas en quoi le lecteur aurait un quelconque "droit" à m'imposer en ce domaine, ni quelque règle que ce soit d'ailleurs.
Un auteur n'est ni un secrétaire ni un scribe qui serait là pour traduire les pensées de supposés lecteurs-censeurs, ni pour respecter des règles que les lecteurs lui imposeraient ! Les lecteurs ne sont pas là pour décider du contenu ou de la forme d'un texte. Et un lecteur ne participe pas à la création du texte. S'il a cette prétention, au lieu de se préoccuper de dire à celui qui écrit comment il aurait du écrire, voire quoi dire, s'il a cette envie, ce supposé lecteur n'a qu'à écrire ses propres textes pour s'exprimer, puis les donner à lire à autrui, sous forme de livre, de lecture publique, de soirée slam... Aller à la rencontre d'autrui pour partager le fruit de ses écrits. Qu'il se mette en danger !
Ecrire n'est ni une démarche mercatique ni une pratique commerciale.
Ainsi, il ne faudrait pas "choquer " les lecteurs ? Ne pas les remettre en question ? Pour écrire de la poésie, il faudrait respecter les règles de la prosodie ? Et écrire des sonnets cul-cul-la-praline sur la fuite du temps et le doux regard de son aimée qui agite un foulard en soie verte au sommet de la tour de guet tandis que son preux chevalier-prince-errant-charmant s'en-va-t-en guerre sous le regard des petits zoizos sous la charmille ouaye ! bonjour l'angoisse ! bonjour la gangue de granit !
Il ne faudrait pas non plus employer du vocabulaire que les lecteurs ne comprendraient pas sous peine de les obliger à ouvrir un dictionnaire, voire les contraindre à en acheter un ! ce serait proprement scandaleux ! Plus de poésie, restent France-dimanche, Ici Paris et michel sardou !
La langue n'est pas figée. Elle vit et évolue, et, pour celle qui me concerne, et que je pratique, elle prend différentes formes, tournures, chemins, issus des différents ruisseaux de la francophonie, d'Afrique, des Antilles, d'Amérique, d'Europe, de l'océan indien, et de la bouche des personnes que je rencontre aux détours de mon chemin...
Bref, je & je & je & je & je & je & je
trouve
que cette réponse est
termitée
oui
termitée
Parce que
Pour ma part
Lorsque j'arrive à choquer, provoquer, faire percuter, réfléchir les quelques lecteurs attentifs que j'arrive à toucher, j'estime avoir atteint mon but
[quote]
Avant de continuer, si lorsque vous lancez Noteedit il y a un plantage, et que le message d'erreur mentionne /dev/snd/seq, c'est sûrement que vous n'avez pas chargé le module noyau ALSA qui gère le séquenceur, justement. Tapez en root :
modprobe snd-seq
Et, pour automatiser la tâche à chaque démarrage de l'ordinateur, rajoutez «snd-seq» dans le fichier /etc/modules.
j'ai compris...
débillou-ification accomplie ! partition créée et formatée ext3... me reste plus qu'à voir comment faire pour monter automatiquement la partition et pouvoir y accéder... je débute sous linux.
Donc, aucun de vous ne voit de problème à la suppression de la seule partition considérée comme bootable de mon système... sans rendre la 2e partition primaire bootable... je suis dubitatif... cela signifie aussi que grub est installé sur hda3. Je veux bien faire confiance, mais j'aimerais bien vérifier cela quand même, à tout le moins pour bien comprendre ce que je fais...
je souhaite conserver la structure des partitions (disons au moins deux partitions primaires).
[^] # Re: F1
Posté par didjeko . En réponse au message Impossible régler niveau d'entrée - Comprendre Alsamixergui ?. Évalué à 1.
Par ailleurs, dans un autre mixer (gamix), il n'y a pas de fader pour Capture, juste un switch on/off.
[^] # Re: F1
Posté par didjeko . En réponse au message Impossible régler niveau d'entrée - Comprendre Alsamixergui ?. Évalué à 1.
# Wo Yoï
Posté par didjeko . En réponse au journal Libre ou pas libre ?. Évalué à 2.
Je & je m'immisce
Dans ce débat
Hautement essentiel
alors siouplé
siouplé
msiou
donne-moi ton oreille
je te donne ma parole
Qu'avez-vous à nous
Chercher les dégâts
Des ombres ?
Discrimination :
1. - [Sans idée de traitement inégal] Action, fait de différencier en vue d'un traitement séparé (des éléments) les uns des autres en (les) identifiant comme distincts. Synon. distinction.
2. - Souvent péj. Traitement différencié, inégalitaire, appliqué à des personnes sur la base de critères variables
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=co(...)
Cette histoire de "discrimination" et de "droit du lecteur" m'amène à dire ceci :
oui, bien évidemment, il y a discrimination entre l'auteur et le lecteur tout simplement parce que l'auteur n'est pas le lecteur et vice versa. Le rapport interne entre le texte produit et celui qui l'écrit ne regarde pas le lecteur et ne le regardera jamais !
Lorsque j'écris, je note ce que je veux de manière à exprimer le fil de mes pensées. Pour ce faire, j'use et j'abuse de la langue selon mon bon plaisir, je la tords et la distords au gré de mes désirs. Je ne vois pas en quoi le lecteur aurait un quelconque "droit" à m'imposer en ce domaine, ni quelque règle que ce soit d'ailleurs.
Un auteur n'est ni un secrétaire ni un scribe qui serait là pour traduire les pensées de supposés lecteurs-censeurs, ni pour respecter des règles que les lecteurs lui imposeraient ! Les lecteurs ne sont pas là pour décider du contenu ou de la forme d'un texte. Et un lecteur ne participe pas à la création du texte. S'il a cette prétention, au lieu de se préoccuper de dire à celui qui écrit comment il aurait du écrire, voire quoi dire, s'il a cette envie, ce supposé lecteur n'a qu'à écrire ses propres textes pour s'exprimer, puis les donner à lire à autrui, sous forme de livre, de lecture publique, de soirée slam... Aller à la rencontre d'autrui pour partager le fruit de ses écrits. Qu'il se mette en danger !
Ecrire n'est ni une démarche mercatique ni une pratique commerciale.
Ainsi, il ne faudrait pas "choquer " les lecteurs ? Ne pas les remettre en question ? Pour écrire de la poésie, il faudrait respecter les règles de la prosodie ? Et écrire des sonnets cul-cul-la-praline sur la fuite du temps et le doux regard de son aimée qui agite un foulard en soie verte au sommet de la tour de guet tandis que son preux chevalier-prince-errant-charmant s'en-va-t-en guerre sous le regard des petits zoizos sous la charmille ouaye ! bonjour l'angoisse ! bonjour la gangue de granit !
Il ne faudrait pas non plus employer du vocabulaire que les lecteurs ne comprendraient pas sous peine de les obliger à ouvrir un dictionnaire, voire les contraindre à en acheter un ! ce serait proprement scandaleux ! Plus de poésie, restent France-dimanche, Ici Paris et michel sardou !
La langue n'est pas figée. Elle vit et évolue, et, pour celle qui me concerne, et que je pratique, elle prend différentes formes, tournures, chemins, issus des différents ruisseaux de la francophonie, d'Afrique, des Antilles, d'Amérique, d'Europe, de l'océan indien, et de la bouche des personnes que je rencontre aux détours de mon chemin...
Bref, je & je & je & je & je & je & je
trouve
que cette réponse est
termitée
oui
termitée
Parce que
Pour ma part
Lorsque j'arrive à choquer, provoquer, faire percuter, réfléchir les quelques lecteurs attentifs que j'arrive à toucher, j'estime avoir atteint mon but
Piratesquement vôtre
# Rézolu
Posté par didjeko . En réponse au message Automatiser exécution de /usr/share/alsa-base/snddevices au démarrage. Évalué à 1.
[quote]
Avant de continuer, si lorsque vous lancez Noteedit il y a un plantage, et que le message d'erreur mentionne /dev/snd/seq, c'est sûrement que vous n'avez pas chargé le module noyau ALSA qui gère le séquenceur, justement. Tapez en root :
modprobe snd-seq
Et, pour automatiser la tâche à chaque démarrage de l'ordinateur, rajoutez «snd-seq» dans le fichier /etc/modules.
Voilà qui est dit.
[/quote]
J'ai passé un bout de temps à chercher...
[^] # Re: Encore plus simple. ok
Posté par didjeko . En réponse au message Supprimer partitions NTFS. Évalué à 1.
débillou-ification accomplie ! partition créée et formatée ext3... me reste plus qu'à voir comment faire pour monter automatiquement la partition et pouvoir y accéder... je débute sous linux.
[^] # Re: Encore plus simple
Posté par didjeko . En réponse au message Supprimer partitions NTFS. Évalué à 1.
je souhaite conserver la structure des partitions (disons au moins deux partitions primaires).