Premièrement, je trouve ca bizarre mais il est dit :
"A cet instant, Linux va décharger le Bios de la carte mère afin de le remplacer par les informations qu'il a trouvé" : ca serait pas un peu du n'importe quoi ca ?
Question subsidiaire : c'est signé Paul et Raoul Wolf. Qui connait ces types et que sont-ils ?
Bah, est-ce que tu crois que l'informatique est une solution miraculeuse ?
La PKI a son droit de vivre, même si c'est loin d'être une solution globale. Mais pour une application à l'échelle d'une entreprise, c'est utilisable. Après tout, Idealix ne propose pas plus. La confiance relative à placer dans les garanties de ce système sont quand même bien supérieures qu'avec un systême ouvert.
Après c'est des élucubrations de journalistes et de commerciaux qui permettent de bourrer le crane des décideurs...
Pourquoi commence-t-on à parler de maintenance quand on bascule sous linux alors qu'avec MS, ce mot n'existe meme pas ?
Parce qu'avec linux apparait la notion de système, d'interaction importante entre les postes. Mais une fois encore, ce qu'il faut pour les profs, ce n'est pas de la formation à l'administration du système informatique, mais plutot de la formation à l'administration de l'applicatif qu'ils utilisent.
En plus, avec des pack de solutions clef en main, le paramétrage, la gestion et la mise à jour devient systèmatique, y compris pour du personnel externe.
Parle-s-en à un formateur à la SNCF : quand le passage de word 6 à word 97, nécessite une formation spécifique et qu'il n'est pas permis à quelqu'un ayant une formation word6 de toucher à un word97...
Le basculement de système, quand les gens ont déjà été (dé)formés, c'est un doux rêve.
On voit des licenciements de personnes par centaines... Mais pour la création et le suivi d'une distrib, à plein temps, n'est-ce pas un peu du sureffectif ?
Bah, le retrospective montre quelques belles réussites au niveau logiciel. C'est dommage, mais ca n'apporte pas d'argent.
C'est la différence entre le modèle et la réalité. Si on acceptait de rétribuer le travail des sociétés qui orbitent dans le cercle des logiciels libres, ca pourrait marcher...
Après tout, les sociétés de services font leur blé sur le service qu'elles offrent. Si elles acceptent de ne pas faire la pirouette sur le prix des logiciels en échange des possibilités de mise à jour et de modification, c'est viable.
Ici, on n'a parlé que des sociétés qui apportent des plus aux logiciels libres mais qui ne vendent pas assez leur compétences... Pourquoi ? Surement parce que les clients ne se pressent pas, ce qui est bien sur totalement indépendant de la qualité de leur solution. En bref, c'est a nouveau un problème de communication, et d'y mettre des moyens. C'est ce que MS a très bien compris : visibilité, discours unique et rassurant, occultation des problèmes ; bref tout l'inverse des LL :-/
Ces définitions sont abordées par le W3C d'un point de vue technique. Maintenant, pour ce qui est de la légalité, est-ce qu'une liste bibliographique à l'intérieur d'un document, ou même une citation est soumise à des droits de copyright ? La bibliographie, surement pas, la citation certainement.
Ce qui n'est pas abordé (ou j'ai mal lu) c'est la gestion de la diffusion d'un document d'annotation d'un autre document. Ce qui pourrait se présenter sous deux formes :
* la page web d'orgine avec des liens d'un nouvelle couleur qui pointent vers les annotations. La page d'annotation est venu coller ses propres liens sur la page d'origine. La gestion du copyright devient alors compliquée : document d'origine modifié ?
* la page d'annotations, avec chaque annotation pointant vers le passage auquel elle se réfère. Ici, a priori pas de problème.
On voit bien ici qu'à partir du même fichier de description, on peut selon la présentation pencher vers une accusation de plagiat ou seulement une référence.
Ce pourcentage devrait toutefois baisser dès que la ligne de commande saura s'effacer derrière des assistants visuels.
No comment, On a bien saisi que pour ce journaliste, la difficulté dans l'informatique réside principalement dans l'interface de gestion, et non pas comme beaucoup ici pourraient le croire (pauvres rêveurs) dans la compréhension des principes sous-jacents...
Rien que ça, pour donner un zéro pointé à l'article.
L'association et l'assignation de taches au sein d'un projet est un principe assez général pour coller à de nombreuses industries.
Quant au bug track, il en éxiste aussi ailleurs ; ce ne sont plus des bugs mais des correctifs à apporter. Je ne l'ai pas essayé personnellement, mais il me semble qu'il est plus abouti que les suites de groupwares web qu'on connait, au moins pour la gestion de projet.
La plupart du temps dans la documentation, ce qui importe, c'est les données et leur signification, l'explication grossière de l'objectif des fonctions (un très bon article sur LMF en parle)
Les commentaires en plein code (ou l'inverse, d'après ce que j'ai compris de Mx) tendent plutot à rendre le code abscons ; pourquoi vouloir expliquer extensivement avec un langage humain un code naturellement sans ambiguité (S'il ne l'est pas, c'est par la qu'il faut commencer : l'architecture).
Je vois 2 effets de bord graves à ce principe :
* Plus on explique le code, moins on éprouve le besoin de le rendre clair à la source
* Le code perdu dans la documentation, bonjour le debug. Perso, je débuggue visuellement, et la proximité des lignes de codes y joue pour beaucoup.
C'est une curiosité intéressante, mais pas applicable aux langages actuels.
Dans toutes les justices, il y a obligation de recevoir et d'examiner les doléances. Et celle-ci, n'en déplaisent à beaucoup et recevable.
Mais, comme aux US, je pense que l'accusation ne tiendra pas, surtout sur cette histoire de violation de la propriété d'autrui.
Je serai tout de même curieux de voir la réaction de la communauté technique qui verrai quelqu'un trainé en justice pour les mêmes raisons qu'on lui a décerné un prix...
Là, il y a peut-être un coup à jouer pour se faire payer par le MPAA pour préjudice moral !
J'ai bien vu que les expériences ne sont pas récentes, mais la news n'était jamais passée sur linuxfr. Je ne suis pas un spécialiste de la question et les liens que tu donnes sont très interessants.
Pas prêt pour le desktop... Franchement, des applis comme Staroffice remplissent totalement les besoins de n'importe quelle secrétaire.
Pour ceux qui ont des exigences plus pointues, il y a toujours d'autres outils libres (LateX, DocBook,...)
Le seul problème reste l'interopérabilité, c'est vrai. Mais dans le même temps, on publie rarement un document pour qu'il soit éditable. Donc, Word et consors ne devraient pas faire partie des formats utilisés.
En fait, une fois de plus, c'est un problème d'éducation : demandez donc à un bac G quels outils il a bien pu utiliser lors de sa scolarité...
Les théories, y compris en mathématiques, sont faites pour être dépassées... Et de plus, ici on parle plutôt d'applications, alors méfiance.
Néanmoins, ce morceau de l'annonce est savoureux :
These are methods that are derived from classical physics and statistical mechanics and quantum theory, ... bla, bla
Attendez, qu'est-ce que ces théories viennent faire dans un algorithme de compression générique ???
Au final, ca sent quand même le site pipo (j'aime pas le flash). Un peu dans le même genre que lzip, mais sans annoncer la couleur :/
Tu oublies surement que les personnes en question ont voté en toute conscience. Après tout, se plaint-on quand un parti politique invite ses adhérents à se présenter devant les urnes ?
Rien que de très normal, bien que ce soit risible de prendre avec un tel sérieux un sondage sur internet. Heureusement, les élections sont traitées avec beaucoup plus de sérieux, et évitent (généralement) la fraude massive...
C'est peut-être bon signe : si IBM se permet de soutenir une telle initiative, ses experts ont du évaluer que c'est probablement pas une menace à terme ?
Ca ne sera pas le première fois que IBM se sera planté sur une projection... C'est dangereux. Et comme tu le dis en suivant, ca ne colle pas avec Linux. Alors c'est forcément un grand écart.
Ces articles ne contiennent pas de finesses particulières vu qu'ils présentent des panoramiques de la technologie. Bien qu'ils soient tout à fait compréhensibles si on possède des bases en architecture informatique, il est regrettable qu'il attaque de manière trop abrupte certains points (ex : gestion de cache dans un processeur).
Le fait qu'il soit généraliste aurait du guider vers une approche plus douce, en évitant les non-dits. Je suis certain que celà aurait évité cette impression de "finesses cachées".
Par contre, les parallèles entre architectures internes et architectures distribuées sont saisissants. Ce sont des analogies comme celle-ci qui fournissent de bons repères pour la compréhension.
Enfin, je crois qu'il aurait fallu plus d'exemples chiffrés pour éclairer les principes (d'autant plus que des exemples d'architectures sont cités).
[^] # pas le noyau avec BC++
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche C++ Builder sous Linux : bientôt du neuf !. Évalué à 10.
Nan. le code du noyau est optimisé pour une compilation avec gcc. C'est comme le miel et la tisane. En plus, il est truffé de pragmas speciaux gcc.
Si tu essaies de compiler avec BC++, tu risques d'avoir des surprises.
# Plusieurs questions
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Feuilleton Debian dans... PC EXPERT. Évalué à 3.
"A cet instant, Linux va décharger le Bios de la carte mère afin de le remplacer par les informations qu'il a trouvé" : ca serait pas un peu du n'importe quoi ca ?
Question subsidiaire : c'est signé Paul et Raoul Wolf. Qui connait ces types et que sont-ils ?
[^] # Re: Quantique, PKI & Co
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche FOSDEM Weekly Interviews. Évalué à 10.
La PKI a son droit de vivre, même si c'est loin d'être une solution globale. Mais pour une application à l'échelle d'une entreprise, c'est utilisable. Après tout, Idealix ne propose pas plus. La confiance relative à placer dans les garanties de ce système sont quand même bien supérieures qu'avec un systême ouvert.
Après c'est des élucubrations de journalistes et de commerciaux qui permettent de bourrer le crane des décideurs...
[^] # Re: Mais...
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Le GNU bientôt dans (tous) les collèges ?. Évalué à 10.
Parce qu'avec linux apparait la notion de système, d'interaction importante entre les postes. Mais une fois encore, ce qu'il faut pour les profs, ce n'est pas de la formation à l'administration du système informatique, mais plutot de la formation à l'administration de l'applicatif qu'ils utilisent.
En plus, avec des pack de solutions clef en main, le paramétrage, la gestion et la mise à jour devient systèmatique, y compris pour du personnel externe.
[^] # re:inconscient
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Rétrospective de Linux 2001. Évalué à 7.
Le basculement de système, quand les gens ont déjà été (dé)formés, c'est un doux rêve.
# Je pige pas
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Rétrospective de Linux 2001. Évalué à 3.
[^] # Re: Linux viable pour une entreprise...
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Rétrospective de Linux 2001. Évalué à 10.
C'est la différence entre le modèle et la réalité. Si on acceptait de rétribuer le travail des sociétés qui orbitent dans le cercle des logiciels libres, ca pourrait marcher...
Après tout, les sociétés de services font leur blé sur le service qu'elles offrent. Si elles acceptent de ne pas faire la pirouette sur le prix des logiciels en échange des possibilités de mise à jour et de modification, c'est viable.
Ici, on n'a parlé que des sociétés qui apportent des plus aux logiciels libres mais qui ne vendent pas assez leur compétences... Pourquoi ? Surement parce que les clients ne se pressent pas, ce qui est bien sur totalement indépendant de la qualité de leur solution. En bref, c'est a nouveau un problème de communication, et d'y mettre des moyens. C'est ce que MS a très bien compris : visibilité, discours unique et rassurant, occultation des problèmes ; bref tout l'inverse des LL :-/
[^] # Pas vraiment
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Définir ou redéfinir les liens hypertextes ?. Évalué à 10.
http://www.w3.org/TR/xlink/(...)
Ces définitions sont abordées par le W3C d'un point de vue technique. Maintenant, pour ce qui est de la légalité, est-ce qu'une liste bibliographique à l'intérieur d'un document, ou même une citation est soumise à des droits de copyright ? La bibliographie, surement pas, la citation certainement.
Ce qui n'est pas abordé (ou j'ai mal lu) c'est la gestion de la diffusion d'un document d'annotation d'un autre document. Ce qui pourrait se présenter sous deux formes :
* la page web d'orgine avec des liens d'un nouvelle couleur qui pointent vers les annotations. La page d'annotation est venu coller ses propres liens sur la page d'origine. La gestion du copyright devient alors compliquée : document d'origine modifié ?
* la page d'annotations, avec chaque annotation pointant vers le passage auquel elle se réfère. Ici, a priori pas de problème.
On voit bien ici qu'à partir du même fichier de description, on peut selon la présentation pencher vers une accusation de plagiat ou seulement une référence.
# Un conclusion déespérante
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Le libre en entreprise. Évalué à 0.
No comment, On a bien saisi que pour ce journaliste, la difficulté dans l'informatique réside principalement dans l'interface de gestion, et non pas comme beaucoup ici pourraient le croire (pauvres rêveurs) dans la compréhension des principes sous-jacents...
Rien que ça, pour donner un zéro pointé à l'article.
[^] # Je ne vois pas en quoi ce serait différent
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Tutos. Évalué à 2.
Quant au bug track, il en éxiste aussi ailleurs ; ce ne sont plus des bugs mais des correctifs à apporter. Je ne l'ai pas essayé personnellement, mais il me semble qu'il est plus abouti que les suites de groupwares web qu'on connait, au moins pour la gestion de projet.
# Pas efficace
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Mx: outil de documentation de code source. Évalué à 1.
Les commentaires en plein code (ou l'inverse, d'après ce que j'ai compris de Mx) tendent plutot à rendre le code abscons ; pourquoi vouloir expliquer extensivement avec un langage humain un code naturellement sans ambiguité (S'il ne l'est pas, c'est par la qu'il faut commencer : l'architecture).
Je vois 2 effets de bord graves à ce principe :
* Plus on explique le code, moins on éprouve le besoin de le rendre clair à la source
* Le code perdu dans la documentation, bonjour le debug. Perso, je débuggue visuellement, et la proximité des lignes de codes y joue pour beaucoup.
C'est une curiosité intéressante, mais pas applicable aux langages actuels.
# Ca ne tiendra pas
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Auteur de deCSS accusé en justice. Évalué à 2.
Mais, comme aux US, je pense que l'accusation ne tiendra pas, surtout sur cette histoire de violation de la propriété d'autrui.
Je serai tout de même curieux de voir la réaction de la communauté technique qui verrai quelqu'un trainé en justice pour les mêmes raisons qu'on lui a décerné un prix...
Là, il y a peut-être un coup à jouer pour se faire payer par le MPAA pour préjudice moral !
[^] # Mouarf !
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Projet numérique des socialistes. Évalué à 6.
Site de l'ATICA
Allo ? Y a du logiciel libre ici ?
[^] # Désolé
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Premier craquage quantique. Évalué à 1.
[^] # Pas du tout d'accord
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Gouvernement Britanique et Open Source. Évalué à 3.
Pour ceux qui ont des exigences plus pointues, il y a toujours d'autres outils libres (LateX, DocBook,...)
Le seul problème reste l'interopérabilité, c'est vrai. Mais dans le même temps, on publie rarement un document pour qu'il soit éditable. Donc, Word et consors ne devraient pas faire partie des formats utilisés.
En fait, une fois de plus, c'est un problème d'éducation : demandez donc à un bac G quels outils il a bien pu utiliser lors de sa scolarité...
[^] # Attention !
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche I2bp fait des emules. Évalué à 7.
Néanmoins, ce morceau de l'annonce est savoureux :
These are methods that are derived from classical physics and statistical mechanics and quantum theory, ... bla, bla
Attendez, qu'est-ce que ces théories viennent faire dans un algorithme de compression générique ???
Au final, ca sent quand même le site pipo (j'aime pas le flash). Un peu dans le même genre que lzip, mais sans annoncer la couleur :/
[^] # « Philosophiquement acceptables »
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Les lsm cherchent des sponsors. Évalué à 5.
[^] # Re: Inimaginable !
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Microsoft pense pour vous. Évalué à 3.
Rien que de très normal, bien que ce soit risible de prendre avec un tel sérieux un sondage sur internet. Heureusement, les élections sont traitées avec beaucoup plus de sérieux, et évitent (généralement) la fraude massive...
[^] # Re: Intérèt d'IBM?
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche IBM apporterait son soutien à Passport. Évalué à 10.
C'est peut-être bon signe : si IBM se permet de soutenir une telle initiative, ses experts ont du évaluer que c'est probablement pas une menace à terme ?
Ca ne sera pas le première fois que IBM se sera planté sur une projection... C'est dangereux. Et comme tu le dis en suivant, ca ne colle pas avec Linux. Alors c'est forcément un grand écart.
[^] # Re: une petite reponse qui vaut ce qu'elle vaut...
Posté par Jean-Noël Avila . En réponse à la dépêche Article sur le FCPU de LMF. Évalué à 10.
Ces articles ne contiennent pas de finesses particulières vu qu'ils présentent des panoramiques de la technologie. Bien qu'ils soient tout à fait compréhensibles si on possède des bases en architecture informatique, il est regrettable qu'il attaque de manière trop abrupte certains points (ex : gestion de cache dans un processeur).
Le fait qu'il soit généraliste aurait du guider vers une approche plus douce, en évitant les non-dits. Je suis certain que celà aurait évité cette impression de "finesses cachées".
Par contre, les parallèles entre architectures internes et architectures distribuées sont saisissants. Ce sont des analogies comme celle-ci qui fournissent de bons repères pour la compréhension.
Enfin, je crois qu'il aurait fallu plus d'exemples chiffrés pour éclairer les principes (d'autant plus que des exemples d'architectures sont cités).