La différence entre faire confiance à des dépouilleurs et faire confiance à des experts qui certifie le système, est que, dans le cas des dépouilleurs, je peux me rendre au bureau de vote et observer le dépouillement.
Certes, il existe des prestidigitateurs, et des chaussettes … mais il existe aussi de bon observateurs qui repèrent les chaussettes.
Je ne suis pas mathématicien, je ne peux comprendre le fonctionnement réel de ce chiffrement. Et de même d'ailleurs pour l'algoritme RSA.
Or un processus de vote doit pouvoir être contrôlé par tout citoyen, donc être compréhensible.
On aura beau trouver toutes les solutions aussi sécurisées qu'on voudra, on ne pourra avec le vote électronique en donner le contrôle aux citoyens.
Le vote électronique est une forme de déresponsabilisation des citoyens, et on doit lutter contre toute tentative de promotion de cette horreur. D'où ce message, politique et non technique.
Stupidement et arbitrairement, sûrement pas. C'est dans la logique de l'"informatique de confiance", avec contrôle par Google de A à Z de l'appareil.
Après, le point positif est que le verrouillage est désactivable sans trop se prendre la tête, contrairement à d'autres appareils (certains nécessitant une machine avec Ms Windows pour installer un firmware alternatif).
Bon, en fait on a deux problèmes différents. D'une part celui des vulnérabilités d'Android qui permettent à toute application de devenir root, et donc d'effacer par la suite toute trace de l'opération, et qui ne peut être contré que par les mises à jour de sécurité.
Et d'autre part le problème du "masterkey" de juillet dernier, qui, si j'ai bien compris, permet se substituer une application à une autre en leurrant le système de signature ; mais ce problème-là semble résolu (sauf pour les innombrables machines non à jour - et on retombe sur le même problème).
Conclusion : Google fait bien de chasser les soucis de sécurité dans Android, mais devrait mettre la pression sur les constructeurs afin qu'ils appliquent les mises à jour …
Qu'attend-on quand on dit "distribution Linux" ? Quel est le point commun entre Debian et CentOS, et que n'a pas Android ?
Un exemple pathologique : LibreOffice. Et plus généralement, si je ne m'abuse, tout binaire compilé statiquement et pas trop vieux tournera sur une distribution GNU/linux, et pas sur un système Android.
Si, ça change une chose : unifier la barre d'adresse et celle de recherche va amplifier le phénomène de non-connaissance de la notion d'URI, et amplifier l'utilisation des requêtes (inutiles) au moteur de recherche au détriment de l'utilisation des signets.
Si on tient vraiment à ce que les élèves aient un temps de travail perso, qu'ils prennent ce temps à l'école.
On rétablit les études surveillées du soir de façon systématique, alors … Pourquoi pas, mais certaines communes (ou les départements au collège) risquent de renâcler à la dépense, ça fait des emplois à créer …
Mais pourquoi certains enseignants arrivent à faire cours en
ne demandant que la leçon du moment (genre 10 pages) sans exigence
sur le contenant
et d'autres exigent l'année entière dans un classeur dont la taille
et la couleur seront spécifiés ? (pour la même matière)
Existe-t-il de telles différences pédagogiques ?
Le choix (ou libre choix) du support des travaux dépend de nombreux facteurs.
Le cahier dans lequel on colle des photocopies (entre autres) a l'énorme avantage d'éviter le plus possible les feuilles volantes. L'inconvénient est que, à une époque où le "document dont on doit extraire et exploiter l'information" est LE leitmotiv actuel, le cahier finit par ressembler à un mille-feuille enflé.
Le classeur est plus souple dans l'utilisation, il permet d'insérer les documents sous forme de feuilles A4, il permet également l'utilisation d'un trieur pour n'amener que le chapitre actif. L'inconvénient, avec les nombreux élèves peu organisés (par manque de méthode ou parfois de volonté), est que ça devient vite un bazar avec des documents dans tous les sens.
Quant à la présence de l'ensemble du cours, il est possible que certains enseignements la nécessitent (on peut noter que si les cours étaient stockés sur tablette/liseuse, le problème ne se poserait plus !).
En conséquence, choisir un type de support relève d'un arbitrage délicat ; le cahier permet d'accorder plus de temps à la matière enseignée, alors que le classeur exige de consacrer une partie non négligeable du temps à son organisation. Il faut trancher, et tous les enseignants ne le font pas de la même façon.
En cas de désaccord sur les pratiques d'un enseignant, le mieux est de prendre rendez-vous avec lui afin de pouvoir discuter courtoisement sur le(s) point(s) qui pose(nt) problème.
Tu crois que la santé dorsale des élèves intéresse les décideurs ?
Non parce qu'il n'y a nul besoin de progrès technologique pour
régler ce problème. Il suffirait de s'atteler à sa résolution.
Plus haut on parlait bien de la masse des manuels scolaires dans le sac, là, non ?
Il suffit que les enseignants exigent des tablettes de tailles,
de formes et de couleurs différentes pour qu'un enfant se
retrouve avec un cartable de la moitié de son poids vite fait.
Sans commentaire …
Parce que bon si des profs sont pas capables d'accepter que
des pages d'anglais, de français et de maths se côtoient au
sein d'un même classeur ou d'une même pochette je ne vois pas
pourquoi ils se mettraient tout à coup à tolérer qu'un fichier
de math côtoie un fichier d'anglais …
Le problème des classeurs/cahiers est un vaste sujet, qu'on ne peut résumer ici, par contre ça peut inspirer une bonne idée : remplacer les classeurs/cahiers par … une tablette ! (il faudrait alors diviser l'écran en deux, ou fournir deux écrans, un pour visualiser les documents, et un pour la prise de notes).
La première question, c'est à quels nouveaux besoins la solution actuelle papier/crayon/livre ne réponds pas?
Celle de la santé dorsale des élèves ? Effectivement, ce n'est pas un besoin nouveau, mais en même temps c'est à cela que doit (devrait ?) servir le progrès, améliorer les conditions de vie.
(sinon, à quoi ça sert, la solution papier/crayon/livre, jadis il y avait marteau/burin/bloc de pierre, ça fonctionnait aussi ! et en plus c'était plus pérenne !)
Là tu proposes un changement radical des méthodes de travail, en remplaçant carrément le cahier. Ce qui serait un bouleversement dans les pratiques.
Moi je propose simplement d'utiliser la tablette comme outil de visualisation. Certes, il y aurait les problèmes de ceux qui joueraient au lieu de prendre le cours (mais ça se pratique déjà sous la table avec le smartphone …), et celui de la fragilité (mais les coques protectrices sont là pour ça).
Demeure la question de savoir s'il vaut mieux une liseuse dédiée ou une tablette générique. Le mieux serait une subvention des collectivités avec un outil dédié, élaboré selon un cahier des charges bien défini, effectivement.
D'ailleurs Je ne vois toujours pas l'intérêt d'une tablette.
Par exemple, si les éditeurs de manuels scolaires n'avaient pas les DRM comme religion, on pourrait utiliser les tablettes comme dispositif d'affichage de manuels électroniques, et ainsi réduire grandement la masse du sac des élèves.
PS : sinon, ça manque aussi d’argumentation sur les prononciations
avec la langue frnaçaise (il faut lire les commentaires, où l'auteur
du journal compare le fait de ne pas mettre de phonétique "locale"
(sic) est presque comparé au nazisme).
Eh Zenitram, tu es prié d'éviter de lancer des attaques personnelles en dehors dudit journal. Inutile d'en ramener le feu ici.
D'autre part, il serait bon de faire des phrases en français compréhensible (quelle que soit la façon dont on prononce les mots !)
Après ce journal et au vu de l'évolution des choses sur la wikipédia, il me semble utile de faire un petit bilan.
* Il ne fait pas bon défendre un avis minoritaire sur le site linuxfr.org, le système de pertinentage/dépertinentage permet de couler un contributeur en une discussion, en lui retirant la majorité des moyens d'expression sur le sïte ; certains membres du site feraient bien d'écouter ou ré-écouter "la mauvaise réputation" de Georges Brassens.
* la présence de la phonétique locale est intéressante à figurer dans la wikipédia car c'est une information qui ne se déduit pas de l'écriture et des règles du français dit "standard".
* certains tiennent à la phonétique du "français standard" pour des raisons plus ou moins rationnelles.
* Sur la wikipédia, pour les articles concernés un consensus semble s'être mis en place, celui de laisser les deux types de prononciation.
Le problème initial semble donc être résolu à peu près correctement. En ce qui concerne les problématiques dérivées, je ne peux qu'inviter les gens à réfléchir à tête reposée sur les arguments cités.
Quand trois pelés et un tondu ont une prononciation particulière, c'est une erreur. Quand toute la population d'une contrée a une prononciation particulière, c'est un accent. L'alternance vocalique o fermé-o ouvert en français méridional est liée à l'accentuation tonique ou non de la syllabe, celle-ci venant de l'influence de l'occitan.
Ce n'est pas une erreur, mais une façon particulière de prononcer. Chaque contrée a ses homophonies particulières, et il n'y en a pas une qui soit moins noble qu'une autre.
Détourner le débat de la prononciation vers la graphie ne permet pas d'avancer sainement …
(Ceci dit, je n'aurais aucun problème pour faire disparaître cette appellation étrange de "Londres". D'où vient-il ce R ? Et pourquoi les habitants de Londres ne sont-ils pas qualifiés de Londriens ? Ce n'est pas logique tout ça …)
Le rôle de la wikipédia n'est pas de faire vivre la langue française, elle a un rôle de recueil d'informations.
Pour le sujet qui concerne le journal, à savoir la mention de la prononciation d'une ville, d'une région ou autre lieu, j'estime qu'en donner la prononciation locale, que ne donne pas forcément la graphie, est une information neutre, tant qu'elle recueillie sur place auprès d'habitants de longue date de l'endroit.
C'est justement la prononciation en "français standard" qui pose là le problème, elle est au demeurant une information non neutre, car dépendant de choix extérieurs à la région considérée.
Enfin, bon, si certains veulent garder la prononciation "standard" sur les wikipages, rai, tant qu'on laisse citer la prononciation locale au même endroit du texte.
Zénitram : raccourcis à deux francs et six sous, non maîtrise des commentaires précédents, et (là je suis d'accord) hors sujet sur le fil.
Comme on le disait à l'époque : Zénitram <plonk>
[^] # Re: Application au vote électronique ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche Le chiffrement homomorphe. Évalué à 3.
La différence entre faire confiance à des dépouilleurs et faire confiance à des experts qui certifie le système, est que, dans le cas des dépouilleurs, je peux me rendre au bureau de vote et observer le dépouillement.
Certes, il existe des prestidigitateurs, et des chaussettes … mais il existe aussi de bon observateurs qui repèrent les chaussettes.
# Application au vote électronique ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche Le chiffrement homomorphe. Évalué à 8.
Je ne suis pas mathématicien, je ne peux comprendre le fonctionnement réel de ce chiffrement. Et de même d'ailleurs pour l'algoritme RSA.
Or un processus de vote doit pouvoir être contrôlé par tout citoyen, donc être compréhensible.
On aura beau trouver toutes les solutions aussi sécurisées qu'on voudra, on ne pourra avec le vote électronique en donner le contrôle aux citoyens.
Le vote électronique est une forme de déresponsabilisation des citoyens, et on doit lutter contre toute tentative de promotion de cette horreur. D'où ce message, politique et non technique.
[^] # Re: root
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal 36 15 ma vie avec l'univers google. Évalué à -3.
Stupidement et arbitrairement, sûrement pas. C'est dans la logique de l'"informatique de confiance", avec contrôle par Google de A à Z de l'appareil.
Après, le point positif est que le verrouillage est désactivable sans trop se prendre la tête, contrairement à d'autres appareils (certains nécessitant une machine avec Ms Windows pour installer un firmware alternatif).
# Programmes toujours exécutés avec les droits root ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche Toutou linux 5.5 est en ligne !. Évalué à 4.
Bonjour.
Ça fait un moment que je ne suis plus les évolutions de Puppy ou Toutoulinux.
Est-ce que le système utilise toujours exclusivement le mode root pour tous les programmes ?
[^] # Re: Cachez ce sein que je ne saurait voir
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche Le programme de Google pour améliorer la sécurité des logiciels libres. Évalué à 3.
Bon, en fait on a deux problèmes différents. D'une part celui des vulnérabilités d'Android qui permettent à toute application de devenir root, et donc d'effacer par la suite toute trace de l'opération, et qui ne peut être contré que par les mises à jour de sécurité.
Et d'autre part le problème du "masterkey" de juillet dernier, qui, si j'ai bien compris, permet se substituer une application à une autre en leurrant le système de signature ; mais ce problème-là semble résolu (sauf pour les innombrables machines non à jour - et on retombe sur le même problème).
Conclusion : Google fait bien de chasser les soucis de sécurité dans Android, mais devrait mettre la pression sur les constructeurs afin qu'ils appliquent les mises à jour …
[^] # Re: Cachez ce sein que je ne saurait voir
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche Le programme de Google pour améliorer la sécurité des logiciels libres. Évalué à 1.
Source(s) de l'information ?
[^] # Re: s+Linux+GNU/Linux+
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal La popularité d'Androïd bénéficiera t-elle à Linux ?. Évalué à -8.
Qu'attend-on quand on dit "distribution Linux" ? Quel est le point commun entre Debian et CentOS, et que n'a pas Android ?
Un exemple pathologique : LibreOffice. Et plus généralement, si je ne m'abuse, tout binaire compilé statiquement et pas trop vieux tournera sur une distribution GNU/linux, et pas sur un système Android.
[^] # Re: Barre de recherche avancée
Posté par lgmdmdlsr . En réponse à la dépêche 23 de Firefox. Évalué à 10.
Si, ça change une chose : unifier la barre d'adresse et celle de recherche va amplifier le phénomène de non-connaissance de la notion d'URI, et amplifier l'utilisation des requêtes (inutiles) au moteur de recherche au détriment de l'utilisation des signets.
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -4.
On rétablit les études surveillées du soir de façon systématique, alors … Pourquoi pas, mais certaines communes (ou les départements au collège) risquent de renâcler à la dépense, ça fait des emplois à créer …
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -4.
Le choix (ou libre choix) du support des travaux dépend de nombreux facteurs.
Le cahier dans lequel on colle des photocopies (entre autres) a l'énorme avantage d'éviter le plus possible les feuilles volantes. L'inconvénient est que, à une époque où le "document dont on doit extraire et exploiter l'information" est LE leitmotiv actuel, le cahier finit par ressembler à un mille-feuille enflé.
Le classeur est plus souple dans l'utilisation, il permet d'insérer les documents sous forme de feuilles A4, il permet également l'utilisation d'un trieur pour n'amener que le chapitre actif. L'inconvénient, avec les nombreux élèves peu organisés (par manque de méthode ou parfois de volonté), est que ça devient vite un bazar avec des documents dans tous les sens.
Quant à la présence de l'ensemble du cours, il est possible que certains enseignements la nécessitent (on peut noter que si les cours étaient stockés sur tablette/liseuse, le problème ne se poserait plus !).
En conséquence, choisir un type de support relève d'un arbitrage délicat ; le cahier permet d'accorder plus de temps à la matière enseignée, alors que le classeur exige de consacrer une partie non négligeable du temps à son organisation. Il faut trancher, et tous les enseignants ne le font pas de la même façon.
En cas de désaccord sur les pratiques d'un enseignant, le mieux est de prendre rendez-vous avec lui afin de pouvoir discuter courtoisement sur le(s) point(s) qui pose(nt) problème.
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -5.
Plus simple, pas forcément : la problématique du travail personnel est on ne peut plus compliquée.
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -5.
Plus haut on parlait bien de la masse des manuels scolaires dans le sac, là, non ?
Sans commentaire …
Le problème des classeurs/cahiers est un vaste sujet, qu'on ne peut résumer ici, par contre ça peut inspirer une bonne idée : remplacer les classeurs/cahiers par … une tablette ! (il faudrait alors diviser l'écran en deux, ou fournir deux écrans, un pour visualiser les documents, et un pour la prise de notes).
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -4.
Celle de la santé dorsale des élèves ? Effectivement, ce n'est pas un besoin nouveau, mais en même temps c'est à cela que doit (devrait ?) servir le progrès, améliorer les conditions de vie.
(sinon, à quoi ça sert, la solution papier/crayon/livre, jadis il y avait marteau/burin/bloc de pierre, ça fonctionnait aussi ! et en plus c'était plus pérenne !)
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -5.
Là tu proposes un changement radical des méthodes de travail, en remplaçant carrément le cahier. Ce qui serait un bouleversement dans les pratiques.
Moi je propose simplement d'utiliser la tablette comme outil de visualisation. Certes, il y aurait les problèmes de ceux qui joueraient au lieu de prendre le cours (mais ça se pratique déjà sous la table avec le smartphone …), et celui de la fragilité (mais les coques protectrices sont là pour ça).
Demeure la question de savoir s'il vaut mieux une liseuse dédiée ou une tablette générique. Le mieux serait une subvention des collectivités avec un outil dédié, élaboré selon un cahier des charges bien défini, effectivement.
[^] # Re: Intérêt de la chose
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal A quand la prochaine secousse sismique dans le monde High-Tech ?. Évalué à -2.
Par exemple, si les éditeurs de manuels scolaires n'avaient pas les DRM comme religion, on pourrait utiliser les tablettes comme dispositif d'affichage de manuels électroniques, et ainsi réduire grandement la masse du sac des élèves.
[^] # Re: Et?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à -10.
Eh Zenitram, tu es prié d'éviter de lancer des attaques personnelles en dehors dudit journal. Inutile d'en ramener le feu ici.
D'autre part, il serait bon de faire des phrases en français compréhensible (quelle que soit la façon dont on prononce les mots !)
# Résumé et conclusion
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -5.
Après ce journal et au vu de l'évolution des choses sur la wikipédia, il me semble utile de faire un petit bilan.
* Il ne fait pas bon défendre un avis minoritaire sur le site linuxfr.org, le système de pertinentage/dépertinentage permet de couler un contributeur en une discussion, en lui retirant la majorité des moyens d'expression sur le sïte ; certains membres du site feraient bien d'écouter ou ré-écouter "la mauvaise réputation" de Georges Brassens.
* la présence de la phonétique locale est intéressante à figurer dans la wikipédia car c'est une information qui ne se déduit pas de l'écriture et des règles du français dit "standard".
* certains tiennent à la phonétique du "français standard" pour des raisons plus ou moins rationnelles.
* Sur la wikipédia, pour les articles concernés un consensus semble s'être mis en place, celui de laisser les deux types de prononciation.
Le problème initial semble donc être résolu à peu près correctement. En ce qui concerne les problématiques dérivées, je ne peux qu'inviter les gens à réfléchir à tête reposée sur les arguments cités.
[^] # Re: Frustration
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -4.
"in" ou [ɛ̃] <=> [ɛ] nasalisé, donc "è" nasalisé.
"un" ou [œ̃] <=> [œ] nasalisé, donc "eu" (celui de "fleur") nasalisé.
[^] # Re: Frustration
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -3.
Quand trois pelés et un tondu ont une prononciation particulière, c'est une erreur. Quand toute la population d'une contrée a une prononciation particulière, c'est un accent. L'alternance vocalique o fermé-o ouvert en français méridional est liée à l'accentuation tonique ou non de la syllabe, celle-ci venant de l'influence de l'occitan.
[^] # Re: Frustration
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -6.
Ce n'est pas une erreur, mais une façon particulière de prononcer. Chaque contrée a ses homophonies particulières, et il n'y en a pas une qui soit moins noble qu'une autre.
[^] # Re: Comment dire ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -5.
Détourner le débat de la prononciation vers la graphie ne permet pas d'avancer sainement …
(Ceci dit, je n'aurais aucun problème pour faire disparaître cette appellation étrange de "Londres". D'où vient-il ce R ? Et pourquoi les habitants de Londres ne sont-ils pas qualifiés de Londriens ? Ce n'est pas logique tout ça …)
[^] # Re: Comment dire ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -6.
Le rôle de la wikipédia n'est pas de faire vivre la langue française, elle a un rôle de recueil d'informations.
Pour le sujet qui concerne le journal, à savoir la mention de la prononciation d'une ville, d'une région ou autre lieu, j'estime qu'en donner la prononciation locale, que ne donne pas forcément la graphie, est une information neutre, tant qu'elle recueillie sur place auprès d'habitants de longue date de l'endroit.
C'est justement la prononciation en "français standard" qui pose là le problème, elle est au demeurant une information non neutre, car dépendant de choix extérieurs à la région considérée.
Enfin, bon, si certains veulent garder la prononciation "standard" sur les wikipages, rai, tant qu'on laisse citer la prononciation locale au même endroit du texte.
[^] # Re: Frustration
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -8. Dernière modification le 09 juillet 2013 à 18:52.
Zénitram : raccourcis à deux francs et six sous, non maîtrise des commentaires précédents, et (là je suis d'accord) hors sujet sur le fil.
Comme on le disait à l'époque : Zénitram <plonk>
[^] # Re: Comment dire ?
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -8.
Phrase sortie du contexte du commentaire. Il est facile de médire comme cela.
[^] # Re: Donc en résumé
Posté par lgmdmdlsr . En réponse au journal Wikipédia : Siatz nets, parlatz francés !. Évalué à -2.
Have a look at there, it seems that you're an undead … O:-)