• # mouais

    Posté par  . Évalué à 3.

    Donc on envoie un drone stratosphérique qui en plus de devoir se sustenter devra aussi alimenter entre 1,5kW et 3kW d'antennes (la consommation d'un pylône)

    Sans oublier qu'il devra aussi se maintenir en vol la nuit, donc batterie, pour une bonne quinzaine d'heure (oui faut tester en hivers, près du solstice.

    Autre solution, serait d'avoir un ballon (comme pour les ballons météo), mais dans ce cas les images sont trompeuses; dans ce cas le poids des batterie est moins handicapant.

    Il ne faut pas décorner les boeufs avant d'avoir semé le vent

    • [^] # Re: mouais

      Posté par  . Évalué à 3.

      Oui absolument. C'est bien de cela dont j'avais envie de parler (entre autre).

      Ce drone de 25 mètres d'envergure pour 75kg doit avoir 10kg de charge utile environ et des ressources en électricité très limitées. Je vois mal comment arroser de la 5G en masse avec ce dispositif.
      Je ne suis pas du tout au fait de ces technologies relatives aux relais télécom. C'est effectivement de 1,5 à 3 kW ?

      En revanche, une autre application est présentée (et a été testée pendant 64 jours consécutifs): la prise de vue aérienne. Un flux continu 4K est annoncé. Cela me semble plus plausible en terme énergétique.

      "Si tous les cons volaient, il ferait nuit" F. Dard

      • [^] # Re: mouais

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        Sur une envergure de 25m j'imagine qu'il doit être possible de mettre assez de panneaux pour tirer 3kW de jus en plein jour, sachant qu'il n'y a pas trop de nuages dans la stratosphère.

        Adhérer à l'April, ça vous tente ?

        • [^] # Re: mouais

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

          Sur une envergure de 25m […] en plein jour

          va yavoir des remarques « qu'est-ce qui me cache mon soleil ? » :p

          et en plus, cela va réduire l'efficacité des panneaux photovoltaïques au sol /o\ ;-)

    • [^] # Re: mouais

      Posté par  . Évalué à 1.

      Vendre de la 5G dans des contrées reculées avec ce dispositif me semble des plus mensonger à moins d'avoir une certaine forme d'exclusivité (payante ++++ of course, ou alors, à usage militaire (*).

      Pour autant un internet "pour tous", mais plus "lent" et moins "gourmand" (ou à "l'ancienne" diront certains ;-) me semble aussi possible par cette voie.

      C'est sur que le ticket d'entrée pour accéder à cette technologie doit être placé assez haut (allez, je me lance: quelque(s) (dizaine) de million(s) d'€).

      Mais, creuser des kilomètres de tranchées pour desservir le territoire en fibre optique, cela coûte très cher aussi.

      (*) Zephyr, le drone en question, est le 8ème d'une génération de HAPS (High Altutude Platform Station) débutée en 2002 par une boîte passée sous le giron d'Airbus en 2013. Sur le site institutionnel d'Airbus, cet appareil est classé dans la catégorie "Défense" comme cela est écrit dans la barre d'adresse.

      "Si tous les cons volaient, il ferait nuit" F. Dard

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