pierrepoulpe a écrit 2 commentaires

  • [^] # ça glisse...

    Posté par  . En réponse au message MPD + webradio : déporter le transcodage sur une machine plus puissante.. Évalué à 1.

    Merci à vous deux pour les réponses, pertinentes qui plus est.

    Hypothèse A, MPD agit en tant que client source shout/icecast.
    Pour mon scénario, ça ne marche pas, pour deux raisons, une qui se solutionnerait en plongeant dans le code de mpd, l'autre plus dure.
    La couche shoutcast de mpd ne permet de sortir en wave. Si j'active le mp3 ou ogg, je tourne en rond, le cpu n'y arrive pas.
    Je pense pas qu'il y en ait pour des semaines de taf pour modifier ça.
    Mais là où ca coince un peu plus, c'est qu'en faisant des essais avec ezstream, icecast ne semble pas accepter en entrée du wave, et en tout cas, j'ai cru comprendre que son rôle n'était de toute façon pas de transcoder.
    Donc exit.

    Hypothèse B, liquidsoap.
    Un peu sceptique au début.
    Mais en fait c'est une arme de guerre. Totalement conquis.
    Il fait le taf, bien, et facilement en plus!

    En version courte l'archi choisie :

    MPD, avec sortie HTTP activée, en encodage wave (la doc ne dit pas le supporter, mais si si). Attention juste, dans ma version de mpd, bizarrement la sortie était en mono…..

    Ça déjà, lu pas un vlc, c'est nickel, le cpu du nas est heureux.

    Sur la machine avec du CPU, le couple liquidsoap/icecast.
    liquidsoap se connecte au flux wave/http de mpd, le transcode en mp3 et pousse ça vers icecast
    icecast en config par défaut.

    Pour info, icecast et liquidsoap sont dans les dépôts d'ubuntu. Facile j'ai dit.

    Bon, il y a juste que le savon ça fait des bulles. Au changement 'naturel' de piste (enchainement de playlist de mpd) la piste suivante se met à complètement bugger (des glitch comme disent les anglophones) Si je fais pause et remet lecture, ça repart ok, mais bon pas top. J'ai bien l'intention de trouver le soucis.

  • [^] # Re: Les petits fragilisent les gros !

    Posté par  . En réponse à la dépêche États généraux de l'Open Source en France. Évalué à 5. Dernière modification le 25 février 2013 à 16:18.

    Mouais, il est pas beaucoup plus convainquant que la médiane des anti-nucléaires…
    1/ "ca ne représente que 6%, si on voulait que ca ait un impact … ca couterait des milliards" => On peut appliquer le même argument à toute technologie insignifiante aujourd'hui.. Restons au charbon…
    2/ "les déchets" Vrai. Mais on sait quoi faire du CO2 depuis les décennies qu'on l'émet massivement? Lequel est des deux types de rejets est préférable?
    3/ Les réserves d'U235…. clair qu'on aura encore plein de pétrole à brûler d'ici là. Idem 2, argument recevable si on sort du nucléaire sans retourner au fossile…
    4/ 40% de l'eau douce rentre dans les réacteurs nucléaires…. Pas mieux pour toute les centrales thermiques…
    5/ Internet a révolutionné (ou va révolutionner) tout ce qui est réductible à l'état d'information. Vrai… Mais hors sujet…. On ne fait pas passer de la matière ou des quantités significatives d'énergie par un réseau de télécommunication…

    Bref il préconise quoi?
    Qu'on reste au charbon? Qu'il aille mourir…
    Qu'on installe des panneaux PV sur tous les toits, tout ça connecté en 'grille'… Ok, mais qu'il précise de combien il faudra réduire notre consommation pour que ca tienne la route.

    Comme beaucoup d'anti-nucléaires, il mélange des arguments fondés avec une inutile tirade d'arguments qui ne tiennent pas la route et détruit le reste de son argumentation, en clair il finit par desservir sa cause.