l'architecte a écrit 80 commentaires

Le connecteur est libre et se base sur:
- l'accès WEBDAV (en http ou https sur les ports standards) pour les messages (mail/calendrier/tâches)
- LDAP pour l'accès à la GAL (du moins il me semble)
- je ne sais pas quoi pour l'envoi des messages

Je n'ai plus en mémoire les options de config dans IIS/Exchange 2003, mais il me semble que si on a l'accès à l'Outlook Web Access, Evolution fonctionne.

Tout-à-fait d'accord. Il manque clairement de maturité, et s'il est simple d'utilisation, c'est au détriment des fonctionnalités. Le principe de l'application téléchargée depuis le serveur est intéressant puisqu'il permet de ne pas devoir faire les mises à jour sur tous les PCs, mais à première vue, et c'est une conséquence logique, il ne permet pas de travailler hors-ligne.

Pour avoir testé plusieurs groupwares récemment, la seule chose qu'il manque pour une utilisation en entreprise est un client lourd sous Windows, qui permet de travailler hors-ligne en plus de l'ergonomie. Et les plugins pour Outlook, je n'en ai rencontré aucun qui me donne une impression de fiabilité suffisante. Une autre chose qui manque souvent, c'est le manque de documentation structurée, claire et complète pour l'administration ou l'utilisation.

Par contre, un des gros atouts des groupwares libres sur Exchange est une indépendance bien moindre envers l'environnement: Exchange 2003 demande (idéalement) son Windows 2003 Server dans un domaine Windows 2003, le firewall ISA Server pour sécuriser correctement les communications avec un frontend dans une DMZ, tandis qu'un OX utilise des serveurs HTTP, SMTP, IMAP et LDAP externes; quand on ne travaille pas en 100% MS, c'est appréciable.

Pour en revenir à OX, c'est un de ceux qui me fait la meilleure impression à l'utilisation, mis à part la complexité de l'installation (et le Java sapucaipalibre).

Je montrais une manière de retrouver un SSH exécutable pour un utilisateur, d'où l'intérêt de retirer le droit de lecture. Une autre manière de retrouver un SSH fonctionnel est de le compiler, ou de télécharger un binaire par exemple via scp.

cp /usr/bin/ssh ~/bin/ssh
chmod a+x ~/bin/ssh

--> retire aussi les droits en lecture; fais peut-être de même avec le compilateur pour ne pas qu'il se compile son ssh.

ssh -L 2222:B:22 user@A
(à côté)
ssh -p 2222 user2@localhost # en réalité se connecte à B grâce au port forwarding

--> bloque aussi le port 22 en sortie. Cela dit, quelqu'un pourrait vouloir lancer un serveur SSH sur un autre port s'il a un accès autre que via la machine A. Si tu es l'administrateur des machines dont tu veux bloquer l'accès, alors tu peux aussi bloquer en sortie les ports > 1024.

$ apt-cache show libmysqlclient10
(...)
Description: LGPL-licensed client library for MySQL databases
This package contains a fork of the MySQL client library for use with
software that is distributed under a GPL-incompatible license.
Because it is based on an older, LGPL version of the official
MySQL client library, it may lack features available in the MySQL 4.0
libs. If you are looking for a library for use in a GPL application,
or in software which will not be distributed by Debian, you may prefer
to use the official library from MySQL AB instead.

Donc en résumé, un client MySQL est en général linké à la lib de mysql, et de ce fait, il devient un travail dérivé ne pouvant être publié que sous license GPL. A moins, comme le montre la description du package, que l'on le linke à une autre bibliothèque. Cela ne porte évidemment pas sur le code source non compilé et les scripts, qui sont des travaux à part, utilisant mysql (et les licenses libres ne limitent pas l'utilisation).

Un autre exemple: dans le kernel Linux, une interface est définie. Si un module n'utilise que cette interface, il est considéré comme un travail indépendant utilisant les services du kernel; sinon il se peut que sa combinaison avec le kernel soit un travail dérivé.

Si tu ne dois pas travailler avec des requêtes arbitraires (c-à-d tu veux surveiller une seule requête ou un petit nombre défini à l'avance), place un trigger après insertion, mise à jour et suppression.

Le plus simple, qui marchera partout, est de modifier un enregistrement d'une table à part contenant le nombre de modifications, ou la date de la dernière modification, et de consulter cette valeur périodiquement (requête très simple) ou avant de faire ta grosse requête (si tu veux cacher le résultat de ta requête pour des raisons de perfs).

Plus complexe, PostgreSQL permet de définir des triggers dans divers langages, dont C, Python et Perl, et là tu fais ce que tu veux: écrire dans un fichier (socket, pipe ...), envoyer un signal à un processus ... Il te reste alors à intercepter la notification et à la traiter.

C'est ce que je prendrais. POP est un protocole permettant de télécharger le courrier, IMAP de la gérer (répertoires, déplacements ...), et le Maildir convient naturellement mieux à l'IMAP. Il existe une variante du mbox, le multi-mailbox, où chaque répertoire est un fichier mbox, et sur laquelle on peut travailler en IMAP, mais c'est leeennnt quand les fichiers grandissent et qu'on les balaie séquentiellement ou qu'on les réécrit quand on efface un message.

Tent e tout de même la commande que je t'ai donnée pour tester le disque. Il suffit que tu aies un fichier au mauvais endroit pour que ca plante. Si tu as un réseau, essaie de pinger ton portable quand il est planté, pour voir si ton kernel tourne toujours: ce n'est pas rare que le serveur X ne réponde plus, mais que le système soit toujours accessible via SSH ou le port série. Une fois que tu es en failsafe, tu peux aussi tenter de lancer les services un à un (ils sont dans /etc/init.d et voir lequel fait planter. Si c'est dans les applications q'il y a un problème, il y a de fortes chances pour que ce soit le serveur X. Essaie alors d'utiliser le driver VESA au lieu du pilote spécifique à ta carte, et si ça va mieux, alors fouille dans la manpage du driver pour lister les options de config. Un "cat /proc/cpuinfo" te donnera la vitesse à laquelle ton processeur tourne actuellement. S'il est à sa vitesse maxi, installe quelque chose du genre cpufreqd pour en contrôler la vitesse.

Pour récupérer la sortie d'une commande, fais la suivre de > fichier.txt 2>&1

Pour les périphériques non reconnus, ce sont les bridges ISA et PCI, et s'ils ne fonctionnaient pas, tu ne saurais pas démarrer. Tu sembles avoir un chipset ATI. Je n'en ai jamais rencontrés, mais tu as probablement une carte graphique intégrée > Radeon 9200. Pour revenir à l'hypothèse du serveur X qui plante, j'aurais tendance à retirer de ton xorg.conf les options relatives au DRI et à OpenGL, pour lesquelles tu as un support expérimental ou inexistant.

Oui, mais à condition d'utiliser un package source Debian. Le plus simple est encore de récupérer un package depuis testing ou unstable (ils ont été renommés en linux-image-*). Malheureusement,

Dans /etc/apt/sources.list, mettre une ligne
deb ftp://ftp.debian.org/debian/ unstable main

puis:

apt-get update
apt-cache search linux-image
apt-get install le-package-qui-te-plait

Pour ne pas faire passer tout ton système en unstable à ton prochain apt-get upgrade, crée un fichier dans /etc/apt/apt.conf.d, (man apt_preferences) où tu place une ligne
APT::Default-Release "stable";
ou bien retire la ligne que tu as ajoutée dans sources.list

Des blocages de ce genre sont souvent dûs au matériel ou aux pilotes. Donne les détails de ta configuration (ex: la sortie de la commande lspci). J'ai déjà rencontré ce genre de choses quand le disque dur rendait l'âme: un firewall qui refusait de lancer un seul programme genre login ou pppd, mais malgré tout réussissait à démarrer, ou un dual boot où dans un premier temps seule la partition Windows était abimée.

Pour tester ça, tu peux démarrer sur un live cd, ou bien en passant l'argument init=/bin/sh à ton système, et une fois dans le shell, faire un dd if=/dev/hda of=/dev/null et guetter les messages d'erreur sur la console (remplace hda par ton disque dur).

Essaie aussi de débrancher un maximum de périphériques. Ou bien, vu que tu as un P4, vérifie que tu entends bien le ventilateur, que le radiateur n'est pas encombré de poussière et que la pâte thermique est encore bonne. Même si un P4 peut baisser sa fréquence très fort (300 MHz), il peut encore malgré tout causer des plantages lorsqu'il chauffe trop.

Pour info, le driver ralink gère lui-même le wpa, et il y a aussi une interface graphique pour le configurer. Cela dit je n'ai testé ni l'un ni l'autre avec ma carte.

Oracle certifie son SGBD (je parle pour la version 10) pour SUSE Linux Enterprise Server (SLES) 9 (et 8 il me semble), et RedHat ES et AS en versions 3 et 4. Mais même sur ces plate-formes certifiées, quand une installation se passe sans warning et du premier coup, c'est un évènement.

Attention, j'ai précisé les versions des distributions, car il suffit de peu pour que l'installation tourne mal (ex: devoir créer une petite lib à précharger sour RedHat WS 3). Sur d'autres distributions, il faut faire une petite beauté à son système, comme ajouter un fichier /etc/redhat-release, créer des liens symboliques pour que l'installeur trouve les binaires à l'endroit où il les attend ... Google te donnera sans problèmes des howtos pour la distribution de ton choix.

De mon expérience, RedHat WS 3 a été très pénible, Debian 3.1 OK à part 2 erreurs sans importances à l'installation, SLES9: presque le panard: ils livrent un package qui prépare le système pour l'installation d'Oracle: script d'init, paramétrage du système via sysctl ... Malheureusement, il ne dépend pas des dépendances d'Oracle.

Quant au choix d'Oracle par rapport à un autre SGBD, ca fait "Enterprise", ça plaît aux décideurs. Moins cyniquement, Oracle propose un support "Unbreakable Linux", où si on a aussi un contrat de support avec une distribution certifiée, ils collaboreront avec son éditeur pour résoudre les problèmes.

Sinon, c'est gros et lourd (à ne réserver qu'à des grosses BDs, et Oracle à la sale habitude de ne rien faire comme ta distribution: logs, fichiers de données, exécutables dans le répertoire d'installation (et non dans /usr/bin, /var/log ...), des exécutables répartis dans plusieurs répertoires (ça devient comme Windows: tu ne prends pas la peine de régler ton $PATH), des commandes tordues (ex: un import en DBA se fait par imp \'sys as sysdba\' au lieu de imp "sys as sysdba"), et j'en passe. Malgré le nombre de distributions supportées restreint, il n'y a pas de RPMs, et fatalement, tu n'as pas les mises à jour de sécurité fournies par ta distribution, vu qu'Oracle n'en fait pas partie. Il me semble aussi qu'Oracle gère lui-même un cache du disque dur, alors que Linux le fait déjà.

Et si pourquoi Linux et pas un autre OS, l'économie d'argent est négligeable vu le prix d'Oracle. C'est plus sur les qualités techniques que ça se joue.

Pas de problème avec un RAID hardware: la carte le prend en charge, et lors du POST, tu peux lancer son setup pour définir tes tableaux, et indiquer sans se gourrer quel disque doit être écrasé par le contenu du 2ème. Dans ton système, peut-être que tu devras modifier ton fstab si tu as un changement de nom de tes disques. Tout ce que le kernel voit, c'est un ou plusieurs disques SCSI, et il ne lui faut que le pilote pour la carte RAID. Seulement, une carte RAID, ce n'est pas donné. Une des moins chères que j'ai vue est une Adaptec 2400A (240 EUR HTVA, jusqu'à 4 disques PATA).

Cependant, je n'ai jamais vu de RAID hardware intégré sur une carte mère ATX, et si tu ne veux pas passer à la caisse, tu devras utiliser du RAID software. Ca fonctionne aussi très bien. Il y a juste un renommage de tes partitions dans fstab et une subtilité pour installer GRUB/LILO aussi sur le 2ème disque, et il faut aussi après un crash remettre le bon disque en première positiion dans l'ordre de démarrage.

Tu as déjà des packages dans Debian pour libpng (installe le package libpng3-dev ou libpng12-dev); les packages en -dev sont nécessaires pour compiler un programme. Si tu est en unstable ou testing, bandwidthd est aussi directement dans les packages.

Sinon, tu sembles avoir oublié le "make install". L'installation se fait par défaut dans /usr/local, donc vérifie aussi que /usr/local/bin est dans ton $PATH, et /usr/local/lib dans ton $LD_LIBRARY_PATH.

Alternativement à $LD_LIBRARY_PATH, tu peux mettre LD_RUN_PATH=/usr/local/lib dans ton environnement lors de la compilation. C'est plus propre, puisque les exécutables de la distribution ne viendront pas se linker à ta libpng.

que la news dit que MS va distribuer pendant un mois un produit sans support d'aucun genre? En général, ça se fait dans l'ordre inverse :-).

En tout cas, chez moi, je n'arrive pas à résoudre enlightenment.org.

Va peut-être faire un tour dans le setup de ton BIOS: j'ai déjà fait une install sur disque SATA, et le driver IDE générique a pris en charge les disques SATA (1). Je pense que le SATA peut en effet se comporter comme du PATA. Ca te permettra au moins de réaliser l'installation, puis de peaufiner à ton aise ta config pour utiliser le driver approprié.

Ou bien, renseigne-toi sur les options acceptées par l'installeur Fedora au boot (je ne connais pas Fedora, je suppose que tu dois avoir une petite aide accessible via F1).

(1) Seulement, dans mon cas, il refusait de passer en mode DMA, et les performances des disques durs étaient à chier, d'où l'utilité de désactiver le pilote IDE générique pour laisser le pilote SATA prendre en charge les disques (avec un passage de hda à sda).

Déjà actuellement, on peut exploiter le processeur de la carte graphique simplement via le serveur X pour accélérer des calculs dont les résultats ne sont pas affichés (ex: génération d'une image envoyée à un client web).

J'ai loupé quelque chose sur la distinction GPU/GPGPU?

D'après http://httpd.apache.org/docs/2.0/vhosts/name-based.html(...) :

Name-based virtual hosting cannot be used with SSL secure servers because of the nature of the SSL protocol.

Si maintenant chaque site a son adresse IP, j'imagine que ça passera, mais pas avec un seul certificat.

Et aussi modifier l'initrd pour charger le pilote de la carte RAID au boot.

Sinon, il y a des cartes RAID IDE chez 3Ware (famille escalade) et Adaptec (2400A). Le RAID hardware, c'est pas donné: compte minimum 240 EUR HTVA. Les solutions RAID grand public sont en fait du RAID software. Le RAID software fonctionne aussi très bien, mais sa mise en place est un peu plus délicate pour le boot.

Tu pourras alors utiliser le programme à partir d'ici. Pour les rpm, deb , ils vont généralement dans /usr/bin ou /usr/sbin.

Attention, tu pourrais être tenté en lisant à moitié de copier tes .deb ou .rpm dans /usr/bin, mais Xavier veut simplement dire que l'exécutable installé via le package se trouvera là-bas. Le fichier .deb, comme dit dans le 1er message, tu le ranges où tu veux, voire tu l'effaces quand tu l'as installé.

modprobe md
modprobe raid1

(normalement, md doit suffire). Pour le reste, il n'y a rien à configurer: le kernel détecte tout seul les partitions qui forment chaque tableau. Ca devient un peu plus subtil quand ta racine est en RAID1, puisque le module md doit être disponible au boot (dans le kernel ou l'initrd).

Pour info, il est aussi tout-à-fait inutile de créer un filesystem sur sda1 et sdb1: c'est md0 que tu montes, c'est sur md0 que tu crées le filesystem. Cela dit, comme sda1 et sdb1 contiennent chacun le contenu de md0, tu pourras les monter directement (mais attention: ton tableau sera dégradé; je n'ai pas testé, mais ça pourrait mener à une perte de données). D'ailleurs, au boot sur une racine en RAID1, il faut configurer grub pour chercher le kernel sur sda1 ou sdb1, puisque le BIOS ne connaît pas le RAID software.

Et pour voir l'état de tes tableaux: cat /proc/mdstat.

Le partage de connexion tel qu'on le pratique actuellement se passe au niveau IP. La navigation dans le réseau de Nautilus, c'est dans la couche applicative; c'est un service fourni par samba, et Nautilus ne listera que les machines ou un serveur Samba est installé. Samba n'est en rien nécessaire si tu n'as que des machines Linux, et va t'amener des complications supplémentaires. Samba est utilisé principalement pour intégrer une machine Linux dans le monde Windows. Pour partager les fichiers, tu as ftp, ssh (et la commande scp), les partages NFS ... Pour centraliser l'authentification, on a plutôt recours à un annuaire LDAP et à PAM. Pour imprimer à distance, CUPS le fait d'origine, et l'ancien lpd le faisait aussi. Tu trouveras à l'adresse suivante un document qui t'aidera à partager ta connexion et installer quelques-uns de ces services: http://debona.dyndns.org/informatique/reseau.pdf(...)

Pour le module kernel, c'est un simple fichier .o ou .ko. Copie-le simplement dans /lib/modules/version_kernel/un_repertoire. Quand tu ajoutes ou retire des modules, lance la commande "depmod -a".

Pour les applications, jette un coup d'oeil sur le package stow: tu installes le programme dans /usr/local/stow/toto, puis tu lances stow pour créer les liens dans /usr/local. Pour désinstaller, tu relances stow pour retirer les liens, puis tu effaces /usr/local/stow/toto.