tontonflingueur a écrit 196 commentaires

Au cas où tu utiliserais firefox, je te suggère d'installer l'extension appelée "Live http headers". Il est bien utile pour voir les headers http qui passent entre le navigateur et le serveur.

Il y a un header appelé "character-encoding" qu'il serait intéressant de regarder.

@+

Ce qu'il te dit, c'est qu'il y a une erreur dans le format de ton fichier de configuration, qui doit être /etc/krb5.conf.

Essaye de le poster.

Tente un kinit, peut-être que ce sera plus causant.

Pour installer un KDC (Key Distribution Center), l'élément central de Kerberos V :

> aptitude install heimdal-kdc (souche d'heimdal).

ou

> aptitude install krb5-kdc (souche du MIT).

Bon courage,

Cher Maître,

Je pense que la phrase en question rentre dans le cadre du "droit de courte citation".

http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_citation

Il est vrai que le nom de l'oeuvre et de l'auteur n'ont pas été cités, mais vous avez rectifié vous même cette oubli.

Très cordialement,

• Si tu fais un ifconfig tu n'as pas des paquets en erreur sur ton(es) interface(s) ? Ca peut prevenir d'une carte réseau mal configurée par exemple une histoire de Full Duplex alors que le switch utilise du Half Duplex ou inversement ...
• Mais le truc que je soupçonnerais en premier, parce que c'est le plus exotique dans ta conf, c'est le channel bonding. Je n'ai jamais pratiqué, donc je ne pourrais pas vraiment t'aider, mais ça a l'air délicat à configurer ce machin-là. Que se passe-t-il si tu tentes de la désactiver dans un premier temps ?

Effectivement, j'utilise freenx 0.4.0.

Je te remercie pour ton message, il va me motiver pour passer à une version plus récente. L'installation ayant été assez pénible, je n'avais pas vraiment le courage de procéder à une mise à jour.

Tu utilises quoi, NX Server officiel ou FreeNX ?

J'utilise FreeNX 1.4.0. Apparemment la reprise de session ne fonctionne pas.Lorsque j'ai ce genre de problèmes, j'efface le contenu de /var/lib/freenx/db/running et je tue les process nx.

(Attention si tu es sur une machine multi-utilisateurs).

Voici les autres problèmes que j'ai rencontré avec FreeNX, que j'utilise en réseau local :

* le retour d'erreur n'est vraiment pas terrible. J'ai du le déboguer plusieurs fois à coup d'echo dans le script (au fait, chapeau d'avoir écrit un truc aussi complexe en shell). En particulier si tu te plantes dans ton mot de passe, tu as un timeout.

* j'ai eu un conflit avec mon antivirus sous Windows, qui faisait du "contrôle à l'accès". Comme le protocole NX utilise des fichiers de cache, ça dégradait les performances.

* xpdf est très lent, quasiment inutilisable. Acrobat Reader est un peu meilleur mais pas terrible quand même. Les autres applis fonctionnent bien, même OpenOffice.

* Firefox fonctionne bien, mais il y a parfois des problèmes de rafraichissement dans les pages faisant un usage complexe de CSS.

Si je leur dis "ben utilise selectwm" ça vas pas le faire.

Tu peux adapter le script Xsession (chez moi il est dans /usr/X11R6/lib/X11/xdm/Xsession) pour forcer l'utilisation de selectwm.

Je te suggère un mécanisme (par exemple regarder si le fichier $HOME/.noselectwm existe) pour que tes utilisateurs puissent désactiver le lancement de selectwm s'ils le souhaitent.

Entre parenthèse, je vois que ce script peut recevoir un argument ; je sais pas comment ça marche, mais j'ai l'impression que l'on peut faire faire beaucoup plus de choses à xdm que ce que l'on peut en imagine. Par contre la doc est assez difficile à trouver.

Tu peux adjoindre un petit programme appelé selectwm à xdm pour choisir le window manager.

http://ordiluc.net/selectwm/

Celui-là repose sur gtk 2.0, mais en cherchant sur google, tu dois pouvoir en trouver d'autres, plus légers.

Sinon, il y a aussi wdm, avec le même look que window maker mais je ne sais pas s'il permet de choisir son window manager...

Je suis désolé, mon langage de base est le C, et j'ai beaucoup de mal avec ces variables dynamiques, l'introspection, tout ça. Merci pour tes explications. Je suis désolé, mais permets-moi de te dire que ça ne me plaît pas du tout ...

1. parce que si tu veux chercher avec ton éditeur de texte ou modify_password est appelé, tu ne le trouveras jamais. Donc ça va pas faciliter la maintenance ...
2. parce que en faisant ça tu fais confiance aux données venant du client. Là, le client peut forcer l'exécution de n'importe quelle fonction dans ton code (en utilisant LWP par exemple) s'il met $operation à 'hack' et $action à 'me', par exemple, il va appeler la fonction hack_me, et à mon avis c'est la dernière chose que tu souhaites,

alors que si tu fais un hash :

my %actions = 
{
    'modify_password' => \&modify_password, 
     ....
}

Tu évites ces deux problèmes ...

Pourrais-tu nous expliquer ce qu'est le data-driven, et ce que ça apporte par rapport à des bons vieux hash et des références ?

@+

Chez moi ça marche ? quelle version de perl utilises-tu (perl -v). Avec perl 5 de toutes façons, pour faire ce genre de trucs, il est préférable d'utiliser des références, qui ressemblent un peu aux pointeurs du C/C++.

my $variable = 21;
my $ref = \$variable;
$$ref = 42;
print "$variable\n"; #je voudrais avoir 42

Voici comment commencer :

#!/bin/bash

SOURCE="/home/XXXX/source"
DEST="/home/XXXX/dest"

cd $SOURCE &&
for i in `find . -type f -print`
do
    source=$i
    dest=$DEST/$i
    echo $source
    echo $dest
    # a toi de jouer avec des cmp ou des diff des -f, des mv, des echo
done

Bon courage ...

Oui mais les restrictions à la distribution sous forme de binaires sont vraiment importantes :

You are permitted to distribute a precompiled var-qmail package if (1) installing the package produces exactly the same /var/qmail hierarchy as a user would obtain by downloading, compiling, and installing qmail-1.03.tar.gz, fastforward-0.51.tar.gz, and dot-forward-0.71.tar.gz; (2) the package behaves correctly, i.e., the same way as normal qmail+fastforward+dot-forward installations on all other systems; and (3) the package's creator warrants that he has made a good-faith attempt to ensure that the package behaves correctly. It is not acceptable to have qmail working differently on different machines; any variation is a bug. If there's something about a system (compiler, libraries, kernel, hardware, whatever) that changes qmail's behavior, then that platform is not supported, and you are not permitted to distribute binaries.

Le premier point est déjà impossible à respecter pour la plupart des distributions qui ont leur propre organisation du système de fichiers.

Quant au dernier point, je ne comprends pas bien ce qu'il veut dire, mais je ne vois pas comment une distribution pourrait s'engager sur ce point !!!

La grande différence entre une session X toute seule et une session lancée par xdm, c'est que le premier utilise .xinitrc et le second .xsession.

N'y aurait -il pas une différence entre les deux (par exemple le module xfdesktop ?).

De man xfdesktop :

xfdesktop manages the desktop itself in the Xfce 4 Desktop Environment.
This includes drawing the desktop backdrop and providing a right-click
applications menu and middle-click window list menu. Only one instance
of xfdesktop can be running at a time, and should be started by running
xfdesktop without any arguments.

Plus que ça, il est permis de distribuer le code source qmail, mais interdit de le distribuer sous forme de binaires.

Sous debian, par exemple si on veut installer qmail il faut installer qmail-src puis construire le package.

Dan Bernstein (qmail's author) only gives permission for qmail to be distributed in source form, or binary for by approval. This package has been put together to allow people to easily build a qmail binary package for themselves, from source.

Le monde à l'envers en quelque sorte ... Mais c'est dommage parce que ça doit gêner quelque peu son adoption.

Pour ce qui est de samba, normalement dans la configuration par défaut, les répertoires des utilisateurs sont exportés, mais ils sont configurés de façon à ne pas être visible depuis l'explorateur réseau.

Donc sous Windows, il faut faire Outil -> Connecter un Lecteur Réseau, puis rentrer \\HOST_LINUX\nom_user. Comme mot de passe, tu rentres le mot de passe de ton login UNIX.

Sous nautilus, je ne sais pas mais en ligne de commande tu peux faire
smbclient \\\\HOST_LINUX\\nom_user, puis même chose tu rentres le mot de passe de ton login unix. Tu peux aussi utiliser smbmount pour monter ton partage.

Maintenant, effectivement si tu n'as que des postes Linux tu as intérêt à utiliser NFS pour partager des fichiers. Il suffit de rajouter les entrées dans /etc/exports sur le serveur et /etc/fstab. Dans /etc/exports pense bien à restreindre explicitement les adresses IP pouvant se connecter au serveur si tu es connecté à Internet, et à préciser l'option root_squash. Fais gaffe aussi que si le serveur est éteint, le client risque de bloquer un bon moment au démarrage avant de claquer en timeout.Il y a d'autres trucs que tu peux utiliser en réseau comme ssh pour ouvrir une session terminal sur ton autre machine. Tu peux aussi sur host2 faire :

xhost + host1 (pour donner l'autorisation).

et sur host1 :

export DISPLAY=host2:0.0
firefox

et le firefox qui tourne sur host1 s'affichera sur host2

Pour ce qui est de samba, normalement dans la configuration par défaut, les répertoires des utilisateurs sont exportés, mais ils sont configurés de façon à ne pas être visible depuis l'explorateur réseau.

Donc sous Windows, il faut faire Outil -> Connecter un Lecteur Réseau, puis rentrer \\HOST_LINUX\nom_user. Comme mot de passe, tu rentres le mot de passe de ton login UNIX.

Sous nautilus, je ne sais pas mais en ligne de commande tu peux faire
smbclient \\\\HOST_LINUX\\nom_user, puis même chose tu rentres le mot de passe de ton login unix. Tu peux aussi utiliser smbmount pour monter ton partage.

Maintenant, effectivement si tu n'as que des postes Linux tu as intérêt à utiliser NFS pour partager des fichiers. Il suffit de rajouter les entrées dans /etc/exports sur le serveur et /etc/fstab. Dans /etc/exports pense bien à restreindre explicitement les adresses IP pouvant se connecter au serveur si tu es connecté à Internet, et à préciser l'option root_squash. Fais gaffe aussi que si le serveur est éteint, le client risque de bloquer un bon moment au démarrage avant de claquer en timeout.Il y a d'autres trucs que tu peux utiliser en réseau comme ssh pour ouvrir une session terminal sur ton autre machine. Tu peux aussi sur host2 faire :

xhost + host1 (pour donner l'autorisation).

et sur host1 :

export DISPLAY=host2:0.0
firefox

et le firefox qui tourne sur host1 s'affichera sur host2

Il n'y aurait pas quelque part un mécanisme de gestion d'économie d'énergie qui se base sur la date système, s'éteint parce que la durée est écoulé, et se rallume aussitôt parce que tu touches ta souris ou ton clavier ?

Bravo !!! A cause de toi ton mon système de représentation du monde vient de s'écrouler :-).

Je ne sais pas bien sur quelle distribution tu es (si c'est une red hat, c'est une drôle de red hat ;-) ), mais sur debian 3.1, si tu veux installer un serveur mysql, tu fais :

apt-get install mysql-server

Je ne pense pas que tu puisses faire ça avec wget. En revanche tu peux faire ça avec perl et quelques petits modules, notamment HTML::Parser, et HTML::Form. Tu peux écrire des choses comme ça :

   
   my $url =      'http://annuairetic.paysdelaloire.cci.fr/index.asp?from=2&(...)
   my $ua = LWP::UserAgent->new(
   agent => 'Mozilla/4.73 [en] (X11; I; Linux 2.2.16 i686; Nav)' );
  
    # récupère le formulaire la première fois. 
    $req = HTTP::Request->new( GET => "${url}" );
    # envoie la requête HTTP
    $res = $ua->request($req);
    die $res->status_line if not $res->is_success;

    # récupère le formulaire HTML (ici, le premier de la page, de toute
    # façon c'est le seul) ...
    $form = ( HTML::Form->parse( $res->content, $url ) )[0];
    # on remplit la zone d'input avec "Informatique"
    $form->find_input('MotsCles')->value("Informatique");
    # on soumet le formulaire ...
    $res = $ua->request( $form->click );
    die $res->status_line if not $res->is_success;

    # tu as maintenant les résultats dans $res->content
    ...

Code non testé sur ce formulaire précis, mais enfin voilà l'idée ...

Si on télécharge les sources d'amarok-1.3.7, que l'on entre dans son répertoire, et que l'on fait : find . -exec grep wikipedia.org '{}' /dev/null ';' on obtient : ./amarok/src/contextbrowser.cpp: m_wikiCurrentUrl = QString( "http://en.wikipedia.org/wiki/%1" ).arg( tmpWikiStr ); ./amarok/src/contextbrowser.cpp: showWikipedia( QString( "http://en.wikipedia.org/wiki/%1" ) ./amarok/src/contextbrowser.cpp: showWikipedia( QString( "http://en.wikipedia.org/wiki/%1" ) Pas de chance, c'est en dur dans le code. Donc tu as le choix :

1. ou tu fais la modif dans le code et tu recompiles ...
2. (très sale) tu prends le binaire dans un éditeur hexa. Avec un peu de chance tu vas repérer la chaîne en.wikipedia.org et tu changes le "en" en "fr". Tu as de la chance, les deux chaînes ont la même taille ...
3. tu télécharges les dernières sources (subversion), et tu envoies un patch pour faire de cette chaîne une donnée de configuration ... Cerise sur le gâteau, si la donnée de configuration n'est pas renseignée, tu la dérives des variables d'environnement LOCALE.

... et puisqu'on semble être à cheval sur la grammaire et l'orthographe ici

s/courou/courroux

:-D

N'importe quelle distribution Linux est capable de faire office de firewall. Il suffit d'utiliser le programme iptables, et d'avoir les bons modules compilés dans le noyau (netfilter). Tu peux trouver de bons tutorials sur google, par exemple :

http://www.nbs-system.com/article/iptables_howto

Il y a un programme qui s'appelle shorewall, c'est un ensemble de scripts shell, basés au-dessus de iptables. Au boulot, j'ai configuré mon firewall avec shorewall, mais je ne sais pas si j'aurais pas mieux fait d'utiliser directement iptables.

Tu pourrais utiliser aussi une distribution spécialisée come Devil-Linux ...

http://www.devil-linux.org/home/index.php