v_atekor a écrit 49 commentaires

  • [^] # Re: Réponse

    Posté par  . En réponse à la dépêche Il n'a de libre que le nom. Évalué à 3.

    Parmis les erreurs fondamentales de ce texte est d'affirmer que le libre est financé par le service.

    Il y a des quantités de modèles économiques utilisés. Il y en a trois qui se sont particulièrement imposés :

    1/ Les licences de logiciels libres avec des briques propriétaires, lesquelles sont ouverte à des dates ultérieures (MySQL AB, SunMS Start/OpenOffice, RH, Novell/SuSE .... )
    2/ La vente de matériel accompagnée de logiciels libres (Serveurs, téléphones portables ... )
    3/ Le financement d'associations comme "laboratoires" et l'utilisation des production de ces laboratoires pour des offres industrielles (Mozilla, Wikipedia, Fedora ... )

    Quant à la sécurité, on comprarera:
    - Internet explorer à Mozilla Fx
    - OpenBSD à Windows
    - Apache à IIS
    - ssh à ....
    ......
  • [^] # Re: tous des communistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : La pression monte avant le Sénat. Évalué à 3.


    Mais sinon tu ne réponds pas à mon problème. Quid de l'informatique grand public ? Les moyens du LL dédiés à l'entreprise sont très raisonnablement élevés même si pas toujours bien répartis, les moyens du LL moins courant en entreprise sont déjà largement plus faibles, et les moyens du LL dédiés uniquement à une utilisation par des particuliers sont pratiquement nuls ( dons et éditeurs de distributions grand public ).


    Linux atteindra l'informatique grand public quand ... il sera prêt à le faire. Il faut une offre et une demande. L'offre existe mais ne répond pas en totalité à la demande. Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs même si on en meurt d'envie.

    Courrant 2006 Linux atteint le monde de l'entreprise (et aborde les pme) en tant que client, et non plus simplement en tant que serveur. Ca avance, mais ça prend du temps. L'offre pour les particuliers n'est pas encore prête. Et même si de ton point de vue tout est prêt, tant que les clients ne sont pas prêt à acheter, alors l'offre n'est toujours pas prête. A moyen terme les logiciels libres prendront une part conséquente du marché. Mais pas aujourd'hui. Tant que les utilisateurs se poseront la question de savoir si tel logiciel ou tel matériel est supporté par leur système libre, alors l'offre n'est pas prête. Elle arrive progressivement.


    Comment envisages-tu de financer un jeu vidéo libre ? Il faudra bien faire intervenir le particulier à un moment, et pour un produit gratuit dans une économie de marché ça risque d'être ballot ( et non je ne confonds pas libre et gratuit, dans le libre seul le développement a un coût )

    Un jeu - libre ou pas - se finance de la même manière que les autres : en le vendant (Le jeu, les connexions à un serveur, ou les mises à jour, la possibilité d'atteindre certains niveaux ... ). Le mot libre ne fait référence "que" à une technique de développement et de distribution de logiciels. Pas à son mode de rémunération.

    Ceci dit à mon avis, le secteur des jeux vidéos, de la même manière que nombre de solutions-métiers- ne pourra pas être couverts de manière efficace par l'informatique libre. Je pense que ça va rester un des domaines dominés par le logiciel propriétaire - (C'est essentiellement un problème de nombre de titres produits qui divise les communautés potentielles. Il y a quelques OS propriétaires, et quelques OS libres qui permettent de centraliser les efforts; mais un grand nombre de titre de jeux qui les divisent )
  • [^] # Re: tous des communistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : La pression monte avant le Sénat. Évalué à 3.


    En tout cas parler de "réponse libérale" dans le contexte du LL est absolument inapproprié :| . La progression du desktop Linux se fait de manière totalement détournée, doit beaucoup au bénévolat et surtout à la médiocrité de Windows, ce qui ne sera plus le cas un jour ou l'autre.... les moyens de Crosoft sont tellement monstrueux qu'ils pourraient bien prendre 10 ans d'avance technique sur le desktop libre s'ils le souhaitaient

    Tu as également tord sur ces points. L'avancée de Linux est aujourd'hui significative sur les serveurs, ce qui correspond au maximum d'investissement sur le noyau de la part de sociétés vendant des serveurs et transferant tout ou partie de leur buisness et de leurs investissements de leur Unix à Linux.

    La capacité de Microsoft est très en dessous de la capacité de recherche et développement des entreprises libres additionnées; et elle est également infèrieure à une seule de ces entreprises prise indépendement : IBM compte 6 fois plus de moyens R&D que Microsoft en personnels et moyens.

    Il me semble que tu fais l'erreur de confondre informatique et ordinateur personnel, libre et gratuit.

    Pour information, la liste des entreprises de l'OSDL. : http://groups.osdl.org/osdl_members/osdl_roster
  • [^] # Re: tous des communistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : La pression monte avant le Sénat. Évalué à 1.

    Ben écoutes, je n'ai pas dit le contraire, ce que je dis c'est que les administrations/entreprises sont les seules à investir dans le LL. Mais personne n'attendra un retour d'investissement financier d'un investissement dans le LL.. et c'est là que ça coince. RedHat et SuSE sont d'ailleurs de mauvais exemples parce qu'ils vivent non pas du développement de LL mais de ce qu'il y a autour ( des activités qui changent très peu du proprio ); un exemple à prendre c'est JBoss, mais leur modèle a ses limites.
    C'est absoluement faux. Le plus gros investisseur sur Linux est IBM, le second est HP. Novell et RedHat sont en bonne positions, et un coup d'oeil aux membres de l'OSDL te ferait du bien. Non seulement toutes ces entreprises attendent des bénéfices de leurs investissements, mais en plus elle les obtiennent.

    Je ne connais aucune administration qui ait investie directement sur linux (Noyau). Par contre je connais des dixaines d'entreprises qui le font, de manière rentable.
  • [^] # Re: tous des communistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche DADVSI : La pression monte avant le Sénat. Évalué à 7.

    Si je soutiens les logiciels libres, c'est préciséments car ils sont un moyen de efficace de produire de la valeur et de maintenir un marché concurrentiel. Ils sont pour moi une réponse libérale à une situation antilibérale : un monopole de fait. [Et vue la puissance du monopole, ils sont sans doute une des seules réponses possibles] . En bref, je suis bien loin de l'idéologie communiste.

    Mais toutes les personnes qui manifestent sont les bienvenues, à condition toute fois que tous le monde soit d'accord sur les les arguments proposés soient cohérent, et pas (trop) idéologiques : les arguments techniques sont déjà très forts dans la situation actuelle et pour la plupart ils peuvent être interprétés à la fois du point de vue libéral comme du point de vue communiste.
  • # Bravo

    Posté par  . En réponse à la dépêche PTT : outil de trace pour la NPTL. Évalué à 2.

    Continuez. C'est un outil très efficace!
  • [^] # Re: Samba 4 vs NFSv4

    Posté par  . En réponse à la dépêche Annonce de Samba 4 Technology Preview. Évalué à 2.

    Côté Microsoft, le boulot est (censé être) fait pour NFsv4 et l'interopérabilité se fait assez bien.
  • # Samba 4 vs NFSv4

    Posté par  . En réponse à la dépêche Annonce de Samba 4 Technology Preview. Évalué à 2.

    Quels sont les avantages de Samba4 par rapport à NFSv4?
    Et ceux de NFSv4 par rapport à Samba4 ?
  • [^] # Re: Numéro d'utiisateur

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 1.

    "Le problème d'après moi est que si tu authorises une personne a accéder à un serveur NFS(v4) sur sa machine avec son compte, alors si elle a le mot de passe root, elle peux accéder aux données concernant les autres personnes qui aurait accès à cette même machine. Chose non possible avec Samba."

    Ce n'est pas le cas. Ce n'est d'ailleurs pas le cas non plus avec NFSv3 si tu utilises l'option root_squash (Option passée dans la configuration par défaut)

    Dans la version 4, c'est le rôle de l'IDMapper de faire correspondres les identifiants entre client et serveurs, et les droits correspondants sont appliqués par NFS.

    Si tu utilises un protocole de sécurité tel que Kerberos lié à LDAP, alors le risque est nul, même si tu te loggue sur une machine qui n'est pas la tienne, et que tu réalise un montage.

    Tu as un message privé...
  • [^] # Re: Numéro d'utiisateur

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 2.

    Si, il y répond complètement et a été conçu dans cette optique. NFSv4 se veut un concurent de SAMBA (entre autre) et donc permet _au minimum_ d'imiter le fonctionnement de SAMBA.

    NFSv4 peut être associé à :
    IDMapper ou/et LDAP ou/et Kerberos.

    L'utilisation de Kerberos délivre un jeton de manière indépendante de l'UID utilisé, et permet le montage avec les droits correspondant.

    Donc, à la base peux avoir un montage indépendament de la machine utilisée avec des droits corrects.

    Ajoute LDAP et tu n'as même pas besoin de spécifier quel répertoire tu dois monter pour obtenir tes données.
    Je ne comprends pas où tu vois un problème?
  • [^] # Re: une question non sur NFS mais en rapport un peu avec le sujet

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 1.

    Oui.
    Coda est le successeur de AFS qui permet déjà ça.
    http://www.coda.cs.cmu.edu/
  • [^] # Re: Intégré au noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 1.

    Les ACL fonctionnent sur NFSv4. Tu as 2 types d'ACL prévues et supportées :
    - Les ACL POSIX
    - Les ACL NFSv4 (Compatibles Windows)

    La question de l'automonter devrait également être résolue.
  • [^] # Re: Numéro d'utiisateur

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 2.

    La réponse s'appelle Kerberos :)

    (En réalité les 3 protocoles de sécurité proposés)
  • [^] # Re: Intégré au noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 4.

    L'objectif est que NFSv4 passe en version 'non expérimentale' dans les version vanilla lorsquelle sera prête pour l'entreprise, c'est à dire lorsque toutes les fonctions NFSv4 de la RFC seront disponibles ET validées, probablement entre mi-juillet 2006 et fin 2006.

    Cependant, NFSv4 est d'ores et déjà prête (et utilisée) pour un remplacement de NFSv3, au niveau fonctionnel de NFSv3, (plus exactement : NFSv3, + kerberos, + locking, + delegation, + crash/session recovery).

    Au cours de cette année, les principaux distributeurs Linux devraient proposer NFSv4 comme service NFS par défaut. (A confirmer)
  • [^] # Re: Tiens c'est fiabilisé en france à grenoble

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 3.

    En effet! Merci beaucoup :)
  • [^] # Re: j'comprends pas...

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 10.

    NFS (v3) peut aller sur internet, mais...
    -Si le réseau fonctionne _toujours_ bien (pas de déconnections intempestives, sous peine de perte de session
    -Le port NFS est choisi aléatoirement ce qui ne simplifie pas la gestion des firewall
    -la quantité d'information liée au protocole transmise par NFSv3 est beaucoup plus importante qu'en v4, et ralentit considérablement les échanges.
    - la gestion du cache est limitée


    NFSv4 répond à tout ça :
    - Le port de connection est unique (2049)
    - Les pannes réseaux (fréquentes sur internet) ne gènent pas le fonctionnement)
    - les requètes sont regroupées pour éviter des allées et venues entre client et serveur
    - le cache est beaucoup plus efficace

    Enfin, utiliser NFSv3 sur internet est suicidaire du point de vue sécurité.
  • [^] # Re: Numéro d'utiisateur

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 9.

    NFSv4 est prévu pour internet, et évidement sur internet il difficile de prévoir quel UID sera utilisé par un client sur une machine de l'autre côté de la planète...

    Donc, nfsv4 prévoit un ID mapper qui permet de faire des correspondances entre les uid/gid des clients et ceux du serveur...

    Pour ceux qui ont un LAN avec quelques machines et pour qui ce mécanisme est inutile, NFSv4 supporte (évidemment) et dans la configuration par défaut la correspondance : uid client = uid serveur... sauf pour l'utilisateur root pour des raisons évidentes de sécurité (root client = nobody serveur, par défaut).

    En bref, la configuration par défaut offre un fonctionnement proche de SAMBA, avec des performances et une sécurisation plus efficace; et tout est prévu pour aller plus loin, beaucoup plus loin.

    C'est une avancée importante de pouvoir gérer correctement les uid/gid sur NFsv4 par rapport à NFSv3.

    L'idmapper s'interface avec LDAP et NIS et permet des déploiements plus complexes (dans le style active directory, par exemple)
  • [^] # Re: j'comprends pas...

    Posté par  . En réponse à la dépêche NFSv4 arrive à maturité. Évalué à 10.

    La différence avec ftp et les autres est très simple :
    NFSv4 est un système de fichier, qui permet (par rapport à FTP)
    -un mapping d'uid,
    -un accés tranparent au système distant pour les programmes au niveau du système d'exploitation (Et non au travers d'une couche d'abstraction elle que KDE/KIO)
    -Une gestion concurente des programmes (Ouverture en lecture simultanée à une ouverture en écriture par différents clients... )
    -Une gestion des locks (verrous sur le fichier, sur des sections de fichiers)

    En bref: NFSv4 est très proche de la norme POSIX (sections systèmes de fichiers) ce qui est a des années lumières de ftp ou http qui ont leuur propre standard.

    Un programme quelconque prévu pour fonctionner en local (sans couche d'abstraction de type KIO...) pourra exploiter des ressources NFSv4, et non des ressources ftp ou http.
  • [^] # Re: Champagne !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Migration massive au Royaume-Uni. Évalué à 7.

    Dans la foulée, la ville de Berlin à annoncé sa migration en 3 ans (58000 postes)
    A confirmer.
  • # Rerchechez les termes

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un enseignant d'une université espagnole censuré pour avoir défendu les réseaux P2P. Évalué à 1.

    Recherchez
    Dans le champs 'Cercar' sur :
    -> http://www.upv.es/menuv.html(...)
    une expression improbable de type
    iiiiiiiiioooooooooooollllllllllllllll
    -> se site répond 'pas de réponse' (normal

    cherchez maintenant :
    peer to peer
    p2p
    peer

    Réponse:
    java.lang.NullPointerException

    Et l'erreur ne se fait que sur ces termes là.... Il y a probablement un filtrage de fait, et pire, mal fait!
  • [^] # Re: Je la pose, ma question ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche PTT : un outil de trace pour la NPTL. Évalué à 3.

    L'outil n'est pas destiné à des amateurs en informatiques, ou alors ils doivent être très très éclairés (Prévoir des rampes projecteurs... )

    Il s'agit de trouver les problèmes dans les applications multithreadées, c'est a dire trouver les problèmes qui peuvent apparaitre lorsque plusieurs fonctions _concurentes_ (donc qui s'exécutent en parallèle) discutent ensemble et/ou manipulent les mêmes objets.
    Par exemple pour prendre les exemples signalés plus haut, si 2 personnes marchent ensembles (2 threads, faisons simple) et utilisent le même compte en banque et le même vélo (mais attention, pas un tandem!), imaginons encore que l'utilisation du vélo se fait de toute façons pour faire des emplettes, et donc vider le compte. Ajoutons que si le compte est vide avant la fin du mois il y a un gros bug....

    il peut y avoir des conflits lors de l'utilisation du vélo...
    et des bugs si le compte en banque se vide trop vite

    Pour celà un débogueur peut permettre d'intéroger les personnes pour connaitre leurs actions.une par une et savoir qu'est ce qu'il se passe.
    Le hic, c'est que pour le cas du vélo, on obtient un changement de dynamique : en interrogeant les personnes on les ralenties, elles font moins d'emplettes, et le compte en banque se vide moins vite : donc en essayant de trouver la source d'un bug, on risque d'empêcher que le bug de se produite.

    Au contraire, cet outil se comporte comme des caméras embarquées sur chaqu'une des personnes : on peut analyser, sans changer la dynamique des évènements, et donc analyser _après_ que le bug se soit produit...

    C'est plus clair comme ça?

    (La phrase est transparente pour développeurs qui sont les utilisateurs de cet outil, très puissant et vraiment pratique.)
  • [^] # Re: trop gros

    Posté par  . En réponse à la dépêche FACT, un projet de directive européenne pour une dictature numérique ?. Évalué à -2.

    J'ai failli marcher!
    j'ai ouvert l'article... Ce qui m'a étonné et mis la puce à l'oreille c'est le manque des signatures habituelles, la page 1 qui n'est pas vraiment un modèles de 'Communauté Européenne' :)

    Bien joué quand même!
  • [^] # Re: La démarche qualité existe - elle est seulement différente

    Posté par  . En réponse à la dépêche Démarche qualité et Logiciel Libre. Évalué à 3.

    Je peux te parler de la même manière de tous les composants de linux qui sont très largement testés, benchés et optimisés. Je ne pense pas que tu soutiendrai publiquement que IBM, Bull ou HP s'ammuseraient à mettre sur le marché des logiciels non testés? Bref, reste qu'apparement tu ne connais pas l'effort très important mené par ces entreprises (regrouppées à l'OSDL) pour tester Linux, et que tu ne connais pas le projet LTP, qui est pourtant le Linux Tests Projects: http://ltp.sf.net/(...)


    - NTPL : http://nptl.bullopensource.org/(...)
    - CKRM -> ltp
    - VMM -> ltp
    - VFS -> ltp
    - schedullers -> ltp
    - POSIX conformance -> ltp
    - systèmes de fichiers (tous) -> ltp + tests spécifiques au systèmes de fichiers
    http://nfsv4.bullopensource.org/tools/testing_tools.html(...)
    ....
    ...
    Pourquoi les tests ne sont pas dans les sources?
    La bonne question est : qu'est ce que les outils de tests feraient avec les sources linux?

    Il y a de _nombreuses_ suites de tests dédiés, qui elles sont regroupées dans le Linux Tests Projects:
    http://ltp.sf.net/(...)
    http://ltp.sourceforge.net/tooltable.php(...)

    Un oeil sur le travail de l'OSDL serait aussi le bienvenu.
    http://www.osdl.org/lab_activities/lab_projects(...)

    ... Ainsi que ceux de ses membres...
    http://www.bullopensource.org/(...)
    http://www.ibm.com(...) ... Mais la majorité des tests sont centralisés sur le LTP.

    Bref, pour une personne interressée pour tester linux, il lui faut 1 seconde pour tomber sur l'ensemble des tests disponible, et il lui reste des années de travaill pour passer les tests et étudier les résultats. C'est ce que font de nombreuses entreprises travaillant dans les logiciels libres.

    Dans les logiciels libres la démarche qualité existe, et n'est même pas différente que pour les autres logiciels.

    Quant à KDE, je ne pratique pas la programmation userland, désolé, et mais connaissances en tests d'applications userland sont exactement nulles.
  • [^] # Re: La démarche qualité existe - elle est seulement différente

    Posté par  . En réponse à la dépêche Démarche qualité et Logiciel Libre. Évalué à 2.

    Je rajoute mon grain de sel.


    1/ Il est évident qu'une démarche qualité est necessaire dans l'industrie logicielle
    2/ La démarche qualité ne dépend pas des stratégies d'entreprises utilisées (Logiciel libre/propriétaire)
    3/ Un bon logiciel est testé

    Pour le monde des logiciels libres, il y a de très nombreux tests. Pour ce qui concerne Linux (noyau), prennons un sujet en cours de développement sur le noyau Linux : NFSv4.

    Les outils:
    1/ http://nfsv4.bullopensource.org/tools/testing_tools.html
    Pour des tests plus génériques:
    http://ltp.sourceforge.net
    http://lse.sf.net/

    Au vues des documents trouvés sur internet il est évident que certains logiciels/couches logicielles subissent des campagnes de tests complètes. Sur le même sujet:
    http://developer.osdl.org/dev/nfsv4/
    http://developer.osdl.org/dev/nfsv4/test_matrix.sxc

    On lit sur la première page...
    -61 tests fonctionnels,
    -11 tests d'interopérabilité,
    -38 tests de robstesse,
    -30 tests de performances et
    -16 tests de sécurité....

    Un joli travail de tests, hein?

    Enfin, quelque soit la stratégie d'entreprise choisie (Ouverture ou non du code) un logiciel entièrement testé est beaucoup beaucoup plus cher qu'un logiciel non testé... Et la limite de la rentabilité existe. Il vaut mieux souvent ignorer des tests et rester rentable :)