Un nouvel article qui essaie d'analyser les dynamiques du logiciel libre et notamment les dynamiques du don au sein des communautés.
Peut-on vraiment parler de maximisation de la réputation comme Eric S. Raymond l'a mis en avant ? Nous verrons au cours de cet article que le don dans le logiciel libre est beaucoup plus à comprendre dans le domaine de l'identité, dans l'affirmation de sa subjectivité au sein d'une communauté et dans la reconnaissance de cette communauté.
Nous nous interrogerons alors sur les différences entre l'organisation du logiciel libre et celle du marché.
L'article à été traduit et publié par "The commoner" revue Internet anglaise.
L'article en français http://hacker.nabix.net/viewtopic.php?t=3(...)
Traduction de l'article en anglais sur "The commoner"http://www.commoner.org.uk/(...)
L'article est publié sous licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike License (non libre donc mais il s'agit plus de traité les cas commerciaux spécifiquement). Amenez vos contributions !
Un autre article très intéressant sur les logiciel libre paru sur http://www.commoner.org.uk(...) :
James W. Lindenshmidt, From Virtual Commons To Virtual Enclosures: Revolution and Counter-Revolution In The Information Age
# Citation
Posté par Synna . Évalué à 1.
# un sujet
Posté par Anonyme . Évalué à -1.
Je veux bien croire que certains vivent le logiciel libre comme un don. Je pense que ce n'est pas le cas de tous et ce n'est absolument pas l'esprit de la GPL et donc du projet GNU, qui mettent en avant l'échange avant tout.
« Nous avons vu que le don était un concept central dans le logiciel libre » : pas du tout efface.
[^] # Re: un sujet
Posté par Synna . Évalué à 2.
L'échange n'est pas en contradiction avec le don. Un mouvement de don peut être vu comme un échange (A donne, B donne, A donne...) selon l'angle sous lequel on se place. Donc parler d'échange n'est pas suffisant, si on ne le définit pas. Je parle de don, car je crois que ca apporte quelque chose à l'analyse (surtout les dynamiques de l'échange). Dire que c'est simplement un échange n'apporte rien.
Si tu veux dire qu'il s'agit d'échange dans le même sens que dans le marché, alors je ne suis pas d'accord, car pour un échange de ce type, il est nécessaire d'avoir un équivalent (p. ex. l'argent) et qu'elle est l'équivalent dans le logiciel libre? A mon sens tu n'en trouveras pas et, de plus, dans ce type d'échange, le retour est obligatoire ou du moins négocier, ce qui n'est pas le cas dans le logiciel libre.
Attention la GPL ne suffit pas pour parler du logiciel libre, ce n'est que la partie juridique, tu ne trouveras rien parlant de dynamique sociale qui se mettent en place (sur l'organisation des projets par exemple). Donc la GPL ne met pas en avant l'échange (d'ailleurs il y a plein de projet maintenu par une seule personne).
# commentaires divers
Posté par Lucas . Évalué à 2.
Qui n'est pas libre...
Sinon, petites fautes diverses :
Torvald => Torvalds
licence = > license (dans "General Public Licence")
Il y a une théorie sur le nombre optimal de mots par ligne. Je trouve ce texte assez difficile à lire, car les lignes sont trop longues. C'est souvent un défaut des documents écrits avec un traitement de texte : les marges donnent l'impression de perdre de la place, alors que des marges importantes facilitent énormément la lecture. Vous ne vous êtes jamais demandés pourquoi les magazines utilisaient plusieurs colonnes ?
Une version HTML serait intéressante, même si le rendu est moyen ...
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