Journal Une fortune en passant que les MACeux vont apprécier

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mar.
2005
Lu aujourd'hui sur IRC, mais c'est une récidive :

(Couaky) je ne cherche pas la merde, mais j'ai eu confirmation que sous Mac OS 10, c bien du linux



Je sais mon poulain est encore loin de luc2 et il n'écrira pas MultiDeskOS mais j'ai bon espoir en lui tout de même, parce qu'il en a de bonnes à son actif (Mozilla Firefox payant ...).
  • # Luc2

    Posté par  . Évalué à 6.

    Mais sait tu que Luc2 est bien plus prolifique quand il s'agit d'animation que d'informatique. C'est le pére de quelques thread monstrueux ( plusieurs milliers de postes sur 3-4 mois) sur fr.rec.anime il y a quelques années ( genre "lucile c'est nul a chier" et "evangelion c'est nul a chialer" )
  • # Mon frangin confirme !

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    C'est marrant mais ça à un goût de deja vu :)
    => http://sam.linuxfr.org/SWEEPER(...)

    Ah ouais, c'est presque pareil !
  • # Ca arrive souvent

    Posté par  . Évalué à 4.

    Des propos de ce genre, tu peux en trouver régulièrement dans les commentaires des news Clubic et Pc-INpact. On finit par s'y habituer.
  • # Bof il a pas si tort que ca

    Posté par  . Évalué à 7.

    Il y a une convergence énorme et qui se poursuit entre macos et Linux, alors qu'en 1998 par exemple, c'était deux systèmes les plus éloignés qui soient :
    * mac os c'était la simplicité, mac os avait révolutionné l'informatique personelle, Linux était utilisable par RMS
    * mac os c'était un système monotache (Erreur type 11 ;-) avec une couche réseau minable (Apple Talk) tandis que Linux équipait les clusters de google.
    Maintenant macos est basé sur Unix, sur des standards internet ou industriels, et sur plein de logiciels libres (Samba, ...) tandis que Linux est devenu suffisemment simple pour les gens dont le QI dépassent leur température anale.

    Non la vraie différence n'est pas technique :
    D'un côté on a un système libre, développés par des passionés, salariés ou non, mais toujours librement ; de l'autre côté on a multinationale qui traîne en justice à tout va, fait entrer le DRM dans la vie quotidienne, et, avec quelques unes de ses copines multinationales, tient la plume du Conseil Européen pour imposer les brevets hors de son pays d'origine.

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