Journal GPL v3 strict ?

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29
avr.
2008
La GNU GPL autorise (il me semble) la liaison avec des librairies non libres à condition que ce soit les librairies systèmes. C'était l'argument tordu utilisé par ces $@%£! de KDE pour justifier l'utilisation de Qt à la grande époque ou Qt n'était pas libre, comme si Qt était une librairie système. D'ailleurs la GPLv3 donne une définition des librairies systèmes.

Existe-t-il une version plus stricte de la GPL qui n'autoriserait à tourner que sur des librairies systèmes libres? C'est pour interdire de faire tourner les logiciels sur des systèmes propriétaires. Quelque chose comme ceci http://www.fefe.de/nowindows/ mais en licence obligatoire et pas limité à windows.
  • # liberté, égalité, fraternité

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    On a vraiment pas la même notion du mot « libre ».
    • [^] # Re: liberté, égalité, fraternité

      Posté par  . Évalué à 1.

      La GPL n'est appelé libre qu'en opposition à propriétaire.
      J'ai l'impression que poru la FSF ,être libre signifie uniquement "ne pas être propriétaire".

      C'est une définition qui se défend, qui n'est pas la tienne.... ni la mienne par ailleurs
  • # $@%£! de KDE

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    C'était l'argument tordu utilisé par ces $@%£! de KDE

    Et heureusement que ces $@%£! de KDE ont fait ça pour booster un peu les environnements de bureau qui était juste un petit peu à la traine.
    Et heureusement que ces $@%£! de KDE ont fait ça pour que GNOME puisse exister (qui n'est, à la base, qu'une réponse au côté fermé de QT dans KDE)
    KDE avait choisis QT car c'était techniquement la meilleur solution, ce qui a été démontré par la suite ainsi que le fait qu'une boite pouvait, sous l'impulsion de projets open sources, libérer leur code et le releaser en GPL.

    Franchement, si tu attends vraiment une réponse y'a peut-être moyen de poser la question autrement...
    • [^] # Re: $@%£! de KDE

      Posté par  . Évalué à 1.

      Non, sur KDE j'attendais pas de réponse, c'était pour le plaisir de donner un exemple trollifère.

      Il est de toutes façon toujours possible d'ajouter une exception du type "utilisation avec telle librairie non libre" à la GPL pour autoriser ce genre de cas. On peut même autoriser le relicenciement sous GPL sans l'exception, comme c'est fait dans la licence CLASSPATH.
      http://www.gnu.org/software/classpath/license.html
  • # Liberté, liberté chérie...

    Posté par  . Évalué à 10.

    décidément, la liberté 0 du logiciel libre n'a pas la quotte ces derniers temps...
    • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

      Posté par  . Évalué à -4.

      Tu as noté que c'est une exception incluse dans la GPL qui lui permet de tourner sur des librairies systèmes propriétaires?

      Le principe dans la GPL, c'est d'interdire les liaisons sur des librairies propriétaires.

      Maintenant tu as le droit de trouver ce principe trop restrictif et de refuser la GPL. Il existe la Lesser GPL ou les BSD pour autoriser ce genre de liaison dans le cas général est garantir que la liberté 0 est toujours respectée.

      Moi je trouve que cette exception sur les librairies propriétaires est surement très bien pour certains, mais qu'il faudrait une version sans cette exception.
      • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

        Posté par  . Évalué à 3.

        Non, le principe c'est pas d'interdire les liaisons sur des bibliothèques propriétaires, mais d'interdire les liaison de programmes propriétaires avec des bibliothèques libres.

        Tous les nombres premiers sont impairs, sauf un. Tous les nombres premiers sont impairs, sauf deux.

      • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

        Posté par  . Évalué à 8.

        Moi je trouve que cette exception sur les librairies propriétaires est surement très bien pour certains, mais qu'il faudrait une version sans cette exception.

        Ah? pourquoi fair? Interdir aux gens d'utiliser les softs?

        Microsoft fait déjà ça dans ses Eula avec des interdictions de faire tourner certaines de ses applications sur un autre OS que le siens, tu veux jouer au même jeu? Ok, fais ta licence, mais prétend pas que c'est du libre, ce sera juste une nième licence restrictive bas de plafond anti-quelque-chose plutôt qu'une licence constructive visant à promouvoir quelque-chose.
      • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        Oui mais finalement c'est quoi l'intérêt? Parceque la différence ce sera que tu auras légalement pas le droit de faire tourner ton logiciel sous un OS non-libre, ça n'empêche personne de fournir des exécutables qui tournent sous des OS non-libre.

        Par exemple je peux très bien faire des exécutables win32 destiné à OS libre (ReactOS).

        Donc finalement les seuls que tu emmerdes, c'est des potentiels utilisateurs de logiciels libres.
        • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

          Posté par  . Évalué à 4.

          Donc finalement les seuls que tu emmerdes, c'est des potentiels utilisateurs de logiciels libres.

          Non, c'est les potentiels utilisateurs de logiciels libres sous Windows/OSX. Les potentiels utilisateurs de LL sous linux/Hurd/*BSD, ça les gênerait pas.

          En fait, je me suis posé la question suite à la non-encore-officielle décision de l'OLPC de passer sugar sous WinXP.

          Je me suis dit in-petto que si un jour ce genre de projet devait recommencer, je n'y participerais jamais sans une condition restrictive du type: pas d'OS non libre. Et je me suis demandé comment faire. J'ai pensé qu'une licence GPL sans l'exception des librairie systèmes était peut-être la solution.

          Voilà la raison de mon intégrisme soudain.
          • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

            heureusement que les gars de openoffice, firefox et tous les autres projets ne réfléchissent pas comme ça...

            Pour moi le logiciel libre est un vecteur de ... liberté.
            Qu'ils soient sous un os ou un autre, un logiciel libre est libre et permet à l'utilisateur d'être plus libre.
            Qu'il y ait des choix d'os sur critères techniques, je le comprend tout à fait.
            Qu'il y ait des préférences d'OS sur des choix étiques, je le comprend tout à fait.
            Mais de là à vouloir empêcher une application de tourner sur un autre système...

            Le truc c'est que tu confond la licence du logiciel avec le but du projet.

            Dans le cas de l'olpc, ça devrait être au niveau du projet que les règles devraient être définis, par exemple : tous les développements doivent être sous licence libre, et le système d'exploitation également.
            Et ça suffirait pour que ça marche, mais surtout ça n'enlèverait pas la possibilité à d'autres personnes de porter les applications sur d'autres systèmes et de l'offrir par la même à plus de monde, ce que je trouverais très bien.
            • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

              Posté par  . Évalué à 3.

              heureusement que les gars de openoffice, firefox et tous les autres projets ne réfléchissent pas comme ça...
              Pour les autres projets, je ne sais pas.

              Pour Firefox (Mozilla) et OpenOffice, c'est différent. Ce sont des logiciels libérés par leur éditeur. Sun a dit au départ: "je vous le mets en GPL, mais je propose une version propriétaire à côté; ceux qui veulent participer avec nous doivent nous laisser le copyright." C'est clair au départ, ceux qui ne sont pas d'accord peuvent forker.

              Pour l'OLPC; c'est le contraire. "On fait un tuc qui marche à 100% avec des logiciels libres." Puis "Non finalement on le fait sous windows, mais on va y porter ce qui a été fait pour fedora." (c'était sous fedora). Avoue que les volontaires qui on porté leur soft dessus auraient le droit de sentir floué, ils ont participé sans le savoir à un truc qui va diffuser Windows XP dans le tiers monde.
              • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

                ha mais je comprend bien que les développeurs se sentent lésés.
                Mais c'est bien le principe de la GPL (pas de se sentir lésé) que de permetre de modifier le programme y compris sous d'autres os.
                Mais là où je pense que tu fais erreur c'est que tu y vois comme solution d'avoir une licence encore plus restrictive.
                Alors que pour ma part, le problèmes est qu'il n'a jamais été garanti que ça marche sur un os libre (je parle bien de garantie, d'obligations)
                Et il serait même possible de remplacer tous les développement par d'autres logiciels, non ? (s'ils sont capable de virer linux pour mettre xp, je vois pu trop le problème)

                Mais comme tu le dis, contrairement à firefox, openoffice, ... où C'est clair au départ ici rien n'était définitivement clair...
              • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                Posté par  . Évalué à 4.

                Avoue que les volontaires qui on porté leur soft dessus auraient le droit de sentir floué, ils ont participé sans le savoir à un truc qui va diffuser Windows XP dans le tiers monde.

                Personnellement, je serais contributeur sur ce genre de projet, je gueulerais et j'arrêterais immédiatement toute contribution.

                maintenant, de là à torpiller les principes du logiciel libre pour somme de représailles contre le logiciel propriétaire, ça me laisse perplexe.
          • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

            Ah je comprends mieux ton désarrois.

            Cela dit ça fait longtemps que je trouve que le projet OLPC pu, depuis l'introduction de bitfrost en fait.

            https://linuxfr.org//comments/804627.html#804627
          • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

            Posté par  . Évalué à 3.

            Je me suis dit in-petto que si un jour ce genre de projet devait recommencer, je n'y participerais jamais sans une condition restrictive du type: pas d'OS non libre

            D'un autre côté, ça ferait d'un projet ayant cette clause un logiciel difficilement qualifiable de libre...

            Toujours le même débat... à force d'utiliser tous les moyens contre 'l'ennemi' on devient 'l'ennemi' ...

            L'intégrisme est de-facto un bon moyen de détruire les libertés en prétendant les défendre.
            • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

              Posté par  . Évalué à 2.

              D'un autre côté, ça ferait d'un projet ayant cette clause un logiciel difficilement qualifiable de libre...

              je ne vois pas pourquoi.La GPL limite déjà fortement la liaison sur des librairies proriétaires. Supprimer l'exception des librairies systèmes ne fait que renforcer sa logique.
              • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                Posté par  . Évalué à 2.

                En GPLv2 (pour la V3, je ne sais pas) il n'existe pas de telle exception. Il n'y en a pas besoin pour pouvoir se lier avec une bibliothèque (qu'elle soit système ou non, d'ailleurs)

                Tous les nombres premiers sont impairs, sauf un. Tous les nombres premiers sont impairs, sauf deux.

                • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                  Posté par  . Évalué à 2.

                  Pour la v2:
                  http://www.gnu.org/licenses/old-licenses/gpl-2.0-faq.html#GP(...)

                  However, as a special exception, the source code distributed need not include anything that is normally distributed (in either source or binary form) with the major components (compiler, kernel, and so on) of the operating system on which the executable runs, unless that component itself accompanies the executable.

                  Pour la v3:
                  http://www.gnu.org/licenses/quick-guide-gplv3.html

                  GPLv3 has adjusted the definition of System Library to include software that may not come directly with the operating system, but that all users of the software can reasonably be expected to have. For example, it now also includes the standard libraries of common programming languages such as Python and Ruby.

                  The new definition also makes it clear that you can combine GPLed software with GPL-incompatible System Libraries, such as OpenSolaris' C library, and distribute them both together. These changes will make life easier for free software distributors who want to provide these combinations to their users.
                  • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                    Posté par  . Évalué à 3.

                    C'est cool de citer une exception... mais on se demande si tu es allé lire ce à quoi l'exception se rapporte...
                    The source code for a work means the preferred form of the work for making modifications to it. For an executable work, complete source code means all the source code for all modules it contains, plus any associated interface definition files, plus the scripts used to control compilation and installation of the executable.
                    ça ne comprend pas les librairies systèmes, cette définition. En gros, tu as besoin de fournir les interfaces (pas les bibliothèques) sauf si elles sont fournies avec l'OS. Donc on ne te demande pas les sources des bibliothèque système, même si l'exception n'était pas là.

                    Tous les nombres premiers sont impairs, sauf un. Tous les nombres premiers sont impairs, sauf deux.

                    • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                      Posté par  . Évalué à 2.

                      Sauf qu'on considère qu'un programme contient (des morceaux de) la librairie sur laquelle il est lié.
                      http://www.gnu.org/licenses/old-licenses/gpl-2.0-faq.html#If(...)

                      Sinon c'était vraiment pas la peine de mettre: However, as a special exception,...

                      La règle est la suivante dans la GPL:
                      - Tu lies sur une librairie système (dont la définition a été étendue dans la GPLv3 pour inclure des choses comme python): pas besoin de fournir les sources.
                      - Tu lies sur une librairie non système à la licence incompatible avec la GPL: tu dois ajouter une exception à la licence GPL de ton code. Incidemment cela signifie aussi que tu n'as pas le droit d'inclure du code GPL qui n'aurait pas eu cette exception.
                      - Tu lies sur une librairie non système à la licence compatible avec la GPL: tu dois en fournir les sources avec celle de ton programme.
              • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                Posté par  . Évalué à 2.

                La GPL est un compromis pour permettre l'exercice des libertés tout en les protégeant de sorte que l'application ne puisse être transmise sans elles.
                Retirer cette exception ne va pas dans cette logique car au lieu de crée un contexte diffusion du code et des libertés, on se retrouve dans une situation de replis protectionniste dont l'objectif est d'empêcher l'utilisation de l'application.
                • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                  Posté par  . Évalué à 2.

                  Je ne pense pas, j'ai meme plutôt l'impression du contraire.

                  Au départ, la LGPL (Lesser General Public Licence) a été appelée Library General Public Licence. Elle était quasiment recommandée pour les librairies. C'était clairement une façon de favoriser le logiciel libre sans obliger quiconque à mettre toute l'application en libre.

                  Et puis, le libre gagnant du terrain, la politique a plutot été de recommander la GNU GPL y compris pour les librairies:
                  https://savannah.gnu.org/file/why-not-lgpl.html?file_id=3493
                  en français ici: http://www.gnu.org/licenses/why-not-lgpl.fr.html

                  il y a clairement une évolution vers une limitation de la possibilité de faire tourner ensemble des codes libres et des codes non libres. Bien sûr cette recommandation n'a rien d'obligatoire, la LGPL continue d'exister. Mais cette politique est celle choisie par Trolltech pour la libération de Qt, ça peut faire réfléchir.

                  Je pense que le stade suivant serait logiquement une version stricte de la GPL, sans que cela interdise l'utilisation de la version actuelle ni de la version LGPL. Chaque développeur pourrait ainsi mettre son code avec la degré de mélange avec des librairies non libres qu'il souhaite, et ça permettrait de se pouvoir prémunir contre ce qui se passe avec l'OLPC.
                  • [^] # Re: Liberté, liberté chérie...

                    Posté par  . Évalué à 3.

                    Tu prends le problème de travers... tu prends l'aspect restriction de la GPL comme étant l'esprit de la gpl sans prendre son aspect liberté, et ensuite tu pousses ce premier aspect en avant, tu le gonfles et tu prétends que c'est l'esprit de la licence.

                    L'aspect restriction est là pour protéger les libertés, pas pour restreindre pour le principe de restreindre.

                    Un logiciel libre est appelé logiciel libre parcequ'il permet l'exercice des 4 libertés (dans le cas de la GPL, on rabote sur certaines libertés pour garantir l'inaliénabilité de ce qui reste)

                    Et puis franchement, il y a déjà assez de problèmes entre les différentes licences %gpl% pour balkaniser le libre, c'est pas la peine d'en rajouter pour le plaisir.
  • # J'espère que tu as une machine libre?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

    Parce que bon, la, ton idée, c'est si on la suit dans sa philosophie, c'est d'interdire tout ce qui pourrait tourner sur du non libre.
    Si tu mets la licence de l'OS dans l'axe du mal, je ne vois pas pourquoi tu t'arrêterais à ça, si on suit ton idée seules les machines libres (BIOS, design de la carte-mère etc?) auraient le droit de faire tourner ton logiciel.

    Cool, un logiciel qui ne fonctionnerai nul part, même pas chez toi...

    Faut arrêter les conneries un jour.
    La liberté 0 commence par la liberté de faire tourner le logiciel reçu sur n'importe quelle machine, qu'elle ai un BIOS ou un OS libre ou pas.

    PS: pour ton lien, ça démontre juste que la personne n'a pas compris la GPL dans sa philosophie, celle de pouvoir exécuter le logiciel... Sous couvert de d'éthique il ne respecte pas l'éthique de la GPL, ni ne respecte ses utilisateurs. Un peu comme les vendeurs de bio-carburant qui parle de bio (car vendeur) en sachant que leur produit détruit la nature...
    • [^] # Re: J'espère que tu as une machine libre?

      Posté par  . Évalué à 2.

      Parce que bon, la, ton idée, c'est si on la suit dans sa philosophie, c'est d'interdire tout ce qui pourrait tourner sur du non libre.
      Le logiciel libre est en mouvement. Comme je le note plus haut, il y a eu un renforcement de la limitation de mélange code libre code non libre dans les recommandations de la FSF.

      Un jour, il y aura des machines libres, et alors peut-être certains voudront limiter la possibilité d'utiliser leur code sur des firmware non libres. On verra à ce moment là.

      Si on regarde l'évolution, vingt-cinq ans après on peut commencer à se poser la question de l'OS, dans 25 ans on se posera peut-être celle du firmware. Il y a une forme de pragmatisme dans cette évolution.
      • [^] # Re: J'espère que tu as une machine libre?

        Posté par  . Évalué à 3.

        Un jour, il y aura des machines libres, et alors peut-être certains voudront limiter la possibilité d'utiliser leur code sur des firmware non libres. On verra à ce moment là.

        Bah, si ça leur faire plaisir de faire du non-libre utilisable uniquement sur du matos libre... c'est pas glorieux...

        Le pouvoir, le contrôle, la restriction, ça fait bander certains...

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