Jllc a écrit 792 commentaires

- 15' (oui bon c'est standart);
Et puis un 15" qui fait que du 1024 ca sert pas a grand chose qu'il fasse 15"...

En plus, sur un portable, je ne vois pas l'intérêt de mettre un 15", si ce n'est consommer encore plus d'énergie, ce qui est quand même génant ... sur un portable. Un 14" est déjà bien (mon premier portable de 1999 avait un 12,1" !). Ou alors, on parle de transportable, dont le but est juste d'être trimbaler dans le coffre de la voiture, parmi les bagages.

relativement pas lourd (2.7 kg plein);
Heu 2,7 Kg c'est super lourd, pour moi un portable leger c'est moins de 1,5 Kg !

Ca dépends. Les "ultra-portables" tournent en effet entre 1 et 2 kg. Mais les "transportables" (qui ne servent qu'à remplacer des machines de bureau) montent largement au dela des 3kg, j'en ai même vu de plus de 4kg. Sachant que plus c'est léger, plus c'est cher, 2,7kg n'est déjà pas mal, pour un portable à petit prix bien sûr (dans les 1000¤).

ils sont fabriquer en france a aix en provence et font vraiment d excelent portable

Ils sont fabriqué en France ou par une boîte basée en France ? Une autre société se vante de faire ses portables en France, et en cherchant des infos, j'ai appris qu'ils sous traitaient en Chine ou Taiwan. Ce sous traitant proposant ... les mêmes références !

Par contre, les infos sont un peu incomplètent sur leur site. Ils n'indiquent pas le poids de leurs machines (un critère imortant pour un portable !), toute la connectique disponible (bon à savoir quand quand on des périphériques non Usb).
(Oui, j'envisage de changer de portable, et ce genre de liens m'intéressent :o)

Mais en cas de nouvelle version, et c'est mon cas, il faut donc télécharger un nouveau rpm. Non ?

Si tu veux profiter du système de gestion des paquetages (savoir d'où viennent tel et tel fichiers, suppresion propre, listes des programmes installé dans rpmdrake, crétion automatique d'entré dans les menus ....), il faut utiliser des fichiers rpms. Mais pour Mozilla (et ce qui va avec), on ne trouve généralement les rpm des dernières versions qu'avec un peu de retard (à moins que je ne connaisse pas de bonne source :o).

Mais rien n'interdit d'utiliser les programmes d'installation disponibles sur le site Mozilla. Des gros projets comme ceux-là s'installent dans un répertoire unique, au lieu de "s'éparpiller" dans /usr/bin, /usr/lib, /usr/share, /usr/share/man comme le font traditionellement des applications (tu comprends l'intérêt pour ceux la des Rpms). Il suffit de supprimer ce répertoire pour tout enlever. En plus, comme ce sont des logiciels multi-platerformes, ils embarquent souvent leurs propres versions de certaines librairies (compression zip, image jpeg/png ...), et n'ont que peu de dépendances avec le système hôte (qu'y a t-il de préinstaller en commun sur un Linux, un Windows, un Mac OsX ?).

Donc, comme je le disais dans le premier message, tu peux lancer le programme d'installation qui se trouvent dans les programmes que tu as téléchargés (soit tu devrais les dézipper temporairement, soit ton gestionnaire de fichiers te permettra de naviguer dans lea archives en question). Ce programme te demanderas où tu veux installer mozilla puis thunderbird (il sera d'ailleurs préférable de soit choisir la suite mozilla, soit le couple firefox + thunberdird).

Si tu es le seul et unique utilisateut de la machine, tu peux les installer dans ton répertoire, vers /home (le seul inconvénient est que tu stockes dans le même volume des données et des programmes, et qu'en cas de sauvergarde de /home, tu récupères des trucs inutilement).
Pour que mozilla (et autres) soit utilisable par d'autres utilisateurs de la machine, je te conseille de le mettre dans le répertoire /usr/local, dans un répertoire au nom du programme ("mozilla", "firefox" ou "thunderbird"). Il faut juste lancer le programme d'installation en tant que "root", le seul qui ai droit d'écrire là.

Par contre, en te passant de rpms, tu devras toi même ajouter dans tes menus graphiques des liens vers les exécutables (pas difficile). Les rpms contiennent ce qu'il faut pour ajouter un nouveau programme à tous les menus de Kde, Gnome, WindowMaker ...
Pour les lancer depuis une console, il y a un ajustement en rapport avec le PATH à faire, mais je suppose que comme tout les débutants, tu ne te sers pas de ça ;-)

C'est le truc un peu pénible avec "C dans l'air", l'ordre du jour est donné à 16h pour l'émission du même jour à 17h50.

Sur le site internet, http://france5.fr/cdanslair/,(...) tu as le programme pour 3 ou 4 jours, susceptible d'être modifié en fonction de l'actualité quand même.

Pour cette semaine :

LE 6 AVRIL 2005
Tchernobyl
LE 7 AVRIL 2005
Jean-Paul II
LE 8 AVRIL 2005
Jean-Paul II, les funérailles

J'imagine la scène, avec le type qui a rectifié cette première erreur :

"Mais t'es con ou quoi ! T'as vu où tu as mis la suisse ? En plein dans la turquie. Bon, je rectifie, c'est là la suisse."

Et on obtient le résultat qu'on connait :o)

Je penche pour ça. La différence entre la capacité et (la quantité libre + la quantité utilisé) représente environ 5% des partitions.

Nous aussi nous avons une armée en Suisse (du moin il me semble vus que je paye la taxe militaire).

En fait, vous payez la taxe militire, mais vous n'avez pas d'armée. C'est pour ça que le pays est riche.

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Par opposition à Windows, j'ai du mal à comprendre la logique des paquettages qui vont aider à installer les logiciels. C'est bien cela ?

C'est simple. Pour installer un logiciel sous Windows, on te fourni un exécutable, qui quand on le lance, installe tout les fichiers : binaires, librairies, docs ... Chaque logiciel est responsable de son installation et de sa désinstallation (pas toujours très propre).

Sous Linux, l'une des solutions est d'utiliser des paquetages, des Rpms sous Mandrake. Chaque fichier rpm est une archive contenant les fichiers. Ces archives ne contiennent en principe que les fichiers de l'application proprement dite. Il peut y avoir besoin d'autres librairies ou programmes indépendant, qui sont fournis dans d'autres fichiers rpms. L'intérêt est que plutot que d'avoir 1 exemplaire de certaines bibliothèque avec chacun des programmes l'utilisant, celle-ci est dans un autre paquetage commun. Les programmes sont donc fournis dans un fichier plus petit.
C'est le gestionnaires de paquetages (rpmdrake par exemple) qui s'occupe de lire le contenu de ces fichiers et de les installé, et surtout des dépendances. Chaque archive Rpm, en plus de décrire sont contenu, indiquent les "dépendances", les autres programmes/bibliothèques dont il a besoin. Le gestionnaire s'occupe de les installer aussi, s'ils ne le sont pas déjà.

Autre gros avantage des Rpms, il y a sur ton système une sorte de base de données des Rpms installés. Cette base est capable de te dire de quel Rpm vient tel et tel fichier se trouvant sur ton micro. Et ce même gestionnaire peut désinstaller plus proprement les fichiers de l'application, puisque c'est lui qui les a installé.

J'ai un doute. Tu veux veux savoir dans quel répertoire faire l'installation proprement dite, ou savoir dans quel répertoire mettre les fichiers téléchargés pour les installer via un gestionnaire de packages, style rpmdrake ?

Si tu as téléchargé des Rpms (m'étonnerais quand même pour les dernières versions), tu les mets où tu veux, du moment que ce répertoire est indiqué à rpmdrake (ou autre gestionnaire) comme source de Rpms (je ne sais plus où ça se configure, faut chercher).

Si tu as téléchargé les fichiers sur le site mozilla.org, il y a par contre un programme d'installation (dans l'archive à décompresser) qui te demande où tu veux les installer. Techniquement, tu peux les mettre où tu veux., à condition de créer une entrée dans le menu (pour le lancer depuis un menu graphique de Kde/Gnome/...) et soit un lien depuis un répertoire du PATH, soit en modifiant ce dernier pour le lancer depuis une console texte (mais ça ne doit pas intéressé un débutant :o)
Mais pour bien faire les choses, et pour rendre les programmes accessible à tous les utilisateurs (si tu en utilises plusieurs), tu peux choisir le répertoire /usr/local, dans lequel chaque logiciel devra créer son propre répertoire. C'est ce que je fais chez moi.

Ceci étant ils ne respectent pas encore vraiment la GPL à 100%... pas d'offre écrite de filer les sources dans la boite toute neuve du beau wrt54g que j'ai acheté... et impossible de savoir a quel package de source correspond un FW binaire particulier, meme aupres du support technique (2 mails écrit, 2 réponses completement idiote reçues, j'ai plus ou moins abandonné pour l'instant...) Dommage, ils sont si près du but, je comprends pas ce qui peut les bloquer à être vraiment compliant, mais bon évitons de cracher dans la soupe aussi hein !

Faut voir la bouteille à moitié pleine, et non la bouteille à moitié vide, surtout qu'ici, elle est au trois quart pleine.

Enfin bref la semi bonne volonté de Linksys a quand meme permis l'emergence de pleins de FW sympa :

Quand ils vont y trouver des trucs "sympa" à ajouter à leur propre produit, ils vont comprendre tout l'intérêt de la Gpl (qui s'est pour l'instant résumé à leur fournie un "firmware" presque gratos).


A propos de routeur roulant au GPL, il me semble que D-Link propose dans sa gamme d'un tel produit, dont il fourni les sources sur son site web. Je ne sais pas ce que ça faut, d'un point de vue technique et d'un point de vue respect de la GPL, mais ça mérite d'être mentionné.

A mon avis les américains ont purement et simplement un problème avec la suisse...

Je crois que les américains (d'une manière générale) ont du mal avec la géographie, tout simplement.

Tout dépend vis à vis de qui tu veux être anonyme.

Le seul qui peut faire la correspondance adresse IP <-> nom d'utilisateur est le fournisseur d'accès de l'abonné. Et celui-ci ne peut délivrer cette information que sur ordre du juge, qui ne s'emmerdera à ça que s'il a de bonnes raisons.

Donc, pour des activités légales, tu reste techniquement totalement anonyme. Ni moi, ni aucun publicitaire (laissant des cookies partout) n'est capable de dire quel est le vrai nom de "Nico3333fr" ou "XHTML/CSS inside" qui a posté ce journal.

Par contre, si tu laisses toi même ton nom réel tu n'es plus anonyme. Ou alors, si quelqu'un te connait et sait sous quel surnom tu postes sur internet (comme moi), tu n'es plus anonyme par rapport à cette personne.

C'est fort possible. Je dois surestimer la quantité de ces windows encore en course...

Il faut voir le "parc" actuel de ces OS, mais aussi leur évolution. Ces versions de Windows sont en train de disparaitre petit à petit, alors que le nombre de machines sous Linux est en cours de croissance. Développer aujourd'hui pour des systèmes qui d'ici un ou deux ans seront très rares (si ce ne l'est déjà) est sans intérêt.

Je vais rebooter, et voir si elle reapparait.

Tu pouvais aussi supprimer le processus avec la commande kill.

Mais rebooter te permettra de t'assurer qui rien d'autres dans la config ne lancera de Dhcp.

Comme pressenti par Kolter, ma partition était montée avec l'option users ; et c'est ça qui posait problème.

Pour compléter : l'option user (ou users) implique les options noexec, nosuid, et nodev.

Si tu n'as pas rebooté ta machine, regarde si tu n'as pas un démon Dhcp client qui tourne toujours, et qui viendrait modifier la config.

1- Super rapide au lancement (ça change!)

Chez moi (Celeron 1,3 Ghz, 256Mo de ram), 5 secondes pour lancer la version 5, 12 secondes pour lancer le 7. Contre 2 secondes pour xpdf.

Ajoutes cette ligne :
NETWORKING_IPV6=no

Dans le fichier /etc/sysconfig/network

Si ça trouver, cette option y est déjà à yes, ce qui expliquerait que tu soit en IPv6.

C'est d'ailleurs curieux qu'une telle machine soit par défaut en IPv6, car à l'heure actuelle, seule les "pros" l'utilisent déjà.

eth0 Lien encap:Ethernet HWaddr 00:04:E2:1F:00:7B

adr inet6: fe80::204:e2ff:fe1f:7b/64 Scope:Lien

UP BROADCAST RUNNING MULTICAST MTU:1500 Metric:1

RX packets:0 errors:0 dropped:0 overruns:0 frame:0

TX packets:0 errors:0 dropped:0 overruns:0 carrier:0


A vu de nez, ton Linux semble utiliser de l'IPv6. Si le reste du réseau est en IP4, c'est normal que ça ne marche pas.

Je ne sais pas comment on change ça, mais je vais chercher, à moins que quelqu'un connaisse la réponse.

Vu les messages d'erreurs, il y a soit une modification du nom de la machine (utilisation d'un serveur DNS), soit un changement d'adresse IP (utilisation de DHCP).
Résultat, ce que contient la variable $DISPLAY (le nom du serveur graphique où afficher) ne correspond plus au nom de la machine.

Affiche les infos suivantes :

- le contenu de la variable DISPLAY (echo $DISPLAY dans une console) AVANT de faire la connexion.
- le contenu du fichier /etc/hosts pour les correspondances nom - IP statiques.
- ce que retourne la commande /sbin/ifconfig AVANT puis APRES la connexion internet.
- le contenu du fichier /etc/resolv.conf

MODULES(4) MODULES(4)

NOM
/etc/modules - les modules du noyau à charger au démarrage

DESCRIPTION
Le fichier /etc/modules contient la liste des modules du noyau à
charger au démarrage, un module par ligne. Une ligne peut inclure,
après le nom du module, des paramètres à lui passer. Sur une ligne,
tout ce qui suit « # » sera considéré comme commentaire et ignoré.

TRADUCTION
Antoine Gémis.

Debian GNU/Linux Version 1.1 MODULES(4)

Peux t on changer le type sans perdre les données ?

Non, tu vas être obligé de copier ces données avant de reformater la partition avec un autre système de fichiers.

Sous Linux, ça se fait avec la commande mke2fs (mke2fs /dev/hdc5) . FAIT ATTENTION DE NE PAS TE TROMPER DE PARTITION !


Est-ce que tu as toujours un Windows sur ce PC ? Si oui, il faudra penser à utiliser avant ça un outil de partitionnement (comme fdisk qui marche en mode texte), pour changer le type de la partition (de fat ou vfat à Linux). A ce niveau, ça ne fait que changer un ou deux octets dans la table de partition, sans changer la partition en elle même. Mais Windows lit cette table et cherche à accéder aux partitons dont il connait le type, et cherchera donc à la formater (puisque que le contenu lui paraitra illisble).

C'est comme changer l'étiquette d'une bouteille dont on changer le contenu. Ca évite à ceux qui ne sont pas au courant de faire une mauvaise manip (comme une bouteille d'eau contenant un produit chimique).

/dev/hdc5 /mnt/data ntfs umask=002,nls=iso8859-15,ro 0 0

Je viens juste de comprendre ce qui ne va pas : l'option "ro" signifie read-only, soit lecture seule !

C'est pour ça que tu ne peux pas écrire dessus.

Par contre, cette option n'a pas été mise par hasard. Les partitons ntfs ne sont pas complètement gérées sous Linux. La lecture ne pose aucun problème, mais l'écriture peut être problèmatique. C'est pout ça qu'il est préférable de la laisser en lecture seule, à moins de savoir ce que l'on fait !

En écrivant depuis Linux sur une partition ntfs, tu peux endommager le système de fichiers, et perdre des données.

Faut il redémarrer à chaque modif ?

Non ! Il suffit de "démonter" puis "remonter" la partiton. En mode texte (dans une console), ça se fait avec la commande "umount /mnt/data" puis "mount /mnt/data". On peut sans doute le faire avec un gestionnaire de fichier graphique. Avec les options que tu as, il faudra peut-être être root pour pouvoir le faire (pour autoriser d'autre utilisateur à monter/démonte un système de fichiers, ajoute l'option "user" ou "users").

C'est trop léger, il faut indiquer le nom du fichier à exécuter (ntldr par ex)

Personellement, je n'ai jamais précisé de nom de fichier à lancer.

Par contre, j'ai chez moi une option "table" qui n'apparait pas sur le fichier d'elloco :

other=/dev/hda1
label="windows"
table=/dev/hda

C'est peut être ce qui manque.