• # Commentaire supprimé

    Posté par  . Évalué à 7.

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  • # So it is with free software. You literally cannot pay for it. If you do, it becomes something else.

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2. Dernière modification le 03 janvier 2022 à 09:33.

    Alors j'ai bien conscience que l'auteur ne parle pas du contrat de licence, je ne suis pas Zenitram, mais j'ai tout de même du mal à comprendre cet argument.

    More and more "open" projects are backed by small companies, who have financial incentives to make their users happy because some of the users turn into paying customers. They'll even provide the uptime SLAs and security fix turnaround guarantees you wanted so much. Our company, Tailscale, is unabashedly one of those. Nothing to be ashamed of there. The system works.

    Vraiment ? Même quand System76, société à but lucratif, patche GNOME n'importe comment puis se démerde pour porter le blâme sur ses développeurs, à qui on reproche ensuite de manquer de respect à leurs "stakeholders" (quand on ne les accuse pas d'être financièrement dépendants de Red Hat, une autre société à but lucratif) ?

    J'aime bien l'idée selon laquelle un acteur économique non-"megacorp" va forcément être plus "responsable" avec son code qu'un dev libre qui fait des "cadeaux" (à Amazon) sur GitHub, mais j'ai l'impression que ce que dit l'auteur ici, c'est : nous sommes petits donc forcément gentils. S'il suffisait de monter une startup pour qu'un logiciel libre devienne un produit "focused on the customer", donc un produit qu'on aurait envie d'utiliser autrement qu'à contrecœur (autrement dit 90% des applis libres sur Flathub), ça se saurait depuis le temps non ?

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