n'etant pas patron, c pas moi qui decide [...] Y'a une realite c'est tout.
J'aimerais aussi te rappeler les réalités suivantes:
1) La force du Logiciel Libre vient justement du fait qu'il n'a pas de patron, qu'il n'y a personne pour te dire quoi développer, comment et pour quelle date.
2) Un patron n'a en principe aucune raison de s'intéresser à l'éthique des LL, en dehors de l'avantage financier qu'il peut en tirer.
On fera jamais passer nos idees en force. [...] Donc la pub est le meilleur moyen de vehiculer nos idees.
Ah, parce que la pub ne fait pas passer des idées en force?
C'est a dire que le decideur pressé americain va enfin etre atteint par notre vague.
Bof. Notre but ne devrait pas être de courtiser les incompétents qui décident à notre place sur des sujets qu'ils ignorent. Dans logiciel libre il y a libre, et il faudrait peut-être commencer par se libérer du pouvoir de ces gens-là.
Par exemple en le distribuant autour de soi, à ses amis, à sa famille, et en leur disant qu'ils peuvent aussi le redistribuer en toute légalité, ce qu'ils feront si le logiciel est de qualité car c'est bien ça qui fait le succès et non pas la pub.
Mozilla serait-il tenté par le côté obscur? Un certain nombre d'incides pourraient le laisser présager:
- l'utilisation des armes de l'adversaire, et pire, la poursuite des mêmes objectifs à travers le racolage absurde du maximum de clients;
- le mépris des logiciels libres à travers la diffusion de documents (la pub pdf) non lisibles par ceux-ci;
- et pire, les statuts de Mozilla Europe nous informent que "Les ressources de l'association se composent [...] de produits de la propriété industrielle." (http://www.mozilla-europe.org/fr/about/statutes/(...)). Damned! Je m'apprêtais à faire un don, mais cette découverte m'a largement refroidi.
Peut-être juste parce que le logo GTK n'est pas beau? (c'est juste mon avis, hein!) Et tant qu'à faire des commentaires subjectifs et trollesques, perso je n'ai jamais trouvé le look GTK très sexy (mais ça n'engage que moi).
Et c'est une lettre dans ce sens que je vais envoyer au 1er ministre, au ministre de la culture, de l'industrie et du président (c'est gratuit alors il ne faut pas se priver ...)
Une licence de logiciel libre accorde 4 libertés aux utilisateurs : éxécuter le logiciel, étudier son fonctionnement, le modifier et le redistribuer.
Ce n'est que la définition du logiciel libre selon la FSF. Peut-être est-il temps de réaliser que cette définition n'est pas indépassable.
Une licence de logiciel n'accordant ces droits que sous condition d'une utilisation non-commerciale n'est pas libre.
C'est là aussi l'interprétation par la FSF du mot liberté, entendu comme libéralisme au sens économique, comme la liberté d'exploiter le travail d'autrui à des fins lucratives. D'autres conceptions existent. Celle de IANG n'est fondée ni sur l'interdiction commerciale ni sur l'exploitation libérale (les deux seules options proposées par CC) mais sur la gestion du financement par ceux qui y contribuent. Cela n'a rien de nouveau; c'est le modèle des associations par exemple.
De manière similaire, je ne vois pas comment une licence contraignant la gestion de la création du logiciel pourrait l'être.
Attention, IANG ne contraint pas la gestion de la création, elle permet au contraire à chaque contributeur d'un projet collectif basé sur la création de participer à la gestion concernant ce projet. Rien n'interdit à quelqu'un de lancer un projet autonome, individuel ou collectif, basé sur cette même création. Il s'agit bien de protéger la liberté, en déniant à quiconque de s'approprier le contrôle du travail d'autrui.
Pour mémoire, une autre licence libre est parue en début de mois: la licence IANG. Tout comme Creative Commons, IANG est applicable à tout type d'½uvre, mais plus largement à toute création relevant de la propriété intellectuelle, comme les logiciels ou les inventions brevetées.
Une différence essentielle entre IANG et les CC est au niveau des droits économiques. En gros, les licences CC offrent deux alternatives: soit l'abscence totale de contrainte, c'est-à-dire l'autorisation pour toute personne d'exploiter le travail de l'auteur dans un but lucratif; soit l'interdiction totale (option Noncommercial) qui interdit tout commerce sans autorisation de l'auteur.
La licence IANG propose une troisième voie: la gestion de l'économie par ceux qui y contribuent, c'est-à-dire les clients, les donateurs, les investisseurs, etc. C'est bien d'un nouveau modèle économique pour les créations libres qu'il s'agit.
De plus, la licence IANG requiert la participation démocratique des contributeurs économiques à la gestion économique, tout comme celle des auteurs à la gestion de la création. Ce droit participatif élémentaire, qui n'est que la conséquence de l'exercice collectif de ces libertés, est la plupart du temps appliqué de façon naturelle dans les projets libres (par ex. Debian) mais est pourtant absent des licences CC et des autres licences libres.
Enfin, IANG a été directement rédigée en conformité avec le droit français; il ne s'agit donc pas d'une transposition. Cependant, une traduction en anglais est à prévoir (juste retour des choses!)
l'intérêt de cette licence par rapport a la creative common
Au niveau économique, les licences CC offrent en gros deux choix à l'auteur. Soit il interdit à tout le monde de commercialiser sa création sans son autorisation (c'est l'option Noncommercial). Soit il permet à tout le monde d'exploiter commercialement son travail sans le rétribuer en retour. Sans surprise, l'option Noncommercial est choisie par la majorité des créateurs diffusant leurs oeuvres sous Creative Commons, soit parce qu'ils comptent dessus pour manger, soit parce qu'ils rechignent à voir des intermédiaires se faire payer grâce à leur travail sans être payés en retour. Bien sûr on pourra dire que rien n'interdit à ces intermédiaires de payer les auteurs, mais le problème est qu'on vit dans une d'économie de marché...
La licence IANG offre une troisième alternative: donner le pouvoir économique à ceux qui financent la création. Les clients, les donateurs, les investisseurs, toutes les personnes contribuant à un projet économique basé sur une création IANG doivent pouvoir décider où va leur argent. Et elles doivent pouvoir le faire démocratiquement. Ainsi, les usagers étant majoritares, le financement sera orienté non pas vers la recherche de profit, mais vers l'utilité sociale. Non seulement les auteurs pourront espérer (mais pas exiger) des retombées économiques plus grandes qu'avec le modèle «libre» (en fait libéral) actuel, mais il est probable qu'ils seront plus avantagés que dans le modèle propriétaire, car leur rétribution se fera sur un modèle de don.
Tout à fait, la création de sociétés d'auteurs ou de producteurs sera la prochaine étape du projet. L'objectif initial de IANG est sourtout de définir la notion de création équitable sur le plan théorique, mais seule la mise en pratique en montrera la validité.
Maintenant, ce sera aux créateurs et usagers intéressés par ces valeurs de liberté et d'équité de monter des Projets créatifs et des Projets économiques sur les bases de IANG. Nous avons bien sûr l'intention de diffuser à l'avenir nos propres créations sous IANG, mais nous ne souhaitons pas que notre licence soit attachée à une création particulière (comme GNU avec UNIX au départ).
Non, il est dit deux choses:
1) Toute personne, qu'elle participe ou pas au développement, peut accéder aux comptes (de la même façon que toute personne peut accéder aux sources).
2) Les personnes qui contribuent au financement d'un projet, et elles seules, peuvent gérer les finances de ce projet (de la même façon que seuls les développeurs gèrent ce qu'ils développent).
Il ne s'agit pas d'ajouter à la confusion, mais d'offrir des libertés nouvelles qui n'existent aucune des licences libres existantes. Il s'agit aussi d'un nouveau modèle économique pour les créations libres.
Jusqu'à présent, les auteurs n'avaient que deux choix possibles. Soient ils gardaient le contrôle économique exclusif de leur création conféré par le droit d'auteur, soient ils abandonnaient totalement ce contrôle aux éditeurs en utilisant une des licences libres existantes. (Ils peuvent bien sûr être leur propre éditeur, avec toute la galère que cela entraîne.)
IANG leur propose un troisième choix, celui de confier le contrôle économique à ceux qui le financent, c'est-à-dire les donateurs ou les clients. Il s'agit bien d'un nouveau modèle économique.
Pour info, la version 2000 de l'encyclopédie était en Java. Il y avait juste un peu de code natif qui faisait que ça ne tournait que sous Windoze. Je leur avais posé la question à l'époque, ils m'avaient dit que le portage Linux n'était pas prévu, mais c'est juste une question de marketing AMA, car techniquement c'était déjà faisable.
Un des problèmes pour certains vis à vis de gentoo était ce côté "entreprise" où les droits d'auteur de certains étaient baffoués (sauf erreur) au profit de Gentoo Inc.
Qu'est-ce que ça veut dire? Si c'est le renoncement des auteurs à leurs droits individuels au profit de Gentoo, il serait bon de savoir que la FSF demande exactement la même chose: http://www.gnu.org/licenses/why-assign.html(...)
Donc cela n'aurait rien à voir avec un «coté entreprise» mais serait une question technique pour renforcer le poids juridique du copyright.
[^] # Re: Méfie-toi du côté obscur!
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Deux pages de Firefox dans le New York Times. Évalué à -2.
J'aimerais aussi te rappeler les réalités suivantes:
1) La force du Logiciel Libre vient justement du fait qu'il n'a pas de patron, qu'il n'y a personne pour te dire quoi développer, comment et pour quelle date.
2) Un patron n'a en principe aucune raison de s'intéresser à l'éthique des LL, en dehors de l'avantage financier qu'il peut en tirer.
On fera jamais passer nos idees en force. [...] Donc la pub est le meilleur moyen de vehiculer nos idees.
Ah, parce que la pub ne fait pas passer des idées en force?
[^] # Re: Méfie-toi du côté obscur!
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Deux pages de Firefox dans le New York Times. Évalué à -4.
Bof. Notre but ne devrait pas être de courtiser les incompétents qui décident à notre place sur des sujets qu'ils ignorent. Dans logiciel libre il y a libre, et il faudrait peut-être commencer par se libérer du pouvoir de ces gens-là.
[^] # Re: Méfie-toi du côté obscur!
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Deux pages de Firefox dans le New York Times. Évalué à -3.
Par exemple en le distribuant autour de soi, à ses amis, à sa famille, et en leur disant qu'ils peuvent aussi le redistribuer en toute légalité, ce qu'ils feront si le logiciel est de qualité car c'est bien ça qui fait le succès et non pas la pub.
# Méfie-toi du côté obscur!
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Deux pages de Firefox dans le New York Times. Évalué à -10.
- l'utilisation des armes de l'adversaire, et pire, la poursuite des mêmes objectifs à travers le racolage absurde du maximum de clients;
- le mépris des logiciels libres à travers la diffusion de documents (la pub pdf) non lisibles par ceux-ci;
- et pire, les statuts de Mozilla Europe nous informent que "Les ressources de l'association se composent [...] de produits de la propriété industrielle." (http://www.mozilla-europe.org/fr/about/statutes/(...)). Damned! Je m'apprêtais à faire un don, mais cette découverte m'a largement refroidi.
[^] # Re: Logo
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche GTK+ 2.6 est disponible. Évalué à -2.
[^] # Re: D'ailleurs...
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Paru dans Le Monde : La liberté de choix des logiciels, enjeu politique. Évalué à -2.
C'est ça, et n'oublie pas la lettre au Père Noël.
[^] # Re: Creative Commons vs IANG
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Creative Commons en France. Évalué à 2.
En effet, et c'est pourquoi IANG propose le nom de création équitable.
[^] # Re: Creative Commons vs IANG
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Creative Commons en France. Évalué à 2.
Ce n'est que la définition du logiciel libre selon la FSF. Peut-être est-il temps de réaliser que cette définition n'est pas indépassable.
Une licence de logiciel n'accordant ces droits que sous condition d'une utilisation non-commerciale n'est pas libre.
C'est là aussi l'interprétation par la FSF du mot liberté, entendu comme libéralisme au sens économique, comme la liberté d'exploiter le travail d'autrui à des fins lucratives. D'autres conceptions existent. Celle de IANG n'est fondée ni sur l'interdiction commerciale ni sur l'exploitation libérale (les deux seules options proposées par CC) mais sur la gestion du financement par ceux qui y contribuent. Cela n'a rien de nouveau; c'est le modèle des associations par exemple.
De manière similaire, je ne vois pas comment une licence contraignant la gestion de la création du logiciel pourrait l'être.
Attention, IANG ne contraint pas la gestion de la création, elle permet au contraire à chaque contributeur d'un projet collectif basé sur la création de participer à la gestion concernant ce projet. Rien n'interdit à quelqu'un de lancer un projet autonome, individuel ou collectif, basé sur cette même création. Il s'agit bien de protéger la liberté, en déniant à quiconque de s'approprier le contrôle du travail d'autrui.
# Creative Commons vs IANG
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Creative Commons en France. Évalué à 1.
http://linuxfr.org/2004/11/08/17611.html(...)
Une différence essentielle entre IANG et les CC est au niveau des droits économiques. En gros, les licences CC offrent deux alternatives: soit l'abscence totale de contrainte, c'est-à-dire l'autorisation pour toute personne d'exploiter le travail de l'auteur dans un but lucratif; soit l'interdiction totale (option Noncommercial) qui interdit tout commerce sans autorisation de l'auteur.
La licence IANG propose une troisième voie: la gestion de l'économie par ceux qui y contribuent, c'est-à-dire les clients, les donateurs, les investisseurs, etc. C'est bien d'un nouveau modèle économique pour les créations libres qu'il s'agit.
De plus, la licence IANG requiert la participation démocratique des contributeurs économiques à la gestion économique, tout comme celle des auteurs à la gestion de la création. Ce droit participatif élémentaire, qui n'est que la conséquence de l'exercice collectif de ces libertés, est la plupart du temps appliqué de façon naturelle dans les projets libres (par ex. Debian) mais est pourtant absent des licences CC et des autres licences libres.
Enfin, IANG a été directement rédigée en conformité avec le droit français; il ne s'agit donc pas d'une transposition. Cependant, une traduction en anglais est à prévoir (juste retour des choses!)
[^] # Re: Intérêt de cette licence?
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 4.
Au niveau économique, les licences CC offrent en gros deux choix à l'auteur. Soit il interdit à tout le monde de commercialiser sa création sans son autorisation (c'est l'option Noncommercial). Soit il permet à tout le monde d'exploiter commercialement son travail sans le rétribuer en retour. Sans surprise, l'option Noncommercial est choisie par la majorité des créateurs diffusant leurs oeuvres sous Creative Commons, soit parce qu'ils comptent dessus pour manger, soit parce qu'ils rechignent à voir des intermédiaires se faire payer grâce à leur travail sans être payés en retour. Bien sûr on pourra dire que rien n'interdit à ces intermédiaires de payer les auteurs, mais le problème est qu'on vit dans une d'économie de marché...
La licence IANG offre une troisième alternative: donner le pouvoir économique à ceux qui financent la création. Les clients, les donateurs, les investisseurs, toutes les personnes contribuant à un projet économique basé sur une création IANG doivent pouvoir décider où va leur argent. Et elles doivent pouvoir le faire démocratiquement. Ainsi, les usagers étant majoritares, le financement sera orienté non pas vers la recherche de profit, mais vers l'utilité sociale. Non seulement les auteurs pourront espérer (mais pas exiger) des retombées économiques plus grandes qu'avec le modèle «libre» (en fait libéral) actuel, mais il est probable qu'ils seront plus avantagés que dans le modèle propriétaire, car leur rétribution se fera sur un modèle de don.
[^] # Re: Manifeste bizarre
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 2.
Maintenant, ce sera aux créateurs et usagers intéressés par ces valeurs de liberté et d'équité de monter des Projets créatifs et des Projets économiques sur les bases de IANG. Nous avons bien sûr l'intention de diffuser à l'avenir nos propres créations sous IANG, mais nous ne souhaitons pas que notre licence soit attachée à une création particulière (comme GNU avec UNIX au départ).
[^] # Re: Perte de liberté ?
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 1.
1) Toute personne, qu'elle participe ou pas au développement, peut accéder aux comptes (de la même façon que toute personne peut accéder aux sources).
2) Les personnes qui contribuent au financement d'un projet, et elles seules, peuvent gérer les finances de ce projet (de la même façon que seuls les développeurs gèrent ce qu'ils développent).
[^] # Re: Perte de liberté ?
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 1.
[^] # Re: Confusion
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 2.
[^] # Re: Perte de liberté ?
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 1.
«Chaque Projet est autonome, y compris par rapport aux Projets relatifs aux créations originales ou dérivées...»
[^] # Re: Manifeste bizarre
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 2.
IANG leur propose un troisième choix, celui de confier le contrôle économique à ceux qui le financent, c'est-à-dire les donateurs ou les clients. Il s'agit bien d'un nouveau modèle économique.
[^] # Re: Si cela tient le coup juridiquement, c'est assez intéressant !
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licence IANG pour des créations libres et équitables. Évalué à 2.
Il se trompe! La licence IANG ne permet absolument pas ce genre de chose. Merci de la lire avant de la commenter!
[^] # Re: AGL
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une ouverture pour les logiciels "métier" avec Windev 9. Évalué à 9.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abr%C3%A9viations_en_informatique_A(...)
# A bas la pub
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Publicité Firefox dans le "New York Times". Évalué à 2.
Que ce soit pour une noble cause n'y change rien, la pub c'est de la manipulation mentale pour de l'argent.
[^] # Re: il fallait que qqn fasse la remarque...
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Premier livre français sur Debian GNU/Linux. Évalué à 2.
Linux Network Administrator's Guide
http://www.oreilly.com/catalog/linag2/book/(...)
Et pour sortir un peu de l'informatique:
http://atheles.org/editeur.php?main=recherche&ref_editeur=1&(...)
Mais il faut noter que seules les versions électroniques de ces livres sont libres; les versions imprimées ne le sont pas...
Quelqu'un a-t-il un contre-exemple?
# C'est pas Neat-Bean...
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 3.
http://www.netbeans.org(...)
[^] # Re: Ce serait encore mieux avec un lien sur ladite proposition
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Réforme du droit d'auteur : motivation et traduction législative. Évalué à -1.
Ils n'ont qu'à se garder «leur bien» pour eux, comme ça il sera bien protégé...
# Et les brevets Microsoft?
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche La spécification de OpenGL 2.0 enfin en version finale. Évalué à 2.
Rappels:
http://www.zdnet.fr/actualites/technologie/0,39020809,2119029,00.ht(...)
http://linuxfr.org/2002/07/14/8969.html(...)
# Ils auraient pu le faire avant
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Encyclopédie Hachette Multimédia sous Linux. Évalué à 5.
[^] # Re: Et le futur
Posté par Patrix (site web personnel) . En réponse à la dépêche Gentoo Inc. devient Gentoo Foundation. Évalué à 6.
Qu'est-ce que ça veut dire? Si c'est le renoncement des auteurs à leurs droits individuels au profit de Gentoo, il serait bon de savoir que la FSF demande exactement la même chose:
http://www.gnu.org/licenses/why-assign.html(...)
Donc cela n'aurait rien à voir avec un «coté entreprise» mais serait une question technique pour renforcer le poids juridique du copyright.