Samuel Ballé a écrit 82 commentaires

  • [^] # Re: Le pôvre

    Posté par  . En réponse au journal frozen desk. Évalué à 2.

    la chaise c'est un modèle trouvé sur le net.
    Sinon tu peux changer les unités pour m ou inches si tu veux, c'est dans "scene"

  • [^] # Re: Super mais...

    Posté par  . En réponse au journal frozen desk. Évalué à 5.

    et encore, la photo est avantageuse car on ne voit pas le reste de la pièce !

  • [^] # Re: Trop bien :-)

    Posté par  . En réponse au journal frozen desk. Évalué à 10.

    yep, on dit vue libre :)

  • [^] # Re: GIT et Markdown

    Posté par  . En réponse au journal [UE] Outil législatif collaboratif open source. Évalué à 1.

    Je ne suis pas pleinement d'accord, j'ai essayé de faire simplement un git+markdown pour gérer ce type de documents et cela ne suffit pas.

    Git et Markdown archivent et donnent parfaitement le rendu sous toutes les formes, mais il faut ajouter une couche d'organisation entre les participants et un système de validation et de remise en question. Des variantes aussi.
    Bien sûr git et markdown ont toutes les fonctions intrinsèques pour cela, mais pas d'une manière balisée au sens workflow administratif.

    En fait, on pourrait probablement utiliser git comme repository au lieu d'une base de donnée, mais le logiciel est un frontend aussi. Il faut gérer qui peut modifier quoi et quel workflow de traitement et de validation cela engendre.

    Donc oui, on peut formaliser chaque opération du workflow administratif sous des commandes git (markdown ou autre chose n'a pas d'impact) et faire un front end pour cela, mais ce n'est pas si simple.

    Dans le cas d'un traitement de donnée légale, l'utilisateur ne veut pas un word, il veut un traitement fonctionnel par corpus/texte/alinéa.

  • [^] # Re: JAMBON

    Posté par  . En réponse au journal [UE] Outil législatif collaboratif open source. Évalué à 4.

    Ils ne demandent pas de tester à leur place…

    Par contre c'est vrai que le source réel n'a pas été livré, ce qui est disponible c'est une version allégée pour servir de démo.

    Ce qui est bien pour tester la démo, c'est que l'install est bien faite, tout se compile comme indiqué dans la doc et se lance impeccable.

    Par contre, il n'y a aucune documentation, et à mon sens les fonctionnalités sont limités et non finales. Ce qui pour un projet à ce prix et cette durée est dommage.

    Pour l'instant le projet n'est qu'un éditeur de texte "par paragraphe". Ce qui est à mon sens un bon choix pour l'objet du projet.
    Mais c'est tout, et pour moi cela ne vaut pas 1 650 000€.

    Je vais essayer d'en savoir plus sur le passé et l'avenir du projet. Le responsable m'a indiqué qu'il y aura une suite au projet.

  • [^] # Re: récemment ?

    Posté par  . En réponse au journal [UE] Outil législatif collaboratif open source. Évalué à 4.

    J'ai eu des échanges de mail avec le responsable du projet. Ils ont finalement prolongé le projet ce qui à abouti à la livraison indiquée dans le commentaire précédent.
    Et il est prévu une suite au projet dans un second tour de table global de leurs services nommé ISA2.
    C'est donc un projet vivant.

  • [^] # Re: récemment ?

    Posté par  . En réponse au journal [UE] Outil législatif collaboratif open source. Évalué à 3.

    ok, dernière version ici

  • # récemment ?

    Posté par  . En réponse au journal [UE] Outil législatif collaboratif open source. Évalué à 3.

    Je regarde les détail projet, il a été démarré en 2011 partie étude, devait être livré fin 2015 finalisé.
    Il a reçu un budget voté total de 1 685 000 euros, si le rapport en ligne est à jour, la fin du financement n'a pas été donnée et il a reçu seulement 1 385 000 euros.

    Quelqu'un souhaite rebondir ?

  • [^] # Re: Incompréhension

    Posté par  . En réponse au journal CEGID racheté. Évalué à 0.

    lol,
    Pour l'instant seule la paye à réellement été un problème. Les bilans et les liasses fiscales sont des rapports et sont faciles à intégrer.
    Je n'ai pas rencontré de problème à gérer les immobilisation avec le standard que j'ai pour l'ensemble des pays, parfois il a fallu ajouter un état.
    Concernant les services en ligne, pour l'instant on est passés à côté. Il y a des exports XML qui sont en réflexion pour le Maroc sur la TVA, dans le reste du temps les sociétés n'ont pas besoin de liaison directe/automatique avec les services d'état et peuvent utiliser des moyens locaux.

    Franchement à t'écouter je sens bien que pour tes clients tu as raison. De mon côté ce sont des sociétés qui ont un besoin d'intégration fort, du coup on pourrait reformuler de "faut-il mettre un ERP partout dans l'entreprise" à "comment s'y prendre quand il faut mettre un ERP partout dans l'entreprise"

    Et que penses-tu de ma question sur l'existence d'un groupement économique qui viserait à représenter l'ensemble des indépendants et PME face aux gros systèmes ?
    Personne n'a rebondi sur ce point.
    Cela existe-il déjà ?

  • [^] # Re: Incompréhension

    Posté par  . En réponse au journal CEGID racheté. Évalué à 0.

    Je travaille pour des multinationales, ce sont mes clients.

    Concernant la taille de l'entreprise, je constate qu'il est difficile de maintenir une solution informatique quelconque quand on est gros. Quand on a pas un ERP intégré c'est encore plus compliqué.

    La communication inter équipe est difficile, le départ d'un employé est problématique car il est plus difficilement remplaçable avec de multiples petites équipes.

    Lors de l'acquisition d'une autre société, les méthodes dans la société en question étaient différentes et vont évoluer vers une logique groupe.
    Y mettre en place un ERP est déjà complexe, y mettre plusieurs outils non intégrés est plus complexe (on va éviter de parler de cas particulier.) Laisser l'existant peut être difficile à gérer aussi.

    Le support est un point important, avoir un ERP permet d'avoir des équipes de taille globalement ok avec des personnes qui sont plus facilement interchangeables. Plus on multiplie les outils, plus on multiplie les équipes et les risques.

    Concernant les législations comptables je suis en plein dedans. Un ERP adapté à l'international gère un plan de compte par pays/entité. Il dispose ensuite ou non des états légaux nécessaires à l'établissement d'une comptabilité statutaire.
    Lorsque c'est non, le client doit ajouter un module personnalisé ou bien exporter la compta de son logiciel intégré pour la fournir à un cabinet local qui va la reformuler et extraire les états légaux.

    Le Back office contient la comptabilité, la facturation (qui se distingue de la compta dans certaines grosses boites par la gestion dans des équipes différentes) mais aussi la gestion des notes de frais, des temps, des budgets, des rapports financiers. Normalement on gagne à intégrer tout ces éléments dans un ERP si on a une société de grande taille.

    Le Front office contient les outils de gestion projet, le CRM, le suivi de production. Ces élements peuvent être difficiles à gérer dans l'ERP car beaucoup plus orienté métier.

    Enfin, pour répondre à ta question je ne pense pas qu'il y ait de règle fixe sur la méthodologie à utiliser par rapport aux outils locaux. L'important est de réussir à fournir un service correct aux utilisateurs pour un coût maîtrisé.
    En ce qui concerne mes clients (et comme je travaille sur ERP ils sont forcément de ma catégorie de besoin), le coût de gestion de multiples entités chacune avec ses systèmes est devenu plus important que le coût d'aménagement d'un ERP central.
    Nous n'avons pas eu trop de problèmes de gestion de compta pour les payes suivants :
    France, Espagne, Italie, Angleterre, Belgique, Hollande, Allemagne, US, Inde, Maroc.
    Je suis en cours d'adaptation pour la Roumanie qui a des particularités qui rendent le problème plus ardu.
    Le back office général (rapports financier, facturation, achats…) est le même partout. Les localisations sont effectivement au niveau des états légaux de comptabilité mais sont gérables.

    Là où je te rejoins c'est sur la paye, c'est un véritable calvaire à gérer et est probablement beaucoup moins souvent rentable à intégrer.
    Mais dans la plupart des cas elle est même externalisée et donc gérée par interfaces.

    Sinon, la compta n'est pas une finalité, c'est une nécessité. C'est une interprétation et non une constatation de par sa nature, "refléter au mieux la réalité de l'entreprise" donne une liberté d'expression au comptable. La part constatation est importante, mais les provisions et les choix de classification font une différence importante au bilan.

  • [^] # Re: Incompréhension

    Posté par  . En réponse au journal CEGID racheté. Évalué à 1.

    Attention, tout dépend de la taille de l'entreprise.
    Par exemple, mon entreprise est petite, moins de 10 personnes, la séparation entre compta et outils opérationnels est claire et bienvenue.
    Mais mes clients sont côtés en bourse et d'une taille importante, pour eux séparer les outils front-office, back-office et la compta serait une grosse erreur.

    L'intégration des outils de production à l'ensemble est un souhait également, mais vient en dernier quand on gère déjà tout le reste et est le plus compliqué.

    Les ERPs sont la solution la plus exploitable à grande dimension. Et le changement se fait sur des années, une fonctionnalité à la fois, en général pas par faute de moyens financiers, mais faute de capacité à changer.

    Sans compter les problèmes de droits et de sécurité qui augmentent exponentiellement avec la taille de l'entreprise.

  • # comparaison libre/privé

    Posté par  . En réponse au journal CEGID racheté. Évalué à 10.

    Je travaille depuis 1999 sur un logiciel ERP privé nommé Agresso. Le produit est bon, il a des qualités vraiment utiles et des défauts acceptables.
    J'ai essayé de basculer sur un ERP libre en 2008. J'ai évalué à l'époque OpenERP et ERP5. J'ai fait venir un formateur ERP5 à notre bureau pour avoir un point de départ.
    On a abandonné suite à la formation.
    Pas assez de documentation, société trop petite pour réussir à percer chez les clients.
    Et toutes les fonctionnalités nécessaires n'étaient pas disponibles.

    Sur mes implantations, on est à plus de 90% de standard, on paramètre les choix fonctionnels et la majorité du travail repose sur la conduite du changement, les migrations de données et la mise en place des workflows. Du coup chaque année on progresse non pas sur le développement mais sur la compétence fonctionnelle et d'organisation.

    Il y a pour moi plusieurs éléments qui entravent la montée du libre sur ce segment. L'absence de volonté d'investissement de la part du public. Il serait plus pertinent de faire des appels d'offres pour améliorer un ERP libre et mettre en concurrence les entreprises locale pour cela que de faire des appels d'offre pour avoir des produits. J'ai vu qu'il y a un précédent sur libreoffice à Nantes justement sur ce sujet.

    Mais surtout une force connue commerciale habituelle. Une force qui pourrait rendre le besoin d'aide du gouvernement un bonus au lieu d'une nécessité.

    Il serait nécessaire d'avoir un poids financier important. Je ne sais pas si il existe par exemple des association économiques autour des ERP libres. Mais si il y avait un GIE autour d'un ERP il pourrait remplir la fonction de répondre aux appels d'offres, assurer un pool de consultants, témoigner d'un chiffre d'affaire consolidé suffisant et gérer les certifications et les formations. Il pourrait donc attaquer les mêmes marchés que les boites privées avec les mêmes armes sans attendre un coup de pouce de l'état.
    Il serait aussi moteur des futures évolutions du produit et définirait la roadmap qui rend le produit commercialisable au mieux.
    Il pourrait faire du lobbing auprès de l'administration pour par exemple permettre aux PME d'avoir un avantage fiscal sur la mise en place du produit qualifié "écologique".

    J'ai donné des conférences sur le libre au Maroc, j'avais souvent un mec super sympa en face de moi, "évangelisateur Microsoft". Qui venait parler de la liberté offerte par Microsoft dans les journées linux des universités. Il était comme le gars qui défend le cloppe dans le film "Thank you for smoking".
    Le GIE devrait aussi avoir un gars comme ça qui va prêcher la bonne parole.
    C'était très dur de passer derrière lui parce qu'il avait un discours d'embrouille très bien rôdé, qu'il ne respectait pas la durée et saturait le public.

    Dans ces conditions, les défauts de l'outil ne seraient plus un problème, on ferait comme MS, on parlerait d'autre chose, on parlerait du client par exemple.

  • # conclusion momentanée

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 0.

    Bonjour et merci à tous,
    Grâce à vos commentaires, j'ai pu glaner (pour nourrir les cochons donc) de nouvelles pistes d'étude.
    J'ai fait l'acquisition de nouveaux livres que je vais étudier, et je vais observer les sites qui sont mentionnés, sans préjugé.

    Des échanges qui sont présents, je sent qu'il existe une tension sur les motivations de chacun.

    Mais mon sujet était de débattre sur les moyens et non sur le fond. Dans cette étude, j'ai lu aussi ce qu'a fait Etienne Chouard par exemple, et je trouve son initiative louable dans le sens où il fait quelque chose.
    Je ne suis toujours pas d'accord avec le principe d'assemblée limitée constituante et j'ai trouvé son site "élitiste" mais il a le mérite d'exister. Et au moins par réaction il nous a incité à faire aussi quelque chose.

    Le problème et ce qui me motive aujourd'hui, c'est que justement j'ai peur que les seuls qui se motivent soient extrémistes et que comme ils sont actifs il réussissent à faire une France dans laquelle nous serons encore moins en phase.

    Dans tous les cas, je souhaite travailler sur une nouvelle France avec des gens calmes et ouverts, ayant le respect de l'autre comme principe de vie, car même quelqu'un qui a raison n'est pas fréquentable si il ne garde pas ces valeurs dans ses actes et ses paroles.

    Je pense aussi qu'il ne sera possible de faire quelque chose de bien qu'en construisant un nouveau monde, et non en essayant de détruire ce qui nous dérange.

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 2.

    Ce sont de bonnes questions.
    Je pense que la réputation est aussi importante quand on est juste un citoyen. Je rappelle que ma proposition est une assemblée similaire à celle qui est en place. Donc des votes nominatifs et engagés.

    Concernant GNU/linux et Windows, un débat public permettrait sans doute de replacer les arguments sur le terrain de "public" "libre" "durable".

    On pourrait envisager des positions d'état indiquant que le matériel d'état doit être libre software et hardware et ainsi booster l'économie privée libre par la même occasion.

    Pour tous les problèmes en général un débat public va permettre de mieux comprendre les problèmes. On peut imaginer que la télévision publique va s'aligner sur le nouveau besoin et que nous aurions plus de débats sur les ondes et en ligne.

    La méthode par groupes et bulles de décisions et autant de tours que nécessaire pour mettre tout le monde au même niveau d'information est un point essentiel.

    Concernant ma position personnelle sur l'immigration, j'ai demandé mon passeport universel : http://www.o-c-u.org/fr/

  • [^] # Re: Et la démocratie liquide ?

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 1.

    J'ai essayé hier soir d'installer adhocracy3, c'est pas ok. La version actuelle s'installe pas et c'est une grosse usine.
    Je vais essayer de regarder http://liquidfeedback.org/ prochainement pour évaluer.

    Merci à tout le monde pour les idées, ça fait avancer ce qui n'est encore qu'un rêve.

  • [^] # Re: les élites - à celui qui moinsse

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à -1.

    c'est vrai, son sujet est quand même proche du journal…

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 0.

    Oui, cela fait partie des opérations à forcer ensuite, des opérations qui ne passeront jamais avec le système actuel.
    Bon on peut avoir des problèmes de confidentialité avec les pays étrangers mais ça se réfléchit.

    Les comptes devraient être publics, je veux dire en consultation directe publique.
    Le système comptable mis en place devait être opensource et avec des fonctions de consolidation permettant de remonter le local au national.

    C'est un autre projet néanmoins, celui-ci vise à en permettre le vote au budget.

  • [^] # Re: 3 pouvoirs ? Réellement ?

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 0.

    Et je pense qu'une assemblée plus large réussirait mieux là où la chambre actuelle est submergée par les forces extrieures.

  • [^] # Re: Europe

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 0.

    Moi j'ai même rêvé de cette idée à l'échelle mondiale, mais c'est là pas pour tout de suite.
    Je ne sais pas si on peut démarrer le projet à l'échelle européenne directement.

    Je pense qu'il faut atteindre le niveau national pour réussir à ensuite en tant que nouvelle chambre repenser l'Europe.

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à -1.

    Je ne serais pas forcément opposé à ton projet sans loi ni exécutif, mais je n'arrive pas à visualiser un système qui fonctionne.
    Peut-être que tu pourrais faire un journal avec ton utopie…

  • [^] # Re: Fausses bonnes idées

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 2.

    Pour le premier point, je pense à la lisibilité des textes dans leur état actuel. Il y a le texte d'origine et des tonnes de renvois prévus pour être imprimés sur papier avec exhaustivité.
    Il doit être possible d'avoir un texte final actuel avec des liens "diff" avec les versions antérieures. Voir des lectures facilitées des projets de modification en cours.

    Donc oui, il faut reformuler ce que j'ai dit et parler de la présentation des lois.

    Pour le second, c'est aussi un problème de présentation. Que ce soit plus facile de faire le lien entre les éléments et ce à quoi ils se rapportent dans la constitution.

    Cela permettrait de
    - visualiser facilement l'impact d'un changement sur la constitution
    - mieux comprendre comment une loi s'inscrit dans un élément constitutionnel

    J'ai un peu romancé mon texte, mais l'idée est de rendre la lecture des textes et leur compréhension plus abordable au public.

    Concernant le troisième point, je peux accepter que ce soit qualifié de démagogie. Par contre je ne parle pas de la justice mais de légiférer. La justice est un pouvoir à part et n'a rien à voir avec l'assemblée nationale.

    Je cherche à améliorer la situation actuelle en changeant le moins de choses possibles. J'étudie aussi en même temps l'histoire de la république et justement ce qui fait qu'elle est comme elle est.

    Je suis donc peut-être un ignorant, peut-être un populiste. Mais peut-être autre chose. Mérite-je pour cela d'être insulté ?

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à -2.

    Je ne pense pas que tout le monde va voter ni participer sur tout, mais au lieu d'avoir un panel de spécialiste de la politique au nombre de 500 on aura quelques milliers de participants au moins sur chaque sujet parmi un vivier de 47 millions de votants.

    La complexité n'est pas un problème dans ces conditions.

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 1.

    Comme disait Pierre Desproges, il faut se dépêcher de rire de tout avant d'être obliger d'en pleurer.

  • [^] # Re: les élites

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 1.

    C'est la comédicratie

  • [^] # Re: Le M6R?

    Posté par  . En réponse au journal Pour un renouveau démocratique. Évalué à 0.

    Une liste fermée et une élection préalable.