tala a écrit 21 commentaires

  • # Erreur ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Retour sur l’affaire des « patchs hypocrites » de l’Université du Minnesota. Évalué à 8.

    Super article qui m'a appris plein de choses et avec les conclusions duquel je me sens en accord à 100%.

    Par contre, je crois qu'il y a une erreur dans "l'estimation" de l'efficacité du contrôle des patchs soumis :

    (…) la revue massive de tous les patchs en provenance de l’Université du Minnesota (…) apporte elle aussi quelques réponses sur la probabilité qu’un patch problématique passe au travers des mailles de la relecture par les mainteneurs.

    On parle donc de la probabilité qu'un patch problématique soit accepté.
    En gros, le nombre de patchs problématiques acceptés sur le nombre de patchs problématiques soumis.

    Or donc, sur les 442 patchs revus, 78 introduisaient un problème quelconque. Les mainteneurs ont donc laissé passer environ 18 % de patchs problématiques.

    La probabilité indiquée est celle qu'un des patch soumis soit problématique.
    En gros, le nombre de patchs problématiques acceptés sur le nombre de patchs acceptés.

    Merci en tous cas pour ce travail.

  • # bilan premier visionnage.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux webinaires à propos de l'interopérabilité logicielle pour les circuits courts. Évalué à 1.

    Le passage à l'échelle des circuits-courts sans passer par l'intégration derrière une même organisation, me motive fortement. J'apprends donc avec grand intérêt l'initiative du DFC.

    J'ai pas bien compris la "disqualification" du choix d'une API. J'espère que le deuxième séminaire m'éclairera davantage.

    J'ai entendu un contre-sens, pour moi, dans une des dernières interventions, au sujet de la différence entre opensource et logiciel libre… Mais l'intervenante avouait ne pas être spécialiste du sujet et je pourrais bien être corrigé moi même sur ce sujet sur ce site.

    Bon courage à tous les participants à cette initiative en tous cas.

  • [^] # Re: C'est quoi tous ces trucs ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Librecours propose une initiation à la programmation informatique. Évalué à 2.

    Sur framasoft, la chaîne éditoriale scenari et, parmi ses déclinaisons, opale, sont décrites depuis un moment.

    L'idée est de générer des supports variés (présentation projetée, documents papiers, séquence "complète" …).

    Dans mon académie, plusieurs collègues utilisent ces outils… Moi j'ai pas encore été convaincu.

    (Je suis prof en Lycée)

  • [^] # Re: De la nullité de nos élites en informatique

    Posté par  . En réponse au journal Les enseignants, poussés vers GMail. Évalué à 2.

    Le reste, en particuliers les outils pédagogiques, moyens de communication, etc. est exclusivement de la responsabilité de l'EN. Si localement d'autres intervenants pallient aux carences, cela reste de la bonne volonté et rien d'autre.

    C'est faux.

    Dans les lycées, l'environnement numérique de travail est choisi par la région, le réseau est administré par la région, qui définit ainsi les systèmes d'exploitation qu'elle accepte, sa politique de sécurité… ce qui entrave nos choix pédagogiques… Leur restrictions m'empêchaient initialement de demander aux élèves de lancer un ping.

    Vous semblez être nombreux à vous faire des idées sur la répartition des rôles entre les différentes tutelles… qui est bien moins claire que ce que vous énoncer et pose de réels problèmes.

    Je ne dis pas que notre ministère donne l'exemple, mais les collectivités locales (en tous cas la mienne) rendent la situation plus difficile encore.

  • # devoir ou liberté de partager ?

    Posté par  . En réponse au journal Rappelons la base du libre : pour tous les usages. Évalué à 1.

    Vu le nombre de concepts abordés dans la discussion qui m'échappaient jusqu'à présent… et sans doute encore actuellement : tivoisation, différence entre les liens dynamiques et statiques établis vers une librairie libre… je m'attends assez à tomber à côté de la plaque.

    Cependant, je me lance quand même (vous savez : "ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnaît !")

    Une des sources des interprétations multiples et débats sur les licences libres, leurs lettres et leurs esprits, voire sur "l'esprit du libre" ne serait-elle pas cette "liberté" bizarre accordée par la GPL :

    The freedom to distribute copies of your modified versions to others (freedom 3). By doing this you can give the whole community a chance to benefit from your changes. Access to the source code is a precondition for this. (interprétation ce cette liberté tirée de gnu.org… au passage, on voit que l'accès au source est considéré là comme un moyen d'assurer ce bénéfice communautaire)

    ce qui donne sur wikipédia en Français :

    Liberté 3. L'obligation de faire bénéficier la communauté des versions modifiées.

    Entre ceux qui y voient un "scorie" de l'Histoire et qui pensent que le principe est avant tout d'assurer que chacun fasse ce qu'il veut avec le code produit (code and forget ;-) ) et ceux qui promeuvent la notion d'un commun à entretenir, protéger, faire croître … Comment s'entendre ?

    Quand je lis que le libre serait une protection contre l'application de valeurs morales (sauf celle, visiblement indiscutable, de la concurrence), cette notion de communauté à assurer me semble complètement en contradiction.

    Mon cœur ne balance pas. Si le logiciel libre m'intéresse c'est justement pour l'idée de permettre que la connaissance, l'efficacité, les fruits du travail … s'accumulent au bénéfice de tous et éviter l'accaparement.

    Mais je trouve qu'il aurait été plus clair d'assumer le devoir que constitue ce 4° principe plutôt que de tenir à le formuler comme une liberté supplémentaire accordée à l'utilisateur.

  • [^] # Re: Qu'en est-il du contenu ouvert en consultation sur internet ?

    Posté par  . En réponse au journal Exception de copie privée. Évalué à 0.

    OK. Je ne me suis pas assez attardé sur le contenu. Ma question est visiblement sans objet : streaming et webscraping semblent bien tomber dans le domaine où le droit à la copie privée s'applique.

  • [^] # Re: De la nullité de nos élites en informatique

    Posté par  . En réponse au journal Les enseignants, poussés vers GMail. Évalué à 2.

    Les outils tous plus pourris les uns que les autres c'est l'EN aussi

    Pour enseigner au Lycée, je peux vous dire que les outils m**diques auxquels nous sommes confrontés ne sont pas seulement issus du ministère.

    Les collectivités locales (la Région et les départements pour ce que je connais) se charge de nous fournir des outils de travail en ligne qui font la grande joie des utilisateurs à qui manquaient un cliquodrome de plus … et qui ont surtout montré leur faiblesse quand on en a eu le plus besoin, lors du premier confinement.

    Nous avons des fournisseurs variés :
    -> le chef d'établissement choisi pronote pour la gestion des notes, du cahier de texte, des échanges entre acteurs, la vie scolaire, la présentation des emplois du temps
    -> la région nous "offre" un ENT qui recouvre certains des usages précédents, mais pas tous, et en offre d'autres ou les mêmes sous une autre forme.
    -> le ministère fournit une multitude d'interfaces diverses et variées pour la réception des messages en ligne, le suivi de carrière, la consultation de sujets d'examens, les formations à distance, … Le tout chevauchant à nouveau parfois des usages assurés par ailleurs et avec une ergonomie "douteuse". Mon proviseur adjoint, par exemple, a passé un temps fou l'an dernier à nous inscrire sur le site d'accès aux épreuves de contrôle continu du bac. Seule était prévue la saisie d'un utilisateur à la fois.

    Je ne connais pas assez la situation dans le primaire, mais j'imagine qu'elle n'est pas beaucoup plus claire.

  • # Qu'en est-il du contenu ouvert en consultation sur internet ?

    Posté par  . En réponse au journal Exception de copie privée. Évalué à 1.

    Dans le cadre de la mise à disposition de contenu en lecture sur internet, le droit de copie-privée s'étend-il à la possibilité de garder, convertir en pdf, enregistrer localement, des contenus que les diffuseurs proposent en consultation, par exemple en récupérant les images en cache, en "scrappant" le contenu des pages … ?

  • # logiciel libre, open source, en sources partagées...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 4 de l'année 2021. Évalué à 0.

    A lire l'article du monde informatique, je retrouve la même impression que j'avais eu quand j'ai entendu parler de ce conflit entre MongoDB et AWS :

    • si les développeurs souhaitent publier leur code en laissant qui que ce soit le modifier et le publier sous les conditions qu'il souhaite (ce que j'ai compris des licences "open source"), comment s'étonner ensuite que ce soit fait ?

    • si par contre les développeurs souhaitent partager leur code au sein d'une communauté où l'accaparement du travail d'autrui ne peut pas se faire et où la réciprocité est la règle, pourquoi ne pas choisir une licence libre, dans ce cas précis la AGPL qui permettrait de considérer la mise à disposition d'un service en ligne comme redistribution du logiciel ?

    Je suis à "mille lieux" du monde des développeurs professionnels. Je suis donc tout-à-fait prêt à admettre que mes considérations sont naïves mais j'attendais justement de cet article qu'il m'éclaire davantage sur les enjeux de ce débat… et je tombe sur l'horrible traduction :

    « Cela me rappelle les débats que l‘on pouvait avoir sur le « logiciel gratuit » (copyleft) et l'« open source ».

    qui est à peu près la seule référence aux alternatives libres à l'opensource…

  • [^] # Re: s'émanciper des contraintes régionales

    Posté par  . En réponse à la dépêche SambaÉdu 4, une solution de serveurs pédagogiques libres basés sur GNU/Linux. Évalué à 1.

    En effet, c'est la question qui se pose pour beaucoup de postes.

  • [^] # Re: s'émanciper des contraintes régionales

    Posté par  . En réponse à la dépêche SambaÉdu 4, une solution de serveurs pédagogiques libres basés sur GNU/Linux. Évalué à 2.

    Je ne l'ai pas "tenté" avant parce que mine de rien:
    - reprendre les différentes tâches en main,
    - solliciter des droits d'administration
    - tester si des solutions plus légères sont disponibles
    - réceptionner les nouveaux postes
    - effectuer les installations inefficaces, poste par poste
    - ranger le capharnaüm qu'était devenue la salle des serveurs
    - aplanir la communication avec les collègues
    - identifier les différents interlocuteurs
    - accessoirement, m'assurer que je ne lance pas l'établissement dans une aventure que je n'ai pas les moyens de mener…
    Ça m'occupe largement assez depuis un an et demi, vu le peu de temps que j'ai de disponible pour cette mission. Mais je garde le cap merci ;). Je voulais seulement avoir des sources pour des retours d'expériences pertinents.
    Bonne soirée.

  • # s'émanciper des contraintes régionales

    Posté par  . En réponse à la dépêche SambaÉdu 4, une solution de serveurs pédagogiques libres basés sur GNU/Linux. Évalué à 2.

    Bonjour,
    "RUPN" dans un Lycée d'un millier d'élèves comportant environ 400 postes fixes, dans l'académie de Caen (ou plutôt la nouvelle académie de Normandie issue de la fusion de celle de Caen et de Rouen), je m'acharne, avec mon collègue, à installer et mettre à jour les logiciels dont mes collègues ont besoin.
    Quand j'ai accepté cette "mission particulière" en septembre 2018, SE3 était déjà un lointain souvenir chez nous, la région ayant poussé le Lycée à quitter cette solution.
    En gros si nous voulions un nouveau serveur pour remplacer la vieille machine qui commençait à donner des signes de fatigue, nous devions passer à un serveur 'de virtualisation' : déploiement de client légers WYSE connectés à un serveur à qui sont délégués les principales fonctions logicielles.
    Du coup nous avons perdu les droits d'administration "globaux" et la région administre à distance ces clients légers.
    Cependant, des postes "lourds" sont toujours présents. D'ailleurs, la région repart actuellement "en arrière" et souhaite repasser en postes lourds, notamment du fait de coûts de licences qui augmentent.
    Or sur ces postes, nous sommes censés être responsables de l'installation des logiciels… sans avoir d'autres droits que d'installer ces logiciels localement, en se déplaçant poste par poste.
    Je creuse des "solutions" partielles (installations silencieuses, accès à distance via ssh, winRM,… voire RDP) ou des solutions plus radicales (chocolatey-nuget, wapt, wpkg …) mais nous rencontrons des blocages partout.
    En dehors de ces contraintes, il est également à noter ici que nous ne pouvons plus intégrer des postes de travail linux sur notre réseau… Windows 10 ou rien… Ce qui implique par exemple que des postes encore sous windows 7 risquent d'être envoyés à la casse car ils ne sont pas "upgradable".
    Auriez-vous un retour sur des collègues qui auraient réussi à s'émanciper de cette tutelle pénible ? Peut-on passer de manière autonome sur la solution sambaedu4 ? Doit-on attendre que la région nous débarrasse des derniers clients légers pour ne plus avoir à gérer la cohabitation de la virtualisation et des postes lourds ?
    Merci d'avance pour vos réponses.

    PS: J'ai eu la surprise de découvrir que le plus "haut responsable" de la région que j'ai sollicité et qui ne m'a fourni aucune solution et m'a seulement découragé de reprendre ces responsabilités/libertés/autonomie… est un fervent partisan local des logiciels libres… Preuve que l'institution réussit à étouffer les meilleurs volontés.

  • [^] # Re: Dans le sens du système à point

    Posté par  . En réponse au journal Le sujet dont tout le monde a envie de parler, mais qu'on n’ose pas.. Évalué à 3.

    Attention à ne pas confondre quand même prof de Lycée et prof agrégé (même en Lycée cela reste une nette minorité)

    Attention également aux sources qui citent des études OCDE, comme c'est le cas de l'article pointé.

    Des éditorialistes se sont déjà fait avoir en septembre dernier :
    L'OCDE établit des montants de salaires en parité de pouvoir d'achat, ce qui l'amène à multiplier les rémunération par un coefficient national. C'est pratique pour comparer le salaire d'un prof français, d'un prof danois et d'un prof grec.
    Par contre, quand on veut savoir ce que gagne réellement un prof français pour le comparer avec un ingénieur français, il faut diviser par ce coefficient.

    Vu que les ordre de grandeur sont semblables entre votre estimation et celles des économistes qui s'étaient mélangé les pinceaux, je la trouve douteuse.

  • [^] # Re: linuxfr.gouv.fr

    Posté par  . En réponse au journal Le sujet dont tout le monde a envie de parler, mais qu'on n’ose pas.. Évalué à -1.

    S'abstenir c'est aussi refuser de participer au "résultat produit" et légitimer la farce qui nous est servie.

    Vous pouvez vous ancrer ça dans le crâne : comme on dit que les syndicats sont peu représentatifs, les partis ne le sont pas plus et encore moins cette entreprise de com' LREM.

  • [^] # Re: linuxfr.gouv.fr

    Posté par  . En réponse au journal Le sujet dont tout le monde a envie de parler, mais qu'on n’ose pas.. Évalué à 0. Dernière modification le 07 décembre 2019 à 20:44.

    Bien sûr, d'ailleurs, hormis pour obtenir son vote, aucun citoyen n'a d'importance. La seule chose qui compte c'est le "résultat produit", autrement dit le pouvoir acquis par la minorité la mieux financée.

    Si ce système t'est confortable, je suis content pour toi mais n'espère en retirer aucune légitimité particulière.

    Les salariés sont un lobby comme un autre, il faudra bien que le gouvernement accepte de leur céder aussi quelques compromis.

  • [^] # Re: linuxfr.gouv.fr

    Posté par  . En réponse au journal Le sujet dont tout le monde a envie de parler, mais qu'on n’ose pas.. Évalué à -1.

    Regarde les sondages et tu verras que l'invasion est plus avancée que tu le penses.

  • # bravo... sauf pour l'excès de camelCase

    Posté par  . En réponse à la dépêche Apprentissage de la programmation dans les lycées (SNT/NSI) — la création d’exercices. Évalué à 4.

    Excellente initiative !
    Je me permets une remarque superficielle sur la forme :
    j'essaye personnellement de présenter de bonnes habitudes de rédaction de code python à mes élèves.
    Par conséquent, je préférerais leur fournir des fonctions utilitaires dont les identifiants respectent les conventions de nommage en python et non en camelCase.

    Je vais étudier de plus près ces outils que vous partagez généreusement.

  • [^] # Re: Pdf avec Vidéos

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.4.5. Évalué à 2.

    Merci pour la piste … Je tâcherai d'essayer un jour prochain.

  • [^] # Re: Pdf avec Vidéos

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.4.5. Évalué à 1.

    Peut-on (enfin) insérer des formules mathématiques au sein d'un champ textuel dans les diapositives ? Sauf erreur de ma part jusqu'à présent seule l'insertion de formules "isolées" était possible. Ce qui laisse un gros avantage à beamer pour l'édition de diapos avec du contenu mathématique.

  • # statut du livre édité par l'association

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'agriculture libre ?. Évalué à 3.

    Bonjour, personnellement, quand j'ai visité le site d'ADABIO, j'ai été surpris de voir sur la page présentant leur "manuel" une référence à la licence créative commons "CC BY NC SA 2.0" et en même temps un prix relativement élevé (145 € pour une commande à l'unité, sans compter les frais de port).

    Le contenu de cet ouvrage est-il librement partageable ? Dans ce cas, les auteurs ne craignent-ils pas qu'au vu du prix de l'édition imprimée, la tentation soit grande d'en télécharger une copie ?

  • # impressions personnelles

    Posté par  . En réponse à la dépêche InterTice Logiciel Libre. Évalué à 1.

    En tant que prof j'utilise exclusivement des logiciels libres (libreoffice, xcas, geogebra,ubuntu,…) mais je ne réussis pas à convaincre mes collègues de leur pertinence, en particulier pour la bureautique.
    La plupart ont appris à se servir de la suite M. Office et elle reste leur référence indépassable.
    Donc sur les postes de notre établissement équipés de la suite libreoffice, ils ne trouvent pas les fonctionnalités qu'ils désirent à l'endroit où ils en ont l'habitude et perdent un temps important à corriger les erreurs d'importation d'un format vers l'autre.
    Ils vivent les logiciels libres comme "un ersatz" gratuit des "logiciels professionnels" et militent pour qu'on nous donne enfin les moyens de travailler décemment avec les produits microsoft.
    Dernièrement, l'un d'entre eux m'a d'ailleurs dit qu'en général, "on" restait sur libreoffice/openoffice par idéologie alors que le passage vers M.office était un point de vue pragmatique.

    Je pense que nous ne sommes pas à la veille d'une adoption large et massive des logiciels libres par les enseignants.

    Je dois même avouer que, quand je rencontre des difficultés imprévues avec libreoffice (crashs à répétition, couleur grise des polices de formules mathématiques), je ne sais plus trancher si facilement qui a tort ou qui a raison.
    (Je ne cherche pas à provoquer. Ces problèmes, j'ai réussi à les régler. Mais si des collègues dubitatifs y sont confrontés, cela confirmera largement leur opinion).