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18
sept.
2006
Ce journal est un peu une suite de celui là ;http://linuxfr.org/~deadbeef/22500.html

Deadbeef peut se sentir moins seul, google aussi se fait taper sur les doigts pour aggréger du contenu (plus forcément du rss à ce niveau là) :
http://www.pcinpact.com/actu/news/31449-google-belgique-pres(...)

Gageons qu'ils trouverons un moyen d'entente à terme (avoir du contenu sur google news ça doit pas être la moins bonne pub du monde pour un article ... )

Pour les pages de caches, ce qui risque de se passer AMAALC c'est qu'ils interdisent l'accès aux pages de cache si c'est pas explicitement autorisé par un truc du genre robot.txt (ou interdit, mais c'est plus bancal juridiquement)

Cela dit, quelqu'un sait ce qu'est exactement ce service d'archivage de google ?

PS: AMAALC c'est un (quasi-)acronyme que je viens d'inventer qui veut dire à peu de chose prêt AMHA en plus vulgaire : à mon avis à la con.
  • # Le mieux ce serait...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    ...qu'une bonne fois pour toute les éditeurs de torchon comprenne ce qu'est l'internet.

    Quand on met quelque chose sur l'internet, on dois bien comprendre qu'on donne, purement et simplement, cette objet numérique en libre accès au monde entier. Si ils veulent pouvoir garder leur pub à coté de leur article, qu'il ne le publie pas sur internet, voila tout. Il faut bien comprendre qu'une fois mis sur le net, on a toute les chances de ne plus jamais pouvoir l'en retirer, ou alors faut faire très très vite. Sans parler de archive.org, il suffit d'une seule personne qui enregistre le fichier.

    Enfin je parle des feuilles de choux, mais les ministres qui nous pondent des lois irréalistes et inaplicable et les juristes qui viennent nous saouler avec ils sont pas mieux...
    • [^] # Re: Le mieux ce serait...

      Posté par  . Évalué à 9.

      D'ailleurs quand on met un logiciel sous licence GPL, puisque le code est disponible, il ne faudra pas s'étoner de le retrouver dans un logiciel propriétaire. Surtout si il a été mis sur internet, vu qu'il a été purement et simplement donné.
      • [^] # Re: Le mieux ce serait...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        Pour ce qui est du tronquage de ma phrase, voir plus bas (il a été purement et simplement donné en libre accès au monde entier.)

        Je ne vois pas le passage ou google compile les actualités et affiche seulement les binaires sans même citer les auteurs, et surtout en ne mettant pas un lien qui pointe vers le document source.

        Sinon pour ce qui est de google news je l'utilise de temps en temps, mais ça me saoul vite de suivre les liens qui sont généralement plus occupés par des grosses animations flash qui scintillent sans arret en boucle pour des pubs dont je me contrefoux, je passe plus de temps à bloquer les pubs qu'a lire l'article souvent.
        • [^] # Re: Le mieux ce serait...

          Posté par  . Évalué à 2.

          Bon pour le troncage, pour te faire plaisir :
          "D'ailleurs quand on met un logiciel sous licence GPL, puisque le code est disponible, il ne faudra pas s'étoner de le retrouver dans un logiciel propriétaire. Surtout si il a été mis sur internet, vu qu'il a été purement et simplement donné en libre accès au monde entier."
          Voila, point numéro 1. Ça change absoluement tout, si l'on considère que tout, c'est rien.

          Je ne vois pas le passage ou google compile les actualités et affiche seulement les binaires sans même citer les auteurs, et surtout en ne mettant pas un lien qui pointe vers le document source.

          Ben je ne vois pas non plus ou il est marqué que les articles que google à repris sont sous GPL. Je ne voit pas non plus que google à repris la mise en page des sites originaux. Je ne vois pas non plus les publicités des sites originaux...
          • [^] # Re: Le mieux ce serait...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            Voila, point numéro 1. Ça change absoluement tout, si l'on considère que tout, c'est rien.

            C'est sur que si pour toi enlever tout une partie d'une phrase n'enlève rien à la signification de la phrase, là je ne peux pas faire grand chose pour toi. Sérieusement, libre accès, j'accède donc à l'info librement comme j'en ai envie. Pour ma part je me passe allégrement des pubs qui pollues mon espace visuel quand je lis un article, qui constitue la plupart du temps à elle seule les 3/4 de la mise en page. Encore une fois, si on ne veux pas qu'on puisse séparer ses articles de ses pubs, etbien on ne poste pas sur internet (ou alors ou fait un site tout en flash, miam), parceque si c'est pas google ou adblock qui me les enlèves, moi dans le pire des cas je peux faire un copier coller dans un traitement de texte de l'article qui m'interesse, et la seule différence pour moi, c'est que j'aurais perdu du temps.
            • [^] # Re: Le mieux ce serait...

              Posté par  . Évalué à 2.

              Sauf que là, c'est plus de l'accès, c'est de la redistribution ...
              • [^] # Re: Le mieux ce serait...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                Moi je voyais plutot ça comme un accès indirect, mais si google héberge bien les données, redistribution est peut être plus correcte...

                Le problème c'est qu'on parle là de produit abstrait, alors la distribution d'un produit abstrait c'est quoi? Si demain je sort un client (pas web, on va éviter de se prendre la tête) qui fait la même chose que google news, j'aurais exactement le même résultat mais simplement c'est moi qui aurait "décidé" de filtrer les pubs tout ça (pour m'éviter la pénible copier coller dans un traitement de texte)...

                On tombe vraiment dans l'absurde, au final, pour la même chose, un coups c'est légal, un coups ça ne l'est pas.
    • [^] # Re: Le mieux ce serait...

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      > Quand on met quelque chose sur l'internet, on dois bien comprendre qu'on donne, purement et simplement.

      C'est une blague ou tu penses vraiment ce que tu dis ?

      Certes le contenu est accessible et n'importe qui peut l'utiliser pour son usage personnel mais en revanche pour le publier à son propre compte c'est une tout autre histoire et on viole le droit d'auteur.
      • [^] # Re: Le mieux ce serait...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        Moi je te plus car je trouve ton commentaire pertinent.

        Est-ce que je pense ce que je dis: oui.

        En l'occurence de quoi parle-t-on (remettez les choses dans leur contexte) : l'utilisation de données par des tierces (entités autres que l'auteur des dites données) qui citent leur source et fournissent un lien vers la source original.

        De quoi on parle: le droit d'auteur. Le droit d'auteur c'est quoi? C'est plusieurs choses. En fait c'est tout un sac de noeud, le grand micmac, le bazare total. Tout d'abord au niveau mondial, chacun y va de ses propres règles, ce qui n'est pas sans causer un gros foutoir quand un allemand outre-passe une loi sur le droit intelectuel du canada par les données qu'il diffuse via un serveur qui se trouve en australie. Bon là il s'agit d'une entreprise américaine face à des entreprises belges en belgique. Je dois bien avouer que je m'y connais pas du tout en doit belge, dans quelque domaine que ce soit, malgrès que j'ai pu séjourné quelques mois sur Namur ^^

        Dans le droit français en tout cas on distingue le droit moral et le droit patrimonial. Houla c'est quoi tout ces trucs hein?

        Voyons ça, le droit moral c'est en résumé quatres droits dont l'auteur est censé jouir à tout moment sur ses oeuvres, mais nous allons le voir, avec des technologies comme l'internet c'est pour certains de ces droits, tout à fait fantaisiste:
        * le droit de divulgation (art. 121-2 CPI) : le droit de communiquer l'½uvre au public est décidé par l'auteur seul, dans des conditions qu'il aura choisies. Cependant, cette prérogative s'épuise lors de son premier exercice.
        * le droit de paternité : l'auteur a droit au respect du lien de filiation entre lui et son ½uvre
        * le droit au respect de l'½uvre
        * le droit de repentir (art. L 121-4 CPI) : l'auteur peut retirer l'½uvre du circuit commercial, même après sa divulgation.
        (cf: http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_moral )

        Quand je parle de droit fantaisiste, je parle bien entendu du droit de repentir. Avec l'internet, ça n'existe pas. Le fait est que, comme un tas de lois, celle ci est inadapté au monde contemporain. Je ne reviens pas sur les trois autres point sur lesquels je n'ai rien à redire, il appartient bien à l'auteur de décider si oui ou non il veut partager son oeuvre avec le reste du monde, et je trouve normal qu'on cite l'auteur d'une oeuvre qu'on utilise.

        Reste le droit patrimonial, lui c'est le vrai nerf de la guerre (comprendre celui sur lequel on se base pour faire d'une oeuvre une machine à fric). Première différence, le droit partimonial peut être cédé, par exemple quand Mme Michoux va chez une maison de disque pour qu'elle s'occupe de revendre des CDs de ces supers compos, c'est tout une partie de ses droits pratrimoniaux qu'elle va ceder. Mais elle aurait beau signer tout ce qu'elle voudrait, elle ne pourrait pas se débarasser de son droit moral qui lui est innaliénable.

        Alors revenons en à ta question: est ce que je pense ce que je dis, à savoir "Quand on met quelque chose sur l'internet, on dois bien comprendre qu'on donne, purement et simplement, cette objet numérique en libre accès au monde entier." (remarquons au passage l'habile disparition de la fin de ma phrase dans ta citation):
        Oui, je pense que publier des données sur internet équivaux à en offrir un libre accès à quiconque aura un accès internet (non biaisé).
        En fait ça me parait même tomber sous le sens, tu m'excuseras du peu.

        Après pour ce qui est de violer le droit moral, il y a bien celui de droit de repentir, puisqu'il est impossible d'aller effacer les données partout ou elles auront été sauvegardé. Personnellement ce droit me parait abhérant, si on regrette des propos, et bien on le dit, ce n'est pas en esseyant d'effacer toute trace des dis propos qu'on arrivera à quelque chose, sinon on commence à tomber dans des travers grave comme le négationisme.

        Maintenant pour ce qui de violer les droits patrimoniaux (droit de représentation, etc.), je suis d'accord, ils sont violés. Mais pour aller au bout de mes idées, je suis contre la marchandisation de la connaissance. On vois bien ce que ça donne avec les brevets pharmaceutique, ça n'apporte rien de bon, ça permet juste à une minorité de se remplir les poches au détriment du malheur du plus grand nombre. Et pour ce qui est la marchandisation de la culture, je n'ai rien contre payer ma place de ciné/théatre/concert, parceque c'est autre chose que de mater ça dans mon salon, mais payer un CD/DVD un prix exhorbitant, je préferes m'en passer tout bonnement.
        • [^] # Re: Le mieux ce serait...

          Posté par  . Évalué à 2.

          Tiens, ton commentaire appelle une question ouverte de ma part.

          Tu parles de droit moral et de droit patrimonial. On retrouve sur beaucoup de contrats de travail des clauses de cession de droit, qui indiquent que en tant qu'informaticien de telle ou telle boîte, on doit lui céder les droits sur ce qu'on a écrit.

          Comme tu le dis justement, le droit moral est inaliénable : on n'a pas le droit de me voler la paternité d'un écrit/code.

          Si comme je le pense, c'est le droit patrimonial que je suis tenu de céder à mon entreprise, tout va bien. Mais alors, j'ai le droit d'exercer mon droit de repentir, si ca m'amuse de plomber une entreprise : je code un logiciel, qui sera vendu à un tiers : les droits patrimoniaux de ce code sont cédés à mon entreprise, qui les exploite pour pouvoir vendre le produit de mes cogitations.
          Maintenant, imaginons que ma boîte commence à me casser les pieds (ambiance pourrie, dévalorisation de la personne, aucune motivation de l'équipe, pas de réévaluation de salaire ou que sais-je), j'ai donc le droit d'appliquer mon droit de repentir, et de demander à ma boîte de retirer mon code après ou pendant son exploitation commerciale.
          Techniquement, qu'advient-il de ce qui a déjà été acquis légalement ? Parce que je suppose qu'on peut ainsi plomber le futur d'un logiciel, mais pas le passé, déjà vendu.

          C'est monstrueusement violent ! (et ca peut donner des idées... Gnark, que je suis vil :) )
          • [^] # Re: Le mieux ce serait...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

            Oui mais il me semble que dans le cas ou tu veux faire valoir ce droit, c'est à toi d'assurer de le remboursement des frais que ça engendre, par exemple, tu fais publier un livre, tu peux user de ton droit de rétractation, mais tu dois débourser les fais que ça engendre à ton éditeur il me semble, mais c'est à vérifier.
            • [^] # Re: Le mieux ce serait...

              Posté par  . Évalué à 2.

              Ça ne m'étonnerait pas plus que ça dans la mesure où tu dois "payer ton erreur".
              Mais dans le cas d'un logiciel, le coût peut souvent être estimé à moins d'un jour/homme, donc pas cher, surtout que moi, j'externalise :D
              Imaginons que tu sois le développeur (unique sinon c'est la merde à gérer je suppose) d'une nouvelle version d'un logiciel, mettons... X (au pif hein) pour le compte de la société Y où tu es salarié.
              La société Y commercialise X avec une politique d'achat de licence (comme beaucoup de logiciels propriétaires en somme).

              Elle met donc sur son site un lien vers X (coût de l'opération : 10 minutes maximum. Coût de suppression du lien vers l'ancienne version de X : 1 minute, le temps de le trouver). Tout va bien, tout le monde est content. Et puis on te fout à la porte, ou tu décides de te barrer.
              Maintenant, tu as toujours le droit de repentir. Pour l'exercer, tu dois donc faire la demande (d'une certaine manière, je suppose qu'une lettre RAR suffirait) du retrait de la commercialisation de tes élucubrations.
              Je suppose qu'alors, Y va devoir faire la manipulation, avec facture à la clé. Coût de l'opération : mettons qu'ils aient fait des nouvelles plaquettes com', tout ça. Ils doivent donc créer une entrée sur le site expliquant la chose, la diffuser aux clients (au cas où ils auraient le droit de diffuser également le code par exemple). Coût de l'opération : mettons, 1/2 journée, plus un coût non chiffrable qui est celui de retrait de la commercialisation de la part des clients.

              Je vais donc a priori recevoir une facture de 1/2 journée, et plus (inchiffrable, mais ca pourrait aller loin si la diffusion est grande et que ton logiciel est proposé aussi à des franchisés par exemple).

              Imaginons que ce soit un propriétaire qui n'autorise pas la commercialisation du logiciel par des tiers.

              Coût total de l'opération pour toi : a priori dans les 200 euros.
              Coût de l'opération pour l'entreprise Y : le salaire que tu as perçu pendant Z jours moins ce qui a déjà été vendu, plus une baisse de la réputation, impactée sur le chiffre d'affaire (on n'est plus capable d'assurer une continuité des services sur le logiciel) + un coût difficilement estimable concernant le retard pris sur le projet (l'ancienne version ne tournait que sur kernel 2.2, il faut tout refaire parce que plus aucun client n'a de 2.2, etc.).

              Si comme je le suppose plus haut, les frais engendrés sont bien ceux nécessaire au retrait seul, je confirme, c'est violent.
              Une hypothèse pourrait être de dire que les frais se calculent sur le retrait du logiciel plus le coût de l'opération à partir de sa création moins (faut pas déconner) la somme récoltée grace à ton logiciel, si celui-ci s'est mal vendu, ca sera pour ta poche. Sinon, ca reste une belle épine dans le pied de ton ex-entreprise !

              Je reste persuadé qu'à l'arrivée, ce droit de repentir peut être un moyen de pénaliser *tres* fortement une entreprise (crédibilité, avance technologique, retards en développement impacté sur les autres projets...)


              (bon, après, si ca se sait, pour retrouver du boulot, bon courage ^_^).
              • [^] # Re: Le mieux ce serait...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

                Si ton enterprise te paie pour développer le code en question, ça m'étonnerait que tu gardes le moindre droit sur ce code. A mon avis, la société en est 100% propriétaire (sinon quel bordel !).
                • [^] # Re: Le mieux ce serait...

                  Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                  Bein en france en tout cas, moi ce que je comprends de la loi, c'est le cas (c'est d'ailleurs exactement de quoi on parle ici...).
                  • [^] # Re: Le mieux ce serait...

                    Posté par  . Évalué à 2.

                    Wikipedia vient à mon secours et invalide a priori donc mon idée (dommage, je comptais dominer le monde, je vois que c'est raté)

                    Le droit de retrait et de repentir qui consiste au retrait par l'auteur de son ½uvre déjà divulguée de la sphère du marché en contrepartie d'une compensation financière à hauteur du préjudice subi par le diffuseur.

                    Donc techniquement, ca serait à un expert d'évaluer le préjudice subi. Celui-ci incluerait sans aucun doute les problèmes dus aux pertes de parts de marché, pertes de clients, pertes d'image etc. Mais aussi aux pertes liées au développement du logiciel : tu as le droit de demander de le retirer SI tu le payes (en gros).

                    Pour un livre, c'est probablement plus facile à évaluer : l'éditeur n'emploie pas l'écrivain mais achète l'exploitation de son oeuvre, qui se retrouve alors suspendu : l'écrivain va devoir payer de sa poche les invendus et le marketing (a priori), mais pas plus.

                    Le droit moral reste donc dans un cadre purement formel : tu as le droit de dire "c'est moi que je l'a fait", mais si tu veux aller au delà, ça va te coûter bonbon.

                    Vous connaissez des cas d'auteurs ayant demandé le retrait de leur oeuvre ?
                    Je sais que chez Gentoo, quelques développeurs français avaient demandé le retrait de leurs documentations quand un changement de politique à cet égard avait eu lieu (de mémoire, il fallait céder son copyright, ce qui n'a aucun sens en droit français) mais dans un monde plus "économique" ?
      • [^] # Re: Le mieux ce serait...

        Posté par  . Évalué à 1.

        oui, mais dans la pratique, ce n'est pas le cas
  • # juste un mot pour décrire ce gachis : robots.txt

    Posté par  . Évalué à 3.

    Je me sens pas moins seul, mais j'avoue que j'ai un peu souri en lisant la nouvelle.

    Plutôt que de simplement se conformer aux règles d'usage (je répète le mot important: d'USAGE), ils ont voulu appliquer le droit d'auteur, de manière bête et méchante, sans aucune considération pour les spécificités du média qu'ils utilisent: la solution la plus simple pour tout le monde aurait été évidemment un fichier robots.txt bien configuré, ça aurait pris 5 minutes et google l'aurait respecté sans problème.

    Mais c'est ce que je me tue à répéter: plein de solutions techniques sont disponibles pour pouvoir publier ce qu'on veut comme on veut, mais le monde est ainsi fait qu'il y aura toujours des gens pour se plaindre du tapage nocturne le jour du réveillon et exiger le respect inconditionnel de leur droit d'auteur sans tenir compte des possibilités qu'ils ont pour exercer leur droit. Pour ces gens-là, le monde devra toujours tourner autour d'eux, et c'est bien dommage, parce que ça pénalise tout le monde.

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