• # On s'en fout un peu en fait...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    Mais s'ils cherchent des noms pour les enfants d'Atos, je propose Portos & Aramis, ptdr.

    • [^] # Re: On s'en fout un peu en fait...

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4. Dernière modification le 15 juin 2022 à 22:22.

      C'était pas plutôt les potes ça ?

      “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

    • [^] # Re: On s'en fout un peu en fait...

      Posté par  . Évalué à 3.

      Comme toutes les bonnes idées, c'est déjà pris , au moins pour aramis (il existe même aramys).

      Discussions en français sur la création de jeux videos : IRC freenode / #gamedev-fr

  • # Sauvage de meubles

    Posté par  . Évalué à 8.

    Le consensus autour de moi c'est que c'est une opération de sauvage de meubles, où on met d'un côté les activités rentables et d'avenir, de l'autre tout le reste indésirable. Comme ça on arrive à faire un énorme plan de licenciement en bénéficiant sur les plans légaux et sociaux des difficultés économiques dont souffriront certainement la branche TFCo.

    • [^] # Re: Sauvage de meubles

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.

      C'est la teneur des commentaires sur Next-Inpact aussi.

      « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

    • [^] # Re: Sauvage de meubles

      Posté par  . Évalué à 10.

      plan de licenciement

      Tut tut tut !
      On dit plan social.
      Enfin non, on dit plan de sauvegarde de l'emploi.
      Non non mieux !
      Plan de départ volontaire !

      https://linuxfr.org/users/barmic/journaux/y-en-a-marre-de-ce-gros-troll

      • [^] # Re: Sauvage de meubles

        Posté par  . Évalué à 5.

        j'ai jamais autant vu de licenciement qu'avec un plan de sauvegarde de l'emploi. :/

        me demande qui a eu la brillante idée d'appeler cela comme ça, à chaque fois j'ai l'impression qu'on me prend pour un demeuré (avec beaucoup de respect pour eux)

        • [^] # Re: Sauvage de meubles

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

          Question bête : le temps passant, je ressent plus de perversité dans le management, la mise en œuvre des politiques, etc. Comme cette manière de baptiser plan de sauvegarde de l'emploi un plan de licenciement, ou de diviser un groupe pour récolter de l'argent public, ou de mettre en faillite une industrie, faute d'avoir su la saborder ouvertement… Est-ce juste une impression liée au vieillissement ?

          « IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace

          • [^] # Re: Sauvage de meubles

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            Je suis plus d'avis qu'on a seulement plus d'informations là où avant c'était limité à un cercle d'informés. Je pense que ce sentiment est aussi valable pour une bonne partie des problèmes de la sociétés: plus on a d'infos, sans filtre ni analyse profonde des causes/conséquences, plus on va avoir ce sentiment je pense.

            Par exemple dans notre cas, ceci va mettre des informaticiens/informaticiennes sur le marché avec, je l'espère, pas mal d'aides pour des formations et des fonds pour rechercher sereinement, et certains vont pouvoir être recasés dans autre chose qu'une SSII, ce qui de mon avis personnel est une bonne chose pour l'écosystème français dans son ensemble.

            D'où le terme de "sauvegarde de l'emploi" qu'il faut voir de manière globale, pas du point de vue d'une société qui n'est pas rentable (ou pas "assez" rentable, mais ça c'est un autre problème qui je pense est le vrai souci de l'économie actuelle).

            • [^] # Re: Sauvage de meubles

              Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 10.

              Non le terme « sauvegarde de l’emploi » c’est de la novlangue pure et dure pour cacher la réalité, pas drôle et qui va être très dure pour certaines personnes (Atos n’emploie pas que dans la branche) et qui est employé aujourd’hui pour remplacer l’expression « plan de licenciement », quel que soit le secteur de l’entreprise.

              On est dans un régime de dévoiement des mots. Et c’est loin d’être le seul exemple.

              « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

            • [^] # Re: Sauvage de meubles

              Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.

              D'où le terme de "sauvegarde de l'emploi" qu'il faut voir de manière globale, pas du point de vue d'une société qui n'est pas rentable (ou pas "assez" rentable, mais ça c'est un autre problème qui je pense est le vrai souci de l'économie actuelle).

              C'est toi qu'on aurait du envoyer expliquer aux gens de Florange et Alstom la sauvegarde faite par le Monarc :)

              “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

          • [^] # Re: Sauvage de meubles

            Posté par  . Évalué à 6.

            Je pense que ça vient du fait que les lutes sociales gagnent du terrain. Avant il n'y avait pas besoin d'être pernicieux, il y avait juste moins de droit. Aujourd'hui non seulement il y a pleins de lois de protection des travailleurs, mais en plus avec internet beaucoup plus de choses se savent.

            https://linuxfr.org/users/barmic/journaux/y-en-a-marre-de-ce-gros-troll

        • [^] # Re: Sauvage de meubles

          Posté par  . Évalué à 6.

          j'ai jamais autant vu de licenciement qu'avec un plan de sauvegarde de l'emploi. :/

          Surtout qu'en réalité, il s'agit en général de sauver l'entreprise. "Plan de sauvegarde de l'entreprise", ca me parait juste plus honnête.

          • [^] # Re: Sauvage de meubles

            Posté par  . Évalué à 4.

            S'il s'agit de sauver l'entreprise et donc des emplois (même si pas tous), c'est quand même un plan de sauvegarde de l'emploi, non ?

            Bon, je me fais l'avocat du diable, je ne conteste pas le coté "novlangue" et hypocrite de ces expressions.

  • # Une scission mal barrée, pas convaincante à tout le moins

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6. Dernière modification le 16 juin 2022 à 21:05.

    Plus de détails sur la scission dans les Échos. La Bourse semble pas convaincue par le projet.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

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