Cette dépêche pose la question de l’avenir du JavaScript. Celui‐-ci continue de gagner en popularité, mais aussi en complexité. L’auteur du journal a étudié d’autres langages encore peu connus (Elixir, Elm, Pony, Oden et Crystal) et ceux‐ci lui ont fait sauter aux yeux les défauts du JavaScript. Il s’interroge donc sur le futur de ce langage.
Dans les commentaires du journal, de nombreux développeurs ont fait un retour sur leur expérience. Certains apprécient le JavaScript (souvent, un sous‐ensemble de ce langage qui va à l’encontre des dernières nouveautés). D’autres, souhaiteraient fortement s’en débarrasser, mais quasiment tous sont d’accord sur le fait qu’il va rester grâce à son monopole sur les navigateurs).
Certains ont encouragé à essayer leur langage de prédilection : Go, OCaml, ClojureScript, etc.
Enfin, on peut également retrouver un certain espoir avec WebAssembly (le successeur d’asm.js), qui permettrait à de nombreux langages d’être compilés vers la plate‐forme Web.