daggett a écrit 533 commentaires

C'est pas très propre, surtout si tu veux changer ton .dir_colors par la suite...
Dans .bashrc je fais un eval `dircolors -b $HOME/.dir_colors`, il doit y avoir l'équivalent du eval en zsh (mais sans l'option -b, qui génère du code bash)

Comme d'autres programmes sont touchés, c'est peut-être dans le ~/.inputrc (et /etc/inputrc), le fichier de conf de readline.

Cherche s'il y a une ligne qui commence par "d" : , qui mapperait D sur autre chose (ou sur rien du tout).

Est-ce que ça ne le fait que sur ton compte utilisateur ? chez root ? sur un autre compte fraichement créé ?
Est-ce qu'appuyer sur D ne fait "rien", ou fait clignoter/beep ? Que se passe-t-il si tu commences à taper une ligne et reviens en arriere pour essayer de faire D au milieu d'un mot ?
(Peut-être que le Ctrl-D qui sert à effacer un caractère s'est transformé en D tout seul, lors d'une modif hasardeuse du fichier de conf)

http://subterfugue.org/ est un projet qui permet de modifier la vision du temps d'un processus, mais aussi bien d'autres choses car on peut intercepter et modifier d'autres appels systèmes (par exemple, intercepter les accès au systeme de fichier pour faire un "chroot" selectif).

Par contre ça n'est plus maintenu depuis 2002....

Un chmod * mal placé peut-être ?..
Ça me rappelle une fois où je voulais limiter les droits sur tous les "fichiers cachés" de root ... donc dans /root/, je tape une joli "chmod go-rwx .*"
Evidemment, ".*" ça inclut ".." , c'est-à-dire la racine /
Y plus grand chose qui marchait pour un utilisateur de base, apres...

De plus, je ferais plutot un "su - user" que "su user" : le tiret donne l'environnement propre au nouvel utilisateur; en particulier il se place directement dans son répertoire home, sinon il reste à l'endroit où tu te trouves actuellement -- par exemple le home de quelqu'un d'autre, protégé en acces, d'où le "permission non accordée"

Je suppose que c'est la partie de la FAQ qui dit ça:
In addition, as a special exception, [name of copyright holder] gives permission to link the code of this program with the FOO library [...]

C'est-à-dire qu'en tant qu'auteur unique du plugin, tu es seul maître du choix de la licence et peux décider de le mettre sous une license "GPL+exception" au lieu de la GPL pure, l'exception étant l'autorisation de linker avec la lib propriétaire de Cinema4D.
Cependant, si tu n'es pas l'auteur de l'intégralité du plugin, par exemple si tu utilises d'autres sources/bibliothèques qui sont sous GPL normale, tu ne peux bien sûr pas modifier cette license préexistante. Dans ce cas, la réalisation du plugin sans violer une license est impossible..

$ file core.26327
core.26327: ELF 32-bit LSB core file Intel 80386, version 1 (SYSV), SVR4-style, from 'toto'


Ça donne au moins le nom du binaire (mon prog de test "toto" en l'occurence)
Sinon un 'strings' semble aussi donner le chemin complet vers le début.

Le plus propre serait probablement de laisser la gestion du fichier à un processus utilisateur: il lit le fichier, et transmet le contenu à ton module via un fichier /dev/. (Et qui est sûrement plus souple si jamais le chemin du fichier change, etc...)

Sinon, il existe un mécanisme générique de gestion des firmwares, utilisant hotplug, qui est peut-être tout ce dont tu as besoin : http://lwn.net/Articles/32997/ (et un 'grep request_firmware' dans les sources de linux)

Spreadsheets j'ai rien coché, si c'est ce que je crois ça ressemblait trop à du texte.
Les machins zippés, j'ai rien coché non plus. J'ai fortement soupçonné l'espèce d'abeille (je trouve que ça ressemble à une mouche marron vue de dessus) qui représente une fermeture éclair ("zip" en anglais)... Pour de l'utilisabilité internationale, le jeu de mot, c'est vraiment mal choisi... je préfère largement les icônes en forme de paquet ou d'étau.

Deuz.
Je vais dépouiller pour la première fois, justement par cohérence avec mon opposition aux ordinateurs de vote.

Il n'y qu'à voir sur http://npu4.free.fr/dotclear/index.php la qualité du franponais en question...Ça ressemble plus à de la génération aléatoire à base de chaines de Markov qu'autre chose.

Bon, comme le commentaire deja posté sur l'autre site, j'ai un peu de mal à lire le code...

Deja, ton .h définit un enum pour INVALID = -1, DEAD = 0, ALIVE,.... alors utilise ces noms symboliques au lieu de remettre les valeurs numériques dans tes switch/case et dans tes affectations de nouvelles cellules, ce sera beaucoup plus clair.

Ensuite, et je pense que ton bug vient de là, il me semble que tu intervertis les lignes et les colonnes... en général, on utilise i=x=colonne=1ere coordonnée, et j=y=ligne=2eme coordonnée. Mais tu fais boucler i sur les colonnes, et j sur les lignes. Donc tu accède ensuite à ton tableau "de travers".

Tu as bien mis un début de vérification des parametres dans CellVoisin() (if (haut == world->line)); rajoutes avant un if (haut > world->line) et sors de ton programme en erreur explicite dans ce cas, pour vérifier. Tu pourras alors corriger si c'est bien ça.

(Sinon, en plus de valgrind, tu peux lancer ton programme sous débugueur gdb/ddd, tu verras exactement la ligne qui plante et le contenu des variables)

(ou flex + bison, version GNU)
C'est la paire classique de générateur de parseurs (en C), si tu veux juste écrire un parseur particulier sans partir de zero. Bien sûr connaitre la théorie derrière aide à s'en servir...

Tu ferais mieux d'être un peu plus choqué par le reste de tes fautes avant de t'occuper des majuscules ;) (je ne reprendrai pas tous tes autres commentaires qui en sont largement truffés aussi). C'est pour troller bien sûr, mais ça fait bizarre de voir quelqu'un sortir des références pointues des typo et d'histoire de cursives, mais se décrédibiliser sur tout le reste...

Désolé, on m'as appris comme cela et cela me choque de voire une majuscule avec un accent.
Et puis comme je le dit depuis longtemps les histoire [...]

La seul raison de tout mes poste

cela c'est déroulé
que cela vie.
ou c'est figé

Bref, utiliser l'option "offset" de mount qui est retransmise au losetup et qui fait tout bien tout seul :) Pour les limitation à 2Go, je ne sais pas.

$ sfdisk -d flash_test.img
# partition table of flash_test.img
unit: sectors

flash_test.img1 : start= 32, size= 250336, Id=83
flash_test.img2 : start= 250368, size= 250368, Id=83

Monter la partition 2:
$ echo $((250368*512))
128188416

# mount -o loop -offset=128188416 flash_test.img mnt

Meme sans DRM, ça m'étonnerait qu'ils laissent des mp3 partir "dans la nature" sans avoir planqué un GPS dans l'alim avant...
Donc, on parie qu'il y a du watermaking dedans lié à mon identité d'acheteur ? (Je ne leur en voudrais pas)

$ md5sum Alicia.mp3
bf77c824c639e78f81f4ced7442a826f Alicia.mp3

Un étrange commentaire id3 composé de pleins de chiffres (peut-etre mon code CB se trouve dedans ?..)
$ strings -n140 Alicia.mp3 | md5sum
faaa0f43ff82d00877563ad34ce78651 -

Une section au hasard:
$ dd if=Alicia.mp3 bs=256K skip=8 count=1 | md5sum
bb8ca61b4a5e2c2567d5f70b963b4ffd -

Jamais essayé, et ça n'a pas l'air super trivial non plus, mais regarde du coté de ptrace(2).
C'est ce qu'utilisent strace et gdb pour tracer des processus deja lancés identifiés par leur pid.
PTRACE_ATTACH:
Attaches to the process specified in pid, making it a traced
"child" of the current process;

Une fois "rattaché" à ton process, les wait() devraient marcher. Cependant attention, tu vas aussi sans doute recevoir les notifications de tous les signaux que reçoit le process, qui est alors stoppé en attendant que tu fasses ton boulot de debuggueur, et il semble qu'il faille le redémarrer "à la main" à chaque fois (indiqué dans le man).
De plus wait() ne marchera plus pour le vrai parent ; ça risque donc de casser des trucs.

Je savais bien que mon astuce http://linuxfr.org/tips/145.html servirait un jour à autre chose que ramasser des commentaires de troll !

Pour .static et .udev, ce sont des repertoires normaux de "udev" (.static sert par exemple à acceder au /dev/ statique quand udev monte son ramdisk par dessus).
.initramfs je connais pas, mais apparemment ça sert quand on passe par un init dans une ramdisk avant de monter le reste du système.
Et .java, ben je l'ai aussi sur ma machine...

Faudrait que l'auteur de rkhunter se mette un peu à jour, il me semble que tout ça est standard depuis quelques temps deja.

Lorsque tu fais "cat file | commande", en interne bash forke un sous-shell, avec tout son environnement, pour "commande" et le connecte au pipe.
Dans ton cas, tout ce qui est fait par le "while..." est dans ce sous-shell, y compris l'incrémentation de la variable. Mais l'environnement du sous-shell n'est pas retransmis au père à la fin ! Quand tu lis cette variable plus loin dans ton script, elle a toujours sa valeur d'avant le fork. C'est une "autre" variable en somme.
C'est visible de cette manière:

I=1

cat file.txt | { while read REF_LINE
do
let I++;
echo $I;
done

echo dedans: $I
}
echo dehors: $I


2
3
4
dedans: 4
dehors: 1


La tout de suite, je ne sais pas comment regler le probleme...

Finalement c'est plutot setlocale(), voir le gros warning sur http://fr2.php.net/setlocale qui décrit le probleme: un setlocale dans une thread apache va changer la locale du process et donc de toutes les autres threads.
Il doit y avoir une config Apache qui permette d'avoir des pools de vrais process forkés au lieu d'avoir des threads, pour que personne ne se marche sur les pieds.

Ça me rappelle un probleme que j'ai eu il y a assez longtemps...
Si je me souviens bien, ça vient de trois choses:
- on ne peut faire un bindtextdomain() / textdomain() qu'une seule fois dans un processus/thread (le 2eme n'a aucun effet)
- il s'applique au processus C qui l'heberge, à savoir la thread/processus Apache au dessus
- Apache a un pool de threads qu'il réutilise pour plusieurs pages, au bout d'un certain temps il les tue et en recrée.

Donc, la première page chargée va établir une bonne fois pour toute la localisation de la thread Apache correspondante; les autres pages qui seront gérée par cette thread garderont la localisation, même si elles en voulaient une autre.

Le problème c'est que je ne me souveniens pas de la solution que j'avais trouvé à l'époque... peut-être changer la conf d'apache pour que chaque sous-process meurt apres chaque page fournie ?...

Ça fait longtemps que je n'ai pas créé de paire de disquette boot/root, mais je pense que, pour des raisons de place, il faut effectivement faire une image compressée pour root, et qu'elle n'est pas montable directement.

Simplement, tu dois avoir aussi une disquette boot qui contient le noyau et peut-etre un init; une fois cette disquette bootée, on te demande de mettre la disquette root, et alors le système, qui est prévu pour, charge cette image en RAM et la décompresse pour obtenir un systeme de fichier ramdisk utilisable.

Si tout ce que tu veux c'est voir ce qu'il y a dessus, tu peux eventuellement décompresser ton image et la monter directement avec l'option '-o loop' (mais elle fera alors plus qu'1.4Mo, et donc pas installable sur disquette)

En tout cas l'un comme l'autre n'ont apparemment pas intégré de force la vérification orthographique, les majuscules ou les virgules, ce qui est bien dommage.

Pour gérer plein de photos numériques et regler la contrainte complexité des repertoires/classement/nombre d'inode max/conflits de noms...
Personnelement j'ai laissé tombé le classement par filesystem et je me repose sur KphotoAlbum (anciennement Kimdaba) pour taguer mes photos et les retrouver, et je crée juste un repertoire nommé avec la date du jour (au pire suffixé par un nom "lisible" quand je sais que toutes les photos se rapportent à un événement bien précis) quand je vide mon appareil dedans. Donc 1 seul niveau hierarchique de FS, mais un classement à n-dimensions par la DB de KphotoAlbum.

Apres il y a d'autres logiciels équivalents sous gnome aussi. Et il doit être possible de faire un truc qui automatise la création du répertoire lors de la récupération des photos, selon ton environnement (moi je fais tout depuis un bon vieux xterm)