Le but rédactionnel poursuivi par LP depuis la fin du premier semestre 2005 est de devenir un généraliste GNU/Linux. Cependant, la vrai transformation a prit corps avec le LP32 et la refonte de la maquette et des rubriques.
Le changement est relativement important par rapport aux numéros précédant cette période.
Les lignes rédactionnelles des deux magazines sont clairement disctintes et les motivations des lecteurs également. LM est clairement orienté (depuis le début) vers l'exploration active du système, la recherche, et la création d'applications. En quelque sorte, on peut dire que LM est entièrement tourné vers le système lui même. LP traite davantage de l'utilisation du système et de sa découverte dans un cadre pratique.
Aujourd'hui, LM et LP sont complémentaires car couvrant des aspects différents du même système.
Et, oui, je suis d'accord. Les choses sont clairement en train de bouger car de plus en plus d'utilisateurs voient, enfin, véritablement GNU/Linux comme une alternative à Windows ou Mac OS X. Une alternative capable de remplacer ces systèmes, simplement et sans investissement important en temps. GNU/Linux débarque maintenant sur les bureaux de Mr et Mme tout-le-monde et est pret, clef en main.
Cela peut sembler être quelque chose d'acquit pour un utilisateur UNIX (au sens traditionnel et mythique du terme) mais récent pour un utilisateur Windows. GNU/Linux va donc gagner en utilisateurs dans les temps à venir... des nouveaux utilisateurs. Espérons simplement que le seul point noir restant, le support du matériel dernier cri, ne freinera pas cette avancé et que, là aussi, les choses bougeront.
J'en profite pour signaler la mise en ligne d'un sondage concernant le magazine et ses lecteurs. Ceci concerne un peu le profile du lecteur mais aussi et surtout l'intérêt de chaque rubrique/article, etc...
L’article du Sudoku sous Vim est quant à lui plus orienté programmation d’un greffon pour cet OSéditeur, l’algorithmique utilisée restant volontairement simple.
Pour un peu, on le ratterait mais on voit les poils et ses gros pieds dépasser...
Merci. C'est vrai que la reliure "en broché" est plus sympathique, même si cela fait moins "livre" (c'est aussi moins cher, paraît-il).
En plus, maintenant on peut mettre un poster en pages centrales. Bon d'accord, les bikini jureraient un peu avec le reste du magazine et surtout je ne pense pas pouvoir avoir l'aval de la direction... mais on peut rêver ;)
Hmmm... comment dire... Cela aurait un côté un peu "moi, ma vie" qui n'est pas vraiment mon genre. Exactement le côté très blog pur sucre qui fait penser aux billets qu'on trouve un peu partout contant les malheurs et les joies des personnes.
Non, sérieusement, c'est le magazine qui importe tel qu'il arrive dans les kiosques et dans les boîtes à lettres depuis 78 numéros. On essai juste de faire un travail du mieux possible. Je ne suis pas sûr qu'expliquer les aléas de chaque bouclage et de chaque idées qui germe apporterait grand chose à la qualité de l'ensemble. Le "grincheux" qui critique une erreur ou un cafouillage aura raison, qu'on ait passé une nuit blanche sur un article ou revus l'agencement des pages au dernier moment, n'y changerait rien. Je préfèrerai éviter le reality show...
Qui sait, d'ici 10 ans lorsqu'il ne restera plus que des Unix et des licences libres, peut-être qu'Arte fera un reportage sur la genèse de GLMF. En attendant, on se reprend une bière et on continu l'aventure ;)
PS : C'est quoi la phrase qui prete à confusion dans le HS ?
Par contre, cela ne m'explique pas pourquoi la rubrique People est coupée en deux par la rubrique sysadmin.
C'est pour représenter la distance qui sépare Lyon d'Amsterdam. Non, plus sérieusement c'est une histoire en rapport avec l'état d'avancement du magazine, la date d'arrivée et de validation de certains articles et la nécessité de placer tel article dans tel numéro du magazine... Nous n'avons pas vraiment eu le choix.
Etant en dehors, on n'imagine pas vraiment à quel point la composition d'un numéro peut se rapprocher d'une partie de Crack Attack ou de Tetrinet :) A la différence qu'avec un magazine, lorsqu'on perd son sang froid, les conséquences sont un peu plus... importantes.
Le problème des paquets sur CD n'est pas nouveau et se résume en un seul mot : "dépendances".
Dans tous les cas, mieux vaut utiliser les paquets à jour pour sa distribution et ce via apt ou urpmi. Alien ou l'installation d'un binaire (genre dans /opt) n'est à envisager qu'en dernier recours. Les utilisateurs GNU/Linux possèdent un avantage de taille sur leurs voisins utilisant d'autres systèmes : une gestion exemplaire des installations/désinstallation d'applications.
Pousser à l'install bricolo n'est pas une bonne idée je pense, en particulier lorsque le magazine s'adresse à des utilisateurs "normaux" :)
Clairement, le public visé par ce contenu du CD du magazine n'est pas l'utilisateur avancé Debian, FC, Mandriva ou SUSE qui aura tôt fait d'installer OOo2 en suivant une méthode "propre". Le but est de faire essayer OOo2 au plus grand nombre... On connait le système utilisé par le plus grand nombre...
Cependant, le rédactionnel, lui est fait pour tout le monde.
Pour être précis, j'ai parlé d'un changement qui influera sur le CD mais aussi sur d'autres choses.
Le changement planifié portera sur le prochain numéro 79 de Janvier 2006. Ce changement concerne le prix du magazine qui passe de 6.40 Euros actuellement à 5.95 Euros. Oui, ca baisse et c'est l'objectif visé.
Pour pouvoir appliquer cette baisse, un certain nombre de choses ont été modifiées (bien sûr, je parle du contenant, le contenu restant fidèle à lui-même). L'abandon du CD fait parti des modifications nécessaires. C'est un moyen, pas une fin.
En effet, dans ce numéro, point de rubrique Debian il y a. Ce n'est que partie remise puisque ces quelques pages reviendront dès le prochain numéro. Ce n'est qu'une courte pause pour souffler un peu.
En ce qui concerne l'oganisation des rubriques, justement, le sujet BlueTooth traité en deux parties dans deux rubriques différentes est précisément une application de ce qui avait été visé. Ainsi un lecteur ne souhaitant que "faire" lira "Unix/User" et un autre ne souhaitant "qu'apprendre" lira "Science/Techno". Celui qui veut les deux lira tout.
C'est atypique et nous sommes loin du concept classique de "dossier du mois" présenté en couverture comme élément central du magazine. Ce qui est visé ici, c'est l'aspect "documentation" des articles, ce qui est aussi relativement atypique pour un magazine.
20m !!! Ca fait long. Je pense qu'il faudrait convertir le signal d'une manière ou d'une autre avec des tensions plus importantes (c'est pour cette raison qu'un port série c'est du +/- 12V).
Le meilleur conseil je pense est de poser la question sur fr.sci.electronique. Les utilisateur y sont fort sympathiques et prompt à dispenser des recommandations.
Personnelement j'ai utilisé pendant quelques moins un câble d'environs 8 mètres pour un bus i2c. Il s'agissait d'une réutilisation d'un câble S-Video de plutôt bonne facture. J'ai ainsi réussi à mettre une sonde DS75 sur le bord de ma fenêtre.
Bien entendu avec des fils simples,passé 80 cm on commence à avoir des problèmes. Le CAT5 de récupération donne également de bons résultats.
"tablette internet" c'est une désignation commerciale. Ce qu'il faut voir dans le 770 c'est une machine légère, sous GNU/Linux, communiquante (BT et Wifi) et relativement économique. Le tout avec un kit de dével Libre et tout ce qu'il faut pour créer, porter et tester les applis sur un PC GNU/Linux.
Pour l'utilisateur lambda pas trop endormi, qui dit Licence Libre + Base GNU/Linux + kit de devel, dit "pleins d'applis gratos". En fait c'est pas compliqué, Nokia débarque avec une reprise de ce qui a fait le succès des Palm : une collection impressionnante d'applications.
La où cela est vraiment amusant c'est lorsqu'on se rend compte que le prochain PalmOS 6 sera presque complètement fermé et avec un kit de développement sous GNU/Linux très très limitatif (reposant sur la capacité de la version 6 à émuler une version 5).
Le 770 va certainement "faire un carton" dans le monde du LL et peut-être, par la suite dans le grand public.
Personnelement, je pense que "geek" ne signifit plus grand chose actuellement. D'ailleurs dès que l'on voit un terme provenant d'un milieu donné passé aux mains du grand public il perd de sa signification.
Le plus bel exemple est "hacker" qui nécessite sans cesse le fait de repréciser le cadre historique lors de son utilisation légitime. Un comble. J'ai encore entendu aujourd'hui même sur LCI un représentant d'Apple utiliser "hackers" pour désigner les gens qui récupèrent de la musique avec des systèmes de P2P.
Aujourd'hui, tout le monde se dit geek comme s'il s'agissait d'une qualification en informatique. Certains joueurs ou utilisateurs de systèmes d'enchères en ligne s'auto-proclament geek parce qu'ils passent 2h par soir devant l'écran... Pour un terme qui n'avait rien de très gratifiant au départ, cela a au moins le mérite d'être amusant.
Qui sait quel sera le prochain terme à être ainsi vidé de son sens... "nerd" peut être...
Ce genre de choses sort largement du cadre de la rédaction du magazine. Il s'agit d'une opération commerciale qui est à discuter avec la direction de Diamond Editions. Cela n'a rien à voir avec l'aspect rédactionnel d'un magazine.
Le plus simple est encore de passer un coup de téléphone et demander la personne en charge des accords de ce genre. Je suis très étonné de voir ce genre de demandes dans une suite de commentaires concernant la revue de presse du mois, je dois l'avouer.
++
PS : Nos confrères de Posse Press perdent leur emploi. Cela n'a rien de réjouissant en soit et je trouve le sous-entendu "c'est bien fait pour eux" très déplacé (tout comme le "Winblows").
Le point positif, s'il faut en voir un dans cette affaire est peut-être ailleurs.
Les grosse entités comme Sony ou d'autres ne peuvent pas contrôler intégralement le développement d'une application. La stabilité et la "propreté" d'un code par exemple repose sur la confiance qu'à le gros groupe en ses développeurs ou des sociétés satellites.
Le côté positif dans l'affaire du DRM Sony n'est pas le fait que le grand public prendra conscience ou non de ce qui se passe. Je pense que la voie naturelle pour garantir la qualité d'un code est sa diffusion et son ouverture. Peut-être (cela frise l'utopie) que les grandes entités comme Sony se rendront compte qu'il est risqué de faire confiance aveuglément à des sociétés annexes où même à ses propres développeurs. Peut-être finiront-ils par comprendre que l'ouverture des sources avec des licences adaptées représente la meilleurs solution d'audit possible.
Ce qui se passe ici, n'est rien d'autres que les conséquence d'une sécurité par obscurantisme. Je ne pense pas le Sony ait délibérément validé la présence de ce rootkit. C'est plutôt la décision d'un département ou d'une section spécifique au sein de la firme. Bien entendu, je ne parle pas ici de responsabilité mais de culpabilité. Sony reste responsable de ce qui arrive.
Je pense que la motivation de tout utilisateur GNU/Linux est avant tout la maîtrise de son système et de son matériel.
Mais tout tourne autour des notions de "maîtrise" et de motivations diverses. Qu'est-ce que découvrir GNU/Linux ? Pour certains cette découverte se fera en introduisant simplement un liveCD Mandriva ou Ubuntu dans son lecteur et en rebootant la machine. Il vera qu'il y a des belles fenêtres et une organisation ergonimique de l'environnement et cela suffira à le convaincre.
Pour d'autres cette découverte est motivée par l'envis d'aller plus loin, de découvrir le fonctionnement du système, d'utiliser des outils différents ou de produire quelque chose.
Au final, je pense que les catégories d'utilisateurs sont plus diverses. Ce que l'on nomme "utilisateur final" est plus vaste qu'on imagine. Il y a ceux qui veulent que ca marche point, d'autres veulent personnaliser le système et l'adapter à leur image, d'autres veulent de l'Unix, du vrai...
Je ne parle pas de ceux qui se qualifient de hackers parce qu'il savent utiliser un hub (vécu). Ceux-là sont, je pense, hors catégories.
Idem pour "utilisateur confirmé". Qui est-il ? Celui qui sait installer une Mandriva du premier coup ou celui qui maîtrise cron et at ? Dans quelle catégorie classer l'utilisateur qui fait usage d'ImageMagick ou qui écrit des scripts shell ? Dans la même catégorie "utilisateur confirmé" que celui qui se penche sur LFS ? Je n'en suis pas sûr.
Idem enfin (plus étrangement) pour la catégorie "développeurs". Qui n'a jamais entendu quelqu'un dire qu'il programmait en HTML avec dreamweaver ? Un développeur C est-il vraiment le même utilisateur que celui qui se rend la vie plus facile avec un rien de PHP sur sa page perso de son FAI ?
C'est une question de motivations et de centres d'intérêt. Pour reprendre l'exemple du cahier Web. Je pense qu'il conviendra parfaitement à un utilisateur qui veut créer son site mais qui n'a pas le temps ou l'envis de se pencher sur Apache et sa configuration. Certes, il conviendra aussi à l'utilisateur furieux d'une Gentoo qui touche pour la première fois à un site Web... et après ?
Il faut de la diversité à un magazine pour qu'il plaise au plus grand nombre. Certains veulent "se mettre au HTML", d'autres veulent savoir ce qu'est /proc, d'autres encore veulent qu'on leur explique l'usage d'une application donnée et enfin d'autres veulent simplement qu'on leur conseil des applications à essayer.
C'est aussi la diversité qui fait la force de GNU/Linux. Même un utilisateur "de base" de GNU/Linux est en droit qu'on lui montre qu'il n'y a pas que thunderbird ou Evolution pour ses mails. Tout comme tout utilisateur d'un outil informatique à le droit de savoir qu'il n'y a pas que Windows et IE...
Précisons directement que les articles sur Squeak/smalltalk ne représentent pas une ligne directrice pour LP. Il nous a semblé plus judicieux de traiter ce sujet dans LP car Squeak lui-même poursuit un but très précis en termes d'éducation. Il n'y a absolument aucune intention de la part des deux rédactions de faire de LP un LM des premières heures. Il n'y aura pas d'articles "mes premier pas en C" dans LP. Ceci n'entre tout simplement pas dans la ligne rédactionnelle.
Mais le problème soulevé ici est toutefois très intéressant. Les "séries" d'articles d'il y a quelques années avaient une réputation très mitigée.
Enfin, il faut bien avouer que GNU/Linux a également bien changé. Fut un temps un article du type "installer un scanner" ou "utiliser un lecteur Zip" avaient un sens. Aujourd'hui beaucoups de choses se sont grandement simplifiées. Un matériel ou un applicatif "marche tout seul" la plupart du temps après un apt-get ou un urpmi. Il m'arrive souvent de me dire "tiens je vais faire un articles sur tel sujet" et après quelques premières expériences, il s'avère que l'installation est si simple qu'elle ne mérite pas un article.
Prenons le cas de munin par exemple. L'installation et la description du grapheur est tellement basique qu'elle n'a d'intérêt qu'en guise d'introduction dans un article décrivant la création d'un plugin/sonde. Cela finira forcément en un article pointu sur "la réalisation d'un plugins munin".
Précédement, on se serait heurté à un problème de compilation, de dépendance et de configuration. Cela aurait mérité des explications détaillées sous la forme d'un retour d'expérience. A présent les distributions prennent tout cela en charge et simplifient la configuration. Que reste-t-il a explorer si ce n'est l'utilisation avancée ou l'adaptation à des besoins spécifiques ?
Ceci dit, l'information de base reste présente. Les articles de Yann Guidon peuvent sembler pointus, par exemple, mais ils intègrent souvent des éléments réutilisables sans aller aussi loin que l'auteur.
Dans un autre registre, l'exemple le plus frappant à mon goût est celui de l'article "Allez au-delà de L.A.M.P" du LM72. Il décrit un cas concret et relativement spécifique de déploiement d'une solution Web. Cela semble "pro" ou pointu au première regard. Pourtant, à la lecture de l'article, on trouve tout un tas d'astuces, d'informations et de préceptes utilisables par un grand nombre d'utilisateurs.
C'est tout cet ensemble de choses qui donne un aspect "pointu" au rédactionnel de LM. Je pense pourtant que LM reste accessible à l'utilisateur avancé d'un système GNU/Linux, tout comme c'était le cas par le passé.
Dans tous les cas, nous ne travaillons pas en cercle fermé et les idées ou sujets d'articles (tout comme les articles eux-mêmes) sont les bienvenues. Peut-être passons-nous à coté de quelque chose, un exemple m'éclairerai certainement.
Les problématiques d'une doubles versions ne se limitent pas à la diffusion en kiosque. Qui dit deux versions dit deux productions distinctes. Il y a des coûts fixes par production. Plus il y a de productions plus il y a multiplication de ces coûts. Ceci est valable aussi bien pour des magazines que tout autre produit qui se décline en "versions". Ce n'est pas si simple.
Ceci dit, c'est vrai, l'avenir compte plus que le passé.
20 Méga c'est grandiose, 8 c'est super, 2 c'est agréable mais 512K ce n'est pas trainer la patte. Sinon que dire des 56K ?
La popularisation de GNU/Linux n'a rien à voir avec l'ADSL haut débit à bas prix. Ce système a gagné ces lettres de noblesse alors que 160K via le câble était du luxe.
La gueguerre de celui qui à la plus grosse (offre avec un rapport prix/débit minuscule) est, avant tout, un jeu marketing entre FAI. Mieux vaut ne pas s'y lancer car d'ici quelques années (mois ?) on finira par lire que 40 Méga c'est trainer la patte...
Un support CD présente un intérêt évident pour un utilisateur avec une connexion analogique. Pour quelqu'un qui à de l'ADSL 512 c'est une facilité, pas un besoin.
Comme beaucoups j'ai également du haut débit, cependant un CD pressé présente quelques avantages (autres que pour compenser une connexion 56K) :
- il est plus résistant qu'un CDR et donc très adapté aux "choses qui se gardent" comme un rescue CD ou une distribution (cygwin par exemple).
- Il s'emporte facilement. Et oui, ADSL/Câble c'est super, mais ce n'est pas disponible partout (chez un client, dans le train, chez un amis, etc).
L'abandon de la double version en kiosque puis de la double version tout court était une réponse à une demande (nous avions simplement suivit les ventes en kiosques et les souscriptions d'abonnement). Aujourd'hui la demande est différente car la situation est différente. Je l'ai dit précédement, nous préparons une solution adaptée.
[^] # Re: Rha !!
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage Presse informatique : mon magazine papier préféré. Évalué à 5.
/me sort en sifflotant
[^] # Re: Rha !!
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage Presse informatique : mon magazine papier préféré. Évalué à 6.
# Rha !!
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage Presse informatique : mon magazine papier préféré. Évalué à 10.
[^] # Re: association à but non lucratif ?
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage De la publicité sur Linuxfr ?. Évalué à 3.
[^] # Re: Une rédactrice très travailleuse à LP
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Janvier 2006. Évalué à 3.
Le changement est relativement important par rapport aux numéros précédant cette période.
Les lignes rédactionnelles des deux magazines sont clairement disctintes et les motivations des lecteurs également. LM est clairement orienté (depuis le début) vers l'exploration active du système, la recherche, et la création d'applications. En quelque sorte, on peut dire que LM est entièrement tourné vers le système lui même. LP traite davantage de l'utilisation du système et de sa découverte dans un cadre pratique.
Aujourd'hui, LM et LP sont complémentaires car couvrant des aspects différents du même système.
Et, oui, je suis d'accord. Les choses sont clairement en train de bouger car de plus en plus d'utilisateurs voient, enfin, véritablement GNU/Linux comme une alternative à Windows ou Mac OS X. Une alternative capable de remplacer ces systèmes, simplement et sans investissement important en temps. GNU/Linux débarque maintenant sur les bureaux de Mr et Mme tout-le-monde et est pret, clef en main.
Cela peut sembler être quelque chose d'acquit pour un utilisateur UNIX (au sens traditionnel et mythique du terme) mais récent pour un utilisateur Windows. GNU/Linux va donc gagner en utilisateurs dans les temps à venir... des nouveaux utilisateurs. Espérons simplement que le seul point noir restant, le support du matériel dernier cri, ne freinera pas cette avancé et que, là aussi, les choses bougeront.
[^] # Re: Linux Mag
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Janvier 2006. Évalué à 6.
Bref, si vous avez 10mn à perdre, c'est par ici : http://www.gnulinuxmag.com/sondage
# Vilaine et veulue bestiole...
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Janvier 2006. Évalué à 4.
Pour un peu, on le ratterait mais on voit les poils et ses gros pieds dépasser...
[^] # Re: Et bin ?
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage Ma résolution pour 2006. Évalué à 4.
En plus, maintenant on peut mettre un poster en pages centrales. Bon d'accord, les bikini jureraient un peu avec le reste du magazine et surtout je ne pense pas pouvoir avoir l'aval de la direction... mais on peut rêver ;)
# Et bin ?
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au sondage Ma résolution pour 2006. Évalué à 10.
- Essayer de dominer le monde (encore)
- Arrêter de persécuter mes utilisateurs (juste un peu)
[^] # Re: Deb'Corner
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Décembre 2005. Évalué à 6.
Non, sérieusement, c'est le magazine qui importe tel qu'il arrive dans les kiosques et dans les boîtes à lettres depuis 78 numéros. On essai juste de faire un travail du mieux possible. Je ne suis pas sûr qu'expliquer les aléas de chaque bouclage et de chaque idées qui germe apporterait grand chose à la qualité de l'ensemble. Le "grincheux" qui critique une erreur ou un cafouillage aura raison, qu'on ait passé une nuit blanche sur un article ou revus l'agencement des pages au dernier moment, n'y changerait rien. Je préfèrerai éviter le reality show...
Qui sait, d'ici 10 ans lorsqu'il ne restera plus que des Unix et des licences libres, peut-être qu'Arte fera un reportage sur la genèse de GLMF. En attendant, on se reprend une bière et on continu l'aventure ;)
PS : C'est quoi la phrase qui prete à confusion dans le HS ?
[^] # Re: Deb'Corner
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Décembre 2005. Évalué à 2.
C'est pour représenter la distance qui sépare Lyon d'Amsterdam. Non, plus sérieusement c'est une histoire en rapport avec l'état d'avancement du magazine, la date d'arrivée et de validation de certains articles et la nécessité de placer tel article dans tel numéro du magazine... Nous n'avons pas vraiment eu le choix.
Etant en dehors, on n'imagine pas vraiment à quel point la composition d'un numéro peut se rapprocher d'une partie de Crack Attack ou de Tetrinet :) A la différence qu'avec un magazine, lorsqu'on perd son sang froid, les conséquences sont un peu plus... importantes.
[^] # Re: OO.o dans Presqu'offert
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Décembre 2005. Évalué à 5.
Dans tous les cas, mieux vaut utiliser les paquets à jour pour sa distribution et ce via apt ou urpmi. Alien ou l'installation d'un binaire (genre dans /opt) n'est à envisager qu'en dernier recours. Les utilisateurs GNU/Linux possèdent un avantage de taille sur leurs voisins utilisant d'autres systèmes : une gestion exemplaire des installations/désinstallation d'applications.
Pousser à l'install bricolo n'est pas une bonne idée je pense, en particulier lorsque le magazine s'adresse à des utilisateurs "normaux" :)
Clairement, le public visé par ce contenu du CD du magazine n'est pas l'utilisateur avancé Debian, FC, Mandriva ou SUSE qui aura tôt fait d'installer OOo2 en suivant une méthode "propre". Le but est de faire essayer OOo2 au plus grand nombre... On connait le système utilisé par le plus grand nombre...
Cependant, le rédactionnel, lui est fait pour tout le monde.
[^] # Re: Deb'Corner
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Décembre 2005. Évalué à 6.
Le changement planifié portera sur le prochain numéro 79 de Janvier 2006. Ce changement concerne le prix du magazine qui passe de 6.40 Euros actuellement à 5.95 Euros. Oui, ca baisse et c'est l'objectif visé.
Pour pouvoir appliquer cette baisse, un certain nombre de choses ont été modifiées (bien sûr, je parle du contenant, le contenu restant fidèle à lui-même). L'abandon du CD fait parti des modifications nécessaires. C'est un moyen, pas une fin.
# Deb'Corner
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Décembre 2005. Évalué à 8.
En ce qui concerne l'oganisation des rubriques, justement, le sujet BlueTooth traité en deux parties dans deux rubriques différentes est précisément une application de ce qui avait été visé. Ainsi un lecteur ne souhaitant que "faire" lira "Unix/User" et un autre ne souhaitant "qu'apprendre" lira "Science/Techno". Celui qui veut les deux lira tout.
C'est atypique et nous sommes loin du concept classique de "dossier du mois" présenté en couverture comme élément central du magazine. Ce qui est visé ici, c'est l'aspect "documentation" des articles, ce qui est aussi relativement atypique pour un magazine.
[^] # Re: Longueur d'un bus i²c
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au journal Stations météo et Linux. Évalué à 4.
Le meilleur conseil je pense est de poser la question sur fr.sci.electronique. Les utilisateur y sont fort sympathiques et prompt à dispenser des recommandations.
PS : Merci :)
[^] # Re: Longueur d'un bus i²c
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au journal Stations météo et Linux. Évalué à 4.
Bien entendu avec des fils simples,passé 80 cm on commence à avoir des problèmes. Le CAT5 de récupération donne également de bons résultats.
[^] # Re: Un peu vite?
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse au journal Nokia 770 en rupture. Évalué à 2.
Pour l'utilisateur lambda pas trop endormi, qui dit Licence Libre + Base GNU/Linux + kit de devel, dit "pleins d'applis gratos". En fait c'est pas compliqué, Nokia débarque avec une reprise de ce qui a fait le succès des Palm : une collection impressionnante d'applications.
La où cela est vraiment amusant c'est lorsqu'on se rend compte que le prochain PalmOS 6 sera presque complètement fermé et avec un kit de développement sous GNU/Linux très très limitatif (reposant sur la capacité de la version 6 à émuler une version 5).
Le 770 va certainement "faire un carton" dans le monde du LL et peut-être, par la suite dans le grand public.
[^] # Re: Déçu par Linux Pratique
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 4.
Le plus bel exemple est "hacker" qui nécessite sans cesse le fait de repréciser le cadre historique lors de son utilisation légitime. Un comble. J'ai encore entendu aujourd'hui même sur LCI un représentant d'Apple utiliser "hackers" pour désigner les gens qui récupèrent de la musique avec des systèmes de P2P.
Aujourd'hui, tout le monde se dit geek comme s'il s'agissait d'une qualification en informatique. Certains joueurs ou utilisateurs de systèmes d'enchères en ligne s'auto-proclament geek parce qu'ils passent 2h par soir devant l'écran... Pour un terme qui n'avait rien de très gratifiant au départ, cela a au moins le mérite d'être amusant.
Qui sait quel sera le prochain terme à être ainsi vidé de son sens... "nerd" peut être...
[^] # Re: Posse et Linux pratique
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 4.
Le plus simple est encore de passer un coup de téléphone et demander la personne en charge des accords de ce genre. Je suis très étonné de voir ce genre de demandes dans une suite de commentaires concernant la revue de presse du mois, je dois l'avouer.
++
PS : Nos confrères de Posse Press perdent leur emploi. Cela n'a rien de réjouissant en soit et je trouve le sous-entendu "c'est bien fait pour eux" très déplacé (tout comme le "Winblows").
[^] # Re: Merci!
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Du code de VLC dans le rootkit de Sony. Évalué à 9.
Les grosse entités comme Sony ou d'autres ne peuvent pas contrôler intégralement le développement d'une application. La stabilité et la "propreté" d'un code par exemple repose sur la confiance qu'à le gros groupe en ses développeurs ou des sociétés satellites.
Le côté positif dans l'affaire du DRM Sony n'est pas le fait que le grand public prendra conscience ou non de ce qui se passe. Je pense que la voie naturelle pour garantir la qualité d'un code est sa diffusion et son ouverture. Peut-être (cela frise l'utopie) que les grandes entités comme Sony se rendront compte qu'il est risqué de faire confiance aveuglément à des sociétés annexes où même à ses propres développeurs. Peut-être finiront-ils par comprendre que l'ouverture des sources avec des licences adaptées représente la meilleurs solution d'audit possible.
Ce qui se passe ici, n'est rien d'autres que les conséquence d'une sécurité par obscurantisme. Je ne pense pas le Sony ait délibérément validé la présence de ce rootkit. C'est plutôt la décision d'un département ou d'une section spécifique au sein de la firme. Bien entendu, je ne parle pas ici de responsabilité mais de culpabilité. Sony reste responsable de ce qui arrive.
[^] # Re: Déçu par Linux Pratique
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 9.
Mais tout tourne autour des notions de "maîtrise" et de motivations diverses. Qu'est-ce que découvrir GNU/Linux ? Pour certains cette découverte se fera en introduisant simplement un liveCD Mandriva ou Ubuntu dans son lecteur et en rebootant la machine. Il vera qu'il y a des belles fenêtres et une organisation ergonimique de l'environnement et cela suffira à le convaincre.
Pour d'autres cette découverte est motivée par l'envis d'aller plus loin, de découvrir le fonctionnement du système, d'utiliser des outils différents ou de produire quelque chose.
Au final, je pense que les catégories d'utilisateurs sont plus diverses. Ce que l'on nomme "utilisateur final" est plus vaste qu'on imagine. Il y a ceux qui veulent que ca marche point, d'autres veulent personnaliser le système et l'adapter à leur image, d'autres veulent de l'Unix, du vrai...
Je ne parle pas de ceux qui se qualifient de hackers parce qu'il savent utiliser un hub (vécu). Ceux-là sont, je pense, hors catégories.
Idem pour "utilisateur confirmé". Qui est-il ? Celui qui sait installer une Mandriva du premier coup ou celui qui maîtrise cron et at ? Dans quelle catégorie classer l'utilisateur qui fait usage d'ImageMagick ou qui écrit des scripts shell ? Dans la même catégorie "utilisateur confirmé" que celui qui se penche sur LFS ? Je n'en suis pas sûr.
Idem enfin (plus étrangement) pour la catégorie "développeurs". Qui n'a jamais entendu quelqu'un dire qu'il programmait en HTML avec dreamweaver ? Un développeur C est-il vraiment le même utilisateur que celui qui se rend la vie plus facile avec un rien de PHP sur sa page perso de son FAI ?
C'est une question de motivations et de centres d'intérêt. Pour reprendre l'exemple du cahier Web. Je pense qu'il conviendra parfaitement à un utilisateur qui veut créer son site mais qui n'a pas le temps ou l'envis de se pencher sur Apache et sa configuration. Certes, il conviendra aussi à l'utilisateur furieux d'une Gentoo qui touche pour la première fois à un site Web... et après ?
Il faut de la diversité à un magazine pour qu'il plaise au plus grand nombre. Certains veulent "se mettre au HTML", d'autres veulent savoir ce qu'est /proc, d'autres encore veulent qu'on leur explique l'usage d'une application donnée et enfin d'autres veulent simplement qu'on leur conseil des applications à essayer.
C'est aussi la diversité qui fait la force de GNU/Linux. Même un utilisateur "de base" de GNU/Linux est en droit qu'on lui montre qu'il n'y a pas que thunderbird ou Evolution pour ses mails. Tout comme tout utilisateur d'un outil informatique à le droit de savoir qu'il n'y a pas que Windows et IE...
[^] # Re: Déçu par Linux Pratique
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 5.
Mais le problème soulevé ici est toutefois très intéressant. Les "séries" d'articles d'il y a quelques années avaient une réputation très mitigée.
Enfin, il faut bien avouer que GNU/Linux a également bien changé. Fut un temps un article du type "installer un scanner" ou "utiliser un lecteur Zip" avaient un sens. Aujourd'hui beaucoups de choses se sont grandement simplifiées. Un matériel ou un applicatif "marche tout seul" la plupart du temps après un apt-get ou un urpmi. Il m'arrive souvent de me dire "tiens je vais faire un articles sur tel sujet" et après quelques premières expériences, il s'avère que l'installation est si simple qu'elle ne mérite pas un article.
Prenons le cas de munin par exemple. L'installation et la description du grapheur est tellement basique qu'elle n'a d'intérêt qu'en guise d'introduction dans un article décrivant la création d'un plugin/sonde. Cela finira forcément en un article pointu sur "la réalisation d'un plugins munin".
Précédement, on se serait heurté à un problème de compilation, de dépendance et de configuration. Cela aurait mérité des explications détaillées sous la forme d'un retour d'expérience. A présent les distributions prennent tout cela en charge et simplifient la configuration. Que reste-t-il a explorer si ce n'est l'utilisation avancée ou l'adaptation à des besoins spécifiques ?
Ceci dit, l'information de base reste présente. Les articles de Yann Guidon peuvent sembler pointus, par exemple, mais ils intègrent souvent des éléments réutilisables sans aller aussi loin que l'auteur.
Dans un autre registre, l'exemple le plus frappant à mon goût est celui de l'article "Allez au-delà de L.A.M.P" du LM72. Il décrit un cas concret et relativement spécifique de déploiement d'une solution Web. Cela semble "pro" ou pointu au première regard. Pourtant, à la lecture de l'article, on trouve tout un tas d'astuces, d'informations et de préceptes utilisables par un grand nombre d'utilisateurs.
C'est tout cet ensemble de choses qui donne un aspect "pointu" au rédactionnel de LM. Je pense pourtant que LM reste accessible à l'utilisateur avancé d'un système GNU/Linux, tout comme c'était le cas par le passé.
Dans tous les cas, nous ne travaillons pas en cercle fermé et les idées ou sujets d'articles (tout comme les articles eux-mêmes) sont les bienvenues. Peut-être passons-nous à coté de quelque chose, un exemple m'éclairerai certainement.
[^] # Re: Linux mag & CD
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 2.
Ceci dit, c'est vrai, l'avenir compte plus que le passé.
[^] # Re: Linux mag & CD
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 3.
20 Méga c'est grandiose, 8 c'est super, 2 c'est agréable mais 512K ce n'est pas trainer la patte. Sinon que dire des 56K ?
La popularisation de GNU/Linux n'a rien à voir avec l'ADSL haut débit à bas prix. Ce système a gagné ces lettres de noblesse alors que 160K via le câble était du luxe.
La gueguerre de celui qui à la plus grosse (offre avec un rapport prix/débit minuscule) est, avant tout, un jeu marketing entre FAI. Mieux vaut ne pas s'y lancer car d'ici quelques années (mois ?) on finira par lire que 40 Méga c'est trainer la patte...
Un support CD présente un intérêt évident pour un utilisateur avec une connexion analogique. Pour quelqu'un qui à de l'ADSL 512 c'est une facilité, pas un besoin.
[^] # Re: Linux mag & CD
Posté par Denis Bodor (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 4.
- il est plus résistant qu'un CDR et donc très adapté aux "choses qui se gardent" comme un rescue CD ou une distribution (cygwin par exemple).
- Il s'emporte facilement. Et oui, ADSL/Câble c'est super, mais ce n'est pas disponible partout (chez un client, dans le train, chez un amis, etc).
L'abandon de la double version en kiosque puis de la double version tout court était une réponse à une demande (nous avions simplement suivit les ventes en kiosques et les souscriptions d'abonnement). Aujourd'hui la demande est différente car la situation est différente. Je l'ai dit précédement, nous préparons une solution adaptée.