Denis Bodor a écrit 623 commentaires

  • [^] # Re: numéro 5

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mars 2015. Évalué à 9.

    Pour résumer :

    SW-EK-TM4C1294XL Open Silicium :

    #include <stdint.h>
    #include <stdbool.h>
    #include "inc/hw_memmap.h"
    #include "driverlib/gpio.h"
    #include "driverlib/rom.h"
    #include "driverlib/rom_map.h"
    #include "driverlib/sysctl.h"
    
    int main(void) {
      uint32_t g_ui32SysClock;
    
      // Fonctionnement sur PLL à 120 MHz.
      g_ui32SysClock = MAP_SysCtlClockFreqSet((
            SYSCTL_XTAL_25MHZ |     // fréquence de l'oscillateur
            SYSCTL_OSC_MAIN |       // oscillateur externe (quartz)
            SYSCTL_USE_PLL |        // sortie PLL comme sysclock
            SYSCTL_CFG_VCO_480),    // PLL VCO output á 480-MHz
            120000000);             // freq demandée
    
      // Activation du module GPIO port N
      MAP_SysCtlPeripheralEnable(SYSCTL_PERIPH_GPION);
    
      // Configuration de PN1 en sortie
      MAP_GPIOPinTypeGPIOOutput(GPIO_PORTN_BASE, GPIO_PIN_1);
    
      while(1) {
        // Active la led
        MAP_GPIOPinWrite(GPIO_PORTN_BASE, GPIO_PIN_1, GPIO_PIN_1);
        // délai 
        MAP_SysCtlDelay(g_ui32SysClock /3);
        // Désactive la led
        MAP_GPIOPinWrite(GPIO_PORTN_BASE, GPIO_PIN_1, 0);
        // délai
        MAP_SysCtlDelay(g_ui32SysClock /3);
      }
    }

    SW-EK-TM4C1294XL Hackable :

    int led = 13;
    
    void setup() {                
      // initialize the digital pin as an output.
      pinMode(led, OUTPUT);     
    }
    
    void loop() {
      digitalWrite(led, HIGH);   // turn the LED on (HIGH is the voltage level)
      delay(1000);               // wait for a second
      digitalWrite(led, LOW);
      delay(1000);
    }
  • # numéro 5

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mars 2015. Évalué à 8.

    Non mais Florent, numéro 5, c'est aussi et surtout le nom du robot dans "short circuit"… Ne me dites pas que je suis le seul à me souvenir de ce film :(

    "Pas un mauvais fonctionnement. Numéro 5 est… vivant !" :)

  • [^] # Re: Commande difficile, dommage

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — octobre 2012. Évalué à 4.

    Est-ce qu'on peut télécharger la version pdf si on l'a acheté en vrai ? C'est plus pratique pour cliquer sur les liens, pour le copier-coller de code, pour l'archivage et la recherche d'informations.

    Ceci n'est pas possible aujourd'hui, ce sont deux choses différentes.

    Quel est le prix de la version papier ?

    Le même. Le prix est défini par le contenu pas par la forme, le support.

    Je regarde si c'est possible d'acheter la version papier sur le site, et de se faire livrer en Suisse. Bon apparemment on ne peut acheter que la version pdf.

    La version papier est également disponible ici, mais uniquement pour la France métropolitaine. Pour la VPC de magazines vers la suisse, le plus simple est encore de passer un coup de fil au service commercial ou faire une commande par courrier.

    Pour acheter il faut se créer un compte sur le site… Ca m'ennuie, mais je me décide quand même car le contenu du magazine m'intéresse beaucoup.

    heu… Il faut bien s'identifier et s'authentifier pour acheter quelque chose sur le Web, il n'y a là rien de très surprenant. C'est le contraire qui serait plutôt curieux :)

    Oh, il y a un message: "Le site ne permet actuellement l'abonnement et la prise de commande de nos différents titres de magazines que pour la France métropolitaine." ???

    En effet, la boutique en ligne ne permet pas, dans l'état, la vente/livraison à l'étranger. Mais c'est là quelque chose qui sera amélioré. Pour les abonnements et l'achat de magazines vers l'étranger, c'est téléphone ou courrier.

    Même pour les pdf ?

    Non, les versions PDF sont disponibles dès leur sortie de kiosque (quand ils ne sont plus vendu chez les marchands de journaux) sur la plateforme izibook : ici

    Je comprend que c'est un peu déroutant, mais pour faire court, à l'heure actuelle les PDF c'est la plateforme izibook et la VPC c'est le site marchand (la boutique). Nous sommes globalement entrain de travailler sur la validation des solutions qui permettront d'unifier ces deux éléments et d'ajouter des fonctionnalités. Work in progress

  • # Nuit difficile ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — juillet 2012. Évalué à 2.

    Je voulais juste préciser que le KC traite du 3.4, pas du 2.4 et que le nom de la revue "suspendue" qui "tag" les articles un peu touchy sur le matériel et l'embarqué c'est OpenSilicium ;)

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 1.

    Il n'y a pas de contenu "non publié" d'OpenSilicium. A titre d'exemple, parmi les sujets annoncés en fin d'OpenSilicium 5 pour le numéro 6, il y a juste celui sur les capteurs de gaz que j'ai fini par écrire ensuite et passer dans GLMF. Ce ne serait effectivement pas correcte mais le sentiment en question est infondé parce que ce n'est pas le cas.

  • [^] # Re: Elektor

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 1.

    Le carte semble être une base ARM9 :
    http://www.elektor.de/jahrgang/2012/juni/embedded-linux-leicht-gemacht-(2).2159632.lynkx

    avec une équivalence chez olimex à un prix similaire, ce qui confirme la chose :
    http://www.olimex.com/dev/lpc-h3131.html

    Je trouve ça un peu cher. La mini2440 c'est le l'ARM9 Atmel, avec plus de Ram, plus de flash et un touchscreen.

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 2.

    Encore une fois, mon créneau c'est pas la gestion, mais je sais que c'est pas si simple. 10€ sur la couverture d'un magazine c'est pas 10€ dans la poche de l'éditeur et pas tout de suite non plus. Le réseau de distribution prend sa commission et reverse le reste, bien après que le mag ne soit plus en vente. En plus pour vendre quelques 10000 magazines tu en met généralement plus du double en kiosque.

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 3.

    Par exemple sur un magasine à 10€, il va où l'argent ?
    
    

    Auteurs, distribution, papier, impression, taxes… et plus loin tout ce qui coûte pour faire fonctionner une entreprise.

    D'ailleurs, je suis assez curieux sur des coûts papier VS les coûts ebook.
    
    

    Je ne suis pas un financier, c'est pas mon rôle mais je sais une chose : papier+kiosque+contenu_kivabien=CPPAP=presse=tva2,1% vs PDF=produit=TVA19,6%. Alors c'est dématérialisé, c'est zéro papier, zéro impression, mais 17% de TVA en plus déjà. Et au delà des coûts, il y a le reste. Va demander à ton marchand de journaux ou ton libraire ce qu'il en pense. Je plain ces mecs…

    Il m'avait fait à peu près la même réponses: deux systèmes, etc.
    
    

    Logique. Les livres, comme les magazines, historiquement c'est du papier. Les applis métiers gèrent des abonnées, des envois, des routages… pas des vitrines en lignes, des exportation de données, des coupons de réduction. La plupart des applis en question ne prennent pas même en compte des adresses mails dans les comptes clients. Donc oui, y'a des solutions "bricolo" pour générer des codes promo mais il faut aussi l'autre bout et que la plateforme de vente PDF les prennent en charge. En plus inutile de préciser que les solutions bricolo on sait comment ça fini généralement…

    Le fait est que :
    1. Il n'y a pas de plateforme toute faite pour gérer le tout pour l'instant.
    2. Il n'y a pas de plateforme pour les magazines électronique seuls, utilisable sans DRM moisis qui permettent simplement le "j'achète une fois et je lis sur smartphone, tablette, GNU/Linux…". Pour les magazines, on utilise une solution initialement prévue pour les livres. En soit c'est déjà presque un hack, il manque plein de choses.
    3. Personne n'a encore essuyé les plâtres, personnes ne sait où ça va. Un "gros" peut se permettre de mettre un gros budget sur la table "pour voir". Ça le mettra "mal" si ça ne marche pas comme espéré mais ça le tuera peut-être pas. Nous si.

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 3.

    Oulha ! Ça je peux faire des choses plus "on prend par la main". Je suis d'accord pour dire que certains articles sont de très haut niveau et il en faut pour tout le monde. J'ai un penchant pour ce qui est proche du système mais je dois avouer que l'article de Jean-Michel et Gwen sur la FFT et le radar, j'ai souffert (dans le bon sens du terme, faut s'accrocher mais c'est le pied une fois l'article "consommé").
    Ensuite, un article plus "gentil", il va aussi décevoir certains qui ne trouveront pas de matière pour leur niveau dans un tel papier. C'est une question de mélange et d'équilibre, mais la suggestion n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd.

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 2.

    Concernant IziBook et en version moins FAQ : on a une plateforme "taillée" pour la diffusion de PDF et initialement de livres en PDF d'un côté, et de l'autre une application métier pas très communicante. Rapprocher les données de l'un et de l'autre demande du dev, ça prend du temps et il n'est pas question de le faire à l'arrache. On bosse dessus mais on a pas de poudre verte…

  • [^] # Re: Electronicons

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mai 2012. Évalué à 2.

    Je ne dirai pas que cela se fait davantage ressentir, je dirai que c'est un peu plus voyant. Les auteurs comme P. Ficheux, J.M. Friedt, G. Goavec-Mérou, Y. Guidon… ont toujours écris dans GLMF (et "du lourd" généralement). Comme je l'avais dit par ailleurs, l'arrivé d'OpenSilicium avait retiré cette thématique de GLMF et elle y est revenue. Le magazine retrouve son équilibre depuis.

    Maintenant, c'est vrai que le fait d'avoir mis en gros "OpenSilicium" en couverture de GLMF induit cette impression "d'invasion". L'idée était surtout de faire passer le messages aux amateurs d'OpenSilicium : "Hé, on vous laisse pas tomber".

    Ceci dit, j'ai toujours été obsédé par les trucs qui clignotent, qu'il s'agisse de routeurs ou de montages…

  • [^] # Re: des typos dans Linux magazine

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mars 2012. Évalué à 7.

    Ce n'est pas un désamour de GLMF, c'est plus complexe et plus passionnel que cela je pense.

    Déjà, le cœur des deux publications était très (trop ?) proche. Exemple, un article sur le dev de module/pilote, ça collait avec les deux lignes rédactionnelles, pareil pour la compilation croisée, pareil pour les libs type EFL… même un article sur RRDtool pouvait aller dans OS (routeur, OpenWrt, etc). Meilleurs exemple encore, l'article en couverture du GLMF 144 (dev kernel) ? transposable dans OS. Le groupe d'articles en couverture d'OS 5 (Bluetooth) ? Transposable dans GLMF.

    Et les auteurs sont des contributeurs de (très) longue date, Pierre, Jean-Michel, Simon, Gwen, Yg… même si certains nouveaux nous ont rejoint en 5 numéros d'OS.

    Ensuite, le truc, à mon avis, est plus profond et tourne autour du plaisir d'utiliser GNU/Linux, de le bidouiller, de l'explorer, de le tordre dans tous les sens. Ce sont là des choses qu'on peut toujours faire sur une station de travail et sur un serveur (un peu moins). Mais quand on creuse ainsi, on se retrouve dans des domaines applicables à l'embarqué, en partie parce que les plateformes sont tout simplement devenues des monstres (il y'a qu'à regarder la Raspberry Pi ou la Beagle Bone). GNU/Linux a changé aussi, les premiers LMF on expliquait comment graver un CDR, écrire sur des QIC80, utiliser un lecteur ZIP100, configurer X… Maintenant, j'expliquerai plutôt comment empêcher X de se configurer tout seul :)

    GLMF lui garde son identité. On avait transféré une partie du rédactionnel et quelque part on se retrouvait avec 15 numéros de GLMF. Mais y'a un moment où on arrive plus à suivre et qu'à force de trier ainsi des sujets qui ont finalement le même esprit, à un moment il faut faire des choix.

    Ce 147 n'est pas très différent du 144 de décembre ou même du 141 (VHDL, Kernel, pilotage de mobile avec Java). C'est surtout la forme qui change un peu avec ce numéro. Une manière de dire aux lecteurs qui appréciaient OS que l'esprit du magazine est encore là et que c'est le même que celui de GLMF. Comme dit, finalement, en 5 numéro d'OS, on y a jamais parlé que de GNU/Linux.

  • [^] # Re: des typos dans Linux magazine

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse — mars 2012. Évalué à 4.

    Pour la défense des personnes s'occupant de la relecture, je peux affirmer sans me tromper qu'elles corrigent 99% des fautes présentes dans la plupart des articles originaux (miens inclus). Tu as mis le doigt sur le 1%, imagines l'original. Sérieux, elles font un sacré boulot.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 3.

    Oui, en effet ça tourne en rond, c'est un dialogue de sourd, même si c'était très plaisant de débattre ainsi. Que chacun se fasse sa propre opinion.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 4.

    Et ça va faire sans doute doublon, mais relis les commentaires : qu’attendent les lecteurs du magazine?

    Peut-être pas la même chose que toi ?

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 5.

    Donc tu installes des logiciels (jeux vidéo compris) non libre sur ta machine, c'est bien ça?

    Bin non. J'ai pas installé ce jeux. Je relève le fait que linuxfr en parle, c'est tout.

    sur LinuxFr, les gens restent relativement logiques : ils acceptent le proprio sur leur machine pour certains

    Je pense que parmi les lecteurs de GLMF, certains acceptent le proprio sur leur machine

    les lecteurs de GLMF lisent car on les aide à faire du libre. Faux donc, on les aidait, ce n'est plus le cas. Donc plus de raison de lire ce magazine plutôt qu'un autre.

    Je pense que la majorité des lecteurs lisent GLMF car on leur explique comment faire plein de choses avec GNU/Linux. En l'occurrence ici sur 12 pages, j'ai expliqué comment utiliser Google Apps avec GNU/Linux.

    Tu dis accepter le proprio sur une machine voisine, mais pas la tienne. Tu compares ça à LinuxFr, ce qui est n'importe quoi, puisque tu donnes toi-même un exemple de programme fonctionnant sur ta machine alors que tu dis refuser la chose. Quand on a un "blocage" pareil, pas facile de le justifier...

    Tu détournes :)
    Je n'utilise pas de proprio sur mon GNU/Linux et parfois ça me coûte. Dernière expérience en date une carte FPGA. Un soft proprio gratuit sous GNU/Linux, installé et désinstallé dans les 5mn. La carte est là, sur mon bureau, inutile. J'ai perdu 150 euros, ça m'apprendra à faire attention.

    Ce que je dis c'est que toi tu acceptes que linuxfr parle d'Oil Rush, mais pas GLMF. C'est parce que c'est pas gnulinuxfr.org ?

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 0.

    Question de logique

    Tu vois, question logique, ce qui me fait sourire c'est que d'un côté on jette la pierre à GLMF car il ne devrait pas parler de "services basé sur des logiciels non libre" parce que c'est politiquement/philosophiquement pas acceptable et que tout ceci se dit sur un site qui annonce Oil Rush 1.0 et utilise Twitter et G+.

    Je trouve linuxfr tout à fait comparable "éthiquement" à GLMF. Et ça me va très bien en ce qui me concerne.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 1.

    je prend un service libre, comme ça je peux changer de prestataire si il y a un problème...

    Mais c'est pas le fait que le logiciel distant soit libre qui permet ça, c'est le fait qu'il utilise des formats et protocoles normalisés et standards.

    Réfléchi juste à ce que tu cherches : un service.

    Non. Quand j'installe un serveur SMTP/IMAP avec tout le binz anti*, je cherche pas un service. Je cherche à me faire intellectuellement plaisir.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 2.

    Je sais pas comment te faire comprendre ce que tu écris noir sur blanc. Les 4 libertés d'un programme sont importantes pour moi, sur ma machine.

    Réunir "service" et "programme" est trop généraliste car à ce moment là tu va devoir te poser la question pour un SMTP ou un IMAP distant, mais aussi refuser de te connecter à un serveur Web qui ne fonctionne pas avec un LL.

    Ton rapprochement est parfaitement applicable à un DAB. Tu as aussi affaire à un programme et son interface, généralement sous Windows. Tu fais quoi alors ? Tu vas systématiquement retirer de l'argent au guichet "humain" dans la banque ?

    Les exemples ne manquent pas, si on suit ton raisonnement :
    - Tu utilises pas un SMTP distant pas en LL
    - Tu retires pas d'argent dans un DAB
    - T'achètes pas de bouquins sur amazon ou autres
    - Tu prends pas de billet de train dans un distributeur
    - Tu regardes pas l'état de tes comptes sur le Web
    - Tu fais pas développer tes photos via des services sur le Web
    - Tu te connectes pas à internet non plus, ton FAI utilise pas que du LL
    - Tu oublis ton smartphone car l'opérateur utilise des choses pires que proprio

    Pour moi, oui. Un SMTP à moi, géré et maintenu par moi, c'est en LL. Un SMTP distant, que ce soit celui du FAI ou de Google, je trouverai appréciable qu'il s'agisse de LL mais, comme j'ai pas à maintenir le bouzin, c'est le problème et le choix du sysadmin distant.

    Ton raisonnement me fais penser à celui des gens qui prennent un paquet de café plutôt qu'un autre, non plus parce qu'il est plus savoureux, mais parce qu'il y a "commerce équitable" dessus.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à -5.

    Oui une chose cloche : On a pas la même définition des termes "programme" et de "service".

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à -1.

    tu ne mentionnes plus vraiment les principes fondateurs dans tes arguments sur le libre

    Je veux avoir :
    - la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages,
    - la liberté d'étudier le fonctionnement du programme et de l'adapter à mes besoins,
    - la liberté de redistribuer des copies du programme
    - la liberté d'améliorer le programme et de distribuer ces améliorations

    "programme"... proooooograaaaaamme !

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 5.

    Sur le fond, tu m'as cité pourtant :

    Pour ma part il s'agit de vraiment "prendre mon pied" avec un soft. L'utiliser, le changer, le casser, le tordre dans tous les sens, l'étudier, m'en inspirer, proposer mes patchs à son créateur, copier des bouts dans mon code, etc...

    C'est ça pour moi le logiciel libre. Avec un logiciel propriétaire on peut pas.

    PS : je suis étonné de voir que pour toi la libc et GCC c'est "extrêmement minoritaire"

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 4.

    GLMF n'est pas le magazine d'une seule personne. Il y a plein d'auteurs et de contributeurs. Chacun écrit pour les raisons qui lui sont propres et avec sa vision. C'est chaque mois un ouvrage collectif.

    L'auteur ayant écrit sur S3 et Yum n'était pas moi et il a une vision "du libre" sans doute très différente de la tienne (ou pas, je sais pas, je couche pas avec). D'autres auteurs en revanche vont plus dans ton sens. GLMF ce n'est pas une secte ou un parti politique, c'est un ensemble de personnes qui écrivent sur ce qu'ils font avec GNU/Linux.

    On ne fait pas passer un test pour juger de la motivation philosophique de chaque auteur lorsqu'il soumet son premier article. Y'a pas de politburo qui juge "toi tu peux écrire, toi non". Il y a juste des bons ou des mauvais articles bien écris ou pas sur des choses qu'on fait avec ou sous GNU/Linux.

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 1.

    Et dans GNU/Hurd ? C'est aussi pour rappeler le philosophie derrière GNU (le partage de code), des fois qu'on puisse oublier qui est derrière ?

    Linux c'est un noyau. Le projet GNU fourni une grande partie du reste du système. Il s'agit donc du système GNU/Linux.

    Linux = j'utilise GNU/Linux et GNU/Linux = je suis un extrémiste ne me semble pas une bonne définition.

    s/on s'attend/tu t'attends

  • # Pourquoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 4.

    Tout cela prête à réfléchir.
    La perception du logiciel libre, du libre, et de de l'open source semble clairement différente pour chacun (je ne parle même pas de la perception de ce que peut être ou doit être la perception d'une personne concernant le logiciel libre).

    Quel est l'intérêt du logiciel libre pour vous ?
    (déclinaison de l'éternel "pourquoi ?" en somme)

    Avoir de meilleurs programmes ? Pouvoir s'amuser sans restriction avec le code ? Devenir libre ? Sauvez le monde ?