Il y a quelques temps, j'avais cherché le moyen de gérer une base de données (méta-informations de photos) en bénéficiant :
- de l'interface graphique d'un tableur _ pour pouvoir copier-coller des blocs de cellules, avoir des combo-list de saisie _,
- de la possibilité de lire et modifier la base en ligne de commande, idéalement en SQL.
Ce que j'avais trouvé de plus proche est d'utiliser Knoda + Sqlite, qui marche mais n'égale pas un tableur au niveau interface graphique.
J'ai vu comment visualiser une table de Sqlite dans Calc, mais c'est seulement de la lecture et pas de la saisie.
Je me demande régulièrement si je ne suis pas passé à coté d'une killer-app.
>Oui, puisqu'il n'y a pas de préjudice causé aux auteurs ou aux détenteurs de droits voisins (interprètes, éditeurs, producteurs).
Je ne pense pas que ce sera la position des éditeurs de BRD.
> Si ces logiciels avaient été illégaux, il y avait lieu de les poursuivre puisque l'infraction était pleinement constituée, élément intentionnel compris (ils se sont auto-dénoncés).
Sauf en cas d'irresponsabilité, par exemple. Et même, tous les délits ne sont pas poursuivis.
Pourtant, le texte commence comme ça : "Les mesures techniques efficaces ..."
>Si d'un point de vue légal les DRM ne peuvent s'opposer au libre usage de l'oeuvre, alors je ne vois pas comment un acte qui ne porte pas préjudice aux auteurs et aux détenteurs de droits voisins - puisque légal - pourrait être répréhensible.
"Les mesures techniques ne peuvent s'opposer au libre usage de l'oeuvre ou de l'objet protégé dans les limites des droits prévus par le présent code, ainsi que de ceux accordés par les détenteurs de droits."
Tu disais précédement : "La question qui demeurait, c'était de savoir si l'acte de contournement du DRM pour réaliser une copie privée était répréhensible en soi."
J'en déduis que les "droits prévus par le présent code" ne spécifient pas explicitement la copie privée, et d'ailleurs, j'ai entendu parler de jugements qui ont réfuté la notion de droit à la copie privé.
Je ne vois pas en quoi la situation est différente aujourd'hui, étant donné qu'il n'y a pas eu de jugement sur le fond.
>C'est un peu comme dire "l'interopérabilité des DVD se limite à la bande vidéo ; si vous lisez aussi la bande son vous êtes dans l'illégalité".
Je ne vois pas le rapport.
>D'ailleurs le Conseil d'État considère qu'un logiciel indépendant interopérant avec une mesure technique, même si l'interopérabilité n'est obtenue que par décompilation/ingénierie inverse, et même si au passage les verrous numériques sautent, n'est pas un moyen "spécialement conçu ou adapté" pour contourner une mesure technique et n’a rien d’illicite.
Je me suis permis de barrer les parties que tu as ajoutées, pour ceux qui ne connaissent pas le texte par cœur.
D'après ton analyse, je pense que tu as une vision très large de l'interopérabilité quand tu dis que tu peux faire sauter les verrous, mais je ne retrouve pas ta vision dans les textes de loi cités, surtout du fait qu'ils font régulièrement référence au respect des conditions d'utilisation de l'oeuvre.
AHMA, l'interopérabilité permise peut très bien se limiter à ça :
Les éditeurs de BRD disent : on veut limiter la lecture à un environnement HDCP.
Tu as un environnement HDCP et un BRD, mais pas de softs pour le lire : tu as le droit d'écrire ou de te procurer des softs qui te donnent les mêmes fonctionnalités que les softs "officiels". Point.
Pour lever les incertitudes, il faudrait qu'il soit explicitement précisé quelque part que telle condition d'utilisation souhaitée par les éditeurs de BRD _ par exemple lire le média sur du matériel HDCP _ est incompatible avec la liberté d'usage.
>La question qui demeurait, c'était de savoir si l'acte de contournement du DRM pour réaliser une copie privée était répréhensible en soi.
>Grâce aux auto-dénonciations de StopDRM nous sommes fixés : tout cela n'intéresse ni la police, ni la justice.
Sauf que : qu'est-ce qui nous dit que cela aurait été la même chose pour un logiciel faisant sauter le verrou des BRD (Blue Ray Disc) ?
Ici :
- le fait de diffuser un logiciel qui est déjà largement répandu ne cause aucun dommage sensible,
- la plupart des gens ont eu ces softs autrement que par l'intermédiaire des personnes qui se sont dénoncées,
- la protection des DVD n'est pas efficace au moment de la dénonciation.
Cela rend plausible la thèse du "dérangement mental", mais je pense que le critère principal du désintérêt de la justice est la réalité très hypothétique des dommages causés et la nécessité d'une hiérarchisation dans les dossiers.
Alors, l'interopérabilité est permise, certes, mais mais je ne vois nul part que les outils développés puissent légalement aller au delà des limitations fixées par les DRM, que ce soit en possibilité de copie privée ou autre.
Si demain, VLC permet de lire un BRD sous linux dans un environnement "HDCP" complet, il ne risque rien.
Par contre, s'il permet de faire sauter les protections de la video, je ne vois pas en quoi les lois sur l'interopérabilité pourraient le protéger car on pourrait rétorquer que l'interopérabilité peut se passer de cette fonctionnalité.
C'est au niveau de l'expression "fournisseurs de mesures techniques" que ça coince.
Je l'interprète plus comme le "fournisseur de la mesure technique de protection", celui qui fournit le fabricant de DVD, alors que tu considères que le "fournisseur de la technique d'interopérabilité" entre aussi dans le cadre, si je te suis bien.
Or, dans le 2e cas, je peux difficilement dire "fournisseur de la mesure technique d'interopérabilité", car "mesure technique" renvoie à la protection originale, ahma.
Le décompilateur n'est pas censé fournir la mesure de protection, seulement l'interopérabilité.
Même si avec les informations d'interopérabilité fournies légalement par le décompilateur, tu peux appliquer la protection _ par exemple zoner un DVD pour le rendre interopérable avec un lecteur de DVD _ en quoi la loi t'autorise à te reconnaître comme "fournisseur de la mesure" ?
J'aimerais que tu aies raison, mais je n'ai pas l'impression que les problèmes d'interprétation soient tous levés.
C'est au niveau de l'expression "fournisseurs de mesures techniques" que ça coince.
Je l'interprète plus comme le "fournisseur de la mesure technique de protection", celui qui fournit le fabricant de DVD, alors que tu considères que le "fournisseur de la technique d'interopérabilité" entre aussi dans le cadre, si je te suis bien.
Or, dans le 2e cas, je peux difficilement dire "fournisseur de la mesure technique d'interopérabilité", car "mesure technique" renvoie à la protection originale, ahma.
Le décompilateur n'est pas censé fournir la mesure de protection, seulement l'interopérabilité.
Même si avec les informations d'interopérabilité fournies légalement par le décompilateur, tu peux appliquer la protection _ par exemple zoner un DVD pour le rendre interopérable avec un lecteur de DVD _ en quoi la loi t'autorise à te reconnaître comme "fournisseur de la mesure" ?
J'aimerais que tu aies raison, mais je n'ai pas l'impression que les problèmes d'interprétation soient tous levés.
Une nouvelle rédaction de l’article 33 du règlement de visite concernant l'autorisation de photographier dans les salles du musée vient d'être adopté par le Conseil d'administration :
« Dans les salles des collections permanentes, les œuvres peuvent être photographiées ou filmées pour l’usage privé de l’opérateur.
Ils ont changé d'avis.
L'interdiction des trépieds à l'intérieur, ça me semble raisonnable, moins à l'extérieur, mais bon, ça me semble relativement secondaire et il y a du pour et du contre : risque de faire tomber quelqu'un, impact visuel pour les autres, ...
Sinon, je suis bien d'accord avec vous concernant les limitations concernant les bâtiments publics. C'est un scandale. On pourrait aussi citer les jardins publics.
> En parlant de photos, le musée du Louvre [...] met en place depuis quelques années une politique visant à progressivement interdire les prises de vues dans l'ensemble du musée.
Et ça se traduit comment ?
Source ?
>le prix d'entrée est prohibitif
Bof.
6 € de 18h à 21h45 pour les nocturnes
9 € sinon
Le problème des nocturnes est que toutes les salles ne sont pas ouvertes.
Et quelqu'un qui a postulé pour un job cet été m'a dit que les recrutements avaient été très faibles, donc ça ne devrait pas changer de ce coté si l'information est exacte.
Se renseigner à la source, certes, mais plus de transparence ne ferait pas de mal.
Portions of the Product are available in source code form ... laisse entendre que toutes les sources ne sont pas disponibles et ne renseigne pas sur ce qui est disponible ou pas.
Moi, j'utiliserais directement les fichiers .pls, .m3u plutôt que de gérer une liste.
Eventuellement, des fichiers .pls.url, .m3u.url pourraient contenir l'url d'origine du fichier .pls ou .m3u et une fonction permettrait de vérifier les mises à jour.
> Imaginez qu'elle ne s'en aperçoive qu'après avoir écoulé tout son stock dans sa filière alimentaire.
J'ai lu la dépêche du canard et de mémoire, le problème a été détecté avant que toute l'huile soit utilisée, ce qui a permis de diluer adéquatement la fin du stock afin de rester sous la barre fixée.
Il me semble aussi que le problème touche plusieurs pays et qu'avec 19 tonnes a épurer, les consommateurs français peuvent s'estimer heureux. :o
Nous bénéficions sans doute là de notre tradition pour la bonne cuisine.
Enfin, alors que le Figaro cite une société qui semble être une PME, le Canard cite une multinationale qui a un peu plus d'envergure : Unilever [http://fr.wikipedia.org/wiki/Unilever]
>Cet article de wikipedia n'est pas complet et omets complètement les origines du mot.
D'après le lien que tu as donné :
Blobs were originally just amorphous chunks of data invented by Jim Starkey at DEC [...] Then Informix invented an alternative backronym, Binary Large Object[citation needed].
En plus ça ne veut pas dire grand chose : plus de 4-5 octets, je trouve que c'est déjà grand s'il faut le mémoriser.
Je pensais que c'était les distributions qui ajoutaient ces blobs, pas qu'il y en avait dans le kernel original.
ex: Documentation/networking/README.ipw2100
As the firmware is licensed under a restricted use license, it can not be included within the kernel sources.
Cet éclatement pourra être vu comme un inconvénient, mais il a aussi des avantages (pas d'énergie dépensée en organisation, redondance utile en cas de défaillance).
Avec Slackware, les packages prennent le chemin le plus direct du producteur au consommateur. ;-)
Mais certains rétorqueront qu'il y a des modules propriétaires dans le noyau Linux?
Je suis sûr que des lecteurs pressés ou anti-linux vont comprendre que le noyau fournit par kernel.org contient des modules propriétaires, ce qui n'est pas le cas.
Après qu'une partie de la discussion a porté sur la non-décidabilité de la foi, et en voyant l'expression "athéisme de combat" à coté de "néfaste" et "christianisme" de combat, j'ai cru que ПаЗaПата faisait référence à des prosélytes essayant de convaincre les autres que Dieu n'existe pas.
Par contre dans le cadre de l'argumentation sur les parties des religions qui ne sont pas logiques, je ne vois pas très bien pourquoi le terme "néfaste" a été utilisé.
Un conducteur exemplaire aurait roulé en adaptant sa vitesse à la possibilité qu'une petite vieille débouche n'importe comment, à la distance avec les voitures sur le coté, à sa condition physique et mentale, etc, quitte à conduire au pas, pied sur la pédale de frein.
La cas du gamin revient plus ou moins au même, à priori.
Après, il y aurait le cas de la personne qui se précipite volontairement sous tes roues et il n'y a aucun témoin.
Si tu ne peux pas le prouver, effectivement, tu seras "conducteur-ment" irréprochable et "monétaire-ment" responsable.
C'est la limite du système, malheureusement, mais je vois pas comment l'améliorer.
Un automobiliste est censé adapter sa vitesse en fonction de ses réflexes, de sa voiture, du contexte.
La possibilité qu'un piéton traverse n'importe comment devrait être prise en compte par le conducteur dans tout les cas où un piéton peut se trouver dans le coin : bâtiments, voiture arrêtée au bord de la route ...
Oui, mais engager un avocat en droit criminel entre la disparition et le moment où il a su qu'elle avait disparue, c'est un peu différent de ce que tu dis.
Sinon, ne pas s'entendre avec son avocat tout en le gardant 6 mois, ça ne parait pas très habile.
# OS
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Statistiques 2009 du site LinuxFr.org. Évalué à 3.
[^] # Re: Alternatives ?
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Autojump : une manière plus rapide de naviguer dans le système de fichiers avec la ligne de commande. Évalué à 1.
Si on peut associer ça à de la complétion auto sous bash, ça serait encore mieux, mais je ne connais pas.
# tableur + BD
Posté par regdub . En réponse au journal A propos d'openoffice 3.0. Évalué à 1.
- de l'interface graphique d'un tableur _ pour pouvoir copier-coller des blocs de cellules, avoir des combo-list de saisie _,
- de la possibilité de lire et modifier la base en ligne de commande, idéalement en SQL.
Ce que j'avais trouvé de plus proche est d'utiliser Knoda + Sqlite, qui marche mais n'égale pas un tableur au niveau interface graphique.
J'ai vu comment visualiser une table de Sqlite dans Calc, mais c'est seulement de la lecture et pas de la saisie.
Je me demande régulièrement si je ne suis pas passé à coté d'une killer-app.
[^] # Re: Anti affaire "Mulholland Drive" ?
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Briser un DRM : un comportement irresponsable ?. Évalué à 2.
Je ne pense pas que ce sera la position des éditeurs de BRD.
> Si ces logiciels avaient été illégaux, il y avait lieu de les poursuivre puisque l'infraction était pleinement constituée, élément intentionnel compris (ils se sont auto-dénoncés).
Sauf en cas d'irresponsabilité, par exemple. Et même, tous les délits ne sont pas poursuivis.
>et que par conséquent il est en pratique inefficace, n'y change rien.
Voir http://legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEG(...)
Pourtant, le texte commence comme ça : "Les mesures techniques efficaces ..."
>Si d'un point de vue légal les DRM ne peuvent s'opposer au libre usage de l'oeuvre, alors je ne vois pas comment un acte qui ne porte pas préjudice aux auteurs et aux détenteurs de droits voisins - puisque légal - pourrait être répréhensible.
"Les mesures techniques ne peuvent s'opposer au libre usage de l'oeuvre ou de l'objet protégé dans les limites des droits prévus par le présent code, ainsi que de ceux accordés par les détenteurs de droits."
Tu disais précédement : "La question qui demeurait, c'était de savoir si l'acte de contournement du DRM pour réaliser une copie privée était répréhensible en soi."
J'en déduis que les "droits prévus par le présent code" ne spécifient pas explicitement la copie privée, et d'ailleurs, j'ai entendu parler de jugements qui ont réfuté la notion de droit à la copie privé.
Je ne vois pas en quoi la situation est différente aujourd'hui, étant donné qu'il n'y a pas eu de jugement sur le fond.
>C'est un peu comme dire "l'interopérabilité des DVD se limite à la bande vidéo ; si vous lisez aussi la bande son vous êtes dans l'illégalité".
Je ne vois pas le rapport.
>D'ailleurs le Conseil d'État considère qu'un logiciel indépendant interopérant avec une mesure technique, même si l'interopérabilité n'est obtenue que par décompilation/ingénierie inverse, et même si au passage les verrous numériques sautent, n'est pas un moyen "spécialement conçu ou adapté" pour contourner une mesure technique et n’a rien d’illicite.
Je me suis permis de barrer les parties que tu as ajoutées, pour ceux qui ne connaissent pas le texte par cœur.
D'après ton analyse, je pense que tu as une vision très large de l'interopérabilité quand tu dis que tu peux faire sauter les verrous, mais je ne retrouve pas ta vision dans les textes de loi cités, surtout du fait qu'ils font régulièrement référence au respect des conditions d'utilisation de l'oeuvre.
AHMA, l'interopérabilité permise peut très bien se limiter à ça :
Les éditeurs de BRD disent : on veut limiter la lecture à un environnement HDCP.
Tu as un environnement HDCP et un BRD, mais pas de softs pour le lire : tu as le droit d'écrire ou de te procurer des softs qui te donnent les mêmes fonctionnalités que les softs "officiels". Point.
Pour lever les incertitudes, il faudrait qu'il soit explicitement précisé quelque part que telle condition d'utilisation souhaitée par les éditeurs de BRD _ par exemple lire le média sur du matériel HDCP _ est incompatible avec la liberté d'usage.
[^] # Re: Anti affaire "Mulholland Drive" ?
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Briser un DRM : un comportement irresponsable ?. Évalué à 3.
>Grâce aux auto-dénonciations de StopDRM nous sommes fixés : tout cela n'intéresse ni la police, ni la justice.
Sauf que : qu'est-ce qui nous dit que cela aurait été la même chose pour un logiciel faisant sauter le verrou des BRD (Blue Ray Disc) ?
Ici :
- le fait de diffuser un logiciel qui est déjà largement répandu ne cause aucun dommage sensible,
- la plupart des gens ont eu ces softs autrement que par l'intermédiaire des personnes qui se sont dénoncées,
- la protection des DVD n'est pas efficace au moment de la dénonciation.
Cela rend plausible la thèse du "dérangement mental", mais je pense que le critère principal du désintérêt de la justice est la réalité très hypothétique des dommages causés et la nécessité d'une hiérarchisation dans les dossiers.
Alors, l'interopérabilité est permise, certes, mais mais je ne vois nul part que les outils développés puissent légalement aller au delà des limitations fixées par les DRM, que ce soit en possibilité de copie privée ou autre.
Si demain, VLC permet de lire un BRD sous linux dans un environnement "HDCP" complet, il ne risque rien.
Par contre, s'il permet de faire sauter les protections de la video, je ne vois pas en quoi les lois sur l'interopérabilité pourraient le protéger car on pourrait rétorquer que l'interopérabilité peut se passer de cette fonctionnalité.
[^] # Re: Oui mais
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Le Conseil d'État revoit un décret de la loi DADVSI en faveur des logiciels libres. Évalué à -1.
C'est au niveau de l'expression "fournisseurs de mesures techniques" que ça coince.
Je l'interprète plus comme le "fournisseur de la mesure technique de protection", celui qui fournit le fabricant de DVD, alors que tu considères que le "fournisseur de la technique d'interopérabilité" entre aussi dans le cadre, si je te suis bien.
Or, dans le 2e cas, je peux difficilement dire "fournisseur de la mesure technique d'interopérabilité", car "mesure technique" renvoie à la protection originale, ahma.
Le décompilateur n'est pas censé fournir la mesure de protection, seulement l'interopérabilité.
Même si avec les informations d'interopérabilité fournies légalement par le décompilateur, tu peux appliquer la protection _ par exemple zoner un DVD pour le rendre interopérable avec un lecteur de DVD _ en quoi la loi t'autorise à te reconnaître comme "fournisseur de la mesure" ?
J'aimerais que tu aies raison, mais je n'ai pas l'impression que les problèmes d'interprétation soient tous levés.
[^] # Re: Oui mais
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Le Conseil d'État revoit un décret de la loi DADVSI en faveur des logiciels libres. Évalué à 2.
C'est au niveau de l'expression "fournisseurs de mesures techniques" que ça coince.
Je l'interprète plus comme le "fournisseur de la mesure technique de protection", celui qui fournit le fabricant de DVD, alors que tu considères que le "fournisseur de la technique d'interopérabilité" entre aussi dans le cadre, si je te suis bien.
Or, dans le 2e cas, je peux difficilement dire "fournisseur de la mesure technique d'interopérabilité", car "mesure technique" renvoie à la protection originale, ahma.
Le décompilateur n'est pas censé fournir la mesure de protection, seulement l'interopérabilité.
Même si avec les informations d'interopérabilité fournies légalement par le décompilateur, tu peux appliquer la protection _ par exemple zoner un DVD pour le rendre interopérable avec un lecteur de DVD _ en quoi la loi t'autorise à te reconnaître comme "fournisseur de la mesure" ?
J'aimerais que tu aies raison, mais je n'ai pas l'impression que les problèmes d'interprétation soient tous levés.
[^] # Re: liberté d'usage
Posté par regdub . En réponse au journal Photos dans un musée. Évalué à 3.
Une nouvelle rédaction de l’article 33 du règlement de visite concernant l'autorisation de photographier dans les salles du musée vient d'être adopté par le Conseil d'administration :
« Dans les salles des collections permanentes, les œuvres peuvent être photographiées ou filmées pour l’usage privé de l’opérateur.
Ils ont changé d'avis.
L'interdiction des trépieds à l'intérieur, ça me semble raisonnable, moins à l'extérieur, mais bon, ça me semble relativement secondaire et il y a du pour et du contre : risque de faire tomber quelqu'un, impact visuel pour les autres, ...
Sinon, je suis bien d'accord avec vous concernant les limitations concernant les bâtiments publics. C'est un scandale. On pourrait aussi citer les jardins publics.
[^] # Re: liberté d'usage
Posté par regdub . En réponse au journal Photos dans un musée. Évalué à 2.
Et ça se traduit comment ?
Source ?
>le prix d'entrée est prohibitif
Bof.
6 € de 18h à 21h45 pour les nocturnes
9 € sinon
Le problème des nocturnes est que toutes les salles ne sont pas ouvertes.
Et quelqu'un qui a postulé pour un job cet été m'a dit que les recrutements avaient été très faibles, donc ça ne devrait pas changer de ce coté si l'information est exacte.
# usage personnel
Posté par regdub . En réponse au journal Photos dans un musée. Évalué à 3.
La publication sur internet ne correspond pas à un usage personnel, je pense.
[^] # Re: ortho
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Test de la Slackware 12.1. Évalué à 4.
[^] # Re: Arf...
Posté par regdub . En réponse au journal Firefox est-il toujours libre ?. Évalué à 1.
Portions of the Product are available in source code form ... laisse entendre que toutes les sources ne sont pas disponibles et ne renseigne pas sur ce qui est disponible ou pas.
Pour le savoir, tu fais comment ?
[^] # Re: Excellent (BIS)
Posté par regdub . En réponse au journal Écouter la radio facilement. Évalué à 1.
Eventuellement, des fichiers .pls.url, .m3u.url pourraient contenir l'url d'origine du fichier .pls ou .m3u et une fonction permettrait de vérifier les mises à jour.
# sur le timing
Posté par regdub . En réponse au journal [HS] Bonne vidange à tous !!!. Évalué à 4.
J'ai lu la dépêche du canard et de mémoire, le problème a été détecté avant que toute l'huile soit utilisée, ce qui a permis de diluer adéquatement la fin du stock afin de rester sous la barre fixée.
Il me semble aussi que le problème touche plusieurs pays et qu'avec 19 tonnes a épurer, les consommateurs français peuvent s'estimer heureux. :o
Nous bénéficions sans doute là de notre tradition pour la bonne cuisine.
Enfin, alors que le Figaro cite une société qui semble être une PME, le Canard cite une multinationale qui a un peu plus d'envergure : Unilever [http://fr.wikipedia.org/wiki/Unilever]
[^] # Re: toujours cette maladie...
Posté par regdub . En réponse au journal FSF et distributions. Évalué à 2.
D'après le lien que tu as donné :
Blobs were originally just amorphous chunks of data invented by Jim Starkey at DEC [...] Then Informix invented an alternative backronym, Binary Large Object[citation needed].
En plus ça ne veut pas dire grand chose : plus de 4-5 octets, je trouve que c'est déjà grand s'il faut le mémoriser.
[^] # Re: modules propriétaires dans le
Posté par regdub . En réponse au journal La GNU GPL est-elle suffisante?. Évalué à 3.
Je pensais que c'était les distributions qui ajoutaient ces blobs, pas qu'il y en avait dans le kernel original.
ex: Documentation/networking/README.ipw2100
As the firmware is licensed under a restricted use license, it can not be included within the kernel sources.
Vu comme ça, je trouve le README trompeur.
[^] # Re: modules propriétaires dans le
Posté par regdub . En réponse au journal La GNU GPL est-elle suffisante?. Évalué à 3.
[^] # Re: ça slacke a tout va
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Sortie de Slackware 12.1. Évalué à 6.
C'est l'occasion d'en citer quelques uns :
http://www.slacky.eu/ - les champions AHMA pour la 12.0, 280 packages étaient dispos à J+10, environ 1700 aujourd'hui -
http://www.franck-barbenoire.name/slackware/slack.php
http://www.linuxpackages.net/
http://sourceforge.net/projects/slackfr-packs/
http://www.slackware.com/~alien/slackbuilds/
http://rlworkman.net/pkgs/
La plupart de ces sites fournissent le script _ le slackbuild _ qui a permis de compiler le package.
On trouve aussi des sites qui proposent leurs slackbuilds, comme http://slackbuilds.org/ remercié par Patrick Volkerding ainsi que :
http://www.slackbuilds.net/AutoIndex/index.php
http://forum.slackbuilds.net/viewforum.php?id=6
Cet éclatement pourra être vu comme un inconvénient, mais il a aussi des avantages (pas d'énergie dépensée en organisation, redondance utile en cas de défaillance).
Avec Slackware, les packages prennent le chemin le plus direct du producteur au consommateur. ;-)
# modules propriétaires dans le noyau
Posté par regdub . En réponse au journal La GNU GPL est-elle suffisante?. Évalué à 5.
Je suis sûr que des lecteurs pressés ou anti-linux vont comprendre que le noyau fournit par kernel.org contient des modules propriétaires, ce qui n'est pas le cas.
[^] # Re: Encore une killer-app...
Posté par regdub . En réponse à la dépêche Entretien avec les développeurs d'Ekiga. Évalué à 1.
Ai-je besoin d'avoir moi-même un compte chez un registrar ?
[^] # Re: coupable
Posté par regdub . En réponse au journal Hans Reiser déclaré coupable. Évalué à 2.
Après qu'une partie de la discussion a porté sur la non-décidabilité de la foi, et en voyant l'expression "athéisme de combat" à coté de "néfaste" et "christianisme" de combat, j'ai cru que ПаЗaПата faisait référence à des prosélytes essayant de convaincre les autres que Dieu n'existe pas.
Par contre dans le cadre de l'argumentation sur les parties des religions qui ne sont pas logiques, je ne vois pas très bien pourquoi le terme "néfaste" a été utilisé.
[^] # Re: coupable
Posté par regdub . En réponse au journal Hans Reiser déclaré coupable. Évalué à 2.
La cas du gamin revient plus ou moins au même, à priori.
Après, il y aurait le cas de la personne qui se précipite volontairement sous tes roues et il n'y a aucun témoin.
Si tu ne peux pas le prouver, effectivement, tu seras "conducteur-ment" irréprochable et "monétaire-ment" responsable.
C'est la limite du système, malheureusement, mais je vois pas comment l'améliorer.
[^] # Re: coupable
Posté par regdub . En réponse au journal Hans Reiser déclaré coupable. Évalué à 4.
> l'automobiliste qui n'a rien fait de mal
Ça me fait un peu réagir de lire ça.
Un automobiliste est censé adapter sa vitesse en fonction de ses réflexes, de sa voiture, du contexte.
La possibilité qu'un piéton traverse n'importe comment devrait être prise en compte par le conducteur dans tout les cas où un piéton peut se trouver dans le coin : bâtiments, voiture arrêtée au bord de la route ...
[^] # Re: coupable
Posté par regdub . En réponse au journal Hans Reiser déclaré coupable. Évalué à 1.
Sinon, ne pas s'entendre avec son avocat tout en le gardant 6 mois, ça ne parait pas très habile.
[^] # Re: coupable
Posté par regdub . En réponse au journal Hans Reiser déclaré coupable. Évalué à 0.
Tu peux en citer ?