yanndlfp a écrit 28 commentaires

  • [^] # [Résolu] Munin

    Posté par  . En réponse au message Surveillance de l'utilisation de la bande passante montante. Évalué à 2.

    J'ai mis en place Munin, en partant de [http://blog.vortorus.net/2009/04/05/monitoring-traffic-with-(...)].

    Merci.
  • [^] # Re: Pour un autre capitalisme

    Posté par  . En réponse au journal Programme partagé. Évalué à 1.

    Bon, ok, je crois que j'ai saisi....

    Mais si il ne risque rien, il ne gagne pas plus si ça marche
    Donc : Grâce au travail de tous (du bas au haut de l'échelle, hein) et aux fonds investis, une boite est florissante, les bénéfices explosent, et seuls les investisseurs sont légitimes à voir leurs revenus s'accroître.

    Si ça foire, l'actionnaire peut perdre tout l'investissement. Et il peut alors se retrouver aussi à la rue si il a pas mis d'autres choses de côté.
    L'affirmer cent fois n'en fera pas une vérité. C'est statistiquement archi-faux.

    Effectivement, les fantasmes du gentil salarié qui est à la rue et du méchant actionnaire qui roule sur l'or...
    Ce n'est pas du tout mon discours. La première fois, je pensais m'être mal exprimé, mais là c'est clair : tu déformes (sciemment ?) les propos de tes interlocuteurs.

    J'en tire deux conclusions :
    1- les propos en questions ne doivent pas être si infondés que ça, finalement, puisque qu'il te faut avoir recours à des procédés douteux pour les contrer. Dans le cas contraire, une personne aussi intelligente que toi ou moi devrait arriver à construire une contre-argumentation qui tienne la route.
    2- J'arrête de discuter.
  • [^] # Re: Pour un autre capitalisme

    Posté par  . En réponse au journal Programme partagé. Évalué à 5.

    Humpf...


    Actionnaire : il peut tout perdre ou gagner
    Salarié : il gagne dans tous les cas.


    Bon, je ne sais pas comment ça se passe sur Alpha du Centaure, mais par chez nous, les "actionnaires" comme tu dis :
    1 : ne perdre pas *tout* même dans le pire des cas pour l'immense majorité d'entre-eux.
    2 : ne vivent pas exclusivement de leurs seules dividendes sur un seul investissement, i.e. quand un investissement foire, ils ne se retrouvent pas direct à la rue.
    Bref, quand ça tourne mal, c'est pas cool du tout, voire carrément désagréable, mais, encore une fois dans l'immense majorité des cas, it's only money, after all.

    Que l'investissement comporte une part de risque, on est bien d'accord, et c'est même ce qui justifie en grande partie sa rémunération. Que ce risque soit à la hauteur de ce que tu semble décrire, non.

    Et pour les salariés, en tout cas sur notre planète, ils n'ont pas de salaire garanti à vie. Ça signifie qu'il y a des cas où ils perdent leur salaire : faillite de la boite, ou simplement licenciement. Et là, c'est pas juste "Flûte, pas de vacances au ski cette année", on taperait plutôt dans le vital à court ou moyen terme.

    Si le salarié veut avoir les profits
    On va dire que je me suis mal exprimé : valeur généré par l'activité de l'entreprise moins charges (fournitures/taxes/etc), à répartir entre les protagonistes (salaires/dividendes/re-investissement en fond propre)

    qu'il se mouille
    Ça revient plusieurs fois ça. Le seul risque qui existe est le risque de l'investissement financer, c'est çà ? Et de plus, seul le risque à droit à rémunération ? Si j'ai bien compris ta position, alors je ne suis pas d'accord.


    Etre salarié n'est pas incompatible avec être actionnaire.

    Techniquement, non. C'est même le point central des rêves humides des néo-libéraux.
    Y a de très bons articles là-dessus, si tu veux approfondir.

    Bizarrement, le salarié veut le beurre et l'argent du beurre : si ça foire, salaire, si ça marche, les profits.
    Ouch.... C'est le problème quand on ne vit pas sur la même planète...
    Ici, ça se passe plutôt comme ça :
    - Pour le salarié : si ça foire, c'est la rue, si ça marche, status quo.
    - Pour l'actionnaire : si ça foire, je rentre pas totalement dans mes frais, si ça marche, je me gave (y en a même qui en ont vu se gaver quand ça foirait...)

    Quand à :
    Qu'il aille se faire voir et revienne quand il sera prêt à prendre un risque.
    même en tenant compte que ça découle d'un sérieux décalage entre la réalité et tes fantasmes, ça a du mal à passer.
  • [^] # Re: Pour un autre capitalisme

    Posté par  . En réponse au journal Programme partagé. Évalué à 1.


    Sans ses salariés, une entreprise ne rapporte rien hein, peu importe les investisseurs.
    Sans investisseurs, une entreprise ne rapporte rien hein, peu importe les salariés.

    Admettons. On part donc sur : Investissement + travail = profit puis répartition du profit entre les deux protagonistes (rhââ simplification...).


    ceux qui dépensent le fric ne peuvent pas dire comment ils le dépensent?

    Si, bien sûr (à quelques réserves près, mais qui sont hors propos).

    Mais la vraie problématique n'est pas en amont (où et comment), elle est en aval : comment sont répartis les profits entre les *deux* protagonistes, et plus précisément, comment se fait la décision.


    Mais que les salariés investissent si ils veulent décider!

    C'est là que Je ne comprends plus ta position : Ils remplissent leur part du contrat, oui ou non ? ils participent à la génération du profit, oui ou non ?

    Alors, qu'est-ce qui justifie que seul l'investisseur aurait à décider de la répartition des profits ?
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 2.


    /opt est LE endroit pour foutre des trucs non fournis par la distribution

    Pour un admin, oui. Mais pour un utilisateur de base qui récupère un petit (ou gros) soft sur internet, je ne pense pas. Son home me paraît plus approprié.


    actuellement il doit manquer le moyen de créer un lanceur (une icone) qui se foutra gentiment sur le bureau ou dans le menu des applications, avec les bons ajouts à $PATH si besoin. bon, ça, je vois mal mes trois madame michu le faire même avec des explications.

    Justement, c'est ça qui manque actuellement.
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 2.

    Ce que le monsieur (et d'autres) demande, c'est d'avoir un système uniforme et surtout michu-friendly, pour gérer les installations tierces dans /opt.

    Bon, /opt, à mon avis, c'est pas une bonne idée du tout. Mais la demande me semble légitime.
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 3.


    Lorsque tu dois de taper 3 jours pour configurer wpasupplicant tu es bien content d'avoir un networkmanager ou un wicd qui essaye d'être accessible à tous…

    Mais qui a dit le contraire ?

    Le nucléaire ou la bougie, c'est ça votre argumentation ?

    Ton exemple montre bien qu'on peut avoir une très bonne "expérience utilisateur" sans pour autant jeter aux orties ce qui fait la force et la différence de la philosophie qui, comme tu le dit, intéresse des gens.
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 3.

    Non, Sans rire ?
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 2.


    Ce n'est pas utile d'atteindre cet objectif, mais il est indispensable de mettre linux à la portée de tous.

    Quelqu'un pourrait me dire en quoi c'est indispensable ? C'est une vrai question.

    Et s'il y arrive, question subsidiaire : A quel prix ?

    Pour le reste : logique marchand/consommateur : Hors-sujet.
  • [^] # Re: Pourquoi faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 6.

    Sans oublier l'avantage majeur pour les diffuseurs de logiciels que cette procédure "suivant, suivant, accepter, suivant..." devenue automatique chez tous les consommateurs permet d'éviter qu'ils regardent de trop près les EULA et autres conditions d'utilisations...
  • # 3 minutes à perdre (z'êtes pas obligés)...

    Posté par  . En réponse au journal Insuccès de Linux sur le Desktop : les raisons ?. Évalué à 10.


    Ce journal n'a pas vocation à attirer les trolls, ...

    Heu... non, rien.


    ... mais d'avoir une discussion sur les raisons de l'insuccès de Linux sur les postes de travail et les ordinateurs personnels (portables ou non)

    Poser d'entrée de jeu son point de vue comme étant la réalité incontestable histoire de circonscrire la discussion dans le champ qu'on a choisi, je suis sûr que ce procédé rhétorique porte un nom...

    Je dis ça, parce que mon expérience à moi que j'ai, c'est que linux fonctionne du tonnerre sur mes postes de travail et perso.


    * Architecture Linux non adaptée à un usage personnel ou de bureau

    S'en suit une description de l'installation d'un driver de périphérique qui nécessite une recompilation du noyo.

    C'est vrai, des fois, ça craint : sur les 5 dernières années, j'ai dû le faire un ou deux fois pour des potes. Admettons...

    Suis-je le seul à penser que du point de vue logiciel (architecture si on veut employer des grands mots), il n'y a pas de différence avec ce qui se fait sous Windows, à savoir noyo-driver-matos ?

    Par contre, si on veut être honnête et objectif, il serait bon d'examiner comment et qui produit ces drivers, et avec quels moyens dans un cas, quels obstacles dans l'autre.
    Et d'imaginer ce que pourrait donner une concurrence saine et non faussée, à armes égales (specifications, someone ?)...


    * Manque d'applications grand public
    On ne le répétera jamais assez, le manque d'applications grand public, que l'on trouve dans les super marchés ou la FNAC par exemple, ...

    "Linux pas grand public" parce que "pas trouver de boite en supermarché" parce que ? Allez, un effort... : "linux pas grand public". CQFD.
    Ce genre d'argumentation aussi, ça porte un nom, mais j'arrive pas à m'en rappeler.


    ...les succédané de logiciels libres, souvent une pale copie qui se veut générique mais a qui il manque une finissions artistique, ne permettent pas de combler ce vide

    Il me semble que ce soit plutôt "succédanés de logiciels connus" que tu ai voulu dire.

    Tu dois avoir des besoins bien plus étendus et spécifiques que les miens, parce que pour ma part, point de "vide". Parfois, je dois faire quelques efforts, mais je ne me suis jamais retrouvé coincé. Cela dit, je l'admet, si l'unique effort que j'aurai été prêt à consentir, c'est sortir le porte-monnaie à la fnac, effectivement...

    Pour le reste, je laisse aux développeurs le soin de réagir à leur manière à ce que je considère comme un marque de mépris pour leur travail.


    * Promotion d'applications qui ne le méritent pas

    Quand c'est des marketeux payés à prix d'or, c'est cool, coco.
    Mais quand c'est un copain/collègue/cousin qui te dit :
    "Tu veux un traitement de texte potable ET garder ton bras droit ET pas être dans l'illégalité ? openoffice/koffice/etc..." Là, c'est nuuuuul.
    Je suis sûr qu'il y a une logique derrière, mais je la vois pas bien encore.


    * Le trop grand nombre de distributions
    La diversité c'est bien. La cohérence, c'est mieux. Et même si la LSB a tenté de mettre de l'ordre (pour éviter un UNIX 2), on en arrive à plus de 300 distributions, dont certaines sont, franchement, d'utilité plus qu'incertaine

    Encore un effort, j'en vois au fond qui n'ont pas encore été insultés.

    Sur le fond : je ne suis pas d'accord.
    Pour moi, la diversité est primordiale, c'est elle qui fait progresser. La cohérence n'est que souhaitable. Du coup, je trouve toujours curieux l'empressement de certain à accepter de laisser tomber la diversité dès que ça risque de manquer un peu de cohérence. Ça me rappelle un truc au sujet de la liberté et de la sécurité. Mais c'est une question de point de vue.


    Pourquoi ne pas se reposer sur une distribution corporate
    ...
    il manque un leader incontesté

    Je passe rapidement sur ce besoin curieux d'avoir toujours une autorité de référence à portée de vue.

    Je commence à percevoir une logique derrière tout ça. Dis moi si je me trompe :
    Tu appliques des schémas de pensée taillés pour le domaine propriétaire et la dualité marchand/consommateur au domaine du logiciel libre.

    En fait, le malentendu viens de là, je crois : Typiquement :
    - l'"utilité incertaine" : selon quels critères ?
    - "One OS to rule them all" : pour quoi faire exactement ?

    Pour ceux qui préfèrent ce modèle proprio : Live long and prosper.
    J'apprécierai cependant qu'on me laisse la liberté de pouvoir en choisir un autre.


    2011 : L'année de la mort de Linux sur les Desktop ?

    Comment dire... Sur les miens, et sur ceux de beaucoup de monde, non.

    Linux n'est pas un Windows-on-the-Desktop-killer ? Ça tombe bien, si j'ai bien tout suivi, c'est pas le but. On peut faire mieux ? sûrement. On essaye ? oui. Quitte à y perdre l'essentiel ? Si on me demande mon avis : c'est non.
  • [^] # Re: bonne idée cut

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 1.

    Mais ça ne réponds pas au problème de fond : Il faut que quelqu'un se charge de faire le paquet. Et même si les packageurs Debian s'arrachent et réussissent à coller au développement de toutes les applications, quid des autres distros ?

    Comme dit plus haut, le packaging en soi n'est pas difficile, c'est le nombre de cibles qui rend ce système de diffusion intenable.
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 2.


    mais un packageur s'arroge le droit de décider que cela n'a que peut d'intérêt et censure mon travail.


    Ou il alors il se peut, je sais pas, qu'il soit contraint
    - de travailler à autre chose (au hasard, pour gagner sa vie).
    - de respecter la politique de mise à jour de la distro (bump de version, etc)
    ...

    Lorsque tu te reposes sur un tiers pour faire un boulot, surtout s'il est bénévole et soumis à contraintes, faudrait éviter de lui demander la lune (de la crémière ?).
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 3.


    Dépot Debian 5 : GCompris 8.3


    Mauvaise cible, changer de cible.
    Tu ne peux pas obtenir des paquets in-distro ET à jour. Renonce à tout espoir, c'est intenable.

    Mais ce n'est pas ce qu'on veut...

    Ce qu'on veut, c'est avoir un bundle qui s'installe et se lance. Ça fait tache dans le système, c'est pas bien intégré dans le bureau, mais c'est utilisable.


    comment un utilisateur lambda peut avoir GCompris 9.3 sur sa machine Debian 5 qui est la dernière stable?


    S'il veut *en plus* le faire en utilisant le système de paquet de sa distro, la réponse est assez simple : Fais-le toi-même ou trouve un gus qui l'a fait pour toi (et n'oublie pas de lui dire merci).
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 3.


    Si le système permet à la volée de construire un paquet et l'installer avec un double clic, on est effectivement très loin en terme de facilité du système des sources.

    On retombe sur le même problème : la compilation, et surtout la création de paquet, est spécifique à chaque distro. Les devs n'ont pas à gérer les différents systèmes de paquets.


    Toute la difficulté réside dans le fait de conserver la flexibilité et autres avantages des bibliothèques partagées en y alliant la facilité d'empaquetage (pour le développeur) et d'installation de la dernière version en date (pour l'utilisateur).


    A mon avis, c'est plus qu'une difficulté, c'est pratiquement une impossibilité, on est dans l'impasse.

    Par contre, si on accepte d'avoir côte à côte les deux mondes (paquets de la distro et applications tierces), ça doit pouvoir se faire : on a déjà LSB et des systèmes de gestion de dépendances. Manque la glue qui permettrait au mieux d'installer à la demande les libs requises depuis la distro, au pire d'installer des libs hors-distro venant avec l'application.

    Après tout, l'arborescence /usr/local (ou /opt ) est historiquement là pour ça.
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 2.


    >Non les distribs ne sont pas LSB out of the box.
    Donc on a toujours le problème...


    Le problème vient du fait qu'il n'y a pas de gestion des dépendances hors des paquets de la distro, ce qui est parfaitement normal, et c'est la même chose pour windows/mac.

    La différence, c'est que sous windows, la plupart des libs utilisables sont déjà là même si elle ne servent à rien. Si tu tombes sur une dépendance exotique, tu dois l'installer à la main (et on entre en récursion) comme avec un linux (mais sous windows, c'est cool). Ou alors elle vient avec l'application.

    Un système de bundle viable doit pouvoir gérer ça. Comme dit plus bas, il nous faudrait une surcouche aux systèmes de packages des distrib hôtes, c'est à dire pouvoir invoquer un "meta-install libtruc-0.8.2". Ça passe : lib suivante ; Ça passe pas : install de la lib embarquée en local.


    Le but est que ça marche, les développeurs et les utilisateurs ne sont pas du tout chiant, ils veulent juste que ça soit faisable.

    Tout dépend de ce qu'on entend par faisable.

    Compte-tenu des différences entre windows/mac et linux, on n'atteindra pas le même niveau d'intégration de logiciels tiers, et pour des raisons qui sont un peu longues à expliquer, je pense personnellement que ce n'est ni nécessaire, ni souhaitable.

    Par contre, offrir aux développeurs et aux utilisateurs un système leur permettant de pouvoir installer un bundle dans, mettons, 63.7% des cas sans problème, ce serait une avancée considérable.
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 3.


    tu ne peux pas faire de binaire statique léger parce que tu dois inclure entre autres Gtk

    Effectivement, statique et léger, c'est l'un ou l'autre, c'est pas pour rien qu'on a des libs. On est face à une impossibilité matérielle (et non pas un déni...).

    Cependant, la vraie question est "binaire qui se lance". La réponse "binaire lourd" est valide.
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 2.

    ... binaire statique ....error while loading shared libraries...

    C'est moi, ou il y a une contradiction ?
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 1.

    Le fait que la où ça fait quelque Mo sous Windows, il faut embarquer quelques dizaines de Mo sous Linux (car le nombre de chose "par défaut" sous Linux, même un desktop, est très limité, il faut donc embarquer GTK pour les gens sous KDE et embarquer Qt pour les gens sous Gnome par exemple)

    Pour la taille, compte-tenu des capacités actuelles (stockage et bande-passante), ce n'est pas bloquant. On passe de "impossible" à "faisable mais très lourd", y a du progrès.

    Sans compter qu'on n'est pas obligé d'installer tout le contenu du paquet, uniquement les libs problématiques.

    ... mes binaires crashait ...
    Là, oui, effectivement, si les systèmes ne se comportent pas normalement, c'est bloquant.

    le fait qu'une appli i386 ne s'exécute pas du tout sur un x86_64 par défaut du moins, alors que sous Windows et Mac OS X, ça marche.
    Aïe... mais des bundles différents par plateforme, ça se fait aussi sous windows m'a-ton dit (du moins pour les 2 supportées) et pour OSX, il y a les deux binaires dans le paquet je crois.

    bref, en dehors de compiler pour chaque distro (et chaque version), point de salut...
    Donc : point de salut, parce que c'est infaisable pour le développeur, et se reposer sur des tiers (c'est la situation actuelle avec les packageurs) n'est pas tenable.
  • [^] # Re: Pour un app store GNU/Linux multi distro

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau projet Debian CUT. Évalué à 3.

    Pour le problème des libs requises mais non présentes sur le système :

    - binaire statique /o\

    ou

    - libs embarquées dans le paquet, installées dans le répertoire de l'application avec un LD_LIBRARY_PATH kivabien.

    J'ai raté quelque chose ?
  • [^] # Re: Pourquoi une "Application"...

    Posté par  . En réponse au journal Application de P2P moderne. Évalué à 1.

    Ta description ressemble furieusement à i2p, c'est fait exprès ?
  • [^] # Re: Un autre aspect tres positif

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'université de Poitiers propose une compilation de logiciels libres. Évalué à 4.

    Pas de problème, une clé à prix coûtant est prévue pour la rentrée :

    http://mdl.univ-poitiers.fr/spip/spip.php?rubrique19
  • [^] # NW-E407

    Posté par  . En réponse au journal Utiliser les baladeurs "Network Walkman" de Sony : mple. Évalué à 1.

    On vient de me souffler à l'oreille que ces modèles ne fonctionnent pas encore avec mple : l'algorithme de camouflage à changé.

    En fait, il y a 3 versions de mp3filemanager (1.1, 1.2, 2.0) chez Sony, correspondantes chacune à une série et apparemment à un algo.

    Pour l'instant, mple gère la version 1.1 (qui correspond aux modèles que Ronan et moi avons).

    Mais : Il suffirait de décoder les 2 autres camouflages pour pouvoir supporter les autres modèles.

    Pour celà, l'aide des possesseurs de modèles en 1.2 ou 2.0 sera precieuse : j'ai des fichiers mp3 spécialement concus pour essayer de découvrir l'algo, il n'y a qu'a les charger normalement, puis étudier le résultat. C'est pas gagné, mais en s'y mettant à plusieurs, on devrait finir par trouver...
  • [^] # Re: J'ai gagné un NW-E407 la semaine dernière.

    Posté par  . En réponse au journal Utiliser les baladeurs "Network Walkman" de Sony : mple. Évalué à 1.

    Félicitations ;)

    Le code (qui n'est pas de moi) bouge pas mal en ce moment, n'hésite pas à demander des infos.

    Le plus important à cette étape, c'est de le tester sur un maximum de modèles différents, le tien tombe vraiment à pic.
  • [^] # Re: Ahem

    Posté par  . En réponse au journal Utiliser les baladeurs "Network Walkman" de Sony : mple. Évalué à 1.

    Ok, je me rend, d'autant plus facilement qu'en fait, je m'en fiche un peu... :)

    Dans un sens, c'est une bonne nouvelle : puisque le mp3filemanager de Sony est toujours requis pour les nouveaux modèles ( gamme NW-HDx ), on peut penser que du coup mple fonctionnera aussi pour eux

    Et comme le disait Benjamin, c'est toujours mieux qu'un DRM.

    mode mauvaise foi : on
    Encore que bon, il n'y a pas moyen de lui faire lire du ogg, par contre on peut lui envoyer du mp3, et c'est du mp3 (quoique bien cuisiné) qui est stocké. Donc, l'appellation lecteur de mp3 n'est pas si abusive que ça :-p.
    mode mauvaise foi : off

    A part ça, quelqu'un a des résultats de test ?