• # Absence de confiance

    Posté par  . Évalué à -4.

    "Pour fonder une famille, il faut avoir de l'espoir. Or les jeunes générations sont peut-être plus habitées par l'inquiétude quant à leur avenir"

    L'absence de confiance dans les dirigeant•e•s, facteur récurrent de dénatalité, n'arrange rien. Macron, c'est le président des belles paroles. Il est très doué pour provoquer et diviser les français•e•s mais incapable de tracer des perspectives pour la France. Seule l'économie l'intéresse, ce qui ne constitue pas un projet de société.
    Sondage de novembre 2023 : 67 % des Français (+ 4) ne font pas confiance au président de la République pour résoudre les problèmes de la France

    • [^] # Re: Absence de confiance

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 9.

      L'absence de confiance dans les dirigeant•e•s, facteur récurrent de dénatalité, n'arrange rien.

      Tu as une preuve du lien entre les dirigeants politiques et natalité ?
      Cela n'aide pas, mais il semble bien que l'article pointe des éléments plus importants pour justifier cela. Et quand tu discutes aussi avec les gens, ce n'est pas tellement le nom du président qui ressort pour justifier le fait de ne pas avoir d'enfants, mais plutôt d'ailleurs ce qui ressort de cette étude : soucis écologiques, économiques, volonté d'être "libre" et contexte international entre autre.

      Il est très doué pour provoquer et diviser les français•e•s mais incapable de tracer des perspectives pour la France.

      Ce n'est pas spécifique à Macron. D'ailleurs globalement les présidents depuis au moins 30 ans (je ne me prononce pas sur ceux que je n'ai pas connu) appartiennent à ce cas de figure.

      Et quand tu vois l'article que tu pointes et quand on voit le résultat des élections, aucun politique national ne semble faire mieux que Macron.

      Bref, c'est bien de critiquer Macron car il y a de quoi faire, mais il n'est pas responsable à lui seul de tous les maux de la société et malgré ses défauts les autres politiques ne savent pas fédérer et proposer un projet de société qui séduise mieux le pays.

      • [^] # Re: Absence de confiance

        Posté par  . Évalué à 10.

        Il y a des facteurs politique quand même, pas forcément lié à un président ou à un autre, mais il semble que dans des société ou la pression est mise pour faire une carrière pro / grosse sélectivité sociale, comme le Japon ou la Corée, les gens préfèrent ne pas faire d’enfants ou en faire peu : l’éducation coûte cher et ça prend du temps.

        Ici on ne va probablement pas avec le gouvernement actuel vers une diminution du temps de travail et vers moins de pression pour faire une carrière professionnelle façon "premier de cordée". Le travail est promu non comme moyen mais comme valeur, but, et projet d’émancipation.

        • [^] # Re: Absence de confiance

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4. Dernière modification le 04 janvier 2024 à 15:29.

          Bien sûr, je ne dis pas le contraire, la société dans son ensemble joue un rôle ce qui est mentionné dans l'article et ce que je soutiens.

          Ce que je critique c'est de mettre cela sur le dos de Macron uniquement et le fait qu'il ne sait pas faire un projet de société séduisant pour la population, alors que personne dans la classe politique n'y arrive depuis très longtemps. Pourquoi taper sur lui et l'invoquer comme facteur explicatif ? Mystère.

          • [^] # Re: Absence de confiance

            Posté par  . Évalué à 6.

            Je sais pas, je me faisais récemment la réflexion que dans les multiples injonctions contradictoires qu’on peut entendre ici et là on entendait les conservateurs « tout part à vau l’eau, les gens (blancs sous entendus) font plus d’enfants (il y a (sous-entendu ou moins) que les arabes grand remplacement) » et en même temps « les gens veulent plus bosser, tout part à vau l’eau c’est la décadence ».

            Avec un peu de recul évidemment c’est pas nécessairement bien compatible. Mais force est de constater que Macron tends à se déporter de plus en plus à droite et à se rapprocher de ce genre d’idées conservatrices.

          • [^] # Re: Absence de confiance

            Posté par  . Évalué à 8.

            Maderios a dit "L'absence de confiance dans les dirigeant•e•s, facteur récurrent de dénatalité, n'arrange rien." donc que Macron était un facteur aggravant, pas qu'il était le seul responsable.

            le fait qu'il ne sait pas faire un projet de société séduisant pour la population, alors que personne dans la classe politique n'y arrive depuis très longtemps.

            Ce n'est pas parce que plusieurs précédents ont échoué que ce n'est pas aussi un échec pour l'actuel. Il échoue autant que les autres et aggrave le problème. Le whataboutism n'est pas vraiment un argument. Pourquoi taper sur lui ? Ben parce que c'est un peu son job de donner aux citoyens confiance dans l'avenir.

            • [^] # Re: Absence de confiance

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

              Maderios a dit "L'absence de confiance dans les dirigeant•e•s, facteur récurrent de dénatalité, n'arrange rien." donc que Macron était un facteur aggravant, pas qu'il était le seul responsable.

              Il ne semble pas plus aggravant que ses prédécesseurs ou les autres candidats à la présidentielle.
              Macron n'est pas plus le président des belles paroles que ses prédécesseurs, ou que Mélenchon, Le Pen, etc.

              Ce n'est pas parce que plusieurs précédents ont échoué que ce n'est pas aussi un échec pour l'actuel.

              Non, mais pourquoi insister sur lui en particulier du coup dans le reste du message ? Quelle utilité quand on voit que les autres n'ont pas plus d'approbations ni de meilleures méthodes par ailleurs ?

              Pourquoi taper sur lui ? Ben parce que c'est un peu son job de donner aux citoyens confiance dans l'avenir.

              Pourquoi ne pas critiquer l'opposition qui ne parvient pas à fédérer plus ? C'est toute la classe politique qui est fautive et qui ne présente pas d'alternative séduisante et crédible. On mettrait un autre à ce poste cela finirait pareil à ce niveau là.

              C'est un problème bien plus global que juste Macron. À se focaliser sur lui on ne règle pas le problème profond.

              • [^] # Re: Absence de confiance

                Posté par  . Évalué à 7.

                C’est pas incompatible, mais bon si on peut plus critiquer ceux qui sont en responsabilité parce que tu comprends ils sont pas vraiment responsables, euh … surtout quand il a un peu surjoué la verticalité. Donner des leçons à tout le monde et se rendre compte que ça marche moyen après quand il faut rassembler les forces une fois mais bon c’est la faute des autres … c’est un peu triste aussi.

              • [^] # Re: Absence de confiance

                Posté par  . Évalué à 10.

                Il ne semble pas plus aggravant que ses prédécesseurs ou les autres candidats à la présidentielle.

                Euh? Comment ça? Qu'est-ce qui permet d'affirmer cela? A part ton intime conviction ou celle de BFM & C-NEWS ?

                Non, mais pourquoi insister sur lui en particulier du coup dans le reste du message ?

                Parce que sous lui on continue de fermer des maternités, qu'il saborde les commission d'enquête sur les crèches https://www.politis.fr/articles/2023/12/william-martinet-lfi-la-macronie-veut-saborder-la-commission-denquete-sur-les-creches-privees/

                ou qu'il retire de l’argent a ceux qui en ont besoins ?

                et surtout parce que c'est actuellement lui LE responsable, il a bien pris soin de tout contrôler, et le gouvernement lui obéit comme de bons petit soldats sans cervelle.

                C'est toute la classe politique qui est fautive et qui ne présente pas d'alternative séduisante et crédible.

                Le problème c'est séduisant ET crédible, au vu de la conjoncture actuelle, ça n'existe pas; il faut donc un programme ambitieux, tant au niveau Français que Européen, et qui brisent la sacro sainte concurrence libre et non faussé; il faut se désolidariser de l'impérialisme américain, mieux répartir les richesses… Bref pleins de trucs qui font que les média descendent tout politiques qui tenteraient de s'écarter de la bonne ligne (bien à) droite que nous suivons actuellement.

                À se focaliser sur lui on ne règle pas le problème profond.

                À défendre l'indéfendable on arrive à en écarter toutes les alternatives…

                Il ne faut pas décorner les boeufs avant d'avoir semé le vent

        • [^] # Re: Absence de confiance

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7.

          Dans le cas de certaines cultures asiatiques, il faut aussi rajouter le fait de devoir s'occuper des parents (plus que chez nous en tout cas).

          C'est un exemple donné dans un article récent sur la Chine qui pousse aussi à faire plus d'enfants, pour éviter l'effondrement d'ici 80 ans (si j'en crois l'article), vu que les naissances sont en chute libre (et c'est pour ça que le gouvernement a stoppé la politique de l'enfant unique en 2015, croyant revenir à un baby boom).

          Et, oui, il y a aussi des choix plus ou moins natalistes.

          Par exemple, en Israël, la GPA est autorisé pour tout le monde (y compris les couples d'hommes, malgré le conservatisme religieux d'une part du pays), parce que le gouvernement estime que tout est bon pour faire des enfants. C'est aussi pour ça qu'ils y a un politique d'immigration assez ouverte, et on voit ça dans les chiffres.

          De même, la république tchèque propose entre 2 et 4 ans de congé maternité pour les mères, un héritage de l'époque soviétique (sauf erreur de ma part). Je n'ai pas fouillé plus, mais je suppose que le besoin d'avoir des travailleurs et des soldats couplés avec une approche assez directive (vu que bon, l'URSS, c'était un peu la dictature) fait que les dirigeants ont mis en place tout ça. J'aurais pu citer la politique nataliste de l'allemagne nazie, avec les mêmes causes et conséquences. Si j'en crois les echos, il y avait en 2005 une assez grande méfiance vis à vis de la maternité en Allemagne.

          Et finalement, les paniques autour de la natalité qui chute en France, c'est rien de nouveau. Si j'en crois un article qu'on m'a filé, après la défaite de la France de 1871, le fait de ne pas faire autant d'enfants que l'Allemagne ou l'Angleterre a été une assez grande source d’anxiété chez nous.

          Il suffit de regarder les discours d’extrême droite autour des théories de grand remplacement en France, l’anxiété des suprémacistes blancs US sur les questions de minorité raciale dans 50 ans, pour voir que ça n'a pas changé. Curieusement, la réponse n'est jamais "faut améliorer les conditions de vie", mais des trucs comme le mouvement Quiverfull.

      • [^] # Re: Absence de confiance

        Posté par  . Évalué à 1. Dernière modification le 04 janvier 2024 à 20:43.

        Tu as une preuve du lien entre les dirigeants politiques et natalité ?

        La sociologie n'étant pas une science exacte (comme les maths ou la physique), je ne pense pas que le terme "preuve" puisse être utilisé. On pourrait parler plutôt d'indices. Certains indices semblent contradictoires mais ce qui revient souvent, c'est le mot "confiance" dans les politiques et pour le moment, la confiance n'est pas là. Macron, au pouvoir depuis plus de 6 ans, n'a toujours pas compris l'importance d'une politique de natalité. Il aurait pu redresser les erreurs de Hollande, il n'a rien fait.

        Point de vue optimiste:

        "Pour autant, les Français restent encore "champions de la natalité en Europe", rappelle Gilles Pison. "Dans les pays du sud de l’Europe – Portugal, Grèce, Italie et Espagne, où les femmes font moins d’enfants, la politique familiale est moins généreuse en terme budgétaire. Le niveau de rémunération des congés parentaux, les allocations familiales sont moindres et l’offre de garde d’enfants en bas âge pour que les mères puissent continuer à travailler est moins abondante. Bien qu’on manque de crèches et d’assistantes maternelles, la situation est déjà meilleure chez nous que dans ces pays européens".
        D’après le démographe, "de façon générale, il se trouve que c’est quand les inégalités entre hommes et femmes sont moindres que les femmes font davantage d’enfants"."
        https://www.france24.com/fr/france/20230930-les-naissances-au-plus-bas-en-france-une-mauvaise-nouvelle-pour-les-retraites

        Point de vue moins optimiste:

        Baisse de la natalité : «Les Français ont perdu confiance dans la politique familiale»
        "La France s’est longtemps targuée de favoriser l’emploi des femmes grâce à la scola­risation précoce et au développement des modes de garde. Mais, sur ce plan, les engagements des pouvoirs publics n’ont pas été respectés : sur les 275 000 solutions d’accueil pour les jeunes enfants, seulement 50 000 ont été concrétisées.
        La politique familiale a trop longtemps servi de variable d’ajustement budgétaire. Il est urgent de lui redonner du sens en adoptant une vision à plus long terme permettant de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Sans cela, l’exception française en matière de dynamisme démographie aura définitivement vécu."

  • # J'ai opté pour la monogamie.

    Posté par  . Évalué à -1.

    Mon rendement n'est plus que de 1,25 enfant par an du coup. Ça joue.

    • [^] # Re: J'ai opté pour la monogamie.

      Posté par  . Évalué à 4.

      pas vraiment car tu n'es pas le facteur limitant :P

      Il ne faut pas décorner les boeufs avant d'avoir semé le vent

  • # bonne nouvelle

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7.

    Il faut décroître donc c'est très bien !

    Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

    • [^] # Re: bonne nouvelle

      Posté par  . Évalué à 2.

      Il faut décroître donc c'est très bien !

      Rien à voir avec la décroissance, cette dernière n'est pas une régression, un vieillissement de la population avec tous les problèmes qui peuvent en découler, notamment la prise en charge des personnes âgées par les plus jeunes. La décroissance, c'est vivre mieux, partager plus, avec un recentrage sur la solidarité entre générations.

      • [^] # Re: bonne nouvelle

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

        Sauf que chaque individu supplémentaire consomme un peu de ressources supplémentaires.

        Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

        • [^] # Re: bonne nouvelle

          Posté par  . Évalué à 1.

          Tu raisonnes selon le point de vue du monde d'avant, société et économie basées sur le chacun pour soi et le non-renouvelable. On peut vivre nombreux sur la planète en mode renouvelable mais pas du tout de la même manière, cela nécessite une révolution des mentalités et des habitudes ancrées, de nouvelles valeurs, dont celle de la prépondérance du partage et de la solidarité. De toutes façons, qu'on le veuille ou non, la décroissance s'imposera avant même l'épuisement total des ressources, personne n'aura le choix.

          • [^] # Re: bonne nouvelle

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

            Continuer à faire des enfants sans limite c'est aussi un point de vue du monde d'avant :-)

            Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

            • [^] # Re: bonne nouvelle

              Posté par  . Évalué à 1.

              Continuer à faire des enfants sans limite

              Qui parle de faire des enfants sans limite? Ne t'inquiète pas, de toutes manières, les femmes savent ce qu'elles ont à faire.

              • [^] # Re: bonne nouvelle

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

                Je ne me prononce pas pour "les femmes" ou "les gens", mais la population continue de croître et la consommation de ressources aussi.

                Ne rien faire, laisser faire, c'est aller vers une résolution violente des conflits.

                Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

            • [^] # Re: bonne nouvelle

              Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

              Et si on arrêtait la démagogie juste une petite seconde ?

              faire des enfants sans limite

              Ce n’est ni vrai ni possible : ce ne sont pas des instances qu’on pop en claquant des doigts.

              Continuer

              Aucune démographie n’est constante ou en augmentation perpétuelle contrairement aux formulations que tu as.

              “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

              • [^] # Re: bonne nouvelle

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3. Dernière modification le 09 janvier 2024 à 08:52.

                Tu joues sur les mots, je trouve ; l'argument de fond de devnewton ne me paraît pas être celui auquel tu réponds. devnewton, je crois comprendre, appelle à une appréhension politique de la natalité tenant compte de la consommation des ressources disponibles sur la planète

      • [^] # Re: bonne nouvelle

        Posté par  . Évalué à 5.

        La décroissance, c'est vivre mieux, partager plus, avec un recentrage sur la solidarité entre générations.

        Non, ça c'est une implémentation de la décroissance. On ne sait pas vraiment si elle est faisable, ni laquelle sera mise en œuvre, voire imposée par dame Nature.

        La décroissance, c'est surtout utiliser globalement moins de ressources. Je suis beaucoup moins optimiste que toi sur la façon dont ça va se passer.

  • # Un enfant né aujourd'hui vivra dans un monde avec un réchauffement global de plus de 2 °C.

    Posté par  . Évalué à 3. Dernière modification le 07 janvier 2024 à 22:18.

    Tous les modèles climatiques projettent que nous atteindrons 1,5 °C de réchauffement entre 2030 et 2035, certainement même avant 2030.

    Sans réduire drastiquement nos émissions, dès aujourd'hui, nous nous dirigeons inévitablement vers 2 °C de réchauffement global en 2050 et 3 °C de réchauffement globalen 2100, ce qui est de l'avis des spécialistes, beaucoup trop. À 2 °C les scientifiques alertent sur le fait que nous serons incapable de nous adapter. À, 3 °C, jusqu'à 75 % des habitants de la planète pourraient être victimes de vagues de chaleur meurtrières et l'insécurité de l'approvisionnement alimentaire sera généralisée partout sur Terre. Ce ne sont quelques exemples des désagréments majeurs qui attendent un enfant qui naît en 2024.

    Un enfant né en 2024 aura 26 ans en 2050, que sera sa vie dans un monde à 2 °C de réchauffement global ? Yamina Saheb, autrice du rapport AR6 WG3, du GIEC a même déclaré qu'elle était inquiète pour son fils de trois ans, car elle n'était pas certaine que son fils atteigne 70 ans, car on atteindra 4 °C de réchauffement en France à la fin du siècle.

    Nous sommes aujourd'hui aux prémices des effets du réchauffement climatique. Et les dégâts du réchauffement climatique ne sont pas proportionnels à l'élévation de température. Si l'élévation de température double, les dégâts ne vont pas faire que doubler, les dégâts vont augmenter considérablement plus vite que l'élévation de température.

    En résumé, toutes les études scientifiques laissent à penser que nous nous dirigeons vers une planète qui sera en grande partie inhabitable vers la fin du siècle. Donc dans ce contexte, pourquoi faire des enfants aujourd'hui ?
    * Un climat qui s'emballe ? Valérie Masonn-Delmotte (Greenletter Club)
    * L’humanité fonce dans le mur ? - Entretien avec Jean-Marc Jancovici (HugoDécrypte)
    * Climat : la ruine agricole ? Serge Zaka (Greenletter Club)

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