La distribution ne se base pas du tout sur Slackware justement.
Certes, mais elle a un modèle de développement très proche. En fait, de ce point de vue là, 0linux peut se définir comme une Slackware pour i686/x86-64, francophone et orientée desktop, non ?
Le créateur de Spack a pu tester son super gestionnaire de paquets et en reprendre activement le développement avec 0
Je confirme. Sans le super terrain de jeu proposé par 0linux, Spack serait resté un empaqueteur Slackware (un truc de fainéant pour éviter d'écrire des SlackBuilds, car je HAIS les SlackBuilds de toute mon âme, qu'ils fassent tous des confettis incandescents en enfer ! ) Toute la partie gestionnaire de paquets du projet a été initiée grâce à 0linux et aux retours assidus d'apostle. Sans ça j'en aurais probablement laissé mourir la "spec" dans son .txt. :)
[^] # Re: courage
Posté par Ignatz Ledebur . En réponse au journal 0 Linux epsilon. Évalué à 1.
Certes, mais elle a un modèle de développement très proche. En fait, de ce point de vue là, 0linux peut se définir comme une Slackware pour i686/x86-64, francophone et orientée desktop, non ?
[^] # Re: courage
Posté par Ignatz Ledebur . En réponse au journal 0 Linux epsilon. Évalué à 2.
Je confirme. Sans le super terrain de jeu proposé par 0linux, Spack serait resté un empaqueteur Slackware (un truc de fainéant pour éviter d'écrire des SlackBuilds, car je HAIS les SlackBuilds de toute mon âme, qu'ils fassent tous des confettis incandescents en enfer ! ) Toute la partie gestionnaire de paquets du projet a été initiée grâce à 0linux et aux retours assidus d'apostle. Sans ça j'en aurais probablement laissé mourir la "spec" dans son .txt. :)