Ignatz Ledebur a écrit 427 commentaires

  • [^] # Re: salut!

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 4.

    Je suis plus à l’aise avec mon outil d’en comprendre les principes. De là à essayer de tout maîtriser… Je n’ai pas acheté un ordinateur pour devenir informaticien.

    Mais personne ne maîtrise tout. Ceux qui donnent cette impression sont simplement ceux qui savent exploiter la doc et chercher sur le net.

    Le truc avec le shell, c'est que tu programmes naturellement. D'abord c'est des petites commandes séparées, puis tu fais ton premier tube, puis tu commences à te dire que ce serait plus simple que toto | titi et toto | tutu s'appellent toti et totu, pour pas avoir à se rappeler des commandes à chaque fois, puis que ce serait encore mieux si on pouvait passer l'argument de toto en premier et celui de titi/tutu en second… bref tu commences à programmer sans même t'en rendre compte.

    Le shell, en fait c'est tout le contraire de l'élitisme, mais pour le découvrir, il faut arriver à dépasser son cadre culturel, où effectivement les gens se sentent plus rassurés au milieu de GUIs, plus à leur place (l'élitisme, le vrai, il est là). Dans un monde où tout le monde serait un peu programmeur du dimanche, l'informatique aurait sûrement une autre gueule…

  • [^] # Re: salut!

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 1. Dernière modification le 25 juillet 2012 à 09:36.

    Va installer une GUI sur un serveur Unix administré par un unixien mais […]

    Le daemon-sitting, c'est clairement dans les couches basses pour moi (gestion des droits, des signaux, du trafic, traitement des logs)…

    […] éloigne toi vite sinon tu vas être aspergé de caca nerveux !

    Avec ton avatar, je visualise très bien le tableau. :)

    Note que Plan9 aussi c'était ironique (l'environnement graphique de plan9 c'est plutôt… eighties)

  • [^] # Re: salut!

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 1.

    Être unixien ne signifie pas être un anti-GUI primaire. Ça concerne avant tout le pilotage profond du système. Tant que la couche graphique reste bien à part et que l'UI fondamentale reste en texte, tu trouveras ÀMHA peu d'unixiens pour pondre un caca nerveux. Pour autant, cela ne les empêchera pas de soutenir la supériorité globale du texte sur les GUI ou de rêver à d'autres GUI, il n'y a pas contradiction.

    Donc, pour répondre à la question, parce que même chez Plan9 ils ont un environnement graphique… et une mascotte. :)

  • [^] # Re: salut!

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 3.

    Le Royaume-Uni a été de la chute du premier Empire français à la fin de la Seconde guerre mondiale la nation dominante avec le plus grand territoire jamais conquis et une grande partie de la population sous le joug britannique.[…]

    C'est un facteur indéniable, mais je ne sais pas si c'est si déterminant que ça en fait. Je pense que c'est plutôt lié à la prédominance américaine dans la vie intellectuelle depuis la Seconde moitié du XXème siècle (une puissance économique phénoménale dans une géopolitique mondiale bipolaire). Si les États-Unis avaient été francophones ou hispanophones, ÀMHA on s'évertuerait à apprendre autre chose que l'anglais. :)

    Pour répondre à la question « pourquoi l'anglais exclusivement, quand on est francophone ? » c'est tout simplement parce s'il y a une langue native de l'informatique, c'est celle-là (de la documentation de référence, jusqu'aux mots des langages, tout est généralement en anglais) et que je préfère passer mon temps sur le code qu'à réécrire la doc dans une autre langue. Sans compter que mes projets ont à la base peu de chances de subjuguer les foules, faut être réaliste. Si j'étais rien qu'un peu harcelé sur l'adresse de contact par des francophones en difficulté avec la doc, je verrais certainement ça d'un autre œil… en attendant, je me simplifie la maintenance.

  • [^] # Re: Joy ?

    Posté par  . En réponse au journal La prochaine Debian sera toute belle. Évalué à 3.

    Ouais… enfin, peins la mer de cette couleur-là, ça évoquera plus les rigueurs désolées de l'Arctique que la douce indolence du Pacifique Sud, quand même. :)

  • [^] # Re: salut!

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 1.

    Hello,

    Merci à toi. :)

    C'est le logo de Spack, le gestionnaire de paquets que je développe avec mes petits doigts. Dans une vie antérieure, le projet s'appelait Frogz et avait un site dédié pour lequel j'avais bricolé cette petite grenouille avec Inkscape.

    Quand le projet a changé de nom et d'orientation, j'ai conservé le logo, moitié par flemme, moitié par attachement.

  • [^] # Re: L'avis d'Eben Moglen

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 4.

    Oui, ou encore le grand classique « j'ai supprimé Word » pour dire que le raccourcis a disparu du bureau. :)

  • [^] # Re: L'avis d'Eben Moglen

    Posté par  . En réponse au journal L'esprit UNIX, une culture des mots. Évalué à 4.

    Par exemple on pourrait imaginer que chaque bouton de chaque application graphique à un id facilement accessible (clic droit) afin qu'il devienne cliquable en ligne de commande via dbus par exemple.

    Ce que tu racontes est effectivement très séduisant, mais passer par des IDs, c'est déjà s'abstraire de l'interface (ou alors il faudrait que les requêtes formulent des trucs laborieux comme « clique sur le champ Réduire, qui est dans le menu Zoom, qui est dans le menu Affichage, qui est dans le menu racine », suivant bien la logique du GUI, mais pas très efficace). Dès lors une solution pur texte paraît beaucoup plus simple. On pourrait par exemple imaginer un "guifs", où tu pourrais communiquer avec n'importe quelle application graphique via un fichier texte, genre :

    $ echo "opentab http://linuxfr.org" > /guifs/firefox/in 
    $ cat /guifs/firefox/out
    opened new win0 tab9 http://linuxfr.org SUCCEED
    $ echo "stat" >/guifs/firefox/in
    $ cat /guifs/firefox/out
    win0 tab1 http://...
    win0 tab2 http://
    ...
    win0 tab9 http://linuxfr.org
    focus on win0 tab9
    
    

    On aurait ainsi la puissance du shell pour conditionner les requêtes, tout en ayant la main absolue sur les interfaces graphiques… une belle solution UNIX, quoi… :)

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à -3.

    (je vend du code, si si : quand on me demande de corriger un bug ou quand on me demande une nouvelle fonctionnalité, c'est le code de correction que je vend),

    Certainement pas. Si le code final est libre, ceux qui ont payé pour ne sont par définition pas propriétaires de celui-ci. Ce n'est donc en aucun cas le code en tant que tel qui est cédé à l'issu du contrat.

    Désolé, mais vraiment, je me sens bien dénigré, insulté.

    Pôv' tit bonhooomme… sèche tes larmes, va, c'est mon dernier post sur ce fil (oui là je dénigre la victimisation ridicule)…

    Ah? Belle affirmation sans aucune démonstration.

    Le second exemple avec Linus est censé être une belle démonstration par l'absurde…

    Libre ou pas libre, des gens ont soit essayé pour leur plaisir puis en ont fait leur taf, soit ont laissé comme ça car pas de taf et ça leur allait, on ils ont été payés avant pour développer.

    À intégriste, intégriste et demi. C'est ta vision du libre que tu essaies de faire passer pour la vision.

    Fut un temps où je testais pas mal de softs. Slackbuilds.org/net n'existant alors pas, il n'y avait pas d'autre solution sous Slackware que d'aller sur les sites pour chercher les sources (vous devriez vous élever contre les gestionnaires de paquets, ça fait perdre du traffic). De tout ce que j'ai arpenté, les sites à vocation commerciale ont toujours été très minoritaires (ballade-toi sur sourceforge ou tuxfam., tu verras… ) Idem pour les structures auxquelles j'ai participé, les questions d'argent n'ont jamais été abordées autrement que pour financer ces structures (j'anticipe : pour un site de projet, les solutions pour mutualiser ces frais au point qu'ils soient peanuts sont légions).

    Bref, c'est non seulement ma « vision », c'est aussi mon expérience du libre. Les thunes sont un moyen, pas l'objectif, car — je le maintiens — à partir du moment où tu publies du libre, ce qui est publié est au final disponible gratuitement par un biais ou un autre. On ne peut donc jamais faire réellement payer le produit sans être dans un modèle bancal et inadapté, qui de ce fait s'apparente à un grappillage opportuniste.

    Mesuré??? Dans ta tête uniquement. Il dit juste, pour traduire : dégage, t'es qu'un connard qui n'a rien à faire dans le libre

    Quelle mauvaise foi ! c'est une déformation honteuse de ses propos, qui ne sont pas insultants, ni même violents…

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à -4.

    Il ne s'en fout pas : il essaye de t'expliquer que la réalité ne change pas les erreurs que tu fais sur les notions du libre (comme le vouloir absolument gratuit car une personne l'aurait acheté, comme si il allait toujours le redistribuer…).

    Et moi je lui réponds qu'il n'y a même pas besoin que ce soit libre pour que ce qui a du succès se retrouve sur internet (à moins que dans ton idée les boîtes lui restent sur les bras)…

    Par ailleurs, la Constitution garantit le droit à un emploi, c'est pas pour ça que le chômage est éradiqué en France. Les principes, c'est bien, aller voir comment les choses se traduisent ensuite dans la réalité, c'est mieux.

    Quand même, tu as écrit "au fond tu estimes perdre ton temps à développer" pour ceux qui font payer. Désolé, mais je me sens bien dénigré par cette phrase.

    Je parle de la vente de code… que Linus soit payé à s'occuper du noyau, j'ai évidemment rien contre.

    Au même point, car ça n'a rien à voir avec le libre? le travail gratuit n'a pas attendu le libre […]

    Oui, il y a des tas de choses qui ne pourraient exister sans le travail bénévole et il se trouve que le libre en fait partie. Vous pensez que ce serait aussi bien si tous ces gens s'employaient à absolument tirer un peu de blé à ceux qui profitent de leur travail, grand bien vous fasse.

    Sûr qu'on en serait au même point, si Linus avait commencé par sortir : « J'ai développé un système d'exploitation, ce qui représente beaucoup de boulot. Comme vous conviendrez que tout travail mérite salaire, vous pouvez venir y participer à condition de me rémunérer au préalable pour ce que j'ai fait. »

    Ou le libre est-il intégriste pour refuser des modèles alternatifs?

    Très drôle. Celui qui a initié ce fil n'a fait que partager une opinion qui est celle de plein de bénévoles, à qui il ne viendrait jamais à l'idée de vouloir grappiller à tout prix quelques euros pour le temps qu'ils donnent (bande de chochottes intégristes). Son commentaire, du reste poli et mesuré, n'a pas du tout fait l'objet d'un lynchage en règle…

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à -3. Dernière modification le 09 juillet 2012 à 19:11.

    Franchement, je pense que tu devrais te calmer. Si tu te fous de ce qui se passe dans la réalité et de ce que les gens auxquels tu réponds ont dit ou pas, ça ne sert à rien de débattre.

    Je n'ai jamais employé « utilisateur final » au sens subjectif où tu l'entends. Pour moi c'est juste celui qui ne pourra jamais mettre les mains dans un code donné, et ne pourra donc objectivement jamais directement profiter du fait que ce code est libre autrement que par son obtention gratuite.

    Et encore une fois, je ne « dénigre » pas le fait de faire de l'argent à partir du libre ou de mettre en place des mécanismes de dons (encore que moralement ça pourrait se discuter, ceux qui font ça rétribuent-ils tous les développeurs qui leurs fournissent leur environnement de développement ? ). Ce que je « dénigre » en revanche, c'est le fait vouloir vendre du code comme des pains aux raisins. Je trouve effectivement que le libre se porte mieux sans ce genre de pratiques (si tout le monde voulait s'y faire payer à chaque fois qu'il effectue un travail — code, debug, documentation, localisation, aide sur les forums et ML, etc. — je ne sais pas où on en serait).

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à -1.

    Si je décide de forker VLC pour ajouter une interface de folie qui déchire grave. Que je ne met pas ce logiciel disponible sur internet (que dalle pas de binaire pas de source), mais que je décide de vendre des versions boites à carrefour. Le DVD contient le logiciel avec son installeur et un tar.gz des sources. C'est une pratique légale et GPL compliant tant que l'acheteur fait ce qu'il veut des sources.

    Mouais… c'est vrai que les Windows gratuits sur internet sont absolument introuvables. De même que les CDs et DVDs vendus en magasin. Sérieux, ça fera pareil avec ton soft, sauf qu'en plus ce sera en toute légalité, d'où l'artificialité totale de l'exemple.

    J'en ai réellement ma claque de lire ça à longueur de commentaire sur linuxfr, les utilisateurs lambda/finaux

    Ben, tu devrais peut-être prendre tes cachets, parce que perso j'ai beau adorer faire mumuse avec le mode -slave de mplayer, je reste un utilisateur final de mplayer, de même que de mon noyau et d'une foultitude de trucs sur mon système dans lesquels je serais bien incapable de mettre les mains. La seule différence entre moi et M. Lambda, c'est que parfois j'ai les connaissances et la pratique pour aider concrètement les développeurs à faire avancer les choses.

    Pour tout groupe, il existe un unique thème tel que, pour toute discussion au sein de ce groupe, la probabilité que ce thème soit abordé tende vers 1.

    Dans une discussion infinie la probabilité pour tous les thèmes possibles d'être abordés est de 1. Donc plus une discussion dure et plus c'est vrai pour n'importe quoi.

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à -2. Dernière modification le 08 juillet 2012 à 23:53.

    Précisions importantes, la GPL oblige à ce que les utilisateurs aient accès aux sources et n'interdit pas les utilisateurs de le redistribuer. La nuance peut avoir son importance. Le libre n'est pas nécessairement publique.

    Je ne comprends pas… si t'as aucun accès aux sources, c'est du proprio. Si les sources sont accessibles, elles sont forcément publiques. J'ai faux ?

    Pour le reste, tout ce que je dis c'est que faire payer les octets est un non-sens à partir du moment où c'est libre (déjà qu'avec le proprio, il faut voir le délire que c'est pour y arriver…) Donc du strict point de vue de l'utilisateur final (hors commanditaires, évidemment), le libre c'est gratuit.

    Après, tout ce qui est subventions et dons, évidemment qu'il n'y a pas à redire. Simplement ça reste au bon vouloir de chacun selon ses capacités (si en toute justice tu voulais soutenir tous les softs de ta distro… ), et les gens soutiennent alors la continuité d'un projet plus que le niveau de vie d'un individu (est-ce que tu subventionnerais des vacances aux Bahamas, ou le remplacement d'une voiture ? )

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à 4.

    Non, un logiciel libre n'est pas souvent gratuit, il a un coût "caché".

    J'ai jamais dit que le développement libre était à coût zéro, j'ai dit que dans les faits la mise à disposition de logiciel libre peut difficilement être autre chose que gratuite. Au passage, la réalisation de choses qu'on peut réellement faire à coût zéro, j'en connais pas beaucoup… même pour écrire, qui doit être l'art le plus cheap qui soit, il faut investir dans du papier et un stylo.

    Certains de mes utilisateurs (de logiciel libre, j'en développe un) doivent être un peu idiots, parce que… oui, ils payent pour que je corrige des bugs, il me payent pour effectuer un travail précis. Il y en a même un qui me paye un forfait annuel pour que je travaille en priorité sur ses bugs quand il en rencontre, car il a lui-même un contrat avec ses clients.

    Relis ma phrase. Ils te payent pour que toi tu fasses quelque chose, pas pour que eux soient en mesure de te fournir un patch, chose qui suppose que le code source soit mis à dispo gratuitement (si tu vois un truc qui marche pas et que le mainteneur te demande de le payer pour l'aider à faire de son logiciel un truc qui marche, je doute que tu trouves ça très fair-play).

    Après, qu'ils te payent pour implémenter des fonctionnalités pour leurs besoins précis, et bien c'est normal, ils louent tes services plutôt que de le faire eux-mêmes. Mais si moi je prends ton source, ajoute les trucs que je veux et maintiens mon patch dans mon coin, il faudrait être sacrément tordu pour en déduire que j'ai pas eu ton code gratuitement.

    C'est quoi le problème? Ne sur-estime (ou sous-estime?) pas les gens

    Y a pas de problème. Le libre, c'est avant tout un truc de développeurs (regarde les quatre libertés, tu verras que peu peuvent être réellement exercées par M. Lambda). Ce qui intéresse la masse des gens, c'est que c'est gratuit… c'est qu'on leur demande rien, si tu préfères. Et perso je trouve ça très ben parce que ce fait permet au libre (l'ensemble des développeurs et utilisateurs de tous niveaux) dévoluer dans des relations autres que marchandes.

    Merci de ne pas dénigrer les développeurs qui n'ont pas la même conception de la vie que toi.

    Je n'ai rien dénigré du tout. Tu loues tes services, je trouve ça très bien, mais ce que tu fais payer c'est ça — le fait qu'on puisse te contacter à tout moment et te dire « ça ça marche pas bien, pour ça on aurait besoin de ça et ça » — pas le code (le produit) en tant que tel.

  • [^] # Re: Boutique

    Posté par  . En réponse à la dépêche Version finale d'ultracopier 0.3. Évalué à 5.

    C'est assez rare pour que je le souligne. Le libre n'a rien avoir avec la gratuité, même RMS le dis.

    Il dit qu'on doit pouvoir vendre un logiciel libre. Maintenant, je pense qu'il ne faut pas se leurrer, si le logiciel libre n'était pas aussi massivement gratuit, très peu de gens l'auraient adopté. Un logiciel libre strictement payant est d'ailleurs pratiquement impossible, puisqu'il faut avoir accès aux sources. Tu te vois vraiment payer pour corriger un bug (c'est à dire payer pour effectuer un travail) ?

    Personnellement, j'aurais donc tendance à dire qu'un logiciel qui n'est pas sous une forme ou une autre disponible gratuitement n'est en pratique pas libre, quelque soit par ailleurs sa licence.

    Sinon ça donne des trucs comme ça :
    https://linuxfr.org/news/openbsd-a-des-probl%C3%A8mes-financiers

    Ça date de plus de 6 ans et OpenBSD est toujours là, de même que les hackathons ont toujours lieu. De plus, appeler à un soutien pour alimenter le développement d'un projet et vouloir être rétribué pour le travail sont deux choses différentes. Dans un cas ça relève de la stricte nécessité matérielle, dans l'autre c'est juste qu'au fond tu estimes perdre ton temps à développer.

  • [^] # Re: Je suis peut-être une bille, mais…

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un prompt bash utile, sans poudre aux yeux. Évalué à 9.

    Le bc pourrait être remplacer par du shell :

    - 210 tmp=$(echo $load*100 | bc)
    + 210 tmp=$((load*100))
    
    

    Si on a besoin d'un calcul flottant, on peut aussi utiliser les fonctions arithmétiques de awk.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse à la dépêche Traduction de l'entretien donné par Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

    Pour la traduction et l'interview, ca nous permet de voir l'envers du décor de Slackware et désamorcer quelques perceptions mal fondés :)

    À noter que Pat semble s'être vraiment prêté au jeu. Il lui est arrivé d'être un peu plus expéditif ou tranché, mais là on sent qu'il a tout fait pour être constructif (je pense à systemd &cie. en particulier).

  • [^] # Re: À quatre mains...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Traduction de l'entretien donné par Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 5.

    De même. Ça a vraiment bien marché, et le résultat est indéniablement meilleur que ce que j'aurais produit tout seul. :)

  • [^] # Re: Erreur de français

    Posté par  . En réponse à la dépêche Traduction de l'entretien donné par Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

    Exact, question 2) deuxième paragraphe. ;)

  • # À quatre mains...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Traduction de l'entretien donné par Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 10.

    Alain (aka arnuld) a contribué au moins autant que moi à cette dépêche, y aurait-il moyen qu'il soit indiqué en tant que co-auteur ? De même qu'il serait juste de lui attribuer les 50 points de la dépêche…

  • [^] # Re: Accord de LQ pour la traduction

    Posté par  . En réponse au journal Entretien avec Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

  • [^] # Re: traduction en cours en VF

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec Patrick Volkerding (Slackware) sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

    Oups, j'ai changé le titre (que j'avais fait à la Rache). Le nouveau lien est le suivant http://linuxfr.org/redaction/news/traduction-de-l-entretien-donne-par-patrick-volkerding-sur-linuxquestions-org

  • [^] # Re: Accord de LQ pour la traduction

    Posté par  . En réponse au journal Entretien avec Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

    J'ai ouvert la traduction, deuxième partie, ça veut dire que le premier paragraphe avant les liens doit rester vide ?

    ça va, c'est pas trop contraignant comme clause et cela reste dans les bonnes pratiques habituelles.

    Oui, en fait c'est juste les bonnes pratiques. :)

  • # Accord de LQ pour la traduction

    Posté par  . En réponse au journal Entretien avec Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 2.

    Bonne nouvelle, j'ai l'accord pour la traduction ! Par contre il faudra sûrement touiller quelque chose au niveau de la licence, car les conditions sont les suivantes :

    As long as it's a direct translation with any editorial clearly marked
    and it includes a link back to the original content, we don't have a
    problem with this. Thanks.

    On a le droit d'ajouter des clauses restrictives spéciales à une CC ?

  • [^] # Re: Chaud pour une traduction et un nouveau journal ?

    Posté par  . En réponse au journal Entretien avec Patrick Volkerding sur LinuxQuestions.org. Évalué à 3.

    Ah bon, il faut être slackeux pour s'intéresser aux propos de Patrick Volkerding ? Ça fait un peu secte, non ?

    C'est vrai, dsl. J'ai animé pendant un petit peu de temps un site Slackware, d'où ce vieux réflexe pavlovien "Chouette, un os à moelle pour les copains !".

    Pour la traduction, toujours aucun signe de LQ, même parmi les mails qui m'enjoignent de faire grossir mon kiki pour y enrouler des copies de rolex autour. Si demain j'ai toujours rien, j'essaierai de contacter l'admin du site directement via son profil (au lieu de l'officiel formulaire HTML alacon®).