En fonction des branchements des disques durs, les noms de fichiers peuvent varier
pour faciliter l'identification des disques, il est possible de leur fournir un identifiant unique appelé "UUID", ou une étiquette appelée "LABEL", /dev/sd?3 conduisait à "root92" pour l'exemple.
Le problème était de simplifier l'accès au fichier par le "LABEL" sans avoir à saisir le long chemin pour y accéder, rangé dans /dev : /dev/root92, à la place de /dev/disks/by-label/root92 ou /dev/by-label/root92 .
La commande "file" détermine le type de fichier, et fournit le nom du fichier du disque ayant le label "root92".
file /dev/by-label/root92
/dev/by-label/root92: symbolic link to ../../sda3
On apprend que ce fichier est sda3.
La commande "cat" renvoie le contenu du fichier et fournit les adresses MAJEUR et MINEUR du périphérique recherché.
cat /sys/block/sda/sda3/dev
8:3
On apprend que les MAJEUR et MINEUR de root92 (ou pour cette fois sda3) sont 8 et 3.
La commande "mknod" cré les fichiers disques (fichier bloc dans notre cas)
On peut donc créer un fichier appelé /dev/root92 qui pourra être appelé indifféremment du fichier /dev/sd?3.
mknod /dev/root92 b 8 3
file /dev/root92
/dev/root92: block special (8/3)
Quelques tests pour vérifier le résultat obtenu.
La commande "stat" affiche diverses informations sur un fichier (l'"état" du fichier).
Les 2 noms de fichiers renvoient bien les mêmes résultats.
Mis à part:
- les permissions qui n'ont pas été précisées et sont donc standard, sans tenir compte de leur fonction dans le système,
- leur inode qui est différent
- le contenu des inodes qui sont donc aussi différents
La commande "ls" permet lister le contenu de répertoires et affiche diverses informations sur les fichiers à partir des inodes (les répertoires sont aussi des fichiers)
ls -ldi /dev
1025 drwxr-xr-x 18 root root 3820 mai 31 02:56 /dev
ls -li /dev/sda3 /dev/root92
2964121 brw-r--r-- 1 root root 8, 3 mai 31 02:56 /dev/root92
15386 brw-rw---- 1 root disk 8, 3 mai 29 17:45 /dev/sda3
ls -ld /root /mnt/7
drwxr-xr-x 31 root root 4096 mai 29 17:36 /mnt/7
drwx------ 14 root root 4096 mai 31 04:08 /root
Je ne sais pas expliquer pourquoi la liste est inversée : le fichier sda3 ou root est toujours affiché en dernier.
La commande "df" indique l'espace occupé et divers autres indications.
Avant montage du système de fichiers root92 :
df -hT /dev/sda3 /dev/root92 /mnt/7
Sys. de fichiers Type Taille Utilisé Dispo Uti% Monté sur
/dev/sda3 xfs 84G 65G 20G 77% /
udev devtmpfs 7,7G 0 7,7G 0% /dev
/dev/sda3 xfs 84G 65G 20G 77% /
Après montage du système de fichiers root92 (sur /mnt/7)
df -hT /dev/sda3 /dev/root92 /mnt/7
Sys. de fichiers Type Taille Utilisé Dispo Uti% Monté sur
/dev/sda3 xfs 84G 65G 20G 77% /
/dev/root92 xfs 84G 65G 20G 77% /mnt/7
/dev/root92 xfs 84G 65G 20G 77% /mnt/7
La commande "xfs_info" fournit des informations sur les systèmes de fichiers xfs.
Les résultats sont bien identiques, sauf le nom des fichiers.
En conclusion,
Il serait intéressant de pouvoir automatiser la créations fichiers nommés par leur label, à partir d'un script à lancer avant de manipuler les disques appelés par leur LABEL.
Je n'ai pas essayé.
L'objectif de cette recherche était de rafraîchir mes connaissances avant de réorganiser les systèmes informatiques utilisés, après plusieurs années à faire autre chose. Cette fiche de révision sera peut-être utile à d'autres.
Merci à Pierre qui a tenté d'apporter une réponse malgré une intoxication alimentaire ce WE en chassant le champignon dans ses bois.
En fait c'est tout simple puisque les archives de courriels doivent fonctionner directement sur un nouveau système installé, une fois kmail/akonadi bien configurés.
probable erreur de copié-collage du lien par l'auteur
testé les liens et d'autres avec des url bizarres de twitter.com
tout fonctionne, y compris le favicon linuxfr.org
[https://linuxfr.org/favicon.png](https://linuxfr.org/favicon.png)
![https://linuxfr.org/favicon](https://linuxfr.org/favicon.png) Bon WE.
je viens d'essayer et ça fonctionne effectivemment,… en théorie
$ systemsettings5 est de toute façon accessible depuis le menu de mate
mais l'appui des touches doit être intercepté par kwin qui n'est pas lancé en ce moment dans mon cas
KDE est toujours très en avance, modulo qu'ils saccagent les applis en virant des fonctionnalités à kmail (dont la fonction "display all headers qui permet d'afficher les en-tête en haut du message, très pratique, cf infra)
très pénible aussi le manque de documentation, dont les pages man et l'aide --help peu développée, mais c'est le pendant à l'efficacité des développements d'application où sont investis les moyens plutôt que dans la doc (et peut-être même l'interopérabilité poru l'externalisation de fonctionnalités, ce qui reste à démontrer)
$ man kwin
Aucune entrée de manuel pour kwin
voir « man 7 undocumented » pour obtenir de l'aide quand les pages de manuel ne sont pas disponibles.
mate kmail sur un bug mozilla firefox nightly twitter
on peut toujours utiliser man xmodmap pour assigner un raccourcis
mais encore faut-il avoir accès à la fonction à appeler ou le paramètre à modifier pour inverser les couleurs de kmail sans changer l'ensemble du système comme avec jour-nuit.sh
jour-nuit.sh :
#!/bin/sh /usr/bin/xcalib -invert -alter # jour/nuit (y compris les TTY)
=> je souhaiterais y faire appel depuis une console
existe-t-il un moyen d'obtenir les fonctions appelées ? (peut-être avec des fonctions de débug ?)
est-ce une fonction impossible à externaliser de kde ?
en tout cas ça fonctionne une fois lancé kwin :
[M-C-U] # jour/nuit sur la fenêtre xterm
[M-C-I] # jour/nuit sur le bureau mate
$ kwin_x11 --replace --no-kactivities # options choisies au hasard
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4138, resource id: 245366789, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4139, resource id: 245366789, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4142, resource id: 245366790, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4143, resource id: 245366790, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4146, resource id: 245366791, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4147, resource id: 245366791, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4150, resource id: 245366792, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4151, resource id: 245366792, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4154, resource id: 245366793, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4155, resource id: 245366793, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4158, resource id: 245366794, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4159, resource id: 245366794, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4162, resource id: 245366795, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4163, resource id: 245366795, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4166, resource id: 245366796, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4167, resource id: 245366796, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4170, resource id: 245366797, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4171, resource id: 245366797, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4174, resource id: 245366798, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4175, resource id: 245366798, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4178, resource id: 245366799, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4179, resource id: 245366799, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 4182, resource id: 245366800, major code: 3(GetWindowAttributes), minor code: 0
QXcbConnection: XCB error: 9(BadDrawable), sequence: 4183, resource id: 245366800, major code: 14(GetGeometry), minor code: 0
OpenGL vendor string: nouveau
OpenGL renderer string: Gallium 0.4 on NVC1
OpenGL version string: 3.0 Mesa 13.0.6
OpenGL shading language version string: 1.30
Driver: Nouveau
GPU class: Unknown
OpenGL version: 3.0
GLSL version: 1.30
Mesa version: 13.0.6
X server version: 1.19.2
Linux kernel version: 5.2
Requires strict binding: yes
GLSL shaders: yes
Texture NPOT support: yes
Virtual Machine: no
Couldn't find node arrow-left. Skipping rendering.Couldn't find node arrow-right. Skipping rendering.
Couldn't find node arrow-up. Skipping rendering.Couldn't find node arrow-down. Skipping rendering.
QXcbConnection: XCB error: 3(BadWindow), sequence: 7792, resource id: 245367158, major code: 20(GetProperty), minor code: 0
Pour résumer, je sais maintenant inverser les couleurs sur le système, sur le bureau (avec kwin), ou sur une fenêtre (avec kwin), avec des raccourcis claviers.
Je sais qu'il y a une multitude de possibilités d'attribuer et modifier des raccourcis clavier depuis le noyau, depuis le système, depuis le bureau, depuis une application
=> je ne sais toujours pas comment relier les fonctionnalités de kwin à un programme externe comme un .sh, ou simplement l'activer depuis la console (par exemple interagir sur le raccourcis clavier ou sur les fenêtres indépendamment SANS les raccourcis clavier, par ssh par exemple)
BUG : l'image du bureau est saccadée et clignotte une fraction de seconde quand je fais défiler l'écran ou que modifie la vue active du bureau, des artefacts apparaissent quand je déplace une fenêtre, ces défauts cessent quand on ferme kwin
fermer kwin et retour à la situation initiale avec $ marco
pas eu besoin de repasser en TTY dans mon cas avec des consoles ouvertes et l'accès au navigateur possible sur le bureau actif, mais penser que quand kwin s'arrête, il n'y plus de gestionnaire de fenêtre en fonctionnement, il faut donc en relancer une appli comme marco :
$ kwin_x11 --replace --no-kactivities;marco& # par exemple
ou
$ marco --replace
Avertissement du gestionnaire de fenêtres : Log level 16: g_object_set_valist: object class 'MetaFrames' has no property named 'type'
[Control]+[-z]
[1]+ Stoppé marco --replace
a@atilde:~$ bg
Man et howto sont les références techniques où il y a l'essentiel, mais bien-sûr on peut s'en passer. => man man; man --help; apropos man; info man; man [tab]; nice -n10 find /; [tab][tab]; tree /usr/share/doc… savoir où se trouve la doc et comment y accéder avant même d'y mettre le nez peut aider, et aussi regarder les paquets installés et à quoi ils servent. En général 'q', [Esc] ou [CTRL]-'c' pour quitter.
Note : ça prend plus de 5 minutes. https://twitter.com/tqsp/status/1434195795490791425
exit;
La suite peut-être utile, et devrait fonctionner au moins avec /bin/bash et /bin/sh
Petite visite en ligne de commande…
Astuces 1 :
stocker une liste de commandes pratiques dans un fichier
voici un exemple bloc-note que je viens de faire pour retrouver des commandes qui me sont utiles en ce moment
chaque ligne est une commande "magique" que j'utilise en ce moment assez souvent
la commande cat les a enregistré dans le fichier COMMANDES.sh
Puis je tapé ceci bash
cat COMMANDES.sh
pour les afficher
ensuite il suffit de copier-coller la commande avec la souris
on peut remplacer/ajouter d'autres lignes, avant de petit à petit assimiler les plus fréquentes
on peut aussi les retrouver avec l'historique (flèche vers le haut par exemple, si c'est configuré) bash
$ history #affiche l'historique des commandes
(le dollar est une convention pour l'invite de commande, mais on peu remplacer ça agréablement par une horloge en couleur clignotante si on aime, détails assez faciles à trouver sur http://www.google.com/search?q= [on peut remplacer google par twitter si on préfère]
on peut taper par exemple bash
firefox http://www.google.com/search?q=shell+man+bash
Le résultat de Google propose ces questions :
"Autres questions posées
Quelles sont les man ?
Comment utiliser la commande man ?
Résultat de recherche d'images pour "shell man"
Comment obtenir le manuel de man ?
Quelle commande donne accès à la documentation ?"
Astuce 2 :
se servir de l'historique pour se constituer une banque de codes
cp ~/.bash_history bash_history_date.txt # si on travaille avec bash
ou
```bash
cat ~/.bash_history >> bash_history
copie le contenu de l'historique dans un fichier
ensuite on va ouvrir le fichier
kate bash_history
ou
vi bash_history
$ emacs bash_history
$ ed bash_history
$ nano bash_history
$ sed...
# perl...
le premier ouvre kate en mode fenêtre,
le second vi en mode console,
qui sont des éditeurs de texte, comme emacs qui a servi à programmer de nombreuses commandes, les autres commandes permettent aussi d'éditer du texte à des degrés divers
j'utilise vi… parce que c'est là que j'ai investi le plus de temps, parce que c'est celui que j'ai compris le mieux et le plus vite, parce qu'il est exotique et parle de l'Afrique lointaine… parce qu'il fait tout (sauf le café)
donc une fois l'éditeur ouvert avec l'historique, on peut copier coller ou annoter les commandes les plus intéressantes
par exemple ajouter un # après la commande, suivi d'un petit commentaire
comme le fichier a une extention ".sh", l'éditeur devrait colorer le texte et les commentaires
je n'ai jamais fait ce travail de collecte, mais avec le recul, ça m'aurait été utile
merci pour m'avoir donné l'occasion de me changer les idées 5mn :)
avant de repartir dans les courriels
--
pourquoi ne développe-t-on pas le travail en ligne de commande pour les #legaltech ?
cela permettrait d'utiliser les applications graphiques en console, et rendrait ces applications bien plus utiles pour les malvoyants par exemple
Penser aux sacs poubelles. Très pratique pour le rangement.
Des sacs de supermarché pour stocker les dossiers* (A4, épaisseur 2 à 12cm, 5 à 10 dossiers par sac).
Peut facilement recevoir les collections de Linuxmag et autres DiamondEditions, si on n'a pas tout donné aux copains.
Peut aussi classer les O'reilly et autres Eyrolles qu'on voudrait regarder un jour, mais plus bizarrement selon les formats.
Pour le rangement des disques durs et necessaire install parties, un boitier de tour à plat ou comme étagère, facile à transporter.
en couleurs inversées (voir le message précédent pour savoir comment procéder de façon simple avec une console, quand on ne sait pas attribuer un raccourcis clavier en mode console, par exemple depuis un shell csh en TTY, ou parce qu'on a d'autres priorités)
$ xcalib -invert -alter
les couleurs sont effectivement inversées et il faut mentalement faire cette distinction
ce qui n'est pas extraordinaire, mais demande toujours un effort de plus, là où l'objectif est la simplification pour transformer un calvaire en efficacité
si je tweete en mentionnant les codes couleurs pour qui ne voit pas l'image, le risque d'erreur judiciaire est accru ! #legaltech
$ xcalib -invert -alter
est donc nécessaire à nouveau pour revenir à l'état naturel
CONFIG_MAGIC_SYSRQ=y
l'option existe, sinon, vous êtes bon pour une recompilation du noyau en l'activant.
"
Excellent moyen de découvrir les joies de la compilation lorsqu'on a un travail critique et urgent à boucler. (mais pourquoi ce type a viré cette fonction du noyau standard !)
par curiosité, j'obtiens ceci :
dog /proc/sys/kernel/sysrq
bash: dog : commande introuvable
root@atilde:/home/a# cat /proc/sys/kernel/sysrq
438
(là vraiment on se dirait dans le cercle infernal de l'administration insaisissable, pour ceux qui ont déjà tenté d'obtenir un service de la justice par exemple, biais que les #legaltech devraient limiter)
un fichier de configuration /etc présent depuis le début sur notre système de base disponible en init 1 :
\o/
$ cat /etc/inputrc
# /etc/inputrc - global inputrc for libreadline
# See readline(3readline) and `info rluserman' for more information.
# Be 8 bit clean.
set input-meta on
set output-meta on
# To allow the use of 8bit-characters like the german umlauts, uncomment
# the line below. However this makes the meta key not work as a meta key,
# which is annoying to those which don't need to type in 8-bit characters.
# set convert-meta off
# try to enable the application keypad when it is called. Some systems
# need this to enable the arrow keys.
# set enable-keypad on
# see /usr/share/doc/bash/inputrc.arrows for other codes of arrow keys
# do not bell on tab-completion
# set bell-style none
# set bell-style visible
# some defaults / modifications for the emacs mode
$if mode=emacs
# allow the use of the Home/End keys
"\e[1~": beginning-of-line
"\e[4~": end-of-line
# allow the use of the Delete/Insert keys
"\e[3~": delete-char
"\e[2~": quoted-insert
# mappings for "page up" and "page down" to step to the beginning/end
# of the history
# "\e[5~": beginning-of-history
# "\e[6~": end-of-history
# alternate mappings for "page up" and "page down" to search the history
# "\e[5~": history-search-backward
# "\e[6~": history-search-forward
# mappings for Ctrl-left-arrow and Ctrl-right-arrow for word moving
"\e[1;5C": forward-word
"\e[1;5D": backward-word
"\e[5C": forward-word
"\e[5D": backward-word
"\e\e[C": forward-word
"\e\e[D": backward-word
$if term=rxvt
"\e[7~": beginning-of-line
"\e[8~": end-of-line
"\eOc": forward-word
"\eOd": backward-word
$endif
# for non RH/Debian xterm, can't hurt for RH/Debian xterm
# "\eOH": beginning-of-line
# "\eOF": end-of-line
# for freebsd console
# "\e[H": beginning-of-line
# "\e[F": end-of-line
$endif
il suffit donc de modifier ce fichier pour ajouter notre fonction à un raccourcis clavier ?
DOCUMENTÉ PAR MAN !!!!!
man /etc/inputrc
"
/etc/inputrc ‐ global inputrc for libreadline # See read‐
line(3readline) and ‘info rluserman’ for more information.
Be 8 bit clean. set input‐meta on set output‐meta on
To allow the use of 8bit‐characters like the german umlauts,
uncomment # the line below. However this makes the meta key not
work as a meta key, # which is annoying to those which don’t need
to type in 8‐bit characters.
set convert‐meta off
try to enable the application keypad when it is called. Some
systems # need this to enable the arrow keys. # set enable‐key‐
pad on
see /usr/share/doc/bash/inputrc.arrows for other codes of arrow
keys
do not bell on tab‐completion # set bell‐style none # set bell‐
style visible
some defaults / modifications for the emacs mode $if mode=emacs
allow the use of the Home/End keys "[1~": beginning‐of‐line
"[4~": end‐of‐line
allow the use of the Delete/Insert keys "[3~": delete‐char
"[2~": quoted‐insert
mappings for "page up" and "page down" to step to the begin‐
ning/end # of the history # "[5~": beginning‐of‐history #
"[6~": end‐of‐history
alternate mappings for "page up" and "page down" to search the
history # "[5~": history‐search‐backward # "[6~": history‐
search‐forward
mappings for Ctrl‐left‐arrow and Ctrl‐right‐arrow for word mov‐
for non RH/Debian xterm, can’t hurt for RH/Debian xterm
"\OH": beginning‐of‐line # "\OF": end‐of‐line
for freebsd console # "[H": beginning‐of‐line # "[F": end‐of‐
line
$endif
"
de façon sommaire mais suffisamment exhaustive.
qui nous renvoie à sont our à nos locaux
man read‐line(3readline)
$ man read[tab]
read readelf readlinkat readproc
readahead readfile readmsg readproctab
readdir readline readmsg.mailutils readprofile
readdir_r readlink readom readv
introuvable donc
et
info rluserman
$ info rluserman
bash: info : commande introuvable
tout aussi introuvable
[encore une régression ??]
pour ceux qui voudraient aller plus loin sur les "key"
$ man key[tab]
keyboard key_encryptsession keyok_sp
keybound key_gendes keypad
keybound_sp keymaps key_secretkey_is_set
keyctl key_name key_setsecret
key_decryptsession keyname keytool
key_defined keyname_sp
key_defined_sp keyok
// notez qu'il vaut mieux quelques connaissances en C pour savoir quoi en faire
// mais que la doc est là
Faisant une pause, je décide de tester la commande mentionnée plus haut
$ bind '"\e[24~": history-search-backward'
désormais, la touche F12 agit comme les touches [flèche haut] et autres raccoucis emacs ou vi s'ils sont configurés
$ bind --help
bind: bind [-lpvsPSVX] [-m keymap] [-f nomfichier] [-q nom] [-u nom] [-r seqtouche] [-x seqtouche:commande-shell] [seqtouche:fonction-readline ou commande-readline]
Définit les associations de touches et les variables de « Readline ».
Associe une séquence de touches à une fonction « Readline » ou une macro, ou définit une
variable « Readline ». La syntaxe des arguments non-options est équivalente à celle
du fichier ~/.inputrc, mais doivent être transmis comme arguments uniques :
ex : bind '"\C-x\C-r" : re-read-init-file'.
Options :
-m keymap Utilise KEYMAP comme mappage clavier pendant la
durée de cette commande. Des noms de mappage valables
sont « emacs », « emacs-standard », « emacs-meta »,
« emacs-ctlx », « vi », « vi-move », « vi-command » et
« vi-insert ».
-l Affiche les noms de fonctions.
-P Affiche les noms et associations des fonctions.
-p Affiche les fonctions et associations dans une forme qui
peut être réutilisée comme entrée.
-S Affiche les séquences de touches qui invoquent des macros,
et leurs valeurs.
-s Affiche les séquences de touches qui invoquent des macros,
et leurs valeurs sous une forme qui peut être utilisée comme entrée.
-V Affiche les noms et valeurs des variables
-v Affiche les noms et valeurs des variables dans une forme qui peut
être réutilisée comme entrée.
-q nom-fonction Permet de savoir quelles touches appellent la fonction.
-u nom-fonction Enlève toutes les associations de touches liée à la fonction.
-r seqtouche Enlève l'association pour « seqtouche ».
-f nomfichier Lit l'association de touches depuis NOMFICHIER.
-x seqtouche:commande-shell Entraîne l'exécution de la commande-shell
lorsque « seqtouche » est entrée.
-X Liste les séquences de touches liées à -x et les commandes associées
sous une forme qui peut être réutilisée comme entrée.
Code de sortie :
« bind » renvoie 0 à moins qu'une option non reconnue ne soit donnée ou qu'une erreur survienne.
toujours par curiosité, j'essaie ceci :
$ bind '"\e[24~": xcalib -invert -alter'
qui est censé donc lier la touche [F12] à l'invocation de la commande xcalib qui inverse les couleurs de l'ensemble du système (euh, les TX aussi ? ils vont être contents s'il y en a)
rien ne se produit à l'appui de [F12]
ce n'est donc pas si simple.
juste au-dessus je vois qu'il y a une option -x de l'aide en ligne de bind traduite dans ma langue maternelle par un extraordinaire traducteur ! je décide donc de l'utiliser pour vérifier si sa traduction du C vers le français est compréhensible (oui car man bind est écrit en C)
su -c alias F12='bind -x \'\"\e[24~\": xcalib -invert -alter\'' games
donc, comment appliquer le résultat de
$ xcalib -invert -alter
non pas au système [global] mais à une application graphique [local],
à partir d'une commande en console ou mieux d'un fichier de configuration en mode texte ?
par exemple /proc/sys/kernel/sysrq (voir plus haut) ?
# apt-get install xcalib
Lecture des listes de paquets... Fait
Construction de l'arbre des dépendances
Lecture des informations d'état... Fait
Paquets suggérés :
icc-profiles
Les NOUVEAUX paquets suivants seront installés :
xcalib
0 mis à jour, 1 nouvellement installés, 0 à enlever et 2707 non mis à jour.
Il est nécessaire de prendre 18,8 ko dans les archives.
Après cette opération, 46,1 ko d'espace disque supplémentaires seront utilisés.
Réception de:1 http://debian.proxad.net/debian oldstable/main amd64 xcalib amd64 0.8.dfsg1-2+b2 [18,8 kB]
18,8 ko réceptionnés en 0s (81,3 ko/s)
Sélection du paquet xcalib précédemment désélectionné.
(Lecture de la base de données... 403824 fichiers et répertoires déjà installés.)
Préparation du dépaquetage de .../xcalib_0.8.dfsg1-2+b2_amd64.deb ...
Dépaquetage de xcalib (0.8.dfsg1-2+b2) ...
Paramétrage de xcalib (0.8.dfsg1-2+b2) ...
Traitement des actions différées (« triggers ») pour man-db (2.7.6.1-2) ...
Erreur : Le délai d'attente est dépassé
root@atilde:/home/a# man xcalib
$ xcalib -invert -alter
tout le bureau est en mode nuit /dev/tty3
dehors il fait jour : /dev/tty*
tous les terminaux fenêtrés sont en enneigés
donc, ça solutionne le problème, mais d'une façon un peu violente
Lorsqu'on s'est habitué à des codes couleurs avec certains applications, se retrouver avec des couleurs inversées peut revenir à mettre des chaussettes à un chat.
le lien fourni plus haut donnait le paquet source de xcalib officiel
(pour rappel 18 fichiers)
dans lequel se trouve peut-être le moyen d'applique le résultat à une fenêtre en particulier, ce qui à mon avis n'est pas illusoire
Le temps que l'on passe à écrire on ne le passe pas à chercher, et de toute façon je ne comprends pas le C. C'est un peu comme pour la justice, le temps qu'on passe à tenter de la saisir, on ne fait pas autre chose, c'est pourquoi généralement le peuple préfère s'en passer et préfère le Mode Gourdin.
Les #Legaltech devraient changer ça pour les générations futures, qui sait ?
Si c'est bien le code déjà copié plus haut :
grep -R invert xcalib-0.8/
xcalib-0.8/README: -invert or -i
xcalib-0.8/xcalib.c: fprintf (stdout, " -invert or -i\n");
xcalib-0.8/xcalib.c: int invert = 0;
xcalib-0.8/xcalib.c: /* invert the LUT */
xcalib-0.8/xcalib.c: if (!strcmp (argv[i], "-i") || !strcmp (argv[i], "-invert")) {
xcalib-0.8/xcalib.c: invert = 1;
xcalib-0.8/xcalib.c: if(!invert) {
alors il est possible que la transformation soit effectuée à haut niveau, en ne puisse s'appliquer à une fenêtre sans réutilisation du code dans une application spécifique, ou une modification significative de l'existant.
Quelqu'un pour confirmer ?
/eof
La question était bien que si on peut obtenir un mode jour|nuit,
comment allumer la lumière, où se trouve l'interrupteur pour ne pas à avoir à chaque fois couper le compteur central avec le frigo ?
La documentation est limitée.
Le man xcalib est peu développé, comme bien des man récents. On n'y trouve aucune indications sur une utilisation avancée, ou des perspectives de recherche. C'est malheureusement le cas avec KDE, où rien n'est documenté, il n'y a aucun man.
C'est sans doute un choix d'efficacité, en rapport avec un manque de moyens, un peu comme les logiciels Microsoft, aussi obscur qu'inexploitables en profondeur, mais très jolis et surtout efficaces. Les gains de Microsoft ne sont pas en rapport avec un prix élevé, mais une quantité élevée.
Le code d'un logiciel libre est une documentation.
KDE ne peut s'appuyer que sur du bénévolat, étudiants par exemple, et les dons effectués ne peuvent qu'être dérisoires au vu de la tâche à accomplir.
Il est très regrettable que KDE ne puisse pas être plus documenté (on a les sources, donc quiconque sait les lire peut y contribuer, mais faut-il encore comprendre le C et avoir un peu de temps pour améliorer la doc et y placer son nom et son adresse pour pouvoir le valoriser plus tard si besoin)
La doc n'est pas là seulement par confort, elle permet de inventer et exploiter à fond un logiciel, et pourvoir construire sur ses fondations ?
La baisse de la qualité de la doc et l'augmentation des applications non documentées avec man, n'est-elle pas un symptôme de régression du libre ?
L'exemple simple de Kmail me vient à l'esprit. Une fonction très utile permettait afficher et imprimer un message avec ses entêtes. Très utile pour indiquer des références précises et sûres de l'origine affichée d'un courriel, quand bien-même on se l'envoie à soit-même pour dater un document.
Il s'agissait de la fonction Afficher/en-têtes/all headers.
Cette fonction a été supprimée.
Pour avoir tenté de regarder le code, il s'agissait d'un petit bout de code. Intégré dans une application gigantesque. Non modulaire en lui-même, il ne pouvait donc être ajouté sans être capable de recompiler l'application dans son entier.
Burg eport
Il m'a été répondu à la légère, lorsque j'avais signalé un rapport de bug, que c'était possible d'obtenir le code souce avec la fonction Afficher/Afficher le source.
Oui, peut-être, mais ce n'est pas ce dont j'ai besoin, ça ne fait pas la même chose. Là le code du message est codé et inexploitable en l'état, et certainement pas imprimable pour que son contenu, hors références, puisse être lu par un humain. Ce n'est pas la même fonction, ce n'est pas le même résultat, et ce n'est pas la même application du résultat. On passe d'un texte lisible avec ses références d'entête à un texte brut codé non lisible.
$ recode
Il m'a aussi été répondu que je pouvais utiliser cet outil pour retrouver le codage lisible du texte.
Un logiciel à apprendre pour un résultat incertain, mais qui a le mérite d'exister.
Elle ne remplace toutefois pas la productivité de la fonction d'origine manquante, où d'un clic on avait le résultat escompté, en imposant un apprentissage supplémentaire, des copier-coller, et de sortir les données de l'application métier pour la traiter avec une bidouille.
Une alternative ?
J'ai recherché rapidement parmi les autres applications métier (lecteur courriel), aucun ne permettait d'imprimer en-têtes et texte. Parfois il était impossible d'obtenir les entêtes (ou je ne savais pas le faire gmail.com).
REGRESSION DE CODE
Le code écrit effacé a été produit, réfléchi et pensé par un humain.
Cet humain a engagé une partie de sa vie à réaliser une fonction qu'il savait utile. D'autres sont passés derrière, n'y ont vu que du feu et l'on virée.
Utiliser une version ancienne qui donne toute satisfaction pour se passer des nouvelles versions auxquelles il manque ces détails indispensables dans certains cas ?
Dans le cas d'une application KDE, ça semble impossible tant il y a de dépendances. Mais pas impossible.
Virtualisation
Il y a d'abord la virtualisation qui permet d'émuler un environnement complet et d'interagir avec le système hôte sous certaines conditions. Efficace, mais qui requiert beaucoup de ressources sur l'unité de travail (faire tourner un système supplémentaire en parallèle). Et dont la configuration n'est pas anodine, voire quasi impossible pour un non initié.
KDE multi-versions
Installer plusieurs librairies de kde concurrentes pour faire tourner plusieurs générations de logiciels ensemble. Ce qui là aussi prend beaucoup de ressources, même si on pourrait imaginer utiliser des liens symboliques entre les fichiers partagés, pour réduire la complication. La configuration n'est pas anodine, voire quasi impossible pour un non initié.
La solution la plus simple est de rajouter ce petit bout de code supprimé sans raison apparente, ne serait-ce que pour le temps passé par son auteur à produire une fonction qui utile et unique.
Je voudrais inverser les couleurs juste sur cette fenêtre, pas tout l'écran, effectivement.
Quel est le fichier Xorg où configurer la commande qui contrôle ce paramètre ?
Concernant KDE voici ce que j'ai trouvé
raccourcis clavier : https://docs.kde.org/stable5/en/khelpcenter/fundamentals/kbd.html
ne cite pas ces raccourcis
mais https://forum.kde.org/viewtopic.php?f=251&t=110152
y fait allusion.
Ce lien en outre ouvre un autre champ de recherche :
"settings -> accessability"
"System Settings is a separate KDE application, which can be accessed either through the Kickoff Menu, or through KRunner.
Alternately, you can run "systemsettings" in a terminal application. ".
Toutefois un accès direct aux commandes et paramètres qui contrôlent cet effet m'éviterait de fouiller l'appli pour savoir ce qu'elle manipule.
M'étonnerait que l'appli fasse ça toute seule.
C'est toujours un peu le problème du marteau-piqueur pour enfoncer un clou.
"For apps like xpdf, you can either have an alternative desktop menu entry (or icon) that runs the app with special parameters, or define those in your .Xdefaults. For xpdf note also the use of paperColor, foreground and background resources."
on retrouve .Xressources ? mais la solution n'est pas détaillée, juste effleurée.
Certainement la meilleure solution.
"Actually I really need inverting color of specific windows (not whole screen) and that's main reason why I often choose KDE -> it has build in support for this!"
Cette fois on propose Compiz pour le faire…
les sources de xcalib sont disponibles ici http://xcalib.sourceforge.net/ https://sourceforge.net/projects/xcalib/
afin de voir ce qu'il peut bien faire au sujet de l'inversion des couleurs
mais il faut avoir des compétences en programmation que je n'ai pas.
Sourcefroge permet pas naviguer dans les sources ? alors il faut télécharger l'ensemble des sources de l'appli en local pour cela.
Une fois décompactée, l'archive
xcalib-source-0.8.tar.gz
contient 18 fichiers.
xcalib est écrit en C.
Voici ce que l'on trouve pour
grep -R invert xcalib-0.8/
xcalib-0.8/README: -invert or -i
xcalib-0.8/xcalib.c: fprintf (stdout, " -invert or -i\n");
xcalib-0.8/xcalib.c: int invert = 0;
xcalib-0.8/xcalib.c: /* invert the LUT */
xcalib-0.8/xcalib.c: if (!strcmp (argv[i], "-i") || !strcmp (argv[i], "-invert")) {
xcalib-0.8/xcalib.c: invert = 1;
xcalib-0.8/xcalib.c: if(!invert) {
..ça ne dois pas être ça, ou pas la bonne version ?
Donc on a plusieurs solutions possibles mais aucune ne me permet d'y arriver simplement en configurant un fichier.
À moins de comprendre comment agissent ces programmes, il est difficile de trouver la solution.
Une solution semble possible avec Xdefaults, encore faut-il trouver laquelle.
"Les logiciels libres ne sont ni libres de droits, ni tombés dans le domaine public, contrairement à ce que certains ont pu affirmer. Ce sont bien des œuvres couvertes par le droit de la propriété intellectuelle. Leur utilisation est régie par des licences. Néanmoins, les principes applicables à la mise à disposition, à l'accès, à la possibilité de modifier les codes source doivent être abordés dans un contexte différent, posant des défis intéressants aux puristes du droit d'auteur, et tôt ou tard, aux magistrats.(4) "
(4) A ce jour, la validité des licences libres de type GPL, BSD, MIT ou CPL n'a pas été examinée en droit des contrats par les tribunaux français. Les quelques contentieux portés devant nos tribunaux n'avaient pour objet que le respect des conditions de licence, sans pour autant remettre en cause la validité même du contrat. Voir par exemple: TGI Paris, 3é ch., 28 mars 2007, Educaffix c/ CNRS, Université Joseph Fourier et autres.
Quand on ne peut s'attaquer à ses arguments, on s'attaque à sa personne. #réthorique
Donc pour revenir sur l'argumentation :
Dire qu'on s'appuie sur des références ne suffit pas. Avec trois références, on écrit n'importe quoi.
Avec aucune référence, on donne son avis. Et son avis devient référence.
Quand on fournit une référence, on cite cette référence. La référence est un fait (qui peut être remis en cause).
L'analyse qu'on en tire, est une interprétation, et il peut y avoir plusieurs autres interprétations.
C'est le cas pour les CLA que tu connais bien : "This article has multiple issues. Please help improve it or discuss these issues on the talk page. (Learn how and when to remove these template messages)
This article possibly contains original research. (January 2014)
This article relies too much on references to primary sources. (January 2014)"
"Les CLA sont décriés. On accuse parfois les entités demandant un CLA de vouloir faire du non libre "sur le dos" des libristes en faisant une version non libre d'un produit, dans le présent ou dans un hypothétique futur."
Zenith* ram https://linuxfr.org/users/zenitram
* [The Zenith Angle](https://en.wikipedia.org/wiki/The_Zenith_Angle) is a science fiction novel by Bruce Sterling, first published in 2004, about a pioneering expert in computer and network security with a traditional hacker personality named Derek Vandeveer.
Article L111-2 En savoir plus sur cet article…
Créé par Loi 92-597 1992-07-01 annexe JORF 3 juillet 1992
L'oeuvre est réputée créée, indépendamment de toute divulgation publique, du seul fait de la réalisation, même inachevée, de la conception de l'auteur.
Article L111-3 En savoir plus sur cet article…
Créé par Loi 92-597 1992-07-01 annexe JORF 3 juillet 1992
La propriété incorporelle définie par l'article L. 111-1 est indépendante de la propriété de l'objet matériel.
L'acquéreur de cet objet n'est investi, du fait de cette acquisition, d'aucun des droits prévus par le présent code, sauf dans les cas prévus par les dispositions des deuxième et troisième alinéas de l'article L. 123-4. Ces droits subsistent en la personne de l'auteur ou de ses ayants droit qui, pourtant, ne pourront exiger du propriétaire de l'objet matériel la mise à leur disposition de cet objet pour l'exercice desdits droits. Néanmoins, en cas d'abus notoire du propriétaire empêchant l'exercice du droit de divulgation, le tribunal de grande instance peut prendre toute mesure appropriée, conformément aux dispositions de l'article L. 121-3.
Chemin :
Code de la propriété intellectuelle
Partie législative
Première partie : La propriété littéraire et artistique
Livre Ier : Le droit d'auteur
Titre Ier : Objet du droit d'auteur
Chapitre Ier : Nature du droit d'auteur
Article L111-1
Modifié par Loi n°2006-961 du 1 août 2006 - art. 31 JORF 3 août 2006 L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous.
Ce droit comporte des attributs d'ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d'ordre patrimonial, qui sont déterminés par les livres Ier et III du présent code.
L'existence ou la conclusion d'un contrat de louage d'ouvrage ou de service par l'auteur d'une oeuvre de l'esprit n'emporte pas dérogation à la jouissance du droit reconnu par le premier alinéa, sous réserve des exceptions prévues par le présent code. Sous les mêmes réserves, il n'est pas non plus dérogé à la jouissance de ce même droit lorsque l'auteur de l'oeuvre de l'esprit est un agent de l'Etat, d'une collectivité territoriale, d'un établissement public à caractère administratif, d'une autorité administrative indépendante dotée de la personnalité morale ou de la Banque de France.
Les dispositions des articles L. 121-7-1 et L. 131-3-1 à L. 131-3-3 ne s'appliquent pas aux agents auteurs d'oeuvres dont la divulgation n'est soumise, en vertu de leur statut ou des règles qui régissent leurs fonctions, à aucun contrôle préalable de l'autorité hiérarchique.
Liens relatifs à cet article
Cite:
Code de la propriété intellectuelle - art. L121-7-1 (V)
Code de la propriété intellectuelle - art. L131-3-1 (V)
Cité par:
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014 - art. 1, v. init.
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014 - art. 2, v. init.
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014, v. init.
Code de la propriété intellectuelle - art. L111-3 (V)
Code de la propriété intellectuelle - art. L113-6 (V)
Codifié par:
Loi 92-597 1992-07-01
Anciens textes:
Loi n°57-298 du 11 mars 1957 - art. 1 (Ab)
Loi n°57-298 du 11 mars 1957 - art. 1 (Ab)
Ce que je veux dire, c'est que (au moins en France, je crois), c'est à un juge d'interpréter la loi. On ne peut pas dire, "j'ai lu ici où là que on disait que…". Donc la référence est importante.
Ensuite, il s'agit d'une page sous la responsabilité d'un des plus hauts magistrats, dont il me semble un peu léger d'expliquer que c'est le webmaster qui écrit n'importe quoi.
Aussi, lorsque la page affirme que le site utilise des logiciels libres de droits, plus liste uniquement des logiciels libres, il n'y a pas effectivement l'affirmation que les logiciels libres sont libres de droits. Mais on peut lire que les logiciels listés sont libres de droits.
Libre de droits n'existe peut-être pas, mais peut tout aussi être interprété :
- moralement
- financièrement
et c'est ce 2e point qui semble avoir été retenu : le droit serait donc la valeur financière.
La Cour de Cassation fournit à mon avis une interprétation des logiciels libres un peu trop grossière, je choisis moi aussi un titre assez grossier, pour interpréter sa description.
Je ne sais quelle est l'interprétation qui a pu choquer le plus ici.
Je reste étonné de l'intérêt que suscite le sujet.
Wikipedia est une encyclopédie qui cite des références, pas une référence en elle-même.
Lorsqu'on cite wikipedia comme référence, ce n'est pas wikipedia, mais les références fournies par wikipedia qui sont intéressantes.
L'assertion concernant "En droit français, en 2015,…" n'est pas une référence, mais une interprétation.
De même, "Cette appellation reste manifestement", l'est tout autant.
La Cour de Cassation est elle-même une référence. Ainsi que j'indiquais la mention du W3C concernant les logiciels libres, on pourrait donc affirmer que le W3C écrit n'importe quoi et la Cour de Cassation ne se trompe pas. La Cour de Cassation a plus d'autorité sur le droit que le W3C. La Cour de Cassation peut préciser le droit, par la jurisprudence, à ce qu'il me semble.
En gros : peut-on s'adresser à la Cour de Cassation, pour négocier ce qu'elle affirme, en citant wikipedia ?
(et ce, même si on a un très bon raisonnement basé sur le droit moral)
Il doit y avoir bien d'autres articles que les 3 cités, qui peuvent venir interagir et modifier l'interprétation.
Rien que les réponses brouillonnes reçues à cet articles, pour ne pas dire qu'elles ajoutent en brouillard, tant les avis sont tranchés et partent dans tous les sens.
Un peu comme en politique : il y a un consensus pour affirmer une désapprobation, mais aucun sur la conduite à tenir, ni même sur l'analyse des faits.
Concernant la portée du texte de la page, indépendamment du prestige de l'institution qui l'affiche, ciblant parmi les principaux et plus utilisés logiciels libres, dans leur variété de licences, il peut s'agir :
- non seulement de la négation, non des droits des auteurs, mais de la valeur de ces licences libres,
- de la valeur sur laquelle est basé le travail de tous ceux qui font confiance à ces licences, des auteurs aux utilisateurs.
# Regarder de ce côté ? https://doc.ubuntu-fr.org/telephonie
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message Appels téléphoniques Android depuis Ubuntu 22.04. Évalué à -3.
https://doc.ubuntu-fr.org/telephonie
[^] # Re: Très théorique
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message l’utilisateur du site s’engage à accéder au site en utilisant un matériel récent, ne contenant pas d. Évalué à -1.
C'est là : https://www.courdecassation.fr/regles-generales-dutilisation-du-site
Voir à "Limitations contractuelles sur les données techniques",
juste au-dessous de "Mesures d'audience".
# une solution au problème possible
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message broken symbolic link : impossible d'ouvrir /dev/root92: Aucun fichier . Évalué à -2.
En fonction des branchements des disques durs, les noms de fichiers peuvent varier
pour faciliter l'identification des disques, il est possible de leur fournir un identifiant unique appelé "UUID", ou une étiquette appelée "LABEL", /dev/sd?3 conduisait à "root92" pour l'exemple.
Le problème était de simplifier l'accès au fichier par le "LABEL" sans avoir à saisir le long chemin pour y accéder, rangé dans /dev : /dev/root92, à la place de /dev/disks/by-label/root92 ou /dev/by-label/root92 .
La commande "file" détermine le type de fichier, et fournit le nom du fichier du disque ayant le label "root92".
On apprend que ce fichier est sda3.
La commande "cat" renvoie le contenu du fichier et fournit les adresses MAJEUR et MINEUR du périphérique recherché.
On apprend que les MAJEUR et MINEUR de root92 (ou pour cette fois sda3) sont 8 et 3.
La commande "mknod" cré les fichiers disques (fichier bloc dans notre cas)
On peut donc créer un fichier appelé /dev/root92 qui pourra être appelé indifféremment du fichier /dev/sd?3.
Quelques tests pour vérifier le résultat obtenu.
La commande "stat" affiche diverses informations sur un fichier (l'"état" du fichier).
stat /dev/sda3
Fichier : /dev/sda3
Taille : 0 Blocs : 0 Blocs d'E/S : 4096 fichier spécial de bloc
Périphérique : 6h/6d Inœud : 15386 Liens : 1 Type de périph. : 8,3
Accès : (0660/brw-rw----) UID : ( 0/ root) GID : ( 6/ disk)
Accès : 2022-05-31 02:31:22.594352811 +0200
Modif. : 2022-05-29 17:45:00.958762697 +0200
Changt : 2022-05-29 17:45:00.958762697 +0200
Créé : -
stat /dev/root92
Fichier : /dev/root92
Taille : 0 Blocs : 0 Blocs d'E/S : 4096 fichier spécial de bloc
Périphérique : 6h/6d Inœud : 2964121 Liens : 1 Type de périph. : 8,3
Accès : (0644/brw-r--r--) UID : ( 0/ root) GID : ( 0/ root)
Accès : 2022-05-31 02:56:02.437563935 +0200
Modif. : 2022-05-31 02:56:02.437563935 +0200
Changt : 2022-05-31 02:56:02.437563935 +0200
Créé : -
Les 2 noms de fichiers renvoient bien les mêmes résultats.
Mis à part:
- les permissions qui n'ont pas été précisées et sont donc standard, sans tenir compte de leur fonction dans le système,
- leur inode qui est différent
- le contenu des inodes qui sont donc aussi différents
La commande "ls" permet lister le contenu de répertoires et affiche diverses informations sur les fichiers à partir des inodes (les répertoires sont aussi des fichiers)
ls -ldi /dev
1025 drwxr-xr-x 18 root root 3820 mai 31 02:56 /dev
ls -li /dev/sda3 /dev/root92
2964121 brw-r--r-- 1 root root 8, 3 mai 31 02:56 /dev/root92
15386 brw-rw---- 1 root disk 8, 3 mai 29 17:45 /dev/sda3
ls -ld /root /mnt/7
drwxr-xr-x 31 root root 4096 mai 29 17:36 /mnt/7
drwx------ 14 root root 4096 mai 31 04:08 /root
Je ne sais pas expliquer pourquoi la liste est inversée : le fichier sda3 ou root est toujours affiché en dernier.
La commande "df" indique l'espace occupé et divers autres indications.
Avant montage du système de fichiers root92 :
Après montage du système de fichiers root92 (sur /mnt/7)
La commande "xfs_info" fournit des informations sur les systèmes de fichiers xfs.
Les résultats sont bien identiques.
La commande "fdisk -l" fournit des informations sur le partitionnement des disques.
Les résultats sont bien identiques, sauf le nom des fichiers.
En conclusion,
Il serait intéressant de pouvoir automatiser la créations fichiers nommés par leur label, à partir d'un script à lancer avant de manipuler les disques appelés par leur LABEL.
Je n'ai pas essayé.
L'objectif de cette recherche était de rafraîchir mes connaissances avant de réorganiser les systèmes informatiques utilisés, après plusieurs années à faire autre chose. Cette fiche de révision sera peut-être utile à d'autres.
Merci à Pierre qui a tenté d'apporter une réponse malgré une intoxication alimentaire ce WE en chassant le champignon dans ses bois.
Des erreurs sont possibles.
[^] # Re: Il s'agit d'un scan de censys.io
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message problème avec sendmail. Évalué à -2.
à des fins de recherche peut-être
https://censys.io/
"Did you know?
85% more
Censys Attack Surface Management discovers 85% more services than the nearest competitor."
# ayé, je me suis rappelé comment faire !
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message indisponibilité temporaire de la ressource, kmail d'affiche plus aucun message stocké localement. Évalué à -2.
En fait c'est tout simple puisque les archives de courriels doivent fonctionner directement sur un nouveau système installé, une fois kmail/akonadi bien configurés.
et tout fonctionne.
# [err...] pas le bon ticket, l'autre ticket "image" n'est pas encore passé !
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse à l’entrée du suivi Liens (image) "protocol-relative / implicit" dans les flux. Évalué à -3 (+0/-0). Dernière modification le 11 septembre 2021 à 08:36.
probable erreur de copié-collage du lien par l'auteur
testé les liens et d'autres avec des url bizarres de twitter.com
tout fonctionne, y compris le favicon linuxfr.org
Bon WE.[https://linuxfr.org/favicon.png](https://linuxfr.org/favicon.png)
![https://linuxfr.org/favicon](https://linuxfr.org/favicon.png)
[^] # Re: reverse: Xorg ou Kwin : framebuffer. xcalib, KDE, Kmail, man ou régression de code (samedi)
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message kmail*reverseVideo: on ou comment afficher kmail en vidéo inversée ?. Évalué à -3. Dernière modification le 19 septembre 2024 à 19:34.
D'après Garou ça dépend des versions
https://linuxfr.org/forums/linux-gui/posts/raccourcis-de-commandes-sous-kde
je viens d'essayer et ça fonctionne effectivemment,… en théorie
$ systemsettings5 est de toute façon accessible depuis le menu de mate
mais l'appui des touches doit être intercepté par kwin qui n'est pas lancé en ce moment dans mon cas
KDE est toujours très en avance, modulo qu'ils saccagent les applis en virant des fonctionnalités à kmail (dont la fonction "display all headers qui permet d'afficher les en-tête en haut du message, très pratique, cf infra)
très pénible aussi le manque de documentation, dont les pages man et l'aide --help peu développée, mais c'est le pendant à l'efficacité des développements d'application où sont investis les moyens plutôt que dans la doc (et peut-être même l'interopérabilité poru l'externalisation de fonctionnalités, ce qui reste à démontrer)
$ man kwin
Aucune entrée de manuel pour kwin
voir « man 7 undocumented » pour obtenir de l'aide quand les pages de manuel ne sont pas disponibles.
mate kmail sur un bug mozilla firefox nightly twitter
https://twitter.com/tqsp/status/1436381413255823364/photo/1
https://twitter.com/tqsp/status/1436387009141018633/photo/2
jour-nuit.sh :
en tout cas ça fonctionne une fois lancé kwin :
[M-C-U] # jour/nuit sur la fenêtre xterm
[M-C-I] # jour/nuit sur le bureau mate
Pour résumer, je sais maintenant inverser les couleurs sur le système, sur le bureau (avec kwin), ou sur une fenêtre (avec kwin), avec des raccourcis claviers.
Je sais qu'il y a une multitude de possibilités d'attribuer et modifier des raccourcis clavier depuis le noyau, depuis le système, depuis le bureau, depuis une application
=> je ne sais toujours pas comment relier les fonctionnalités de kwin à un programme externe comme un .sh, ou simplement l'activer depuis la console (par exemple interagir sur le raccourcis clavier ou sur les fenêtres indépendamment SANS les raccourcis clavier, par ssh par exemple)
BUG : l'image du bureau est saccadée et clignotte une fraction de seconde quand je fais défiler l'écran ou que modifie la vue active du bureau, des artefacts apparaissent quand je déplace une fenêtre, ces défauts cessent quand on ferme kwin
fermer kwin et retour à la situation initiale avec $ marco
pas eu besoin de repasser en TTY dans mon cas avec des consoles ouvertes et l'accès au navigateur possible sur le bureau actif, mais penser que quand kwin s'arrête, il n'y plus de gestionnaire de fenêtre en fonctionnement, il faut donc en relancer une appli comme marco :
[^] # Re: Objectif : apprendre est un terme ambigüe [ man et howto sont des références techniques ]
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message Demande d’aide pour un devoir sur Linux. Évalué à -3.
Man et howto sont les références techniques où il y a l'essentiel, mais bien-sûr on peut s'en passer. => man man; man --help; apropos man; info man; man [tab]; nice -n10 find /; [tab][tab]; tree /usr/share/doc… savoir où se trouve la doc et comment y accéder avant même d'y mettre le nez peut aider, et aussi regarder les paquets installés et à quoi ils servent. En général 'q', [Esc] ou [CTRL]-'c' pour quitter.
Note : ça prend plus de 5 minutes.
https://twitter.com/tqsp/status/1434195795490791425
La suite peut-être utile, et devrait fonctionner au moins avec /bin/bash et /bin/sh
Petite visite en ligne de commande…
Astuces 1 :
stocker une liste de commandes pratiques dans un fichier
voici un exemple bloc-note que je viens de faire pour retrouver des commandes qui me sont utiles en ce moment
J'ai tapé ceci :
bash
cat > COMMANDES.sh
xcalib -invert -alter # jour/nuit
# .Xresources: XTerm*reverseVideo: on
xrdb -remove ~/.Xresources # xterm noir
xrdb -merge ~/.Xresources # xterm blanc
[CRTL]+'d'
chaque ligne est une commande "magique" que j'utilise en ce moment assez souvent
la commande cat les a enregistré dans le fichier COMMANDES.sh
Puis je tapé ceci
bash
cat COMMANDES.sh
pour les afficher
ensuite il suffit de copier-coller la commande avec la souris
on peut remplacer/ajouter d'autres lignes, avant de petit à petit assimiler les plus fréquentes
on peut aussi les retrouver avec l'historique (flèche vers le haut par exemple, si c'est configuré)
bash
$ history #affiche l'historique des commandes
(le dollar est une convention pour l'invite de commande, mais on peu remplacer ça agréablement par une horloge en couleur clignotante si on aime, détails assez faciles à trouver sur http://www.google.com/search?q= [on peut remplacer google par twitter si on préfère]
on peut taper par exemple
bash
firefox http://www.google.com/search?q=shell+man+bash
ou
bash
firefox --search shell+man+bash
firefox http://www.twitter.com/search?q=shell+man+bash
)
Le résultat de Google propose ces questions :
"Autres questions posées
Quelles sont les man ?
Comment utiliser la commande man ?
Résultat de recherche d'images pour "shell man"
Comment obtenir le manuel de man ?
Quelle commande donne accès à la documentation ?"
Astuce 2 :
se servir de l'historique pour se constituer une banque de codes
ou
```bash
cat ~/.bash_history >> bash_history
copie le contenu de l'historique dans un fichier
ensuite on va ouvrir le fichier
ou
le premier ouvre
kate
en mode fenêtre,le second
vi
en mode console,qui sont des éditeurs de texte, comme
emacs
qui a servi à programmer de nombreuses commandes, les autres commandes permettent aussi d'éditer du texte à des degrés diversj'utilise
vi
… parce que c'est là que j'ai investi le plus de temps, parce que c'est celui que j'ai compris le mieux et le plus vite, parce qu'il est exotique et parle de l'Afrique lointaine… parce qu'il fait tout (sauf le café)donc une fois l'éditeur ouvert avec l'historique, on peut copier coller ou annoter les commandes les plus intéressantes
par exemple ajouter un # après la commande, suivi d'un petit commentaire
comme le fichier a une extention "
.sh
", l'éditeur devrait colorer le texte et les commentairesje n'ai jamais fait ce travail de collecte, mais avec le recul, ça m'aurait été utile
merci pour m'avoir donné l'occasion de me changer les idées 5mn :)
avant de repartir dans les courriels
--
pourquoi ne développe-t-on pas le travail en ligne de commande pour les #legaltech ?
cela permettrait d'utiliser les applications graphiques en console, et rendrait ces applications bien plus utiles pour les malvoyants par exemple
[^] # Re: Pour plus de précisoon ..
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message [HS] Système de rangement sécisé permettant de tout déplacer au plus r.vite en cas de besoin.. Évalué à -1.
Penser aux sacs poubelles. Très pratique pour le rangement.
Des sacs de supermarché pour stocker les dossiers* (A4, épaisseur 2 à 12cm, 5 à 10 dossiers par sac).
Peut facilement recevoir les collections de Linuxmag et autres DiamondEditions, si on n'a pas tout donné aux copains.
Peut aussi classer les O'reilly et autres Eyrolles qu'on voudrait regarder un jour, mais plus bizarrement selon les formats.
Pour le rangement des disques durs et necessaire install parties, un boitier de tour à plat ou comme étagère, facile à transporter.
[^] # reverse: Xorg ou Kwin : framebuffer. xcalib, KDE, Kmail, man ou régression de code (dimanche)
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message kmail*reverseVideo: on ou comment afficher kmail en vidéo inversée ?. Évalué à -4.
Sommaire
[ http://linuxfr.org/autosatisfaction-réCURSIVE ]
exemple d'un code couleur visible à l'écran
https://twitter.com/PoliceNationale/status/1434120402104692739
en couleurs inversées (voir le message précédent pour savoir comment procéder de façon simple avec une console, quand on ne sait pas attribuer un raccourcis clavier en mode console, par exemple depuis un shell csh en TTY, ou parce qu'on a d'autres priorités)
$ xcalib -invert -alter
les couleurs sont effectivement inversées et il faut mentalement faire cette distinction
ce qui n'est pas extraordinaire, mais demande toujours un effort de plus, là où l'objectif est la simplification pour transformer un calvaire en efficacité
si je tweete en mentionnant les codes couleurs pour qui ne voit pas l'image, le risque d'erreur judiciaire est accru ! #legaltech
$ xcalib -invert -alter
est donc nécessaire à nouveau pour revenir à l'état naturel
on retrouve la même problématique ici pour l'attribution d'un raccourcis clavier à une commande concernant l'affichage (qui peut s'avérer utile si on se retrouve en noir sur noir ou blanc sur blanc, à moins de réaliser mentalement les opérations à effectuer, ce que fait font parfois les handicapés confrontés à des bugs dits mineurs)
https://qastack.fr/ubuntu/326282/how-to-link-a-custom-keyboard-shortcut-to-a-bash-script-in-ubuntu-13-04
la page fournit une méthode pour l'exemple de la commande
$ xbacklight -inc / -dec 10
https://qastack.fr/ubuntu/137117/how-do-i-launch-a-bash-script-using-a-keyboard-shortcut
la page https://qastack.fr E404 étant soit en rtavaux soit en mode regression… on peut imaginer ceci fourni par l'excellent unix.stackexchange.com :
https://unix.stackexchange.com/questions/171430/how-to-get-a-list-of-tcsh-shortcuts
% bindkey
pour découvrir la possibilité de raccourcis en mode console
ou même
https://wiki.archlinux.org/title/Keyboard_shortcuts_(Fran%C3%A7ais)
(ni en anglais, ni en ubuntu, mais avec une documentation exceptionnelle)
qu'il est possible d'attribuer des raccourcis claviers au plus bas niveau, celui du noyau.
"
Si la sortie de cette commande est:
Excellent moyen de découvrir les joies de la compilation lorsqu'on a un travail critique et urgent à boucler. (mais pourquoi ce type a viré cette fonction du noyau standard !)
par curiosité, j'obtiens ceci :
dog /proc/sys/kernel/sysrq
bash: dog : commande introuvable
root@atilde:/home/a# cat /proc/sys/kernel/sysrq
438
https://qastack.fr/ubuntu/147128/change-default-tty-shortcut
propose sa solution
"
Vous pouvez utiliser bindpour lier une clé à une fonction. Voici ce que j'ai fait:
et renvoie vers
https://www.techrepublic.com/article/find-and-bind-key-sequences-in-bash/
"
The next step is to bind that key sequence to a particular shell command. For example, you can bind [F12] to the "history-search-backward" shell command:
qui renvoie vers..
(là vraiment on se dirait dans le cercle infernal de l'administration insaisissable, pour ceux qui ont déjà tenté d'obtenir un service de la justice par exemple, biais que les #legaltech devraient limiter)
un fichier de configuration /etc présent depuis le début sur notre système de base disponible en init 1 :
\o/
$ cat /etc/inputrc
# /etc/inputrc - global inputrc for libreadline
# See readline(3readline) and `info rluserman' for more information.
il suffit donc de modifier ce fichier pour ajouter notre fonction à un raccourcis clavier ?
DOCUMENTÉ PAR MAN !!!!!
man /etc/inputrc
"
/etc/inputrc ‐ global inputrc for libreadline # See read‐
line(3readline) and ‘info rluserman’ for more information.
Be 8 bit clean. set input‐meta on set output‐meta on
To allow the use of 8bit‐characters like the german umlauts,
uncomment # the line below. However this makes the meta key not
work as a meta key, # which is annoying to those which don’t need
to type in 8‐bit characters.
set convert‐meta off
try to enable the application keypad when it is called. Some
systems # need this to enable the arrow keys. # set enable‐key‐
pad on
see /usr/share/doc/bash/inputrc.arrows for other codes of arrow
keys
do not bell on tab‐completion # set bell‐style none # set bell‐
style visible
some defaults / modifications for the emacs mode $if mode=emacs
allow the use of the Home/End keys "[1~": beginning‐of‐line
"[4~": end‐of‐line
allow the use of the Delete/Insert keys "[3~": delete‐char
"[2~": quoted‐insert
mappings for "page up" and "page down" to step to the begin‐
ning/end # of the history # "[5~": beginning‐of‐history #
"[6~": end‐of‐history
alternate mappings for "page up" and "page down" to search the
history # "[5~": history‐search‐backward # "[6~": history‐
search‐forward
mappings for Ctrl‐left‐arrow and Ctrl‐right‐arrow for word mov‐
ing "[1;5C": forward‐word "[1;5D": backward‐word "[5C": for‐
ward‐word "[5D": backward‐word "\[C": forward‐word "\[D":
backward‐word
$if term=rxvt "[7~": beginning‐of‐line "[8~": end‐of‐line
"\Oc": forward‐word "\Od": backward‐word $endif
for non RH/Debian xterm, can’t hurt for RH/Debian xterm
"\OH": beginning‐of‐line # "\OF": end‐of‐line
for freebsd console # "[H": beginning‐of‐line # "[F": end‐of‐
line
$endif
"
de façon sommaire mais suffisamment exhaustive.
qui nous renvoie à sont our à nos locaux
man read‐line(3readline)
$ man read[tab]
read readelf readlinkat readproc
readahead readfile readmsg readproctab
readdir readline readmsg.mailutils readprofile
readdir_r readlink readom readv
introuvable donc
et
info rluserman
$ info rluserman
bash: info : commande introuvable
tout aussi introuvable
[encore une régression ??]
pour ceux qui voudraient aller plus loin sur les "key"
$ man key[tab]
keyboard key_encryptsession keyok_sp
keybound key_gendes keypad
keybound_sp keymaps key_secretkey_is_set
keyctl key_name key_setsecret
key_decryptsession keyname keytool
key_defined keyname_sp
key_defined_sp keyok
// notez qu'il vaut mieux quelques connaissances en C pour savoir quoi en faire
// mais que la doc est là
Faisant une pause, je décide de tester la commande mentionnée plus haut
$ bind '"\e[24~": history-search-backward'
désormais, la touche F12 agit comme les touches [flèche haut] et autres raccoucis emacs ou vi s'ils sont configurés
$ bind --help
bind: bind [-lpvsPSVX] [-m keymap] [-f nomfichier] [-q nom] [-u nom] [-r seqtouche] [-x seqtouche:commande-shell] [seqtouche:fonction-readline ou commande-readline]
Définit les associations de touches et les variables de « Readline ».
toujours par curiosité, j'essaie ceci :
$ bind '"\e[24~": xcalib -invert -alter'
qui est censé donc lier la touche [F12] à l'invocation de la commande xcalib qui inverse les couleurs de l'ensemble du système (euh, les TX aussi ? ils vont être contents s'il y en a)
rien ne se produit à l'appui de [F12]
ce n'est donc pas si simple.
juste au-dessus je vois qu'il y a une option -x de l'aide en ligne de bind traduite dans ma langue maternelle par un extraordinaire traducteur ! je décide donc de l'utiliser pour vérifier si sa traduction du C vers le français est compréhensible (oui car man bind est écrit en C)
$ bind -x '"\e[24~": xcalib -invert -alter'
[12]
jour
[12]
nuit
[12]
jour
[12]
nuit
[12]
jour
[12]
nuit
[12]
jour
[12]
nuit
bon, mais ça ne résoud toujours pas le problème initial de l'application de cette fonctionnalité à une fenêtre en particulier,
qu'elle soit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gestionnaire_de_fen%C3%AAtres
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gestionnaire_de_fen%C3%AAtres#Gestionnaire_de_fen%C3%AAtre_par_pavage
ou simplement
https://www.linuxquestions.org/questions/linux-newbie-8/how-to-set-display-to-run-firefox-from-tty-799468/
su -c alias F12='bind -x \'\"\e[24~\": xcalib -invert -alter\'' games
donc, comment appliquer le résultat de
$ xcalib -invert -alter
non pas au système [global] mais à une application graphique [local],
à partir d'une commande en console ou mieux d'un fichier de configuration en mode texte ?
par exemple /proc/sys/kernel/sysrq (voir plus haut) ?
pour aller plus loin, disponible sur [12]nal :
https://linuxfr.org/users/postroutine/journaux/bash-et-les-raccourcis-clavier
[^] # Re: Xorg ou Kwin : xcalib, KDE, Kmail, documentation man ou régression de code (dimanche)
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message kmail*reverseVideo: on ou comment afficher kmail en vidéo inversée ?. Évalué à -2. Dernière modification le 05 septembre 2021 à 19:03.
tout le bureau est en mode nuit /dev/tty3
dehors il fait jour : /dev/tty*
tous les terminaux fenêtrés sont en enneigés
donc, ça solutionne le problème, mais d'une façon un peu violente
Lorsqu'on s'est habitué à des codes couleurs avec certains applications, se retrouver avec des couleurs inversées peut revenir à mettre des chaussettes à un chat.
le lien fourni plus haut donnait le paquet source de xcalib officiel
(pour rappel 18 fichiers)
dans lequel se trouve peut-être le moyen d'applique le résultat à une fenêtre en particulier, ce qui à mon avis n'est pas illusoire
Ici est le code où naviguer :
https://github.com/zoltanp/xcalib-src
Le temps que l'on passe à écrire on ne le passe pas à chercher, et de toute façon je ne comprends pas le C. C'est un peu comme pour la justice, le temps qu'on passe à tenter de la saisir, on ne fait pas autre chose, c'est pourquoi généralement le peuple préfère s'en passer et préfère le Mode Gourdin.
Les #Legaltech devraient changer ça pour les générations futures, qui sait ?
Si c'est bien le code déjà copié plus haut :
alors il est possible que la transformation soit effectuée à haut niveau, en ne puisse s'appliquer à une fenêtre sans réutilisation du code dans une application spécifique, ou une modification significative de l'existant.
Quelqu'un pour confirmer ?
/eof
La question était bien que si on peut obtenir un mode jour|nuit,
comment allumer la lumière, où se trouve l'interrupteur pour ne pas à avoir à chaque fois couper le compteur central avec le frigo ?
La documentation est limitée.
Le man xcalib est peu développé, comme bien des man récents. On n'y trouve aucune indications sur une utilisation avancée, ou des perspectives de recherche. C'est malheureusement le cas avec KDE, où rien n'est documenté, il n'y a aucun man.
C'est sans doute un choix d'efficacité, en rapport avec un manque de moyens, un peu comme les logiciels Microsoft, aussi obscur qu'inexploitables en profondeur, mais très jolis et surtout efficaces. Les gains de Microsoft ne sont pas en rapport avec un prix élevé, mais une quantité élevée.
Le code d'un logiciel libre est une documentation.
KDE ne peut s'appuyer que sur du bénévolat, étudiants par exemple, et les dons effectués ne peuvent qu'être dérisoires au vu de la tâche à accomplir.
Il est très regrettable que KDE ne puisse pas être plus documenté (on a les sources, donc quiconque sait les lire peut y contribuer, mais faut-il encore comprendre le C et avoir un peu de temps pour améliorer la doc et y placer son nom et son adresse pour pouvoir le valoriser plus tard si besoin)
La doc n'est pas là seulement par confort, elle permet de inventer et exploiter à fond un logiciel, et pourvoir construire sur ses fondations ?
La baisse de la qualité de la doc et l'augmentation des applications non documentées avec man, n'est-elle pas un symptôme de régression du libre ?
L'exemple simple de Kmail me vient à l'esprit. Une fonction très utile permettait afficher et imprimer un message avec ses entêtes. Très utile pour indiquer des références précises et sûres de l'origine affichée d'un courriel, quand bien-même on se l'envoie à soit-même pour dater un document.
Il s'agissait de la fonction Afficher/en-têtes/all headers.
Cette fonction a été supprimée.
Pour avoir tenté de regarder le code, il s'agissait d'un petit bout de code. Intégré dans une application gigantesque. Non modulaire en lui-même, il ne pouvait donc être ajouté sans être capable de recompiler l'application dans son entier.
Burg eport
Il m'a été répondu à la légère, lorsque j'avais signalé un rapport de bug, que c'était possible d'obtenir le code souce avec la fonction Afficher/Afficher le source.
Oui, peut-être, mais ce n'est pas ce dont j'ai besoin, ça ne fait pas la même chose. Là le code du message est codé et inexploitable en l'état, et certainement pas imprimable pour que son contenu, hors références, puisse être lu par un humain. Ce n'est pas la même fonction, ce n'est pas le même résultat, et ce n'est pas la même application du résultat. On passe d'un texte lisible avec ses références d'entête à un texte brut codé non lisible.
$ recode
Il m'a aussi été répondu que je pouvais utiliser cet outil pour retrouver le codage lisible du texte.
Un logiciel à apprendre pour un résultat incertain, mais qui a le mérite d'exister.
Elle ne remplace toutefois pas la productivité de la fonction d'origine manquante, où d'un clic on avait le résultat escompté, en imposant un apprentissage supplémentaire, des copier-coller, et de sortir les données de l'application métier pour la traiter avec une bidouille.
Une alternative ?
J'ai recherché rapidement parmi les autres applications métier (lecteur courriel), aucun ne permettait d'imprimer en-têtes et texte. Parfois il était impossible d'obtenir les entêtes (ou je ne savais pas le faire gmail.com).
REGRESSION DE CODE
Le code écrit effacé a été produit, réfléchi et pensé par un humain.
Cet humain a engagé une partie de sa vie à réaliser une fonction qu'il savait utile. D'autres sont passés derrière, n'y ont vu que du feu et l'on virée.
Utiliser une version ancienne qui donne toute satisfaction pour se passer des nouvelles versions auxquelles il manque ces détails indispensables dans certains cas ?
Dans le cas d'une application KDE, ça semble impossible tant il y a de dépendances. Mais pas impossible.
Virtualisation
Il y a d'abord la virtualisation qui permet d'émuler un environnement complet et d'interagir avec le système hôte sous certaines conditions. Efficace, mais qui requiert beaucoup de ressources sur l'unité de travail (faire tourner un système supplémentaire en parallèle). Et dont la configuration n'est pas anodine, voire quasi impossible pour un non initié.
KDE multi-versions
Installer plusieurs librairies de kde concurrentes pour faire tourner plusieurs générations de logiciels ensemble. Ce qui là aussi prend beaucoup de ressources, même si on pourrait imaginer utiliser des liens symboliques entre les fichiers partagés, pour réduire la complication. La configuration n'est pas anodine, voire quasi impossible pour un non initié.
La solution la plus simple est de rajouter ce petit bout de code supprimé sans raison apparente, ne serait-ce que pour le temps passé par son auteur à produire une fonction qui utile et unique.
[^] # Re: Xorg ou Kwin
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au message kmail*reverseVideo: on ou comment afficher kmail en vidéo inversée ?. Évalué à 0.
Je voudrais inverser les couleurs juste sur cette fenêtre, pas tout l'écran, effectivement.
Quel est le fichier Xorg où configurer la commande qui contrôle ce paramètre ?
La commande dont tu parles se trouve par exemple sur cette page :
https://askubuntu.com/questions/181419/how-to-reverse-colors-for-the-current-window-in-gnome-shell
xcalib -invert -alter
puis l'auteur propose d'ajouter un raccourcis M-i qui correspond au résultat dont tu parles.
peut-être que M-u est le raccourcis proposé par l'application pour traiter à-la-fenêtre ?
Concernant KDE voici ce que j'ai trouvé
raccourcis clavier :
https://docs.kde.org/stable5/en/khelpcenter/fundamentals/kbd.html
ne cite pas ces raccourcis
mais
https://forum.kde.org/viewtopic.php?f=251&t=110152
y fait allusion.
Ce lien en outre ouvre un autre champ de recherche :
"settings -> accessability"
"System Settings is a separate KDE application, which can be accessed either through the Kickoff Menu, or through KRunner.
Alternately, you can run "systemsettings" in a terminal application. ".
Toutefois un accès direct aux commandes et paramètres qui contrôlent cet effet m'éviterait de fouiller l'appli pour savoir ce qu'elle manipule.
M'étonnerait que l'appli fasse ça toute seule.
C'est toujours un peu le problème du marteau-piqueur pour enfoncer un clou.
En cherchant un peu plus loin en ce sens, on trouve cette page de l'excellent unix.stackexchange.com (non UNIX n'est pas mort, même si ceux qui l'ont vu sont peu nombreux)
https://unix.stackexchange.com/questions/20565/invert-colors-of-the-active-window
"For apps like xpdf, you can either have an alternative desktop menu entry (or icon) that runs the app with special parameters, or define those in your .Xdefaults. For xpdf note also the use of paperColor, foreground and background resources."
on retrouve .Xressources ? mais la solution n'est pas détaillée, juste effleurée.
Certainement la meilleure solution.
"Actually I really need inverting color of specific windows (not whole screen) and that's main reason why I often choose KDE -> it has build in support for this!"
Cette fois on propose Compiz pour le faire…
les sources de xcalib sont disponibles ici
http://xcalib.sourceforge.net/
https://sourceforge.net/projects/xcalib/
afin de voir ce qu'il peut bien faire au sujet de l'inversion des couleurs
mais il faut avoir des compétences en programmation que je n'ai pas.
Sourcefroge permet pas naviguer dans les sources ? alors il faut télécharger l'ensemble des sources de l'appli en local pour cela.
Une fois décompactée, l'archive
xcalib-source-0.8.tar.gz
contient 18 fichiers.
xcalib est écrit en C.
Voici ce que l'on trouve pour
grep -R invert xcalib-0.8/
xcalib-0.8/README: -invert or -i
xcalib-0.8/xcalib.c: fprintf (stdout, " -invert or -i\n");
xcalib-0.8/xcalib.c: int invert = 0;
xcalib-0.8/xcalib.c: /* invert the LUT */
xcalib-0.8/xcalib.c: if (!strcmp (argv[i], "-i") || !strcmp (argv[i], "-invert")) {
xcalib-0.8/xcalib.c: invert = 1;
xcalib-0.8/xcalib.c: if(!invert) {
..ça ne dois pas être ça, ou pas la bonne version ?
Donc on a plusieurs solutions possibles mais aucune ne me permet d'y arriver simplement en configurant un fichier.
À moins de comprendre comment agissent ces programmes, il est difficile de trouver la solution.
Une solution semble possible avec Xdefaults, encore faut-il trouver laquelle.
[^] # Re: gopher ?
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal GoFr - Episode 02. Évalué à -2.
écrire ça le jour de la francophonie… tout s'explique !
[^] # Re: Penser à nourrir les moinseurs
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal GoFr - Episode 02. Évalué à -5.
…un lien vers une archive de la transcription aurait aussi pu être utile aux joueurs de GO. :)
# Penser à nourrir les moinseurs
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal GoFr - Episode 02. Évalué à -3.
Penser à nourrir les moiseurs avec plus de détails dans le journal : 22 mots.
Sinon, on sent du stress dans la voix. Prenez un petit café ! ;)
# Logiciel libre ne signifie pas libre de droits (JDN 20090218 - Bénédicte Deleporte, Avocat)
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -1.
https://www.journaldunet.com/developpeur/expert/36330/logiciel-libre-ne-signifie-pas-libre-de-droits.shtml
"Les logiciels libres véhiculent encore de nombreuses incompréhensions ou malentendus, notamment en ce qui concerne le régime juridique qui leur est applicable. Quelques éclaircissements s'imposent."
"Les logiciels libres ne sont ni libres de droits, ni tombés dans le domaine public, contrairement à ce que certains ont pu affirmer. Ce sont bien des œuvres couvertes par le droit de la propriété intellectuelle. Leur utilisation est régie par des licences. Néanmoins, les principes applicables à la mise à disposition, à l'accès, à la possibilité de modifier les codes source doivent être abordés dans un contexte différent, posant des défis intéressants aux puristes du droit d'auteur, et tôt ou tard, aux magistrats.(4) "
(4) A ce jour, la validité des licences libres de type GPL, BSD, MIT ou CPL n'a pas été examinée en droit des contrats par les tribunaux français. Les quelques contentieux portés devant nos tribunaux n'avaient pour objet que le respect des conditions de licence, sans pour autant remettre en cause la validité même du contrat. Voir par exemple: TGI Paris, 3é ch., 28 mars 2007, Educaffix c/ CNRS, Université Joseph Fourier et autres.
[^] # Re: Quelle facilité de la conclusion!
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -6. Dernière modification le 25 septembre 2018 à 16:44.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rh%C3%A9torique
[^] # Re: Quelle facilité de la conclusion!
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -7. Dernière modification le 25 septembre 2018 à 16:39.
Quand on ne peut s'attaquer à ses arguments, on s'attaque à sa personne. #réthorique
Donc pour revenir sur l'argumentation :
Dire qu'on s'appuie sur des références ne suffit pas. Avec trois références, on écrit n'importe quoi.
Avec aucune référence, on donne son avis. Et son avis devient référence.
Quand on fournit une référence, on cite cette référence. La référence est un fait (qui peut être remis en cause).
L'analyse qu'on en tire, est une interprétation, et il peut y avoir plusieurs autres interprétations.
C'est le cas pour les CLA que tu connais bien :
"This article has multiple issues. Please help improve it or discuss these issues on the talk page. (Learn how and when to remove these template messages)
This article possibly contains original research. (January 2014)
This article relies too much on references to primary sources. (January 2014)"
"Les CLA sont décriés. On accuse parfois les entités demandant un CLA de vouloir faire du non libre "sur le dos" des libristes en faisant une version non libre d'un produit, dans le présent ou dans un hypothétique futur."
Zenith* ram https://linuxfr.org/users/zenitram
* [The Zenith Angle](https://en.wikipedia.org/wiki/The_Zenith_Angle) is a science fiction novel by Bruce Sterling, first published in 2004, about a pioneering expert in computer and network security with a traditional hacker personality named Derek Vandeveer.
[^] # Re: Quelle facilité de la conclusion!
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -6.
Oui, mais voilà, "c'est wikipedia qui le dit" est un argument limité.
[^] # "la GPL dit explicitement qu'elle ne couvre nullement l'utilisation" ?
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -2.
Quel est ce passage exactement ?
# Chapitre Ier : Nature du droit d'auteur, code de la propriété littéraire et artistique
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -8.
Chapitre Ier : Nature du droit d'auteur
Article L111-2 En savoir plus sur cet article…
Créé par Loi 92-597 1992-07-01 annexe JORF 3 juillet 1992
L'oeuvre est réputée créée, indépendamment de toute divulgation publique, du seul fait de la réalisation, même inachevée, de la conception de l'auteur.
Article L111-3 En savoir plus sur cet article…
Créé par Loi 92-597 1992-07-01 annexe JORF 3 juillet 1992
La propriété incorporelle définie par l'article L. 111-1 est indépendante de la propriété de l'objet matériel.
L'acquéreur de cet objet n'est investi, du fait de cette acquisition, d'aucun des droits prévus par le présent code, sauf dans les cas prévus par les dispositions des deuxième et troisième alinéas de l'article L. 123-4. Ces droits subsistent en la personne de l'auteur ou de ses ayants droit qui, pourtant, ne pourront exiger du propriétaire de l'objet matériel la mise à leur disposition de cet objet pour l'exercice desdits droits. Néanmoins, en cas d'abus notoire du propriétaire empêchant l'exercice du droit de divulgation, le tribunal de grande instance peut prendre toute mesure appropriée, conformément aux dispositions de l'article L. 121-3.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=9CB1D6CA236131D3CD76FD88A707E8E7.tplgfr22s_2?idSectionTA=LEGISCTA000006161633&cidTexte=LEGITEXT000006069414&dateTexte=20180923
# Article L111-1, code de la propriété littéraire et artistique
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -8.
Chemin :
Code de la propriété intellectuelle
Partie législative
Première partie : La propriété littéraire et artistique
Livre Ier : Le droit d'auteur
Titre Ier : Objet du droit d'auteur
Chapitre Ier : Nature du droit d'auteur
Article L111-1
L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous.Modifié par Loi n°2006-961 du 1 août 2006 - art. 31 JORF 3 août 2006
Ce droit comporte des attributs d'ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d'ordre patrimonial, qui sont déterminés par les livres Ier et III du présent code.
L'existence ou la conclusion d'un contrat de louage d'ouvrage ou de service par l'auteur d'une oeuvre de l'esprit n'emporte pas dérogation à la jouissance du droit reconnu par le premier alinéa, sous réserve des exceptions prévues par le présent code. Sous les mêmes réserves, il n'est pas non plus dérogé à la jouissance de ce même droit lorsque l'auteur de l'oeuvre de l'esprit est un agent de l'Etat, d'une collectivité territoriale, d'un établissement public à caractère administratif, d'une autorité administrative indépendante dotée de la personnalité morale ou de la Banque de France.
Les dispositions des articles L. 121-7-1 et L. 131-3-1 à L. 131-3-3 ne s'appliquent pas aux agents auteurs d'oeuvres dont la divulgation n'est soumise, en vertu de leur statut ou des règles qui régissent leurs fonctions, à aucun contrôle préalable de l'autorité hiérarchique.
Liens relatifs à cet article
Cite:
Code de la propriété intellectuelle - art. L121-7-1 (V)
Code de la propriété intellectuelle - art. L131-3-1 (V)
Cité par:
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014 - art. 1, v. init.
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014 - art. 2, v. init.
DÉCISION n°2014-6 LOM du 7 novembre 2014, v. init.
Code de la propriété intellectuelle - art. L111-3 (V)
Code de la propriété intellectuelle - art. L113-6 (V)
Codifié par:
Loi 92-597 1992-07-01
Anciens textes:
Loi n°57-298 du 11 mars 1957 - art. 1 (Ab)
Loi n°57-298 du 11 mars 1957 - art. 1 (Ab)
[^] # Re: Qui affirme que "libre de droit*" n'existe pas en France ? *[s]
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -4.
Ce que je veux dire, c'est que (au moins en France, je crois), c'est à un juge d'interpréter la loi. On ne peut pas dire, "j'ai lu ici où là que on disait que…". Donc la référence est importante.
Ensuite, il s'agit d'une page sous la responsabilité d'un des plus hauts magistrats, dont il me semble un peu léger d'expliquer que c'est le webmaster qui écrit n'importe quoi.
Aussi, lorsque la page affirme que le site utilise des logiciels libres de droits, plus liste uniquement des logiciels libres, il n'y a pas effectivement l'affirmation que les logiciels libres sont libres de droits. Mais on peut lire que les logiciels listés sont libres de droits.
Libre de droits n'existe peut-être pas, mais peut tout aussi être interprété :
- moralement
- financièrement
et c'est ce 2e point qui semble avoir été retenu : le droit serait donc la valeur financière.
La Cour de Cassation fournit à mon avis une interprétation des logiciels libres un peu trop grossière, je choisis moi aussi un titre assez grossier, pour interpréter sa description.
Je ne sais quelle est l'interprétation qui a pu choquer le plus ici.
Je reste étonné de l'intérêt que suscite le sujet.
Wikipedia est une encyclopédie qui cite des références, pas une référence en elle-même.
Lorsqu'on cite wikipedia comme référence, ce n'est pas wikipedia, mais les références fournies par wikipedia qui sont intéressantes.
L'assertion concernant "En droit français, en 2015,…" n'est pas une référence, mais une interprétation.
De même, "Cette appellation reste manifestement", l'est tout autant.
La Cour de Cassation est elle-même une référence. Ainsi que j'indiquais la mention du W3C concernant les logiciels libres, on pourrait donc affirmer que le W3C écrit n'importe quoi et la Cour de Cassation ne se trompe pas. La Cour de Cassation a plus d'autorité sur le droit que le W3C. La Cour de Cassation peut préciser le droit, par la jurisprudence, à ce qu'il me semble.
En gros : peut-on s'adresser à la Cour de Cassation, pour négocier ce qu'elle affirme, en citant wikipedia ?
(et ce, même si on a un très bon raisonnement basé sur le droit moral)
Il doit y avoir bien d'autres articles que les 3 cités, qui peuvent venir interagir et modifier l'interprétation.
Rien que les réponses brouillonnes reçues à cet articles, pour ne pas dire qu'elles ajoutent en brouillard, tant les avis sont tranchés et partent dans tous les sens.
Un peu comme en politique : il y a un consensus pour affirmer une désapprobation, mais aucun sur la conduite à tenir, ni même sur l'analyse des faits.
Concernant la portée du texte de la page, indépendamment du prestige de l'institution qui l'affiche, ciblant parmi les principaux et plus utilisés logiciels libres, dans leur variété de licences, il peut s'agir :
- non seulement de la négation, non des droits des auteurs, mais de la valeur de ces licences libres,
- de la valeur sur laquelle est basé le travail de tous ceux qui font confiance à ces licences, des auteurs aux utilisateurs.
[^] # Qui affirme que "libre de droit*" n'existe pas en France ? *[s]
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -10.
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[^] # Que veux-tu dire par "sujet à interprétation" ?
Posté par Patrick Trauquesègues . En réponse au journal les logiciels libres sont libres de droits. Évalué à -7.
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