• # Et alors ?

    Posté par  . Évalué à 4.

    C'est quoi le problème ?

    • [^] # Re: Et alors ?

      Posté par  . Évalué à 1.

      Dans l'esprit, ce qui est proposé ressemble un peu à l'application de la cybernétique qu'aurait pu vouloir mettre en place Salvador Allende (par exemple), on peut donc voir la proposition sous un jour "positif"(la volonté de corriger l'action gouvernementale grâce à une information de retour). Voici un extrait de l'appel d'offre:

      Description succincte : L'accord cadre a pour objet la fourniture d'outils de social listening et de mesure d'impact sur les réseaux sociaux pour permettre au Gouvernement de détecter, analyser et mesurer les préoccupations et attentes des internautes vis-à-vis de son action et particulier et de l'actualité en général. Il s'agit d'un marché passé sous le mandat de la Direction des Achats de l'Etat (DAE) pour les besoins de l'ensemble des ministères.

      • [^] # Re: Et alors ?

        Posté par  . Évalué à 3.

        C'est aussi ce que j'avais lu, d'où ma question.

        • [^] # Re: Et alors ?

          Posté par  . Évalué à 2. Dernière modification le 16 avril 2021 à 11:34.

          Ce faisant, le gouvernement consacre la place qu'occupe des acteurs privés dans la démocratie et dans l'expression populaire. C'est potentiellement problématique dans la mesure où les réseaux sociaux sont un reflet biaisé et incomplet de l'opinion.

          Et 2 820 000 euros pour compter les likes et sortir des joli courbes, c'est beaucoup.

          Mais on est vendredi, je ne suis donc pas certain de vouloir m'aventurer plus avant sur ce point.

    • [^] # Re: Et alors ?

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

      Le gouvernement ne se sert déjà pas de l'outil actuel de real life social listening (les oreilles), pourquoi en commander un autre?

      Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

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