Mandriva Linux Assembly

Posté par  (site web personnel) . Édité par Benoît Sibaud. Modéré par patrick_g.
Étiquettes : aucune
12
4
fév.
2009
Ada
2009 marquera sans doute un changement notable au sein de la communauté d'utilisateurs de la distribution Mandriva.

Après les remaniements de la fin 2008 (départs d'Adam Williamson, Vincent Danen, François Bancilhon), le nouveau PDG de Mandriva, Hervé Yahi, annonçait mi-décembre la création d'un comité de pilotage mondial (« steering commitee ») de la communauté Mandriva pour fin janvier 2009 afin d'associer sa communauté plus fortement à la société.

Un mois et demi après cette annonce, le « steering commitee » n'est plus d'actualité, il cède sa place à la « Mandriva Linux Assembly ». Son principal objectif sera « d'améliorer et de faciliter la communication entre trois grands groupes, les utilisateurs, les développeurs et la société, au sein d'une même Communauté. » La création de cette assemblée répond à de grandes attentes au sein de la communauté qui a souvent jugé totalement opaques les décisions prises par l'équipe dirigeante Mandriva. Elle devrait permettre à la communauté de prendre part - de façon officielle et claire - à la feuille de route de la distribution Mandriva.

NdM: lien neutralisé en raison de la disparition des domaines

  • Annonce du lancement (2 clics) http://blog.mandriva.com/2008/12/17/mandriva-community-steering-committee/
  • Annonce de la création (0 clic) http://blog.mandriva.com/2009/02/03/mandriva-linux-assembly/
  • Description de la Mandriva Assembly (0 clic) http://www.mandriva.com/fr/communaute/assemblee
  • Schéma de l'assemblée (1 clic) http://www.mandriva.com/sites/all/themes/mandriva_customer/images/shema_comite_fr.png
  • Annonce sur mandrivafr (1 clic) http://mandrivafr.org/contenu/2009/02/03/assembl%C3%A9e-communaut%C3%A9-mandriva
Trois groupes de travail sont créés :
  • Les MUGs (Mandriva User Groups) composés d'un représentant de la communauté Mandriva par pays ou groupe de pays (élément à préciser plus tard sans doute) et de 2 représentants de la société Mandriva. Objectif de ce groupe ? Principalement, développer la communication entre associations à travers le monde à propos des événements Mandriva Linux et de l'open source en général.
  • Cooker Menu regroupera 15 personnes, respectivement 5 personnes issues de Mandriva, 5 personnes actives sur le développement Cooker et 5 personnes issues des MUGs. Ce groupe a des objectifs non-négligeables puisqu'il sera en charge de la feuille de route, du planning de développement de la distribution Mandriva.
  • Dernier groupe, Cooker Chefs, 10 personnes (5 issues de Mandriva, 5 contributeurs de la communauté) gérera tous les aspects délicats du développement Cooker : relation entre les personnes, gestion quotidienne de Cooker.
La nomination des 5 représentants MUGs et Cooker est soumise à élection. Vous pouvez vous aussi participer en envoyant votre candidature sur assembly-attend@mandrivalinux.org (le processus d'élection est à préciser d'ailleurs...). Résultats des élections : le 2 mars 2009. Les représentants Mandriva sont à ce jour :
  • Anne Nicolas, directrice unité Communauté ;
  • Frédéric Crozat, R&D ;
  • Gustavo Pichorim Boiko, KDE ;
  • Claudio Matsuoka, OEM ;
  • Romain d'Alverny, infrastructure Web.
Bonne initiative ! En espérant que ce travail de fond porte ses fruits.

Aller plus loin

  • # Articles en Français

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

    À noter que les blogs sont d'abord en Anglais puis en Français(lien 1 et 2), et que le 3ème est en Français.

    L'annonce à aussi été relayée par l'Association des Utilisateurs Francophones de Mandriva Linux : http://mandrivafr.org/contenu/2009/02/03/assembl%C3%A9e-comm(...) avec pour objectif d'aider à la désignation des représentants pour la france et des pays francophones (ou avec une région francophone)
  • # Re:

    Posté par  . Évalué à 5.

    Cette dépêche mérite un commentaire (mais peut-être pas le mien...).

    > Bonne initiative !

    Oui. Elle a presque déjà fait ses preuves. Red Hat l'a fait avec Fedora, Novell le fait avec OpenSuse.
    La route est longue, mais il faut la prendre.
    • [^] # Re:

      Posté par  . Évalué à -4.

      Ou comment essayer de faire oublier le lourdage d'Adam Williamson...

      Allez, chiche Mandriva ! Parlons de "façon officielle et claire"... de ton actionnaire Millenium Partners par exemple, et de la transparence de son fonctionnement.
      • [^] # Re: Re:

        Posté par  . Évalué à 4.

        Pour info, Adam Williamson travaille pour RH depuis 2 jours. Je ne sais pas encore ce qu'il va y faire, il a trouvé rapidement un nouvel employeur. Ces premiers blogs parlant de RH donne vraiment envie d'y travailler.

        Bref, longue vie à Mdv, RH et AW.
        • [^] # Re: Re:

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

          Il va bosser sur la QA de Fedora & RHEL. Au passage, Vincent Danen a aussi été embauché chez Red Hat.
          • [^] # Re: Re:

            Posté par  . Évalué à 2.

            > Il va bosser sur la QA de Fedora & RHEL.

            Surtout Fedora (qui d'ailleurs est sa distribution de travail) ce qui indirectement profite à RHEL.
    • [^] # Re: Re:

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

      C'est un peu différent quand même, Mandriva avait moins de raisons de "s'ouvrir", une grosse partie du packaging est faite par des contributeurs externes, et c'était déjà le cas quand j'ai eu mon compte en 2002...

      Et les discussions techniques ont deja la plupart du temps lieu sur des Mailing List publiques (la ML technique interne doit avoir moins de 10 mails par mois).

      Ce qui devrait changer surtout là à mon avis:
      - Une meilleure communication avec les groupes d'utilisateurs
      - Plus d'échanges sur les spécifications des prochaines distros (actuellement il y a les demandes de la communauté, les demandes internes, et le choix se fait en interne sur la base des 2 listes)
      • [^] # Re: Re:

        Posté par  . Évalué à 0.

        > C'est un peu différent quand même, Mandriva avait moins de raisons de "s'ouvrir"

        Bof, bof.
        Red Hat n'avait pas besoin de s'ouvrir. Red Hat avait les ressources de faire une distribution et son business marchait.
        A l'origine de Fedora, Red Hat n'a pas fait Fedora pour s'ouvrir, mais car ne trouvait pas de profit dans Red Hat Linux (RHL != RHEL) et donc a décidé de ne rien vendre autour de RHL (pas de support, pas de boite, pas de doc papier, etc).
        Enfin, les mailings de RHL sont ouvertes depuis des plombes et RHL marchait grosso-modo comme Mandriva, même s'il faut le reconnaitre les éléments externes étaient plus rare chez Red Hat (Red Hat en avait aussi moins besoin).
        Cette décision de faire de RHL une distribution uniquement non commerciale (NB: c'est quelque chose que n'envisage pas Mandriva) a aboutit à RHLP (Red Hat Linux Projet). Puis il y a eu un "push" de la communauté, quelque chose de non initialement prévu par Red Hat, les contributeurs externes étaient beaucoup plus nombreux que prévu et Red Hat a décidé de leur faire de la place dans RHLP (qui est alors devenu Fedora, histoire de marquer le coup).
        Refouiller les archives dlfp pour s'en convaincre.

        > Et les discussions techniques ont deja la plupart du temps lieu sur des Mailing List publiques

        Comme c'est le cas de RHL depuis des lustres. M'enfin avec Fedora c'est indiscutable plus ouvert.
        • [^] # Re: Re:

          Posté par  . Évalué à 4.

          "Cette décision de faire de RHL une distribution uniquement non commerciale (NB: c'est quelque chose que n'envisage pas Mandriva)"

          Ahem.

          Dans la mesure où "commercial" s'entendrait comme "faire de l'argent avec, à vendre", c'est faux : Mandriva Linux Free et Mandriva Linux One sont des distributions complètes, gratuites, librement disponibles au téléchargement et que l'on pourrait donc improprement qualifier de "distributions non commerciales" ; à l'instar de Fedora, OpenSuse, Ubuntu et j'en passe.

          La Free (en tant que version 100% libre et disponible gratuitement) existe depuis le début (1998) et que la One depuis 2006. Donc bon... c'est pas comme si ça commençait à dater.

          Mandriva Linux Powerpack en est une, a contrario - de même que les autres déclinaisons pour l'entreprise
          • [^] # Re: Re:

            Posté par  . Évalué à 0.

            Faites un petit effort...

            > Mandriva Linux Free et Mandriva Linux One sont des distributions complètes, gratuites, librement disponibles au téléchargement et que l'on pourrait donc improprement qualifier de "distributions non commerciales

            RHL était aussi gratuites et blablabla.
            Mais il y avait aussi une version boite. Es-ce que Mandriva donne gratuitement les versions boites ?
            Il y avait de la doc papier. Es-ce que Mandriva donne gratuitement la doc papier ?
            Il y avait du support payant.
            Etc.

            La différence entre RHL et RHLP (devenu Fedora) est que cette dernière n'a AUCUNE offre commerciale directe ou indirecte. Es-ce le cas de Mandriva ?
            Ben non.

            Je ne dis pas que l'un est bien et l'autre est mal, que faire du pognon avec le libre c'est mal etc.
            C'est un constat.
            Si tu veux, tu peux dire qu'il n'y a aucun offre gratuite de RHEL proposé par Red Hat.
            • [^] # Re: Re:

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8.

              je te retourne la question ?
              y-a-t-il une version boîte gratuite de Fedora ?
              y-a-t-il de la doc' papier Fedora gratuite ? (les PDF correspondants pour Mandriva Linux sont en paquet sous licence libre, installables dans /usr/share/doc/ pour toutes les versions et aussi disponibles sur [http://doc.mandriva.com/])

              La version boîte c'est la PowerPack (ou en téléchargement + services, ce qui rapporte plus à Mandriva).
              La Mandriva Linux Free n'est pas une offre commerciale, c'est une image ISO sortie en même temps que la distribution commerciale, pour chacune les mêmes mises à jour en libre sont disponibles (sous forme de RPM et de src.rpm bien sûr).

              Mandriva a choisi un modèle plus libre quelque part que Red Hat (les paquets libres en rpm sont disponibles ainsi que les src.rpm, red hat ne fournit que les src.rpm qui sont fournis par Centos en rpm, ce qui est très bien). Fedora fournit les rpm et les src.rpm ce qui complète ce que fait Red Hat, mais ne correspond pas à une offre commerciale, ce qui est très bien aussi.
              Mandriva a un modèle similaire à Red Hat avec ses versions Corporate : les rpm ne sont disponibles que pour ceux qui ont acheté le produit, donc c'est aussi bien que Red Hat non ? :D
              Mandriva fait du pognon avec du libre, comme Red Hat, et tant mieux, autant que chacun en fasse, pas forcément au détriment de l'autre mais plutôt en complémentarité pour toucher plus de monde.

              Mandriva, malgré ses difficultés passées, a toujours maintenu sa particularité de s'adresser aussi au "grand public" (ce que n'ose pas faire Red Hat ou n'a pas envie, vu que le grand public réclame surtout du "desktop" - ce qui ne veut rien dire par rapport à du serveur, soit il y a un environnement, soit ya pas, soit l'utilisateur s'en accommode "parce que c'est dispo avec un environnement graphique", soit il accepte que le desktop n'est pas prêt - je pense que nous sommes d'accord). Ni RedHat ni Fedora ne s'adressent au grand public, l'un refusant le desktop (même s'il y a Scientific Linux basé sur RHEL et autres utilisateurs qui acceptent le deal), l'autre s'affichant comme orienté développeurs et utilisateurs acceptant le bleeding edge, donc pas le grand public au sens large (même si Mandriva propose quand même du bleeding edge et n'hésite pas à proposer KDE4 en plus de KDE 3.5.10).

              En gros, ce que je dis et c'est valable encore aujourd'hui, c'est que côté Mandriva il y a eu des engagements qui suffisent actuellement à la communauté (notamment du point de vue de la version Free) et qu'il n'y a pas encore eu besoin de laisser la communauté aux commandes sur "sa" version (cela a été évoqué, cela serait possible du fait que tous les outils du build system sont en libre, mais il n'y a pas d'urgence particulière côté communauté, vu que Mandriva respecte ses engagements : d'ailleurs une remarque qui avait été faite, c'est que cela blesserait les développeurs de Mandriva d'être vus comme "en charge du proprio" de la distrib' alors que la plupart ne font que du libre et font partie intégrante de la communauté, beaucoup ayant commencé comme contributeur d'ailleurs et n'ayant pas changé d'optique depuis la réception d'une fiche de salaire en plus).
              D'ailleurs, tu auras vu dernièrement une version mise à jour du LiveCD One Mandriva Linux 2009.0 proposé par MLO (Mandriva Linux Online), avec l'aval bienveillant de Mandriva et qui apporte une approche complémentaire en plus. http://linuxfr.org/2009/01/21/24902.html

              Pour moi, il n'y a pas d'opposition Red Hat / Fedora / Mandriva / communauté Mandriva Linux, simplement un engagement différent de la société, une présence différente de la communauté. Par exemple, respectivement au nombre de contributeurs upstream, chacun contribue à son échelle, Red Hat avec des pointures reconnues notamment, largement présentes en nombre (taille toussa), Mandriva avec des intervenants sur KDE et GNOME, et aussi sur des initiatives dans le domaine de la recherche (Nepomuk[1], metisse...) repris avec plus ou moins de bonheur dans les autres distribs et l'upstream (Nepomuk dans KDE par exemple, le WM metisse pas dans debian à ma connaissance, dans Fedora uniquement par des dépôts tiers[2])


              bref, tu auras vu 3 réponses (même 4) similaires à ta remarque initiale, cela devrait te donner une idée de la cohérence pour la communauté de l'approche de la société Mandriva. Pour l'instant, la distinction des dévs communauté / société ne se fait qu'au niveau des distribs supplémentaires faites par la société, la communauté et la société s'associant très bien pour faire du libre : il n'y a pas de collusion àmha, même si cela a été le choix de Red Hat et sa communauté de dissocier les noms (mais il y aura peut-être un jour un Conectidrake... je n'ai pas de boule de crystal). Une manière de synthétiser les approches est peut-être de dire que Mandriva s'attache à ses utilisateurs et ses contributeurs là où Red Hat s'attache à ses contributeurs ce qui attire les utilisateurs ?

              [1] http://wiki.mandriva.com/fr/Magnum03_Nepomuk
              [2] http://doc.fedora-fr.org/wiki/Installer_metisse (pas trouvé sur rpmfind, une version 0.3.5 était dans Fedora 3 http://rpmfind.net/linux/rpm2html/search.php?query=metisse&a(...) )
              • [^] # Re: Re:

                Posté par  . Évalué à 3.

                > je te retourne la question ?
                > y-a-t-il une version boîte gratuite de Fedora ?

                Inutile, tu as déjà la réponse.
                Fedora n'est pas commercial, Mandriva Linux est commercial (et aussi gratuite).

                > Mandriva a choisi un modèle plus libre quelque part que Red Hat

                C'est l'énervement qui te fait dire ça ?

                > les paquets libres en rpm sont disponibles ainsi que les src.rpm, red hat ne fournit que les src.rpm qui sont fournis par Centos en rpm

                Les src.rpm de RHEL sont librement disponibles sur les serveurs ftp de Red Hat (+ divers mirroirs). NB: Red Hat n'est pas obligé de le faire. Red Hat ne diffusant RHEL (binaire) que via CD (payant en boite) ou via RHN, Red Hat pouvait se contenter de fournir les sources qu'avec les CD ou via RHN (ce qui est aussi fait).
                Tu veux comparer RHEL avec Mandriva Linux, alors qu'il faut comparer RHEL avec Mandriva Linux Corporate. Et pour cette dernière, comme pour RHEL, il n'y a pas les binaires gratuits.

                > Mandriva a un modèle similaire à Red Hat avec ses versions Corporate

                Toi même le dis.

                Enfin, je le répète encore, je n'ai rien contre le fait que Mandriva Linux soit aussi commercial. Il me semblait que c'était clair dans un de mes commentaires précédents...
                Certes Fedora est plus claire et évite toute contrainte commerciale. M'enfin, la "puissance" de Red Hat (expertise, service, etc) et l'assise de RHEL lui permet ça.
                Je crois que Mandriva Linux peut être commerciale et gratuite sans que les contraintes commerciales soient significatives pour les contributeurs (ce que tu affirmes plus bas, et en l'état actuellement je ne vois pas pourquoi te donner tord).

                > Mandriva, malgré ses difficultés passées, a toujours maintenu sa particularité de s'adresser aussi au "grand public"

                Voix difficile et totalement respectable.

                > ce que n'ose pas faire Red Hat ou n'a pas envie, vu que le grand public réclame surtout du "desktop"

                C'est lassant de se répéter...
                Red Hat développe beaucoup pour le desktop. Ses très très nombreuses contributions en témoigne. Red Hat est impliqué dans le desktop et n'a jamais dit le contraire ! Ce que dit Red Hat, est qu'actuellement le marche "grand public" n'est pas rentable. Mandriva et Ubuntu le prouve. Alors en quoi c'est une erreur de Red Hat de ne pas vouloir investir aujourd'hui dans une offre commercial visant le "grand public" ?

                > Ni RedHat ni Fedora ne s'adressent au grand public

                Oui (en tout cas aujourd'hui, la position de Red Hat sera évaluée à nouveau en 2010).

                > l'un refusant le desktop

                Non. RHEL ne refuse pas le desktop, RHEL a une offre desktop, mais elle ne s'adresse pas au "grand public", elle est pour les entreprises. Même les admins serveurs ont aussi besoin d'un desktop pour bosser (faire un cahier des charges, contacter des prestataires, faire des recherches, etc). En passant, la dernière mise à jour de RHEL 5 a les dernières versions d'Ooo, Thunderbird, Firefox, Evolution, etc. Il y a aussi les dernières driver wifi, etc.

                > même s'il y a Scientific Linux basé sur RHEL et autres utilisateurs qui acceptent le deal

                Rendre un truc gratuit ne le rend pas forcément "grand public". Fedora est gratuit et n'est pas "grand public". Il y a d'autres contraintes. Bizarre que tu sachent les détecters dans le cas de Fedora mais pas pour les autres...

                > et utilisateurs acceptant le bleeding edge,

                "s/acceptant/voulant/"

                > Pour moi, il n'y a pas d'opposition Red Hat / Fedora / Mandriva / communauté Mandriva Linux

                +1 (mais en oubliant Mandriva Corporate vs RHEL).
                Mieux, il n'y a pas opposition et il n'y a pas concurrence !
                Le modèle de développement de Fedora n'est pas celui d'Ubuntu.
                La cible d'Ubuntu est la même que Mandriva (on peut chipoter sur le Gnome vs KDE).
                Mandriva peut se distinguer d'Ubuntu a adoptant clairement un modèle de développement ouvert et transparent à la Fedora. Probablement pas en était aussi agressif et risqué que Fedora (la cible n'étant pas la même) mais ouvert et transparent.
                Les cibles étaient différentes, elles ne sont pas en concurrence, et donc un rapprochement serait bénéfique (aussi bien pour Fedora que Mandriva).

                On discute de Red Hat/Fedora et Mandriva. Mais le pire ennemi de Mandriva est Ubuntu...
                Mandriva doit être différent d'Ubuntu. En adoptant un modèle différent de développement (et avec tout ce qui en découle), c'est une chance pour Mandriva à mon avis. Du moins si la communauté Mandriva prend l'opportunité Mandriva Linux Assembly au sérieux (ce qui me semble de moins en moins le cas...).
        • [^] # Re: Re:

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

          Cette décision de faire de RHL une distribution uniquement non commerciale (NB: c'est quelque chose que n'envisage pas Mandriva)

          parce que c'est déjà fait :
          - la version Mandriva Linux Free est systématiquement fournie (depuis quelques temps les LiveCD le sont systématiquement aussi, même si moins libres, pour permettre d'essayer la distribution).
          - les arbres de RPM libres sont systématiquement fournis, avec les updates, les backports (et les src.rpm bien sûr) et le dépôt svn est ouvert (comme l'était le CVS)

          PowerPack est surtout devenu un "service" et les Corporate (Desktop et Server) continuent, avec des déclinaisons OEM (Original_Equipment_Manufacturer pour le Gdium par exemple), ainsi que les Mandriva Flash (clés USB). Et je ne te cite pas tous les autres produits faisant l'objet de services (pas toujours bien mis en valeur, mais c'est un autre souci ça :p).
        • [^] # Re: Re:

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

          Quand je parle de besoin, ce n'était au sens besoin de ressources. Je veux dire que le fonctionnement était déjà suffisament ouvert pour à peu près convenir aux gens voulant participer.

          Cette décision de faire de RHL une distribution uniquement non commerciale (NB: c'est quelque chose que n'envisage pas Mandriva)

          Qu'est-ce que Mandriva n'envisage pas ? une distribution uniquement non commerciale ?
          Heu ben elle existe depuis à peu près très très longtemps... Et sert de base à la Powerpack, la Flash et les versions corporate qui sont vendues.
          Ou alors tu voulais dire arrêter d'avoir des versions commerciales grand public ? Ca serait dommage de sepriver d'une source de revenu (pour les powerpack en boite pourquoi pas, même si c'est bien pour l'image d'être en rayon à la fnac, mais les Flash ou les powerpack en download ca marche plutot bien).
          • [^] # Re: Re:

            Posté par  . Évalué à 3.

            > Quand je parle de besoin, ce n'était au sens besoin de ressources. Je veux dire que le fonctionnement était déjà suffisament ouvert pour à peu près convenir aux gens voulant participer.

            Oui, oui. Mandrake à l'époque de RHL (avant Fedora) était plus ouvert aux contributions externes. Pas de doute sur ce point. Par contre, RHL n'est pas forcément plus fermé au niveau communication. La mailing de développement de RHL est naturellement devenu la mailing de développement de Fedora.

            > Qu'est-ce que Mandriva n'envisage pas ? une distribution uniquement non commerciale ?

            RHL avait une version gratuite ET une version payante (boite et/ou rhn et/ou support etc). A ma connaissance Mandriva fait toujours de même (ce n'est pas un repproche !).

            Je veux montrer ici que les motivations initiales de Red Hat de créer RHLP (devenu Fedora) sont assez différentes de Mandriva (ce n'est pas un repproche !).
            Red Hat ne faisait du bénéfice qu'avec RHEL (la 2.1 par exemple) et le service. Red Hat ne faisait pas de bénéfice avec RHL (comme Mandriva...). Red Hat ne voulait pas "se débarrasser" de RHL, mais enlever tout l'aspect commercial qui bouffait beaucoup de ressources (et du pognon évidemment) pour aucun bénéfice.

            > Et sert de base à la Powerpack, la Flash

            Désolé mais c'est la même chose que la version gratuite.
            C'est le même code, c'est développé au même temps, les même mise à jour, la même durée de mise à jour, etc il n'y a que quelques petits plus pour justifier un prix.

            > les versions corporate

            Ça c'est différent.

            > Ou alors tu voulais dire arrêter d'avoir des versions commerciales grand public ?

            Je ne voulais pas dire ça !
            Je voulais montrer que les motivations initiales de Red Hat de faire RHLP et les motivations de Mandriva avec Mandriva Linux Assembly sont différentes. Certes de l'eau a coulé sous les ponts et Fedora est plus que ce que espérait Red Hat.
            Certes, même si les motiviations initiales sont différentes, Fedora et Mandriva Linux vont probablement devenir très propre dans leur mode de développement.

            M'enfin, il ne faut pas faire mentir l'histoire.


            Je trouve cette décision de Mandriva très bonne. Peut-être tardive car dans les distributions, c'est propablement de elle qu'on attendait ça en premier en non de Red Hat comme tu le sous-entend judicieusement.
            En passant, toute l'infrastructure de Fedora est libre (ça a pris beaucoup de temps pour y arriver, donc ça mérite d'être souligné). J'espère que Mandriva et sa communauté aura l'intelligence d'établir une bonne relation avec Fedora au lieu de réinventer la roue dans un domaine qui ne touche pas le typage de la distribution pour l'utilisateur final.
            Au delà d'une coopération que j'espère entre Mandriva et Fedora, c'est enfin une vrai opportunité que se crée Mandriva après ses nombreux fiaco (suffit de regarder les archives de dlfp pour trouvé nombre de projet et autre qui n'ont pas porté leur fruit).
            Dans les distributions ouvertes il y a :
            - Fedora => typé développement
            - OpenSuse => typé développement également (peut ouverte sur l'aspet infra)
            - Mandriva => type utilisateur final

            La cible de Mandriva (or distribution Corporate) est la même qu'Ubuntu. Mais Ubuntu reste une distribution assez fermée aux contributions externes.

            Je dis rarement du bien des décisions de Mandriva... mais ici il y a une belle opportunité pour Mandriva même si les aspects financiers restent flous (pour Red Hat (ou Novell) c'est simple : RHEL => commerciale ; Fedora => non-commerciale). M'enfin, c'est ce que devait faire Mandriva et arrêter les trucs comme CCD et autres colaboration qui n'ont rien apporté.
      • [^] # Re: Re:

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        Ce qui change, c'est que maintenant, c'est que la communauté a une existence plus visible.

        ça fait longtemps que des externes administrent une partie du cluster, que des externes ont accés au svn et au cvs de mandriva, que des externes discuttent avec la r&d sur des listes de diff, des canaux ircs, etc.
        Mais voila, si c'est pas annoncé sur linuxfr, les gens vont pas chercher les infos par eux mêmes.

        Depuis le temps, on a appris la lecon, faut pas être ouvert, faut aussi le dire ( et parfois, suffit juste de le dire, et les gens le croient ( et non je trolle pas sur un groupe ou une distro en particulier, chacun trouveras son propre bouc émissaire par lui même )).
        • [^] # Dialogue de sourds ?

          Posté par  . Évalué à 5.

          Cette discussion me semble être un peu un dialogue de sourds, entre, je caricature, d'un côté ceux qui sont impliqués dans le développement et qui savent que c'est ouvert, comment ça marche, etc et ceux qui sont à l'extérieur qui ont le sentiment que ce n'est pas ouvert.

          Il semble que Mandriva soit une distribution très ouverte, où les accès aux rpms source, aux svn, etc soient plus faciles que pour d'autres distributions (je fais part de mon sentiment, issu de lecture, discussion sur irc #mandrivafr, ... ). Le seul problème est que ça ne se sait pas.

          Au délà de l'aspect développement, il y a également la partie sur les groupes d'utilisateurs de Mandriva (MUG) qui, je l'espére, va permettre le rapprochement des communautés (blogdrake, mandriva brasil, mandrivausers.de, mandrakeitalia, mandrivaclub.nl, ... ), du moins accroître la connaissance des activités de chacun des groupes. De plus l'implication des MUG va permettre d'avoir l'avis des utilisateurs de Mandriva, pas juste les développeurs (même si ces derniers sont également utilisateurs des logiciels qu'ils ne développent pas). C'est un regard différent et il est bien que Mandriva en tiennent compte.

          Bref, l'initiative est excellente, il faut maintenant la faire vivre !
          • [^] # Re: Dialogue de sourds ?

            Posté par  . Évalué à 2.

            > Il semble que Mandriva soit une distribution très ouverte, où les accès aux rpms source, aux svn, etc soient plus faciles que pour d'autres distributions (je fais part de mon sentiment, issu de lecture, discussion sur irc #mandrivafr, ... ). Le seul problème est que ça ne se sait pas.

            Oui et non.
            Mandriva permet des contributions externes depuis longtemps. Mais quel est le pouvoir de décision de ses contributeurs externes ?
            Pas grand chose.
            Donnons un exemple même s'il est complètement bidon.
            Supposons que la communauté Mandriva veut PackageKit au-lieu de DrakeRpm. Aujourd'hui la communauté peut faire les paquets PackageKit, mais tant que les développeurs Mandriva "s'accrochent" à DrakeRpm, ben ça sera DrakeRpm.
            Avec la nouvelle organisation, et si je l'ai bien comprise, l'avis des la communauté aura du poid. Elle n'est plus que de la "main d'oeuvre", elle a un pouvoir de décision.
            • [^] # Re: Dialogue de sourds ?

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 9.

              Bien tenté, mais l'avis de la communauté a déja du poids. Si il n'avait pas eu de poids, les devs ne traineraient pas sur l'irc de freenode, le bugzilla n'existerait pas, les forums non plus, et personne n'accepterais les patchs.

              Les gens ont demandés à avoir un kernel plus à jour, ça a été fait. Les gens voulaient que mandriva suivent les releases de gnomes, ça a été fait ( ça n'a pas toujours été le cas ).
              Les gens ont demandés à revenir à une version tout les 6 mois, ça a été fait, les gns ont voulu plus de non libre, ça a été fait ( à mon grand dam ).

              Encore une fois, écouter la communauté, ça veut pas dire "faire tout ce qu'elle dit inconditionnellement tout de suite".

              Si on prends l'exemple de Fedora, si une partie de la communauté dit "on veut mettre un kernel bsd" ou "on veut un modéle de release à la debian" ou "on intégre des features à l'arrache comme ubuntu", ça va pas passer, les devs du core vont pas magiquement bosser dessus, et au vue des buts de Fedora, y a des chances qu'on dise "fait le toi même", preuve que la communauté peut avoir un rôle et pourtant ne pas suffire à convaincre les membres du projet.

              Le poids ne suffit pas, les arguments sont les seuls choses qui comptent. Si on veut avoir du poids parce qu'on est nombreux, c'est vers un système commercial qu'il faut se tourner.

              Et c'est rien de choquant, car le projet est défini par ceux qui le font. Plusieurs fois, la DT de Mandriva m'a demandé mon avis sur la partie dont je m'occupe et on m'a laissé la latitude de gérer python comme je l'entends. Et je pense avoir plusieurs fois pris des décisions par moi même sans clash ( exemple, repoussé la mise à jour de tel ou tel logiciel vachement bien car je pense qu'on est trop prêt de la release, genre python ).

              En pratique, y a pas mal de personnes qui avaient le droit de commit sur la partie du vcs ou était stocké le fichier de ce qui est installé par défaut, et je croit que jamais Mandriva n'a changé une décision concernant les versions des softs ou ce genre de chose.

              Exemple, la version de samba est décidé par une personne externe à mandriva, et son avis est pris en compte

              Mais c'est une bonne chose de mettre ça en avant, car au moins, les gens ne vont plus rester dans des croyances non fondés sur des communautés dont ils ne connaissent pas le fonctionnement, car il y a pas assez d'exposition :/
              • [^] # Re: Dialogue de sourds ?

                Posté par  . Évalué à 0.

                > Bien tenté, mais l'avis de la communauté a déja du poids.

                Donc rien ne change ...
                Cet aveuglement m'énerve passablement et ne profite en rien à Mandriva comme l'histoire nous l'a plus que montré.

                > Si on prends l'exemple de Fedora

                Tout le blabla que tu as mis avant, on l'avait aussi sur RHL. Es-ce que les Fedoraistes (ou anciens contributeurs à RHL) ont été assez stupide pour dire qu'avec Fedora rien ne change ? Dieu merci, non.
                Es-ce que les Fedoraistes se sont dit "continuons notre train-train à la RHL" ? Évidemment que non, ils ont pris la balle au bond et on a vu ce que ça a donné.

                > les devs du core vont pas magiquement bosser dessus

                Il n'y a plus les "devs de core", il n'y a plus de Fedora Core. C'est peut-être à méditer pour "contrib" de Mandriva. Ooops, une remise en cause de Mandriva...
                Tu vas dire que tout est nickel chez Mandriva et rien ne doit changer...

                > et au vue des buts de Fedora, y a des chances qu'on dise "fait le toi même"

                Rien à voir avec les buts, mais oui ça peut arriver (probablement). En fait des gens ont demandé de faire une Fedora/BSD ou une Fedora/OpenSolaris. On leur dit qu'ils le fasse eux même. NB: c'était une minorité.

                > preuve que la communauté peut avoir un rôle et pourtant ne pas suffire à convaincre les membres du projet.

                Et ?
                Faut-il se résigner ?

                > si une partie de la communauté dit "on veut mettre un kernel bsd" ou "on veut un modéle de release à la debian" ou "on intégre des features à l'arrache comme ubuntu", ça va pas passer

                Et ?
                Oui, il y a des limites. C'est comme ça aussi avec Mandriva.

                > Le poids ne suffit pas, les arguments sont les seuls choses qui comptent.

                Sans argument on n'a pas de poid...

                > Plusieurs fois, la DT de Mandriva m'a demandé mon avis sur la partie dont je m'occupe et on m'a laissé la latitude de gérer python comme je l'entends.

                Excellent !
                Et ?

                Puis tu fais l'erreur de croire que Red Hat est aussi petit que Mandriva. Les moyens de Red Hat sont au moins 10 fois supérieur à Mandriva. Red Hat peut se permettre de gérer toute une distribution, Mandriva ne peut pas. Mais oublions ceci qui n'est le coeur de mon propos.
                Tu gères totalement Python dans Mandriva comme d'autres gère totalement Perl dans Fedora. Tu as le boulot (merci à toi) et donc évidemment aussi la responsabilité (et les félicitations si tu fais du bon boulot, ce qui doit être le cas).

                > Mais c'est une bonne chose de mettre ça en avant, car au moins, les gens ne vont plus rester dans des croyances non fondés sur des communautés dont ils ne connaissent pas le fonctionnement, car il y a pas assez d'exposition :/

                En caricaturant, ton attitude me navre. Mais elle donne aussi à réfléchir.
                J'espérais un vent frais, un coup de boost, de l'enthousiasme, des remises en caue, etc dans cette décision de Mandriva. Ben non, c'est le traintrain qui continu. Finalement, même si la décision de Mandriva est bonne, et si tu es représentatif des contributeurs Mandriva, on peut se demander si ça apportera quelque chose de bon à Mandriva.

                Par curiosité j'ai regardé les archives de cooker pour février (seulement). Ben l'annonce le Mandriva Linux Assembly laisse presque indifférent. Si tu es curieux, je te laisse regarder l'"effervescence" sur la mailing devel qu'à créé l'annonce de RHLP.
                Mais "pire", c'est Speedboot...
                Pas Speedboot spécifiquement, mais l'état d'esprit, la culture Mandriva.
                Il y a beaucoup de boulot actuellement pour accélérer le démarrage des distributions Linux. Upstart donne des possibilités, Plymouth aussi, sreadahead, etc. Upstart développé par Ubuntu et repris par Fedora, Plymouth développé par Fedora (et non par un employé Red Hat et qui a trouvé sa place dans Fedora) et qui va être repris par Ubuntu, sreadahead développé par Intel et repris par Fedora, etc. Et j'imagine bien qu'OpenSuse ne doit pas être inactif dans tout ça.
                Mais que fait Mandriva ? Leur "petit" truc. Premièrement, ça n'apportera pas de nouveaux contributeurs, deuxièment c'est une perte de temps car Mandriva passera à Upstart/plymouth. Certes, le plus tard possible comme Mandriva en a l'habitude. Et pendant ce temps Mandriva est coupé des développements "chauds" (et de ses développeurs).
                Rien ne change.
  • # Candidat pour l'assemblée Mandriva

    Posté par  . Évalué à 6.

    Salut à tous :)

    Je profite du sujet pour poster l'annonce que j'ai envoyé sur la ML : association CHEZ mandrivafr.org (ML ouverte à tous, toutes les infos sur les ML de l'association : http://mandrivafr.org/contenu/listes-diffusion-lassociation ) il doit y avoir des Mandriviens Francophones ici ;)

    « Je fais officiellement acte de candidature pour représenter la communauté Française au sein de la toute nouvelle Assemblée Mandriva.

    J'ai écrit Française, et non Francophone car il y a des envies de nos amis outre atlantique de participer aux MUG (ce qui ne me pose pas de souci), il y a peut être également des envies d'autres communautés Francophones (Afrique, Asie). Je ne sais pas si les communauté francophone en Europe hors France sont importantes, si elles veulent avoir leur propre représentant ou se mettre sous la "bannière" de la communauté Française.

    Je n'ai pas de programme défini mais voilà quels sont les « actions » qui sous tendent cette candidature :
    - Être le représentant de la diversité de la communauté française. Cela passe par des discussions, notamment sur cette ML, et je me plierai naturellement à l'avis majoritaire quand bien même je ne serai pas d'accord.
    - Transparence quant à mon action : ce qui va de recueillir vos avis et d'en faire la synthèse en gardant la variété des opinions (ça c'est mon côté modéré qui ressort), et vous rapporter les différentes discussions auxquelles je pourrais participer
    - Mettre en avant l'aspect utilisateur final dans les discussions. La nature même de la composition de l'Assemblée fait qu'il y aura des représentants des développeurs (au sens large), je pense que les représentants de MUG, en tout cas le représentant Français / Francophone Européen, devraient penser plus prioritairement à l'utilisateur final. Ce n'est nullement une volonté d'opposer utilisateur et développeur, juste le souci de ne pas avoir dans les MUG des personnes qui sont également axés développeur et moins utilisateur
    - Ce n'est pas un « poste » à vie. Je n'ai nullement la volonté de durer. Un mandat durant 1 an (précision faite par Anne), vous aurez de toute façon tout le loisir de changer tous les ans. De plus je suis persuadé qu'il y a plusieurs personnes de notre communauté qui feraient un excellent représentant.

    Je compte m'appuyer sur l'association, bien évidemment, mais également sur tous les avis que je pourrais recevoir, lire, de personnes non membres mais qui ont des arguments à faire valoir. Mon anglais ira pour les discussions avec les autres représentants et me permettra de faire un résumé régulier des discussions pour les non anglophones

    Voilà, yapukavoterpourmoi :)

    Olivier aka goom »

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.