jerome a écrit 818 commentaires

Avec MON (bis repetita).
MON est capable de surveiller un service particulier (on peut écrire des `monitors`, beaucoup sont en perl) et sur évènement (up/down) déclencher une alerte particulière (alert ou uplalert, qu'on peut écrire de la même manière, beaucoup sont en bash, enfin, on peut faire du merl aussi ...).
MON peut surveiller les services sur la machine locale mais aussi à distance, pour des groupes de machines, etc. Évidemment, à distance, le mode de surveillance sera relativement restreint et en général on se contentera de vérifier qu'un port donné est accessible.
MON ne se charge pas de faire le changement d'adresse par contre, il peut facilement tuer localement HB ou ucarp pour forcer la migration d'ip.

La version 2.2.3 est déjà dépassée, je te propose de vivre avec pendant encore quelques temps en attendant l'arrivée de la 2.4 dans sid (précisons que la 2.4 est sortie avec gnome 2.12 et que celui çi n'est pas encore dans sid après quelques mois ...).

HB ne sert pas vraiment à monitorer un service, pour ça, il y a mon.
Tu peux combiner les deux, ça marche parfaitement bien.
Le principe général est que mon surveille mysql et dans le cas ou le service s'interrompt alors mon tue heartbeat ce qui a pour effet de faire basculer l'ip flottante vers l'autre machine.
Comme tu peux écrire toi même tes alertes mon (des scripts sh), il est facile de faire ce que tu veux.
En même temps, dans une config Master-Master, en général, tu as 2 ip flottantes et en mode Master-Slave une seule. Ta config me parait un peu originale ...

Ha ouais, mais non. Je me fais mal comprendre.
Un saint Émilion est souvent (si je dis toujours, je vais me faire pendre) super boisé, pas bon et plutôt astringent dans ses premières années. Les tanins mettent du temps à s'arrondir et on peut vraiment profter de ce genre de vin seulement quelques années (genre 3 à 5 ans après la mise en bouteille). Inutile de les garder trop longtemps, 10 ans, c'est bien assez. En même temps, le survieillissement du pinard n'est pas le danger numéro un :)
Concernant le terroir, c'est typiquement un bon gros concept pipovitioenoflan à la "web 2.0" ... Personne ne le place vraiment au même endroit dans l'espace sol - climat - pratiques ...

Sinon quand on est un grand cru, on est bon. La difficulté n'est donc pas de savoir exploiter le "terroir" mais plutôt de savoir le boire :)

Tant qu'on en est aux critiques (douces, hein), un petit mot sur la(es) charte(s) graphique(s) adoptée(s) :
. la calligraphie : les courbes merlot et aux extrémités cabernet pour le nom du chateau. Parfait. Par contre, le Saint Émilion en police basique juste en dessous, berk.
. le vert : ok, la vigne, c'est bien, c'est boisé et quand on fait du Bordeaux, faut bien faire sentir au visiteur qu'il va boire du vin astringent pendant au moins 5 ans.
. le fond rosé (à moins que ce soit mon tft), je dirai bof. Ça rappelle vaguement la couleur d'une tâche de piquette sur une belle chemise blanche après deux ou trois passages en machine.
. le BLEU pour les titres et tout ça ... NON. Ça va pas. C'est du pinard, alors tu prends du rouge bordeaux, c'est comme ça. Un peu orangé pour les liens jeunes non visités et un peu violet pour les vieux déjà visités.
. et puis pour finir, un pied de page avec du sol et des ceps plantés dedans, ça serait sympa, d'abord parce que tu as mis un haut de page et ensuite parce que l'argument de vente du Saint Émilion, c'est le terroir, alors autant le montrer (sans oublier que la vue du cep pourrait rappeler au visiteur le goût, hum, pour le moins boisé du Bordeaux jeune).

Heureusement que tout le monde utilise PEAR de nos jours (voire mieux).

Heu, oui, on parle d'écriture, au temps pour moi. RAID0, stripping.

Le RAID1, mirroring, c'est censé améliorer, quoique pas de manière fulgurante non plus, les performances en lecture.

Selon la distrib que tu utilises, tu pourras configurer le paquet "fontconfig" par exemple avec "dpkg-reconfigure fontconfig" sur les Debian-like.
Sinon la conf de ce soft doit se trouver quelque part dans /etc/fontquelquechose.

PS : les polices trop lissées, c'est vraiment trop moche. D'ailleurs, mes passages répétés dans les cybercafés avec écran TFT et "ClearType" m'en ont définitivement convaincu.

Je me demande si ça ne vaudrait pas un bon coup de pied au cul un journal comme ça. Au début, j'allais me laisser emporter par une poussée fascisante et puis, finalement, non.
Finalement, je vais plutôt rester dans mon fauteuil à faire grève du pl0nkage de journaux, en prenant les lecteurs en otage.

Mon dieu, "un WM avec un moteur de son". C'est vrai que sawfish avec festival c'est la classe, mais quand même :)

Ou des disques SCSI qui-vont-bien (genre des 15krpm) en RAID1.

Hé ben, il serait content de savoir que tu recommandes d'utiliser libcaca avec mplayer, tiens :)

Essaie voir si ça boote avec une version "cachère" de ton nouveau noyau.
En gros, tu sauvegardes ta config, tu reconfigures avec la config du noyau debian installé d'origine (dans /boot/config-quelquechose) tu compiles et tu regardes si celui là boote. Ça pourrait au moins te donner une idée. Enfin, si ça n'affiche rien, c'est certainement que tu n'as pas configuré convenablement ton noyau ou grub ou les deux :)

Est ce que tu peux afficher quelque chose sur les 2 écrans en même temps ? Il y a une combinaison de touche pour faire ça (touche Fn + F6 ou je crois, mais ça peut changer un peu).
Il est aussi possible de regarder dans le bios quel est le type d'écran par défaut pour le boot (crt/lcd/both ici).
A priori, je ne pense pas que ce soit un problème d'écran non reconnu, mais plutôt une manip à faire sur ton laptop.

... mais Ubuntu le fait déjà (avec de l'argent en plus).
Des petits logos qui vont bien, des calendriers et des cartes postales (avec des ombres bien sûr) peut être bientôt des chansons ...

... ou un nom. Tu peux aller sur dyndns.org par exemple, te faire un compte et demander un nom à associer à ton IP (static ou dynamic DNS selon si ton IP est fixe ou pas). C'est gratuit, mais les noms qui te sont proposés sont limités à certains domaines de dyndns.org (.ath.cx, .dyndns.org, etc.
Il y a d'autres services que dyndns bien sûr.

Nirvana illustre le concept bien connu de rejet de la popularité. Plus l'on apprécie un artiste, plus on risque d'être déçu par son succès public. D'ailleurs Cobain a assez mal vécu cette période ...
Avec Manu Chao, c'est un peu la même chose ; au début il est cool et zapatiste, puis il gagne de l'argent et forcément, on l'aime moins.
Enfin, à tout point de vue, je préfère, et de loin, Nirvana.

Sacré toi, toujours là pour nous faire marrer ;) Il me semble que depuis gnome 1.4 mes habitudes n'ont guère changé. J'utilise toujours Sawfish, galeon, rox-filer ...

Galeon est vraiment un navigateur sympathique par sa finition. Il s'est bien arrondi avec le temps et bizarrement, les autres ne semblent toujours souffrir d'une certaine raideur, que ce soit pour le DnD (de et vers Rox par exemple), pour la maximisation de fenêtres, la possibilité de définir les barres d'outils que l'on souhaite rendre visible en fonction de la vue que l'on a choisi (plein écran ou pas), la gestion des onglets.

Bref, aujourd'hui justement, j'essayais de voir si je pouvais transférer mes "données personnelles" vers Epiphany pour l'utiliser un peu. Quelques remarques donc :

• Epiphany semble quand même moins gourmand en mémoire. Lancés en même temps, avec les mêmes onglets, Galeon me mange maintenant 100M de RAM (il a tendance à faire comme Evolution ...)
• La gestion des bookmarks dans Epiphany est moins sympa (les sujets ne valent pas une bonne arborescence pour le moment), mais au moins, il y a un outil pour tout importer de Galeon direct.
• La barre d'adresse n'est pas sur la même barre que les outils (prec., suiv., etc), c'est pénible et SURTOUT la touche TAB ne complète pas l'URL en fonction de l'historique mais donne le focus a la frame principale ...
• Pour importer ses données personnelles (les mots de passe surtout, parce que c'est comme les numéros de portables des ami(e)s, on ne les connait pas, ils restent dans le répertoire), il suffit de copier comme un sale .galeon/mozilla/galeon/* dans .gnome2/epiphany/mozilla/epiphany/ et hop, le tour est joué.
En version moins sale, on peut aussi essayer de décrypter les couples logins / mots de passe enregistrés. Apparemment, pour tous les moz-like, ils sont juste convertis en base64 donc gruikement votre :

#!/usr/bin/env python
# coin.py
# in ~/.galeon/mozilla/galeon/
import os, base64
fin=open('YOURFILE.s','r')
fout=open('YOURFILE.p','w')
for i in fin :
    if i[0]=='~':
        o=base64.decodestring(i.lstrip('~'))+'\n'
    else :
        o=i
    fout.write(o)
fin.close
fout.close

Bon, c'est sympa tout ça, ça me donne envie d'aller mettre mon nez dans Epiphany, ya du taf. Bonne soirée. PS: gnumdk, non, mais arrête, sans rire, c'est ridicule.

C'est vraiment très sympa.

J'avais eu un problème similaire avec un Netopia : http://linuxfr.org/~fatnerf/2705.html

Bon, ça n'a peut être rien à voir dans ton cas, mais j'avais les mêmes soucis avec des déco, etc.

badgerbadgerbadger

Il peut aussi remplacer
vim +"%s/hoary/breezy/g" +"wq" /etc/apt/sources.list
par
sed -i -e 's/hoary/breezy/g' /etc/apt/sources.list

Heureusement qu'il y a la "page personnelle" dans la petite boite a gauche là.

Le projet Valgrind propose pas mal d'outils, dont callgrind qui génère des callgraphs. À voir.

Bah, comme d'habitude, quand on a un problème dont on ne sait pas comment prouver l'existence, il suffit de trouver un situation qui contredit son inexistence. Par exemple, en testant la manip avec un liveCD.
Sinon, tu peux essayer de fixer l'ip toi même (au lieu d'utiliser DHCP).
Pour ce faire, relève les paramètres nécessaires sur ton PC fixe et assigne les à ton portable. Ensuite tu peux toujours essayer des tcpdump pour voir ce qui entre /sort de ta carte.

Ben oui, on dirait bien.
Sinon, si samba est installé, peut être que le nom du service est différent sur ubuntu. Peut être smbd ... il te suffit de regarder les noms des scripts dans /etc/init.d