Gohar a écrit 742 commentaires

  • [^] # Il n'y a plus de marché du disque

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 1.

    À la réflexion, les libéraux devraient être les premiers à combattre les positions des majors de l'industrie du disque, car elles confortent des oligopoles et des rentes de situation, qui sont de puissants freins à la fixation d'un « prix optimal » sur un marché.

    Mais de toute façon, l'offre d'un enregistrement donné étant désormais infinie, il n'y a plus de marché et la théorie libérale ne s'applique plus. Comment parler d'économie dans le cas de biens disponibles en quantité illimitée ? Il faut inventer d'autres théories et d'autres pratiques de l'échange où il ne s'agit plus de gérer la rareté, mais l'oppulence.
  • [^] # Re: Interessant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 2.

    Je réponds à une objection qu'on ne m'a pas faite ;-) : que faire d'une œuvre dont l'auteur n'a pas souhaité la publication ? Hé bien, dans ce cas, pourquoi ne pas publier l'œuvre de manière anonyme, en la plaçant d'emblée dans le domaine public ? On respecte ainsi la volonté de l'artiste sans priver l'humanité d'une création qui est peut-être intéressante, quoiqu'en pensait son auteur.
  • [^] # Re: Droit à la copie privée

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 3.

    On fait plus d'histoires quand quelques poignées de gros actionnaires de majors ou quelques stars sont menacés dans leur dividendes ou leur royalties que lorsque des régions entières sont sinistrées par l'évolution technologique ou les délocalisations, dans le textile ou la sidérurgie, par exemple. Le « libéralisme » choisit ses victimes...
  • [^] # Re: Droit à la copie privée

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 4.

    Certes, mais eux, justement, améliorent l'état du marché.

    Je ne crois pas qu'il y ait une corrélation directe entre nombre de ventes et qualité (ça pourrait même être une relation inverse, la plupart du temps...).

    L'industrie musicale est toute récente. Elle s'est développée lors de l'apparition d'un marché de masse avec l'apparition du microsillon.

    Avant, le seul marché, c'était celui des partitions imprimées, limité au public bourgeois qui avait un piano dans le salon. Il avait je crois peu d'impact sur la production musicale.

    Avant l'avénement de l'impression, les musiciens vivaient par mécénat. Ce système favorisait la création musicale, les mécènes pouvant se comporter en amateurs éclairés et subventionner des artistes originaux. Ce système n'a pratiquement plus fonctionné à partir du XIXe, si je ne me trompe, et les artistes ont du trouver un autre moyen de vivre ou crever la dalle. La plupart enseignaient la musique, certains, tels Charles Ives, vivaient d'un autre métier.

    L'apparition d'un marché de masse a-t-il changé la donne? Il a permis au jazz de toucher le grand public, mais les musiciens vivaient toujours aussi misérablement. Il a également permis au pop-rock de se développer, mais les artistes les plus doués sont-ils ceux qui sont le plus reconnus? Il a surtout favorisé la création d'oligopoles qui contrôlent le marché et formattent le goût du public. Dans une interview à Libération, David Bowie se demandait d'ailleurs s'il arriverait à percer s'il débutait aujourd'hui... http://www.freescape.eu.org/biblio/article.php3?id_article=156(...)
  • [^] # Re: Droit à la copie privée

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 1.

    Ton PS est particulièrement savoureux. Tout ça, c'était donc de la SF ? :-(
  • [^] # Re: Interessant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 1.

    Les rapports d'un artiste et de ses héritiers sont loin d'être simples. Les veuves sont d'ailleurs souvent redoutables.

    Par exemple, la veuve du compositeur Alban Berg a interdit pendant plus de 40 ans que son opéra Lulu soit achevé, alors qu'il avait laissé des notes très précises pour le 3e acte. Sa volonté s'est imposée face à des sommités telles que Křenek ou Adorno.

    Tout ceci me paraît abusif. Tout oeuvre quelle qu'elle soit fait partie d'emblée du patrimoine commun de l'humanité. On ne peut pas la traiter comme un meuble de famille dont on peut hériter, qu'on peut revendre ou détruire.
  • # Re: Droit à la copie privée

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 10.

    Comme pour les logiciels, ce qui est inadapté, c'est de traiter une création de l'esprit comme une marchandise.

    On a beau tourner le problème dans tous les sens, une marchandise, c'est matériel. Elle doit se trouver en quantité limité pour pouvoir répondre à la loi de l'offre et de la demande sur un marché. Si l'offre est infinie, pas de marché, ni de marchandise et, en l'état actuel des choses, de rémunération du producteur.

    Avant, on achetait un disque (microsillon). L'impossibilité de copier fidèlement cet objet en grand nombre faisait qu'on ne pouvait pas dissocier la musique de son support matériel. On pouvait donc confondre œuvre et support, musique et marchandise.

    Aujourd'hui, la musique est duplicable à l'infini pour un coût négligeable. La taxe Tasca ou les dispositifs anti-copie ne sont qu'une tentative rétrograde pour conserver à la musique son statut de marchandise.

    Le problème n'est donc pas de chercher à maintenir une rareté artificielle, mais plutôt de rémunérer autrement les producteurs de l'œuvre (artistes ou développeurs).

    La musique ne doit plus être traitée comme une marchandise et les artistes comme des épiciers. Il faut rémunérer les artistes directement. Comment ? Comme les développeurs du libre !*

    [*] Je veux dire par là que je ne vois pas de solution évidente, mais le besoin est impératif.
  • [^] # Re: Droit à la copie privée

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit à la copie privée. Évalué à 2.

    l'état actuel du marché de la musique

    Ah bon, la musique est moins bonne qu'avant ?
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 4.

    Bon. Je vais encore être obligé de faire une citation. Désolé ;-)

    Les propriétaires parlent souvent des dispositions légales et des pénalités dont ils peuvent nous menacer. Implicitement, ils veulent nous dire là que les lois d'aujourd'hui reflètent un point de vue moral incontestable, et en même temps nous invitent à considérer les pénalités encourues comme des faits de nature, dont personne ne porte la responsabilité.

    Ce type d'argumentation n'a pas été taillé pour résister au raisonnement critique mais pour venir renforcer une pensée routinière.

    En aucune façon les lois ne sont des arbitres du bien et du mal. Tout Américain devrait savoir qu'il y a quarante ans, dans de nombreux États, il était illégal pour un Noir de s'asseoir à l'avant d'un autobus. Cependant seuls les racistes diront que c'était mal de le faire.
    R. Stallman

    http://www.gnu.org/philosophy/why-free.fr.html(...)

    Quand la loi
  • [^] # Re: troll troll troll

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 1.

    Droit à la contrefaçon, dans le strict cadre de la GPL, bien sûr. En quelque sorte, celui qui crée un logiciel sous GPL dit au monde entier : « copiez-moi ! ».
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 2.

    tu discutais sur le vocabulaire et je discutais sur le vocabulaire.

    Non, je réfléchissais sur le concept de contrefaçon qui me semble contenir la notion de « faux ». Le dictionnaire reprend toutes les acceptations du mot, dont celle que reconnaissent les tribunaux et que je conteste ici.

    D'ailleurs tu dis bien "droit à la contrefaçon". Il y a une différence entre militer pour le droit à la contrefacon et nier le fait qu'une copie soit une contrefaçon. Je dissocie nettement les deux.

    Un développeur qui modifie un logiciel GPL pour créer un autre logiciel, ce sera vu comme positif. S'il modifie un logiciel propriétaire, c'est considéré comme un crime. Pourtant, il fait la même opération. Ce qui change, c'est la manière dont on l'envisage: du point de vue du « popriétaire » du logiciel, ou du point de vue de l'impact social de ce logiciel.

    De même quand je cite "utilisation illégale des avantages liés aux droits d'auteurs" on peut trouver anormal les dits-avantages, immoral que ce soit illégal, mais ça n'en rend pas la définition moins vraie : ces avantages existes dans les faits et c'est effectivement illégal. Que ça soit bien/souhaitable ou pas est une autre histoire.

    Non, ce n'est pas une autre histoire. La GPL n'a été créée que pour ça.

    tu mélanges musique et logiciel dans tes propos, et là je ne te suis pas. Le logiciel est à la frontière entre un outil et un procédé technique, et c'est en ce sens qu'il doit pouvoir être manipulable par tous. La musique c'est une autre histoire. D'ailleurs la FSF et RMS se battent bien pour les logiciels et si j'ai vu des sympathies pour le milieu "art libre" ils ont bien toujours fait la différence en déclarant que c'était un autre sujet à part entière dissocié de celui des logiciels.
    Après on peut être pour ou contre le fonctionnement des droits d'auteurs actuels, mais certains éléments sont tout de même assez différents pour ne pas mélanger (même si il y en a des similaires)


    Je suis d'accord.

    je suis pour le libre mais probablement pas à ta manière. Je suis pour le libre mais pas contre le propriétaire. Pour moi le libre doit être un choix réfléchi et voulu par l'auteur, pas imposé. Ça me parait une très bonne philsophie, à laquelle j'adhère tout à fait, que je veux répendre, mais pas la rendre obligatoire. En ce sens, pour moi, il n'y a pas conflit entre les droits d'autres importants actuels (l'auteur à jouissance exclusive de toute son oeuvre et peut très bien la diffuser en interdisant la rediffusion si le client accepte) et la philosophie du libre.

    On retrouve là un clivage qui n'est pas nouveau et je ne prétends pas avoir forcément raison (sinon, je ne discuterais pas...). Vive la polémique ;-)

    Merci d'éviter de toujours donner ces liens en insinuant que si quelqu'un n'a pas le même avis c'est *forcément* qu'il n'a pas lu, mal lu ou mal compris ce qu'il y a marqué. Les gens peuvent lire, comprendre, intégrer les notions, ... et se faire leur propre opinion sans forcément etre d'accord sur tout ou y comprendre la même chose que vous.

    Désolé si j'ai donné l'impression d'insinuer ça. À la relecture, c'est vrai que c'est un peu violent. Disons qu'en réfléchissant à ton point de vue, je me suis demandé si la GPL n'était pas la revendication d'un droit à la contrefaçon (terme qui prend alors une connotation positive) et j'ai mis le lien vers la philosophie du libre pour qu'on puisse y trouver des arguments pour ou contre cette idée. Rien de personnel.
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 2.

    Oui, mais le droit à l'information ne représente que l'information. Pas l'obligation de te fournir les analyses, les opinions ....

    L'information n'est jamais neutre. Parler ou non d'un sujet, définir sa hiérarchie dans le média utilisé, c'est déjà exprimer une opinion.

    Il sort d'où ce "donc" ? je n'ai pas vu l'enchainement qui permet de tirer cette conclusion.

    Dans une démocratie, les citoyens sont appelés à faire des choix. Ces choix sont déterminés par l'information dont ils disposent. Chaque citoyen doit donc se voir garanti l'accès à l'information.

    je ne vois pas le rapport avec l'accès aux articles d'opinions de personnes privées.

    Il ne s'agit pas seulement d'opinions. Imagine que l'information relative au projet de directive sur les brevets logiciels ne soit pas parvenue au grand public... Avec le journal par fax, les PDG et les politiques voulaient disposer d'une longueur d'avance sur leurs contradicteurs face aux médias. Ils pouvaient ainsi peaufiner leurs arguments et l'emporter dans les débats. Le débat public était donc faussé. Imagine deux athlètes dont l'un a eu le temps de s'échauffer, l'autre pas.

    Ça n'empêche pas ceux qui veulent d'aller payer des analyste pour faire des synthèse, des enquêteurs pour fouiller, des journalistes pour résumer et trier ...

    Un syndicat ou une ONG n'en auront pas forcément les moyens face à une multinationale.

    Que l'information soit publique ne veut pas dire que tout le travail que des gens font autour soit forcément gratuit.

    Non, mais ça n'oblige pas à transformer l'information en marchandise. Le travail de journaliste doit être rémunéré autrement. C'est la même problématique que pour le financement des logiciels libres.

    D'ailleurs pour reprendre ton exemple dans quelque chose de plus connu : l'utilisation des dépêches de l'AFP est soumise à paiement.

    Oui, et je le regrette.
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 3.

    Tiens, c'est intéressant que tu utilises la métaphore du transport. Je l'ai également trouvée ailleurs:

    Si on compare les routes avec ou sans péage, nous voyons que (si tout se déroule normalement) les routes sans péage sont meilleur marché à construire et à maintenir, plus sûres et plus efficaces à emprunter. Dans les pays pauvres, les postes de péage rendent les routes inaccessibles à bien des citoyens. Les routes sans péage offrent ainsi plus de bénéfices à moindre coût ; elles sont préférables pour la société. C'est pourquoi la société devrait trouver d'autres moyens de financer les routes, sans recourir aux péages. L'usage des routes, une fois construites, devrait être libre. Richard Stallman - http://www.gnu.org/philosophy/shouldbefree.fr.html(...)

    Autrement dit, c'est pas parce que l'information a un coût qu'elle doit devenir une marchandise. D'autres modes de financement sont préférables.
  • [^] # Re: La femme au foyer, les gens sérieux aux brevets

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 5.

    C'est vrai que dans le titre le « fait sa cuisine » est à mon sens misogyne. Au second degré peut-être, mais misogyne tout de même.

    En revanche, préciser qu'il s'agit de la femme du patron de Vivendi est un élément d'information indispensable. Il montre un possible conflit d'intérêts.

    Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois que le nom de Vivendi serait cité dans une affaire de ce genre, un membre du CSA détenait à un moment des actions de cette société. Voir ce lien qui marche pas: http://www.humanite.presse.fr/journal/2002-03-28/2002-03-28-31251(...)
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 0.

    Je m'étonne de lire ces propos dans un forum dédié au logiciel libre, la licence GPL me semblant être la revendication d'un droit à la contrefaçon dans le domaine du logiciel.

    http://www.gnu.org/philosophy/philosophy.fr.html(...)
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 3.

    Les journalistes ne font pas qu'informer. Par le choix et l'angle de présentation de leurs sujets, ils influent sur le débat public. En démocratie, leurs articles devraient donc être libres d'accès à tous.

    Je me souviens d'une société qui proposait un résumé quotidien par fax d'une quantité énorme d'articles parus dans le monde entier. L'abonnement se montait à plusieurs dizaines de milliers de francs français par mois. Les clients étaient des politiques et des chefs d'entreprise qui voulaient avoir une longueur d'avance dans leur débat avec l'opposition, les syndicats ou les consommateurs. Dans ce cas, le « droit » à une information égale pour tous me semble largement bafoué.

    Si les journaux veulent fournir leurs infos à ceux qui peuvent les payer, qu'ils n'utilisent plus l'argument du « droit à l'information ».
  • [^] # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 3.

    En même temps, l'auto-proclamé « quatrième pouvoir » ne cesse de mettre en avant le « droit à l'information » du public. Et d'un autre côté, il veut restreindre ce droit. Si ça c'est pas une contradition majeure...
  • # Re: La femme du patron de Vivendi fait sa cuisine au parlement européen

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouvelle directive européenne sur le droit d'auteur dite « IP Enforcement ». Évalué à 7.

    La notion de contrefaçon utilisée par M. Bolkestein (« the issue of counterfeiting is becoming overwhelming in importance » : « le problème de la contrefaçon devient extrêmement important ») me semble totalement abusive.

    La contrefaçon, c'est une imitation. Si je fabrique de fausses chemises Lacoste, de fausses pièces de Renault Laguna, voire de faux médicaments, je crée des produits qui ressemblent aux originaux, selon une méthode de production différente. Le produit contrefait ne présente jamais toutes les caractéristiques de l'original. Outre le non-respect des droits de « propriété intellectuelle » du producteur, il y a surtout tromperie sur la marchandise vis-à-vis du consommateur. Tromperie qui peut être dramatique dans le cas des pièces automobiles ou des médicaments.

    Si je fais une copie d'un CD musical ou d'un logiciel, ce n'est pas de la contrefaçon. C'est une copie. Et le produit copié a exactement les mêmes caractéristiques que l'original. Je ne lèse pas le consommateur. Seul, éventuellement, le producteur. Ou, plus souvent, l'éditeur.

    Quand M. Bolkestein parle donc de contrefaçon, c'est de manière contrefaite. Et la directive ne peut servir qu'à protéger les droits abusifs des éditeurs.
  • # Re: L'UNESCO soutient le développement de FREEDUC

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'UNESCO soutient le développement de FREEDUC. Évalué à 1.

    Bravo à l'UNESCO et à l'OFSET ! Mais je crains sérieusement qu'un jour, les États-Unis ne déposent plainte à l'OMC pour concurrence déloyale ou un truc du genre...
  • [^] # Re: Ma boite a un site web :

    Posté par  . En réponse au sondage Ma boite a un site web :. Évalué à 1.

    J'ai beaucoup aimé la dernière page. Ça me rappelle une société où j'ai travaillé. À un moment on était 2 productifs et il y avait 5 directeurs. Évidemment, ça a pas duré...
  • [^] # Re: OpenOffice.org sur France Info

    Posté par  . En réponse à la dépêche OpenOffice.org sur France Info. Évalué à 3.

    Ca génère du .doc malgré Microsoft. Et rien ne dit que ça va générer du .doc au format des prochaines versions de Word.

    En fait, chaque nouvelle version de Word utilise un nouveau format de fichier. Seule l'extension des fichiers ne change pas. Un peu comme les voitures dont le nom de change pas, mais dont les moteurs sont différents (Golf, par exemple).

    Et la seule raison, c'est de conserver la clientèle de MS captive.
  • [^] # Re: OpenOffice.org sur France Info

    Posté par  . En réponse à la dépêche OpenOffice.org sur France Info. Évalué à 2.

    OpenOffice.org. La seule suite bureautique que vous pouvez évaluer toute votre vie.
  • [^] # Re: OpenOffice.org sur France Info

    Posté par  . En réponse à la dépêche OpenOffice.org sur France Info. Évalué à 3.

    En tout cas, grâce à l'ouverture du format de OOo, on peut envisager de générer des fichiers .sxw à l'aide d'autres applis, dédiées ou non, qu'OpenOffice.

    Pour générer du .doc, il faut Word. Et la dernière version, en plus.
  • [^] # Re: OpenOffice.org sur France Info

    Posté par  . En réponse à la dépêche OpenOffice.org sur France Info. Évalué à 3.

    C'est incroyable le pouvoir que certaines personnes non élues peuvent avoir dans une démocratie...
  • [^] # Re: Ma boite a un site web :

    Posté par  . En réponse au sondage Ma boite a un site web :. Évalué à 1.

    On parle d'un site web dans une boîte. Et en lisant les commentaires de ce sondage, je vois que ceux qui ont les compétences n'ont pas le pouvoir de décision. Et je crois que c'est pour ça qu'on a toujours des sites illisibles sous Mozilla ou Konqueror et que dans les cas les plus extrêmes (www.opodo.fr, par exemple) on doit utiliser un système d'exploitation autre que Linux pour utiliser le site.