Cette version apporte quelques mises à jour depuis la version 3.0, publiée fin 2005. Parmi ces améliorations on trouve le support de domU pour Xen3, une meilleure stabilité pour LFS et moults corrections de bogues. Il est possible de construire son propre système depuis le CVS public. La deuxième RC est prévue d'ici deux semaines, n'hésitez donc pas à faire part des éventuels problèmes que vous pouvez rencontrer avec cette version.
A signaler, le serveur SMTP Sendmail ne fait plus partie de l'arbre principal de NetBSD depuis le mois de mai 2006, principalement pour des raisons de sécurité. Postfix est le serveur de courrier électronique utilisé par défaut sur NetBSD depuis cette date, bien que Sendmail reste installable via pkgsrc.
Aller plus loin
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- DLFP : La version 3 de NetBSD est disponible (3 clics)
- Slashdot : Sendmail Removed From NetBSD (1 clic)
- Qu'est-ce que DomU ? (2 clics)
# Cas d'utilisation
Posté par Gilles Mocellin . Évalué à 3.
Si oui, pourrait-il nous dire dans quels cas ce système est le candidat idéal, face aux alternatives (Linux...). Évidemment, en évitant les trolls et autres bestioles nuisibles !
Autant, j'arrive à voir pour OpenBSD, ultra sur, là, je ne vois pas.
On va certainement répondre : nombre d'architectures supportées. Soit.
Les quelles et pour quel usage ?
[^] # Re: Cas d'utilisation
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . Évalué à 4.
http://www.kroah.com/log/linux/ols_2006_keynote.html
L'impression que ça me donne est que les BSD avaient de l'avance sur pas mal de point, mais que Linux est aujourd'hui un peu la bête qui écrase tout sur son passage. Mais je ne connais pas plus les BSD que ça alors je ne peux pas vraiment dire.
[^] # Re: Cas d'utilisation
Posté par Ontologia (site web personnel) . Évalué à 3.
La logique des BSD est assez différente : leur objectif est de fournir un système comprenant non seulement le noyau mais un ensemble d'outils d'administration, de bases permettant de fournir des services serveurs.
Les développeurs des systèmes BSD essayent donc de releaser un système cohérent, ou tout (noyau + logiciel) est débuggé ensemble.
En résumé Linux est un système à couplage lâche, quand les *BSD sont des systèmes à couplage "durs".
De plus ils essayent en général d'assurer la compatibilité binaire sur le long terme, de sorte que des binaires compilés il y a 15 ans tournent encore.
J'ajouterai, qu'à la lecture d'interview des devs de *BSD que ces gens là sont des véritables ayatollah de la stabilité, de la propreté du code. On peut pas en dire autant de Linux.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: Cas d'utilisation
Posté par Sylvain Briole (site web personnel) . Évalué à 6.
Pour nous, les raisons principales du basculement (nous avions déjà développé sous Linux) sont : la pérennité du code (surtout au niveau des API), la propreté du code du noyau que nous avions analysé, un système tout intégré (noyau + utilitaires de base), un processus d'installation validé depuis la version 1.6 qui n'a pas bougé d'un yota depuis, une mise à jour des applications très simple (pour les màj : on efface /usr/pkg et on réinstalle très rapidement avec un petit script qui nous fait des pkg_add)
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